Azoulina
Récit érotique écrit par Azkinato [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-08-2011 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Azoulina
Je m’étais installé au Sénégal depuis plusieurs semaines, parce que ma femme m’avait quitté, et que je voulais changer de vie. Je
n’avais pas de gros revenus, mais là-bas je vivais assez bien, la vie n’y est pas très chère. Mais une femme me manquait, non pas
pour le côté sexe, mais pour tout ce qu’elle pouvait faire dans une maison. A présent je pouvais m’en rendre compte, sans une
présence féminine, je me débrouillais très mal, pour les repas, le ménage, les achats courants etc…
En visitant un petit village de brousse, je fus touché par Azoulina, elle venait d’avoir 17 ans, et vivait dans un extrême dénuement,
elle et sa famille. Comme elle se débrouillait très bien pour s’occuper des siens, je proposai alors à son père de la prendre comme
employée à mon service. Elle serait rétribuée, et je l’emmènerais une fois par mois leur rendre visite. Le papa fut immédiatement
d’accord, mais je voulais qu’elle le soit de son plein gré, et non forcée de venir. Lorsque je lui expliquai quel serait son travail, elle
accepta, en émettant comme réserve qu’il n’était pas question qu’elle devienne mon 2ème bureau, c'est-à-dire ma maîtresse. Je la
rassurai immédiatement, en lui disant que si elle me trouvait trop entreprenant, ou au moindre problème, je la ramènerais
immédiatement chez les siens. C’est ainsi qu’Azoulina entra à mon service.
Les semaines passaient, et tout le monde était heureux, moi le premier car tout était en ordre chez moi, et Azoulina était une
excellente cuisinière ; et elle, tout autant que moi, car elle vivait dans un « luxe » qu’elle n’avait jamais connu, mangeait à sa faim,
et voyait sa famille chaque mois. Comme j’étais très satisfait d’elle, à chaque voyage lorsque je l’emmenais voir sa famille, je leur
offrais des petits cadeaux. Pour moi ce n’étaient pas très onéreux, mais qui pour eux, ils avaient une grande valeur pour leur bien
être. Le seul petit bémol est qu’Azou, comme je la nommais depuis un moment, continuait de m’appeler « patron ». Issu d’un
milieu plutôt ouvrier, et pas du tout colonialiste, j’avais du mal avec cette désignation. J’avais eu beau la menacer de la renvoyer,
rien n’y faisait, elle continuait dans son entêtement, si bien qu’à présent je m’y étais fait malgré moi.
Notre situation avait peu à peu évolué au fil des semaines. Il arrivait lorsqu’elle revenait de faire des achats pour la maison, qu’elle
me dise d’un air contrit :
- Patron, tu ne vas pas être content, j’ai fait une grosse bêtise.
La première fois je m’attendais à tout, mais lorsque je vis que sa bêtise était un vêtement qu’elle s’était acheté pour quelques
francs CFA, je n’osai rien lui dire. De toute façon, elle avait l’air si heureuse, que je n’aurais rien pu lui dire.
Passionné de photo, j’aimais la prendre souvent dans les tenues qu’elle venait d’acheter. Et toute fière de retour dans sa famille,
elle faisait le tour du village pour montrer à tout le monde, les belles tenues qu’elle possédait. Les gens du village l’appelaient à
présent « princesse » quand elle revenait les voir.
Plusieurs fois je lui avais demandé de poser dans les petites tenues qu’elle s’était achetées, et bien qu’elle se promène presque
tout le temps dans ces mêmes tenues à la maison, elle avait toujours refusé.
- Ce n’est pas parce que je travaille comme ça, que je suis une « patéticienne ». Disait-elle, en pensant « prostituée ».
Notre relation avait bien changé à présent, c’était elle la maîtresse de maison, et elle me faisait une scène à chaque fois que
j’invitais des amies à la maison, même si elles n’étaient que des amies.
- Tu es trop méchant patron. Avait-elle coutume de dire. Je pense qu’elle était devenue amoureuse de moi.
Le jour où tout a basculé, fût un jour où j’entrai dans la salle de bain, alors qu’elle prenait sa douche. Ce jour là, je croyais qu’elle
était sortie, aussi ce fut sans prendre la peine de frapper à la porte que j’entrai.
