AVANT LE SERVICE MILITAIRE 2
Récit érotique écrit par Touou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-07-2007 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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AVANT LE SERVICE MILITAIRE 2
Résumé : Je me retrouve seul avec Ludo mon ami d’enfance et deux militaires. Nous sommes dans le train qui nous amène à la caserne… Après avoir fait connaissance avec le sexe de mes trois compagnons en leur prodiguant une fellation à chacun, je leur dis que je voudrais me coucher et dormir…
- Et tu ne vas pas te coucher alors que tu n’as pas joui me lance Ludo, y a pas de raison je vais m’occuper de toi, je vais te rendre ce que tu m’as donné !
- On va s’occuper de lui rajoute Karl en se levant et se plaçant tout près de Ludo…. mais pas de la façon dont tu crois ! Ton copain c’est pas un mâle comme nous, il a pas besoin qu’on lui suce la queue pour jouir, la preuve tu l’as vu se branler pendant qu’il nous suçait ?
- Non !
- Ton copain c’est une nana qui s’ignore et qui a envie de le savoir, pourquoi t’a-t-il raconté ces conneries avec ce mec hier soir, pourquoi s’est il laissé sucer par Marcel et accepter qu’il lui foute ses doigts dans le cul ? Ton pote c’est une femelle qu’on va faire jouir mais pas par sa bite !
- Déconne pas Karl , Jean est mon pote et c’est pas un PD.
- J’n’ai jamais dit qu’il était PD, j’ai dit que c’était une femelle.
- Arrête tes conneries, je connais Jean depuis des années.
- Tu connaissais Jean, mais tu ne connais pas JEANNE, mais tu viens d’avoir un aperçu ce soir, il t’a bien fait jouir ?
- C’était un jeu entre mecs sans plus !
- Jeu que tu voudrais bien poursuivre à en juger par ta bite qui n’a pas arrêter de s’allonger depuis qu’on parle, il te branche ton copain, ou plutôt…. ta copine. Marcel va te montrer à quel point Jeanne a envie qu’on s’occupe d’elle. A toi Marcel.
Marcel me fait me relever, il m’attrape la nuque et me roule une pelle d’enfer. Je m’abandonne et le laisse prendre possession de ma bouche. J’avais embrassé des filles auparavant mais je n’avais jamais connu un baiser aussi fougueux. Je m’abandonnais complètement. Ses mains descendaient maintenant le long de mon dos et me procuraient un plaisir intense. Il abandonna ma bouche et glissa doucement vers mes seins (seins, je me transformais, je n’ai plus de pectoraux mais des seins) . Sa langue s’empara des pointes qu’elle fit durcir puis ses dents s’en emparèrent…c’était sublime. Je n’avais jamais connu ça avant et ses doigts qui remontaient et descendaient le long de ma colonne créaient mille et mille décharges électriques. Ils s’attardèrent un moment sur mes fesses les malaxant, les ouvrant pour aussi vite repartir vers ma nuque. Je n’étais plus qu’un corps soumis au plaisir.
- Regarde ton pote, Marcel lui fait réellement de l’effet. Marcel est marié, il a trois gosses. Au niveau sexe, il n’a pas de tabou, ça ne fait pas de lui un PD. En tout cas ton pote apprécie et toi aussi à en juger par la trique que tu as. T’as jamais eu envie de faire l’amour avec lui, ça ne t’a jamais traversé l’esprit, vraiment jamais ?
- Tu fais chier avec tes questions et bien oui une fois et ce fut la dernière sous la douche, on avait commencé à se branler et je ne sais pas ce qui m’est passé par la tête, je me suis mis derrière lui et j’ai mis mon sexe entre ses jambes. Je me suis frotté à lui pendant que je le masturbais. J’ai éjaculé et pris de honte, je me suis rincé et rhabillé très vite le laissant se terminer sa branlette. On n’en a plus reparlé depuis.
- Et aujourd’hui encore, tu te poses la question de savoir s’il t’aurait laissé l’enculer, tu te demandes toujours quel aurait été ton plaisir d’éjaculer dans son cul ? Je suis sûr que tu as baisé bien des nanas mais tu n’en as sodomisé aucune, je me trompe ?
- Non mais qu’est-ce que tu cherches à la fin, fous moi la paix !
