Avec Sophie (2) - histoire érotique

Émilie prit Sophie par la main. Je les suivis dans la chambre. Elles s’embrassèrent. Leurs seins pressés les uns contre les autres, et la bite de Sophie en érection collée sur la cuisse d’Émilie.
Celle-ci s’allongea, écarta les cuisses.

— Viens me bouffer puisque tu aimes les chattes, di elle à Sophie qui se pencha vers le sexe d’Émilie.

La tête entre les cuisses d’Émilie, Sophie m’offrait une vue parfaite sur son petit trou, m’invitant à l’investir. Épilé intégralement, son cul était lisse et doux. Le commençait par y glisser ma langue. Je titillais la rondelle de Sophie lui tirant des petits râles de plaisir, la faisant frémir.

— Ne la distrait pas trop, me dit Émilie, elle a une langue si agile, si habile, je ne voudrais pas que la tienne dans son cul gâche ce qu’elle fait dans ma chatte.

Sourd aux paroles d’Émilie je poursuivais, lubrifiant Sophie de ma langue, ouvrant son petit trou qui n’attendait que ça.

— Laisse le faire, répondit Sophie, il est doué, il aime ça, et ça ne va pas changer la donne pour toi. Je vais te bouffer comme jamais, tu vas jouir dans ma bouche et en redemander.

Puis relevant la tête et se tournant vers moi me demanda de l’enculer.

— Ta langue à bien fait le travail, mon cul est prêt, prend moi comme tu sais et aime si bien le faire.

Je me redressais, plaçait ma bite entre les fesses de Sophie, sur son petit trou humide de ma salive. Le guidant de ma main je m’introduis doucement en elle, dans sa plus secrète intimité. Elle se tendit, releva la tête, soupira d’aise puis reprit position entre les cuisses d’Émilie qui me jeta un regard complice.

J’allais et venais dans le cul de Sophie. Étroit, chaud, parfait. Mes mains sur ses hanches je caressais ses fesses, je l’entendais gémir, soupirer de plaisir tout en léchant le sexe humide d’Émilie. Celle-ci se tordait de plaisir sous le coup de langue de Sophie. Elle prenait ses seins à pleine main, les pressait l’un contre l’autre, poussait des cris, encourageait Sophie.

Émilie se cambra, attrapa la tête de Sophie, la plaqua sur son sexe, et hurla. Un cri de jouissance absolue. De sa chatte s’échappèrent des jets de plaisir.

— Regarde comme elle jute, c’est un torrent qui sort de sa chatte, dit Sophie en relevant la tête. Je ne t’avais pas promis de te faire jouir comme une folle avec ma bouche ?

Émilie acquiesça et vint embrasser à pleine bouche Sophie. Les deux femmes roulèrent sur le lit, me laissant la bite à la main. Sophie s’allongea et invita Émilie à venir la chevaucher.

— Viens me baiser comme tu en as envie, en me caressant les seins, viens te faire baiser par une bite de femme.

Je restais un moment à l’écart, regardant le spectacle de ces deux belles femmes se livrant l’une à l’autre sans retenue, sans tabou. Émilie s’agitait sur la bite de Sophie, jouant de son corps, de celui de son amante. J’aurais pu rester à l’écart, les regarder et me branler sur elles, mais j’avais trop envie de revenir dans la danse.

— Il n’y a pas une petite place pour moi, demandais-je en m’approchant d’elles ?
— Il y a toujours une petite place dans mon cul, répondit Émilie en me souriant.

Je me glissais entre les fesses d’Émilie. En m’enfonçant en elle je sentis la bite de Sophie au travers des chairs d’Émilie. Nos deux sexes durs se frottant en elle, l’investissant totalement, écartant ses entrailles, cherchant notre plaisir et le sien. Émilie suait à grosses gouttes. Son dos était trempé. Ses cheveux lui collaient à la peau. Elle poussait des cris de plaisir, jouissait à répétition. Un orgasme chassant l’autre. Son corps n’était plus que jouissance. Je sentais couler entre ses cuisses des torrents de sueur et de jus mêlés.

Je sentis Sophie éjaculer. Les spasmes de son sexe se vidant dans la chatte d’Émilie se mêlèrent aux miens quand à mon tour je ne pus plus me retenir. Nos deux sexes se déversèrent à l’unisson dans les orifices béants d’Émilie. Nos spermes séparés par la fine barrière de chair entre le cul et la chatte d’Émilie.

Délivrée de nos bites, le corps encore parcouru de frissons de plaisir, Émilie s’allongea sur le lit, essuyant sa sueur dans les draps déjà trempés, ses mains courant sur son corps, sur ses seins tendus, son sexe dégoulinant, son cul ouvert. Elle se doigta devant nous, se fit jouir une dernière fois avant de retomber dans les bras de Sophie, de l’embrasser, de la remercier, puis de passer dans les miens pour m’offrir le même traitement.

Nous restâmes allongés tous les trois, reprenant notre souffle, nos esprits. Nous étions bien repus de sexe et de plaisir, nous aurions pu nous endormir ensemble, mais Émilie avait d’autres envies. Insatiable elle prit nos sexes en main et nous masturba pour nous faire bander.

— Je veux que Sophie t’encule, dit-elle, je sais que tu as déjà gouté de sa bite, mais je veux la voir faire.

Alors, après nous avoir redonné de la vigueur, elle prit Sophie, et la guida vers mon cul. Elle glissa un doigt en moi, préparant le chemin pour Sophie. Celle-ci se glissa en moi en me tirant un petit cri de douleur.

— Baise-moi en même temps, me dit Émilie en écartant les cuisses pour m’offrir son sexe.

J’étais pris entre deux femmes, l’un en moi, moi dans l’autre. Sophie baisait Émilie au travers de ma bite. C’était elle qui donnait le rythme à mes va-et-vient. Je me sentais traversé par une lance. Un grand écart de plaisir. Il partait de mon cul jusqu’à la pointe de mon gland. Je comprenais les cris de jouissance d’Émilie pendant que nous la prenions ensemble Sophie et moi. Comme elle tout mon corps se tendait vers un seul et unique but, le plaisir. Je n’étais que sexe. Celui qui fouissait Émilie. Celui qui me parcourait les entrailles. Le moindre centimètre carré de ma peau était sensible, la moindre caresse, le moindre baiser de Sophie me faisaient soupirer de plaisir. Les mains d’Émilie qui remontaient sur mon torse vers mes tétons tendus me faisaient vibrer. Je jouis plusieurs fois avant d’éjaculer. Je me vidais en Émilie, avec la sensation que tout mon être se déverser en elle. Sophie se retira et se branla sur les seins d’Émilie.

Après cette dernière « danse », nous tombâmes dans le sommeil. Sophie s’éclipsa au petit matin. Je la raccompagnais sur le palier et l’embrassais à pleine bouche. Elle me promit de revenir, vite.