- Ben, faut plus te gêner patron. Me dit-elle.
Je sortis immédiatement, certainement plus gênée qu’elle.
A ce niveau, mon intrusion n’eut pas l’air de la choquer outre mesure. Elle prit bien son temps pour mettre ses mains sur ses
hanches, avant de m’houspiller, sans chercher nullement à cacher sa nudité. Je pensais qu’elle avait fait exprès de prendre sa
douche, à l’heure où j’allais habituellement dans la salle de bain.
A présent, elle évoluait dans la maison, entièrement nue du soir au matin. Je pense qu’elle n’attendait que ce prétexte pour se
montrer toujours ainsi devant moi. Il faut dire qu’elle était très bien faite, et malgré notre différence d’âge, elle ne me laissait pas
indifférent. De plus elle m’avait dit un jour, que souvent les gens se promenaient nus dans leur village sans que cela ne soit une
gêne, ils n’avaient aucun tabous avec la nudité.
Un jour qu’elle s’était montrée particulièrement aguichante, alors que je bricolais dans la maison, elle me dit :
- Quand tu auras fini ton travail patron, je te ferai un massage pour te détendre.
Un peu plus tard, elle revint à la charge :
- Viens t’allonger patron, je vais te relaxer.
C’est ainsi que je me retrouvai couché au sol, avec Azou entièrement nue sur moi, en train de me caresser partout. Naturellement,
une bosse vint vite déformer mon short. Azou fit semblant de ne rien remarquer, jusqu’à ce que ses mains n’arrivent à la hauteur
de ma taille.
- Oh là là patron. Me dit-elle. Je crois qu’on t’a jeté un sort.
- Tu as de la chance, ma grand-mère m’a transmis quelques dons de guérisseuses, je vais te soigner.
Et joignant le geste à la parole, elle plaça ses mains par-dessus mon short, directement sur mon intimité. En quelques secondes
seulement, je me libérai dans mon vêtement. Il faut dire que je n’avais pas fait l’amour depuis un bon moment, et que de voir Azou
nue tous les jours me mettait dans un état d’excitation pas possible.
- Heureusement que j’étais là patron, tu aurais pu mourir. Me dit-elle d’un air très sérieux.
Maintenant, elle avait pris l’habitude de me masser tous les soirs.
- On ne sait jamais, le sort peu revenir. Disait-elle à chaque fois.
Cette petite cérémonie quotidienne prit un nouveau tour, quelques jours plus tard.
Alors qu’elle massait ma virilité, elle décréta :
- Je crois que le sort est en train de revenir patron. Et il est beaucoup plus fort, il va falloir que j’enlève ton short, si tu veux guérir.
Cette histoire de guérison me faisait à chaque fois sourire, car elle semblait en être vraiment convaincue.
Lorsque je fus nu moi aussi, c’est elle qui éclata de rire. Lorsque je lui demandai la raison, elle me répondit :
- Pas étonnant que les blancs soient si petits, avec un tuyau réduit comme cela, il ne doit pas y avoir une dose complète pour faire
de grands bébés.
C’est vrai que dans son village, tous les adultes avaient une tête de plus que moi, et même Azou était un peu plus grande que
moi. D’autre part pour un européen, je pense qu’au niveau sexe, je devais être dans la moyenne. Mais dans son village, beaucoup
de personnes, hommes comme femmes, étaient souvent nus. Et en voyant les garçons, les blancs auraient eut l’air ridicules à
côtés d’eux.
Vexé, et pour ne pas être en reste, je lui jetai alors :
- Peut-être, mais c’est de la bonne graine.
- Je vais te dire ça tout de suite patron. Lança-t-elle alors, tout en prenant mon sexe entre ses lèvres, ne semblant attendre que ce
moment.
Je ne sais pas si elle avait déjà fait une fellation dans sa vie, mais j’y pris un plaisir immense.
Lorsqu’elle eut fini, et tout avalé à mon grand étonnement, elle annonça :
- Tu as raison patron, c’est très bon, et puis c’est un bon remède.
Je ne sus jamais pour quelle maladie, mais je pense que c’est sa grand-mère guérisseuse qui avait dû lui dire ça.