- Regarde ton pote, regarde son cul qui n’attend qu’une chose, un zob et il serait dommage que le gland de Marcel ne lui bousille le fion avec la forme de capot de voiture qu’il a, et le mien ne causerait pas moins de dégâts. Le tien par contre est bien plus aérodynamique, Jean le sait et c’est toi qu’il attend pour son dépucelage. Réfléchis vite car Marcel me paraît bien excité et moi comme tu vois je le deviens. De toute façon, Jean sortira de ce train en sachant ce qu’il est, femme ou homme. Pour l’instant je vais te sucer, ton zob me plait beaucoup et là tu ne peux pas me dire non, je n’attente pas à ta virilité au contraire, je la glorifie et si jamais l’envie de baiser Jean avant Marcel te prends, tu seras prêt sinon j’avalerai ce foutre que je sens généreux.
Karl se mit a genoux et sans perdre de temps, emboucha ma verge tendue.
- Ca me fait quelque chose de voir Ludo s’abandonner à Karl , Marcel me donne beaucoup de plaisir, mais j’aurais tant aimé que ce soit Ludo qui me donne ce bonheur , il a l’air de préférer Karl ? C’est bizarre son regard ? Pourquoi m’observe-t-il avec tant d’insistance ?
Marcel m’emportait au paradis, me suçais tantôt avec passion, tantôt avec fougue, mes copines n’avaient jamais eu autant d’attention pour mon sexe, elles faisaient ça parce que ç’était supposé devoir se faire, des coups de langues, des mordillements, de brusques saccades de la main mimant la masturbation. Elles avaient presque toutes l’impression qu’en en passant par là, la bite était plus dure pour les pénétrer. J’ai eu parfois mal et l’effet contraire provoqué, je ramollissais. Mais ce soir, putain que d’attention, c’est mon plaisir que Marcel recherchait tout en désirant que je lui offrirait mon cul.
Ludo avait-il les mêmes sensations que moi avec Karl. J ‘avais tellement espéré lors de la soirée du match de Hand dans les douches qu’il me baise pour de bon, mais il est resté entre mes jambes et quand il a éjaculé, il s’est sauvé comme un voleur.
Oui j’ai vraiment envie de savoir ce que ça fait d’être sodomisé, oui ce soir je prends mon pied en suçant des mecs, en me faisant sucé et ce soir je comprends l’expression « l’habit ne fait pas le moine » Marcel aime le sexe, je ne pense pas qu’il n’aime que les hommes et je pense la même chose de Karl. Oh que c’est bon ces doigts qui m’ouvre le cul. Est-on condamné au seul monde des mecs dès lors que l’on a offert son cul ?
Les doigts de Marcel coulissaient maintenant en moi, mon cul s’était maintenant largement ouvert et le plaisir que j’en tirais se traduisait par le jus que mes entrailles secrétaient.
Je sentis deux mains se poser sur ma poitrine, une langue qui me léchait le cou. J’avais fermé les yeux tout abandonné que j’étais au plaisir qui grandissait en moi. Une barre dure glissait sur mes fesses et vint rapidement se placer sur la voie que les doigts venaient d’abandonner.
Elle s’enfonçait doucement en moi. La douleur que j’appréhendais ne vint pas, mon anus se moulait à elle facilitant même sa pénétration. Je ne cherchais pas à savoir qui de Ludo ou de Karl commençait ma sodomisation. La racine de cette barre était maintenant bien perceptible, les boules d’amour touchaient maintenant mes fesses. Après s’être aventuré doucement, le sexe reculait maintenant, je craignais qu’il ne sorte mais la brusque poussée vers l’avant me rassura. Le sexe prenait plus d’assurance, ses va et vient m’enflammaient les entrailles et mon cerveau avait rejoint l’ouverture aussi relâché qu’un sexe de femme. Il était entièrement concentré sur les nouveaux plaisirs qui naissaient. Mon sexe avait perdu de sa raideur, Marcel le gardait au chaud et sa langue s’était arrêtée de l’exciter.
Le souffle chaud dans mon cou s’accélérait, je sentais que mon amant n’allait pas tarder à jouir. Je tournais la tête, Ludo, c’était Ludo, mon bonheur décupla et je me surpris à onduler à aller au devant de ses assauts je voulais qu’il hurle de plaisir.
J’allais exploser mais je voulais que ce soit son orgasme qui déclenche le mien.