J’avais réussi à la convaincre de poser nue à présent, et c’est d’elle-même, sans que je ne la guide, qui prenait des poses de plus
en plus suggestives. Après chaque séance de pose, elle me « soignait contre les sorts ».
C’est toujours à son initiative, que de nombreuses photos d’elle, dans les poses les plus softs, ornaient les murs de la maison. Je
suppose que c’était pour montrer à mes invitées, qu’elle était plus qu’une simple employée, et pour les décourager d’essayer de
me mettre le grappin dessus.
Azou était devenue presque ma femme à présent, sauf qu’elle ne voulait pas passer les nuits avec moi. Elle dormait
systématiquement dans sa chambre.
- Une employée ne couche pas avec son patron, cela ne se fait pas patron. Avait-elle coutume de dire.
Il est vrai que moi seul avait du plaisir, elle refusait toujours que je ne lui fasse l’amour. J’avais juste le droit de lui caresser les seins
et les fesses pendant les séances de massage, je ne pouvais pas toucher son intimité.
- Ce n’est pas parce que tu es patron, que tu as tous les droits patron. Me rétorquait-t-elle lorsque j’essayais d’insinuer ma main
entre ses cuisses ou ses fesses.
J’en avais marre de ses « patron » qui ponctuaient chacune de ses phrases, mais à présent j’aurais été très mal, si j’avais dû la
renvoyer chez elle.
Un jour je lui proposai à mon tour de lui faire un massage, elle accepta assez facilement.
Lorsqu’elle fut allongée, je pris bien mon temps pour la caresser, et pour l’exciter au maximum. J’espérais qu’elle m’autoriserait à
aller plus loin. Ses seins pointaient comme jamais je ne les avais vu, et elle se tortillait dans tous les sens, excitée comme jamais.
Je crois qu’on m’a jeté un sort patron. Me dit-elle dans un râle. Je crois qu’il va falloir que tu essaies de me guérir.
J’attendais ce moment depuis longtemps. J’approchai doucement mes mains de son intimité, et là surprise, elle ne dit rien. Mes
doigts trouvèrent facilement son petit bouton, qu’ils commencèrent à taquiner avec application.
Semblant se réveiller soudainement, elle me lança :
- Je crois qu’avec ta bouche, tu serais plus efficace patron.
Je ne me le fis pas dire deux fois, et plongeai immédiatement la tête la première. Ma langue prit aussitôt la place de mes doigts, et
continua le travail commencé. Azou se cabra de plaisir très peu de temps après. Je pense que c’était la première fois de sa vie
qu’elle jouissait.
Elle mit un certain temps à reprendre ses esprits, et à me dire :
- Toi aussi tu dois avoir des talents de guérisseur patron.
Les journées passaient très vite à présent, plusieurs fois par jour nous nous « guérissions » mutuellement, elle comme moi, étions
souvent victime d’un « sort ». A ce rythme là, j’allais y laisser ma santé.
Azou semblait elle aussi être de plus en plus fatiguée de ses journées, elle me proposa alors :
- Tu sais patron, il y a de plus en plus de travail pour moi ici, tu devrais prendre une deuxième assistante pour m’aider.
C’était bien évidemment une excuse, il n’y avait pas plus de travail qu’avant. Mais Azou, sans l’avouer, devenait de plus en plus
épouse, et de moins en moins employée.
Nous nous mîmes d’accord pour recruter une autre fille, la prochaine fois que je l’emmènerais voir sa famille.
Azou fut chargée du recrutement, j’avais émis deux conditions : que la fille me plaise, et qu’elles ne parlent pas leur langage entre
elles en ma présence.
Azou avait bien essayé de m’apprendre sa langue, mais à part quelques mots courants comme bonjour, au revoir ou merci, j’y
avais renoncé.
Azou me présenta sa cousine Malounidazata, qui me plus immédiatement. Aussi grande et aussi belles l’une que l’autre.
De retour à la maison, il y eut un petit problème, il n’y avait qu’une seule chambre pour les deux filles. Azou refusa
catégoriquement que Malounidazata ne couche avec elle :
- Si c’était ma sœur, il n’y aurait eu aucun problème patron, mais c’est ma cousine, et on n’a pas le droit.
Tiens mon œil, pas le droit. Dans son village, il n’y avait pas de chambre pour tout le monde, seulement une case pour toute une
famille. Et ça m’étonnerait que des cousines ne viennent pas « en vacances » l’une chez l’autre. C’était une nouvelle excuse
d’Azou, comme j’en avais l’habitude. Lorsqu’elle ne voulait pas quelque chose, ou au contraire qu’elle voulait quelque chose de
bien précis, elle trouvait une excuse toujours bidon.
Je proposai alors :
- Bon ce n’est pas grave, Malou dormira dans ma chambre. Je l’appelais ainsi, car son prénom était trop long, et je n’étais pas sûr
de bien le prononcer.
- Tu n’y penses pas patron, que vont dire les gens du village. Répliqua de suite Azou.
Les gens du village étaient à plusieurs centaines de kilomètres, je ne pense pas qu’ils sachent comment nous vivions.
- Tant pis patron, je dormirai dans ta chambre. Proposa de suite Azou. Mais je te rappelle qu’une employée ne couche pas avec
son patron.
Je voyais mieux à présent où elle voulait en venir avec son histoire de cousine qui ne dorment pas ensemble : une autre excuse.
L’affaire fut entendue, et Azou ne mit pas longtemps à mettre ses affaires dans ma chambre. Le lendemain nous irions acheter
une armoire pour y mettre tout ses habits.
A peine les deux filles installées, Azou annonça à sa cousine qu’elle devrait vivre nue elle aussi :
- C’est une tradition française. Annonça-t-elle en mentant effrontément.
Malou sembla gênée de se mettre nue devant moi, mais se plia à la « tradition française ».
Elle était vraiment aussi bien faite que sa cousine, bien qu’à peine plus grande. Avec mes 1m75 j’avais presque l’air d’un nain à
côté d’elles.
- Il faut que je t’avoue quelque chose. Prévint Azou à sa cousine. La maison est maraboutée, et parfois on nous jette un sortilège.
Tu devras certainement devoir faire quelque chose à ce moment là pour nous guérir.
Malou ne voyait pas trop de quoi il s’agissait, mais pour éviter le mauvais œil, elle était prête à faire ce que lui disait sa cousine.
Pour fêter l’arrivée de Malou, j’ai débouché une bouteille de Champagne. Les deux filles n’en n’avaient jamais bu, mais elles
apprécièrent immédiatement les petites bulles qui pétillaient dans leur bouche. Il fallu en ouvrir une seconde, après que la
première eut disparu en à peine cinq minutes.
Les deux filles étaient déjà bien gaies, et totalement nues toutes deux, elles commencèrent à danser ensemble tendrement
enlacées. Ce spectacle me mit immédiatement en émoi. Azou s’en aperçut après quelques minutes.
- Tu vois. Dit-elle à sa cousine en me désignant. Quelqu’un a jeté un sort au patron, tu dois vite le sauver.
Elle me fit allonger, et poussa sa cousine à m’entreprendre.
- Retires lui son short, sinon ta médecine ne marchera pas.
En état d’euphorie, Malou n’hésita pas une seconde à me mettre nu, et comme sa cousine éclata de rire, en voyant mon sexe.
Décidément, elles n’étaient pas habituées à voir le sexe d’un blanc.
Malou, sans se démonter, mis ses mains sur ma virilité, qu’elle commença à masser avec une certaine maladresse.
Azou prit la tête de Malou, et l’approcha de mon extrémité tendue, en lui disant :
- Avec ta bouche, tu iras plus vite à le soigner.
Comme l’avait fait Azou la première fois, Malou n’hésita pas à me prendre en bouche. Un peu ivre moi aussi, je mis un peu de
temps à parvenir au plaisir. Lorsque celui-ci arriva Malou n’en perdit pas une seule goutte, toujours à mon grand étonnement. Un
autre tabou qui ne devait pas exister dans la famille.
La différence avec Azou, c’est que Malou n’avait rien dit lorsque j’avais voulu la caresser intimement. Mes caresses avaient fait leur
effet, Malou était toute humide.
J’en profitai alors pour taquiner Azou.
- Tu sais, je crois que ta cousine a eut un sort elle aussi, il faudrait peut être la soigner avant qu’il ne soit trop tard.
Azou comprit le message et me demanda :
- Patron, il faut que tu la guérisses.