Nous n’en étions plus très loin….les contractions de son membre capté par ma corolle déclencha une onde incroyablement forte tout le long de ma colonne vertébrale et sans bander, je me mis à éjaculer dans la bouche de Marcel qui se mit à me pomper comme s’il voulait ne rien perdre de ma jouissance. Ma tête s’écroula sur la couchette, je voulais que cela ne prenne pas fin. Lentement le vit de Ludo se dégonflait. Il finit par se retirer de moi. Mon cul se contracta plusieurs fois, j’en jouissais et je sentais le sperme de Ludo s’écouler le long de mes jambes. Ludo me prit la tête et me roula une pelle, il me signifiait ainsi qu’il avait lui aussi apprécié cet instant.
Quand il s’écarta de moi, mes yeux se portèrent sur son sexe qui bien qu’ayant perdu de sa raideur me parût impressionnant, comment mon petit trou avait-il pu accepter un tel membre.
Je sortis de mes pensées quand Karl, son mât fièrement dressé s’approcha en disant à Ludo, « ça te dis d’essayer ? »
« Non je ne suis pas prêt »
Karl sourit et se plaça derrière moi
« Lui est prêt, après ce que tu lui a mis. »
Il m’empala sans difficulté et ses coups de boutoir réveillèrent le plaisir qui s’était éteint. Marcel se leva, Karl lui céda la place. Je ne sais plus combien de temps cela dura, ils échangèrent souvent leur place. Je ne savais plus qui était en moi. Je jouis plusieurs fois mes sphincters se contractant sur les membres durs avant qu’ils ne me fassent agenouiller. Ils se branlaient au dessus de mon visage et les jets épais de foutre m’inondèrent le visage.
Ayant tous joui, chacun regagna sa couchette. Il fallait que je me rince le visage et pour cela sortir du compartiment. J’enfilais rapidement mon pantalon et sans bruit me glissa dans le couloir heureusement éteint.
La porte à peine refermée, je me heurtais à un grand mec, au moins 2 têtes de plus que moi et son visage sombre dans la pénombre me dit que ce devait être un black.
« Excusez moi, j’ai trop envie de pisser » lui dis-je pour toute excuse. Je n’avais pas envie qu’il découvre mon visage maculé du foutre si généreusement versé par Karl et Marcel. J’accélérais le pas vers les toilettes. Chacun d’eux me révélant les meurtrissures commises à mon anus.
Je n’eus pas le temps de refermer la porte que le grand black, la retint et entra.
J’étais tétanisé et sans voix.
- Putain la soirée, ils t’ont bien baisé tes potes, j’ai tout vu, le rideau était mal tiré et comme j’ai entendu des couinements de plaisir, je me suis dit qu’une nana devait être à la fête. Et merde quand j’ai vu que c’était un mec qui se faisait mettre, je n’en ai pas perdu une miette. Tu devrais te laver, t’as du foutre partout sur la gueule.
Il ferma le loquet de la porte et appuya sur la manette du robinet. Je remplis mes mains d’eau à plusieurs reprises et m’aspergea le visage. Il me tendit du PQ et je m’essuyais le visage. Tout cela sans qu’aucun mot ne soit prononcé.
- Ton cul aussi doit avoir besoin d’un sacré ménage, baisse ton froc, je m’en occupe.
Comme un automate, je lui obéis et retire mon pantalon. J’étais nu devant lui.
Il me fit me baisser, mouilla du PQ et me nettoya du sperme qui s’était répandu sur le haut de mes cuisses, il s’attarda sur ma rosette.
- T ‘es trop bandant mec, j’ai des envies graves mais je te préviens ma bite est bien plus grosse que celle de tes potes, j’ai jamais réussi à garder une nana. Je leur faisais trop mal en les baisant.
- Je suis trop crevé et puis tout ça c’était une parenthèse dans ma vie, c’est fini j’avais envie de savoir ce que c’était d’être baisé et finalement même si j’ai aimé, j’ai pas envie de recommencer. Je remis mon pantalon et sortis des toilettes, il ne fit rien qui puisse me retenir.
J’ouvre la porte et je ne sais pourquoi, je lui demande s’il a une cigarette.
Nous nous installons devant une vitre, la baissons et comme si de rien était, comme si nous nous connaissions depuis longtemps, nous tirons chacun une cigarette qu’il avait extraites d’un paquet. Je m’abandonnais à ce plaisir uniquement rythmé par le bruit du train.
Il rompit le silence
- putain j’aurai jamais pensé que c’était aussi bandant que de voir des mecs faire l’amour entre eux….
- Et tu ne vas pas te coucher alors que tu n’as pas joui me lance Ludo, y a pas de raison je vais m’occuper de toi, je vais te rendre ce que tu m’as donné !
- On va s’occuper de lui rajoute Karl en se levant et se plaçant tout près de Ludo…. mais pas de la façon dont tu crois ! Ton copain c’est pas un mâle comme nous, il a pas besoin qu’on lui suce la queue pour jouir, la preuve tu l’as vu se branler pendant qu’il nous suçait ?
- Non !
- Ton copain c’est une nana qui s’ignore et qui a envie de le savoir, pourquoi t’a-t-il raconté ces conneries avec ce mec hier soir, pourquoi s’est il laissé sucer par Marcel et accepter qu’il lui foute ses doigts dans le cul ? Ton pote c’est une femelle qu’on va faire jouir mais pas par sa bite !
- Déconne pas Karl , Jean est mon pote et c’est pas un PD.
- J’n’ai jamais dit qu’il était PD, j’ai dit que c’était une femelle.
- Arrête tes conneries, je connais Jean depuis des années.
- Tu connaissais Jean, mais tu ne connais pas JEANNE, mais tu viens d’avoir un aperçu ce soir, il t’a bien fait jouir ?
- C’était un jeu entre mecs sans plus !
- Jeu que tu voudrais bien poursuivre à en juger par ta bite qui n’a pas arrêter de s’allonger depuis qu’on parle, il te branche ton copain, ou plutôt…. ta copine. Marcel va te montrer à quel point Jeanne a envie qu’on s’occupe d’elle. A toi Marcel.
Marcel me fait me relever, il m’attrape la nuque et me roule une pelle d’enfer. Je m’abandonne et le laisse prendre possession de ma bouche. J’avais embrassé des filles auparavant mais je n’avais jamais connu un baiser aussi fougueux. Je m’abandonnais complètement. Ses mains descendaient maintenant le long de mon dos et me procuraient un plaisir intense. Il abandonna ma bouche et glissa doucement vers mes seins (seins, je me transformais, je n’ai plus de pectoraux mais des seins) . Sa langue s’empara des pointes qu’elle fit durcir puis ses dents s’en emparèrent…c’était sublime. Je n’avais jamais connu ça avant et ses doigts qui remontaient et descendaient le long de ma colonne créaient mille et mille décharges électriques. Ils s’attardèrent un moment sur mes fesses les malaxant, les ouvrant pour aussi vite repartir vers ma nuque. Je n’étais plus qu’un corps soumis au plaisir.
- Regarde ton pote, Marcel lui fait réellement de l’effet. Marcel est marié, il a trois gosses. Au niveau sexe, il n’a pas de tabou, ça ne fait pas de lui un PD. En tout cas ton pote apprécie et toi aussi à en juger par la trique que tu as. T’as jamais eu envie de faire l’amour avec lui, ça ne t’a jamais traversé l’esprit, vraiment jamais ?
- Tu fais chier avec tes questions et bien oui une fois et ce fut la dernière sous la douche, on avait commencé à se branler et je ne sais pas ce qui m’est passé par la tête, je me suis mis derrière lui et j’ai mis mon sexe entre ses jambes. Je me suis frotté à lui pendant que je le masturbais. J’ai éjaculé et pris de honte, je me suis rincé et rhabillé très vite le laissant se terminer sa branlette. On n’en a plus reparlé depuis.
- Et aujourd’hui encore, tu te poses la question de savoir s’il t’aurait laissé l’enculer, tu te demandes toujours quel aurait été ton plaisir d’éjaculer dans son cul ? Je suis sûr que tu as baisé bien des nanas mais tu n’en as sodomisé aucune, je me trompe ?
- Non mais qu’est-ce que tu cherches à la fin, fous moi la paix !