Un peu à l’improviste je lui lançai alors:
- Tes pouvoirs sont plus forts, il faut que ce soit toi qui la soignes, et puis je suis trop fatigué.
Une nouvelle surprise m’attendait, Azou plaqua Malou au sol et commença un massage très caressant. Je suppose que le
champagne y était pour beaucoup.
Les mains d’Azou commencèrent au niveau du cou pour descendre très rapidement. Malou, le champagne qui avait dû à elle aussi
lui embrumer l’esprit, se laissait faire passivement. Elle ne broncha pas davantage lorsque les doigts d’Azou s’insinuèrent entre
ses cuisses. Je poussai alors doucement le visage d’Azou vers le Mont de Vénus de sa cousine. Sans se démonter, elle y plaqua
sa bouche, puis sa langue. Pendant qu’elle faisait cela, pour l’encourager je la caressais amoureusement. Malou se libéra en se
tortillant dans tous les sens. Pour elle aussi, je pense que c’était son premier orgasme.
Lorsque Malou fut un peu remise, je la sommai de faire la même chose à Azou.
- Tu sais, c’est très contagieux, tu dois toi aussi guérir ta cousine avant qu’elle ne soit vraiment malade.
Elle ne semblait pas d’accord, mais après une brève explication dans leur langue entre les deux cousines, elle se résigna. Je ne
sais pas ce qu’elles purent se dire, mais cela avait été efficace.
Azou s’allongea, et Malou commença immédiatement ses caresses, non pas avec ses mains comme je m’y attendais, mais avec
sa bouche. Azou guida directement le visage de sa cousine sur ses seins. Puis, toujours en tenant la tête de Malou, elle la fit
lentement et progressivement descendre vers son bas ventre. Je pus alors voir la langue de Malou pénétrer progressivement
l’intimité de sa cousine, puis s’attaquer à son petit bouton. Azou maintenait toujours fermement la chevelure de sa cousine, en lui
imprimant la cadence qu’elle voulait. Elle ne relâcha la pression que lorsqu’elle fut pleinement rassasiée.
- Elle a plus de pouvoir que toi patron. M’annonça-t-elle après un moment.
Tout cela pour me faire comprendre qu’elle avait préféré les câlineries de sa cousine aux miennes.
Après le repas, il fut le temps d’aller dormir. Azou m’avait prévenu que l’on dormirait dans le même lit, mais chacun de son côté. Et
que si je faisais quoi que ce soit pour m’approcher, elle hurlerait si fort, que son père viendrait me couper la tête.
Autant fatigués par notre journée, que par le champagne, nous ne mîmes pas longtemps à nous endormir.
Le lendemain matin, je me réveillai le premier. Quelle ne fut pas ma surprise de voir que nous étions, Azou et moi, quasiment dans
les bras l’un de l’autre. N’osant pas bouger de peur de la réveiller, je contemplais son sourire en attendant son réveil. Elle
commença à émerger quelques minutes plus tard. En me voyant, elle me fit un grand sourire, mais en se rendant compte de notre
position, elle me cria toute une tirade dans sa langue. Je ne pense pas que ce furent des gentillesses. Comme lorsque je l’avais
surprise la première fois nue dans la douche, elle ne semblait pas pressée de quitter mes bras. Ce n’est qu’au bout d’un moment
qu’elle s’y arracha en me lançant :
- Si tu as le malheur de recommencer, je t’arrache les yeux.
Notre vie à trois continuait tranquillement. Une fois que j’étais très excité de voir Malou « guérir » sa cousine avec sa langue, je
caressai intensément et intimement Malou. Lorsque j’approchai mon sexe tendu près de ses fesses, et ne broncha pas, au
contraire elle se frotta contre moi avec plus de chaleur. Encouragé par cette invite muette, je le glissai alors entre ses cuisses, tout
contre ses lèvres intimes. Elle écarta davantage les cuisses, et le guida carrément en elle. Je fis alors des allers-retours sans
aucune retenue. Excitée par cette pénétration, elle s’activa encore plus à satisfaire Azou. Cette dernière prit son pied comme
jamais, suivie de prés par Malou. Quelques minutes plus tard, ce fut mon tour.
Au début Azou ne s’était pas rendue compte que je faisais l’amour à sa cousine, ce n’est que lorsque cette dernière se dégagea
d’elle, qu’elle vit que Malou et moi ne faisions qu’un. Je vis alors à son visage qu’elle n’était pas contente. Pour la première fois
depuis qu’elle était « à mon service », Azou me fit la tête jusqu’au soir.
Comme les vieux couples, ce n’est qu’une fois couchés, que j’ai pu avoir une explication.
- Il me semble que tu me fais la tête Azou, c’est parce que j’ai fais l’amour avec Malou ?
- Tu fais ce que tu veux patron, c’est toi le patron.
- Oui, mais je croyais qu’une employée ne devait pas coucher avec son patron.
- Malou n’est pas employée, elle est mon assistante. Me répondit-elle vexée.
Je ne voyais pas la différence entre les deux, encore une nouvelle excuse.
Le lendemain, Azou n’était plus fâchée, d’autant que nous devions partir pour son village.
A notre retour, il me sembla qu’Azou avait changée, elle était bien plus câline.
La journée se passa comme à l’habitude, c'est-à-dire avec plusieurs séances de massage et de « guérisons ». La nuit par contre,
prit un nouveau tournant.
Alors que je m’apprêtais à m’endormir bien sagement de mon côté, Azou se rapprocha petit à petit de moi, jusqu’à me grimper
carrément dessus. Je me laissais faire en attendant de voir la suite des événements. Azou se frottait maintenant sans aucune
retenue sur mon sexe. Elle fit tellement bien, que je le sentis commencer à la pénétrer lentement. Je la laissai faire jusqu’à ce que
je sois bien ancrée en elle. Je la pris par les épaules pour stopper tout mouvement de sa part et la questionnai sérieusement :
- Je croyais qu’une employée ne couchait pas avec son patron ?
Sans se démonter, elle me répondit aussitôt :
- Le marabout du village m’a dit qu’il n’y avait pas de mal, car il y avait déjà un bon moment que j’étais à ton service patron.
Encore une de ses excuses bidon. Je crois plutôt qu’elle avait été vexée que je fasse l’amour à sa cousine, et pas à elle. Je fis
semblant de croire à son explication, et l’encourageai à reprendre ses ébats. Je n’eus pas à lui répéter ma phrase.
Azou se lâcha carrément, et se mit en position verticale, tout en continuant ses mouvements de va et vient. J’en profitai pour lui
caresser les seins d’une main, et son petit bouton de l’autre. Elle prit son pied en hurlant.
Avant que sa cousine ne vienne voir ce qui se passait de si grave, elle eut le temps de me dire :
- Tu es vraiment un très bon guérisseur patron.
Maintenant j’ai deux femmes à la maison, qui ne demandent qu’à faire l’amour, oh pardon, qu’à être guéries. Et comme elles ne
sont jalouses ni l’une ni l’autre, je me demande si je tiendrai le coup encore longtemps. Heureusement qu’elles « s’auto-
guérissent » mutuellement aussi, sinon je serais mort depuis longtemps.
Si ce texte vous a plu, n’hésitez pas à m’envoyer vos avis à : azkinato@hotmail.fr , et à lire mes autres textes par Monsieur Pat.
n’avais pas de gros revenus, mais là-bas je vivais assez bien, la vie n’y est pas très chère. Mais une femme me manquait, non pas
pour le côté sexe, mais pour tout ce qu’elle pouvait faire dans une maison. A présent je pouvais m’en rendre compte, sans une
présence féminine, je me débrouillais très mal, pour les repas, le ménage, les achats courants etc…
En visitant un petit village de brousse, je fus touché par Azoulina, elle venait d’avoir 17 ans, et vivait dans un extrême dénuement,
elle et sa famille. Comme elle se débrouillait très bien pour s’occuper des siens, je proposai alors à son père de la prendre comme
employée à mon service. Elle serait rétribuée, et je l’emmènerais une fois par mois leur rendre visite. Le papa fut immédiatement
d’accord, mais je voulais qu’elle le soit de son plein gré, et non forcée de venir. Lorsque je lui expliquai quel serait son travail, elle
accepta, en émettant comme réserve qu’il n’était pas question qu’elle devienne mon 2ème bureau, c'est-à-dire ma maîtresse. Je la
rassurai immédiatement, en lui disant que si elle me trouvait trop entreprenant, ou au moindre problème, je la ramènerais
immédiatement chez les siens. C’est ainsi qu’Azoulina entra à mon service.