- Regarde ton pote, regarde son cul qui n’attend qu’une chose, un zob et il serait dommage que le gland de Marcel ne lui bousille le fion avec la forme de capot de voiture qu’il a, et le mien ne causerait pas moins de dégâts. Le tien par contre est bien plus aérodynamique, Jean le sait et c’est toi qu’il attend pour son dépucelage. Réfléchis vite car Marcel me paraît bien excité et moi comme tu vois je le deviens. De toute façon, Jean sortira de ce train en sachant ce qu’il est, femme ou homme. Pour l’instant je vais te sucer, ton zob me plait beaucoup et là tu ne peux pas me dire non, je n’attente pas à ta virilité au contraire, je la glorifie et si jamais l’envie de baiser Jean avant Marcel te prends, tu seras prêt sinon j’avalerai ce foutre que je sens généreux.
Karl se mit a genoux et sans perdre de temps, emboucha ma verge tendue.
- Ca me fait quelque chose de voir Ludo s’abandonner à Karl , Marcel me donne beaucoup de plaisir, mais j’aurais tant aimé que ce soit Ludo qui me donne ce bonheur , il a l’air de préférer Karl ? C’est bizarre son regard ? Pourquoi m’observe-t-il avec tant d’insistance ?
Marcel m’emportait au paradis, me suçais tantôt avec passion, tantôt avec fougue, mes copines n’avaient jamais eu autant d’attention pour mon sexe, elles faisaient ça parce que ç’était supposé devoir se faire, des coups de langues, des mordillements, de brusques saccades de la main mimant la masturbation. Elles avaient presque toutes l’impression qu’en en passant par là, la bite était plus dure pour les pénétrer. J’ai eu parfois mal et l’effet contraire provoqué, je ramollissais. Mais ce soir, putain que d’attention, c’est mon plaisir que Marcel recherchait tout en désirant que je lui offrirait mon cul.
Ludo avait-il les mêmes sensations que moi avec Karl. J ‘avais tellement espéré lors de la soirée du match de Hand dans les douches qu’il me baise pour de bon, mais il est resté entre mes jambes et quand il a éjaculé, il s’est sauvé comme un voleur.
Oui j’ai vraiment envie de savoir ce que ça fait d’être sodomisé, oui ce soir je prends mon pied en suçant des mecs, en me faisant sucé et ce soir je comprends l’expression « l’habit ne fait pas le moine » Marcel aime le sexe, je ne pense pas qu’il n’aime que les hommes et je pense la même chose de Karl. Oh que c’est bon ces doigts qui m’ouvre le cul. Est-on condamné au seul monde des mecs dès lors que l’on a offert son cul ?
Les doigts de Marcel coulissaient maintenant en moi, mon cul s’était maintenant largement ouvert et le plaisir que j’en tirais se traduisait par le jus que mes entrailles secrétaient.
Je sentis deux mains se poser sur ma poitrine, une langue qui me léchait le cou. J’avais fermé les yeux tout abandonné que j’étais au plaisir qui grandissait en moi. Une barre dure glissait sur mes fesses et vint rapidement se placer sur la voie que les doigts venaient d’abandonner.
Elle s’enfonçait doucement en moi. La douleur que j’appréhendais ne vint pas, mon anus se moulait à elle facilitant même sa pénétration. Je ne cherchais pas à savoir qui de Ludo ou de Karl commençait ma sodomisation. La racine de cette barre était maintenant bien perceptible, les boules d’amour touchaient maintenant mes fesses. Après s’être aventuré doucement, le sexe reculait maintenant, je craignais qu’il ne sorte mais la brusque poussée vers l’avant me rassura. Le sexe prenait plus d’assurance, ses va et vient m’enflammaient les entrailles et mon cerveau avait rejoint l’ouverture aussi relâché qu’un sexe de femme. Il était entièrement concentré sur les nouveaux plaisirs qui naissaient. Mon sexe avait perdu de sa raideur, Marcel le gardait au chaud et sa langue s’était arrêtée de l’exciter.
Le souffle chaud dans mon cou s’accélérait, je sentais que mon amant n’allait pas tarder à jouir. Je tournais la tête, Ludo, c’était Ludo, mon bonheur décupla et je me surpris à onduler à aller au devant de ses assauts je voulais qu’il hurle de plaisir.
J’allais exploser mais je voulais que ce soit son orgasme qui déclenche le mien.