Les semaines passaient, et tout le monde était heureux, moi le premier car tout était en ordre chez moi, et Azoulina était une
excellente cuisinière ; et elle, tout autant que moi, car elle vivait dans un « luxe » qu’elle n’avait jamais connu, mangeait à sa faim,
et voyait sa famille chaque mois. Comme j’étais très satisfait d’elle, à chaque voyage lorsque je l’emmenais voir sa famille, je leur
offrais des petits cadeaux. Pour moi ce n’étaient pas très onéreux, mais qui pour eux, ils avaient une grande valeur pour leur bien
être. Le seul petit bémol est qu’Azou, comme je la nommais depuis un moment, continuait de m’appeler « patron ». Issu d’un
milieu plutôt ouvrier, et pas du tout colonialiste, j’avais du mal avec cette désignation. J’avais eu beau la menacer de la renvoyer,
rien n’y faisait, elle continuait dans son entêtement, si bien qu’à présent je m’y étais fait malgré moi.
Notre situation avait peu à peu évolué au fil des semaines. Il arrivait lorsqu’elle revenait de faire des achats pour la maison, qu’elle
me dise d’un air contrit :
- Patron, tu ne vas pas être content, j’ai fait une grosse bêtise.
La première fois je m’attendais à tout, mais lorsque je vis que sa bêtise était un vêtement qu’elle s’était acheté pour quelques
francs CFA, je n’osai rien lui dire. De toute façon, elle avait l’air si heureuse, que je n’aurais rien pu lui dire.
Passionné de photo, j’aimais la prendre souvent dans les tenues qu’elle venait d’acheter. Et toute fière de retour dans sa famille,
elle faisait le tour du village pour montrer à tout le monde, les belles tenues qu’elle possédait. Les gens du village l’appelaient à
présent « princesse » quand elle revenait les voir.
Plusieurs fois je lui avais demandé de poser dans les petites tenues qu’elle s’était achetées, et bien qu’elle se promène presque
tout le temps dans ces mêmes tenues à la maison, elle avait toujours refusé.
- Ce n’est pas parce que je travaille comme ça, que je suis une « patéticienne ». Disait-elle, en pensant « prostituée ».
Notre relation avait bien changé à présent, c’était elle la maîtresse de maison, et elle me faisait une scène à chaque fois que
j’invitais des amies à la maison, même si elles n’étaient que des amies.
- Tu es trop méchant patron. Avait-elle coutume de dire. Je pense qu’elle était devenue amoureuse de moi.
Le jour où tout a basculé, fût un jour où j’entrai dans la salle de bain, alors qu’elle prenait sa douche. Ce jour là, je croyais qu’elle
était sortie, aussi ce fut sans prendre la peine de frapper à la porte que j’entrai.
- Ben, faut plus te gêner patron. Me dit-elle.
Je sortis immédiatement, certainement plus gênée qu’elle.
A ce niveau, mon intrusion n’eut pas l’air de la choquer outre mesure. Elle prit bien son temps pour mettre ses mains sur ses
hanches, avant de m’houspiller, sans chercher nullement à cacher sa nudité. Je pensais qu’elle avait fait exprès de prendre sa
douche, à l’heure où j’allais habituellement dans la salle de bain.
A présent, elle évoluait dans la maison, entièrement nue du soir au matin. Je pense qu’elle n’attendait que ce prétexte pour se
montrer toujours ainsi devant moi. Il faut dire qu’elle était très bien faite, et malgré notre différence d’âge, elle ne me laissait pas
indifférent. De plus elle m’avait dit un jour, que souvent les gens se promenaient nus dans leur village sans que cela ne soit une
gêne, ils n’avaient aucun tabous avec la nudité.
Un jour qu’elle s’était montrée particulièrement aguichante, alors que je bricolais dans la maison, elle me dit :
- Quand tu auras fini ton travail patron, je te ferai un massage pour te détendre.
Un peu plus tard, elle revint à la charge :
- Viens t’allonger patron, je vais te relaxer.