Nous n’en étions plus très loin….les contractions de son membre capté par ma corolle déclencha une onde incroyablement forte tout le long de ma colonne vertébrale et sans bander, je me mis à éjaculer dans la bouche de Marcel qui se mit à me pomper comme s’il voulait ne rien perdre de ma jouissance. Ma tête s’écroula sur la couchette, je voulais que cela ne prenne pas fin. Lentement le vit de Ludo se dégonflait. Il finit par se retirer de moi. Mon cul se contracta plusieurs fois, j’en jouissais et je sentais le sperme de Ludo s’écouler le long de mes jambes. Ludo me prit la tête et me roula une pelle, il me signifiait ainsi qu’il avait lui aussi apprécié cet instant.
Quand il s’écarta de moi, mes yeux se portèrent sur son sexe qui bien qu’ayant perdu de sa raideur me parût impressionnant, comment mon petit trou avait-il pu accepter un tel membre.
Je sortis de mes pensées quand Karl, son mât fièrement dressé s’approcha en disant à Ludo, « ça te dis d’essayer ? »
« Non je ne suis pas prêt »
Karl sourit et se plaça derrière moi
« Lui est prêt, après ce que tu lui a mis. »
Il m’empala sans difficulté et ses coups de boutoir réveillèrent le plaisir qui s’était éteint. Marcel se leva, Karl lui céda la place. Je ne sais plus combien de temps cela dura, ils échangèrent souvent leur place. Je ne savais plus qui était en moi. Je jouis plusieurs fois mes sphincters se contractant sur les membres durs avant qu’ils ne me fassent agenouiller. Ils se branlaient au dessus de mon visage et les jets épais de foutre m’inondèrent le visage.
Ayant tous joui, chacun regagna sa couchette. Il fallait que je me rince le visage et pour cela sortir du compartiment. J’enfilais rapidement mon pantalon et sans bruit me glissa dans le couloir heureusement éteint.
La porte à peine refermée, je me heurtais à un grand mec, au moins 2 têtes de plus que moi et son visage sombre dans la pénombre me dit que ce devait être un black.
« Excusez moi, j’ai trop envie de pisser » lui dis-je pour toute excuse. Je n’avais pas envie qu’il découvre mon visage maculé du foutre si généreusement versé par Karl et Marcel. J’accélérais le pas vers les toilettes. Chacun d’eux me révélant les meurtrissures commises à mon anus.
Je n’eus pas le temps de refermer la porte que le grand black, la retint et entra.
J’étais tétanisé et sans voix.
- Putain la soirée, ils t’ont bien baisé tes potes, j’ai tout vu, le rideau était mal tiré et comme j’ai entendu des couinements de plaisir, je me suis dit qu’une nana devait être à la fête. Et merde quand j’ai vu que c’était un mec qui se faisait mettre, je n’en ai pas perdu une miette. Tu devrais te laver, t’as du foutre partout sur la gueule.
Il ferma le loquet de la porte et appuya sur la manette du robinet. Je remplis mes mains d’eau à plusieurs reprises et m’aspergea le visage. Il me tendit du PQ et je m’essuyais le visage. Tout cela sans qu’aucun mot ne soit prononcé.
- Ton cul aussi doit avoir besoin d’un sacré ménage, baisse ton froc, je m’en occupe.
Comme un automate, je lui obéis et retire mon pantalon. J’étais nu devant lui.
Il me fit me baisser, mouilla du PQ et me nettoya du sperme qui s’était répandu sur le haut de mes cuisses, il s’attarda sur ma rosette.
- T ‘es trop bandant mec, j’ai des envies graves mais je te préviens ma bite est bien plus grosse que celle de tes potes, j’ai jamais réussi à garder une nana. Je leur faisais trop mal en les baisant.
- Je suis trop crevé et puis tout ça c’était une parenthèse dans ma vie, c’est fini j’avais envie de savoir ce que c’était d’être baisé et finalement même si j’ai aimé, j’ai pas envie de recommencer. Je remis mon pantalon et sortis des toilettes, il ne fit rien qui puisse me retenir.
J’ouvre la porte et je ne sais pourquoi, je lui demande s’il a une cigarette.
Nous nous installons devant une vitre, la baissons et comme si de rien était, comme si nous nous connaissions depuis longtemps, nous tirons chacun une cigarette qu’il avait extraites d’un paquet. Je m’abandonnais à ce plaisir uniquement rythmé par le bruit du train.
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