C’est ainsi que je me retrouvai couché au sol, avec Azou entièrement nue sur moi, en train de me caresser partout. Naturellement,
une bosse vint vite déformer mon short. Azou fit semblant de ne rien remarquer, jusqu’à ce que ses mains n’arrivent à la hauteur
de ma taille.
- Oh là là patron. Me dit-elle. Je crois qu’on t’a jeté un sort.
- Tu as de la chance, ma grand-mère m’a transmis quelques dons de guérisseuses, je vais te soigner.
Et joignant le geste à la parole, elle plaça ses mains par-dessus mon short, directement sur mon intimité. En quelques secondes
seulement, je me libérai dans mon vêtement. Il faut dire que je n’avais pas fait l’amour depuis un bon moment, et que de voir Azou
nue tous les jours me mettait dans un état d’excitation pas possible.
- Heureusement que j’étais là patron, tu aurais pu mourir. Me dit-elle d’un air très sérieux.
Maintenant, elle avait pris l’habitude de me masser tous les soirs.
- On ne sait jamais, le sort peu revenir. Disait-elle à chaque fois.
Cette petite cérémonie quotidienne prit un nouveau tour, quelques jours plus tard.
Alors qu’elle massait ma virilité, elle décréta :
- Je crois que le sort est en train de revenir patron. Et il est beaucoup plus fort, il va falloir que j’enlève ton short, si tu veux guérir.
Cette histoire de guérison me faisait à chaque fois sourire, car elle semblait en être vraiment convaincue.
Lorsque je fus nu moi aussi, c’est elle qui éclata de rire. Lorsque je lui demandai la raison, elle me répondit :
- Pas étonnant que les blancs soient si petits, avec un tuyau réduit comme cela, il ne doit pas y avoir une dose complète pour faire
de grands bébés.
C’est vrai que dans son village, tous les adultes avaient une tête de plus que moi, et même Azou était un peu plus grande que
moi. D’autre part pour un européen, je pense qu’au niveau sexe, je devais être dans la moyenne. Mais dans son village, beaucoup
de personnes, hommes comme femmes, étaient souvent nus. Et en voyant les garçons, les blancs auraient eut l’air ridicules à
côtés d’eux.
Vexé, et pour ne pas être en reste, je lui jetai alors :
- Peut-être, mais c’est de la bonne graine.
- Je vais te dire ça tout de suite patron. Lança-t-elle alors, tout en prenant mon sexe entre ses lèvres, ne semblant attendre que ce
moment.
Je ne sais pas si elle avait déjà fait une fellation dans sa vie, mais j’y pris un plaisir immense.
Lorsqu’elle eut fini, et tout avalé à mon grand étonnement, elle annonça :
- Tu as raison patron, c’est très bon, et puis c’est un bon remède.
Je ne sus jamais pour quelle maladie, mais je pense que c’est sa grand-mère guérisseuse qui avait dû lui dire ça.
J’avais réussi à la convaincre de poser nue à présent, et c’est d’elle-même, sans que je ne la guide, qui prenait des poses de plus
en plus suggestives. Après chaque séance de pose, elle me « soignait contre les sorts ».
C’est toujours à son initiative, que de nombreuses photos d’elle, dans les poses les plus softs, ornaient les murs de la maison. Je
suppose que c’était pour montrer à mes invitées, qu’elle était plus qu’une simple employée, et pour les décourager d’essayer de
me mettre le grappin dessus.
Azou était devenue presque ma femme à présent, sauf qu’elle ne voulait pas passer les nuits avec moi. Elle dormait
systématiquement dans sa chambre.
- Une employée ne couche pas avec son patron, cela ne se fait pas patron. Avait-elle coutume de dire.
Il est vrai que moi seul avait du plaisir, elle refusait toujours que je ne lui fasse l’amour. J’avais juste le droit de lui caresser les seins
et les fesses pendant les séances de massage, je ne pouvais pas toucher son intimité.
- Ce n’est pas parce que tu es patron, que tu as tous les droits patron. Me rétorquait-t-elle lorsque j’essayais d’insinuer ma main
entre ses cuisses ou ses fesses.
J’en avais marre de ses « patron » qui ponctuaient chacune de ses phrases, mais à présent j’aurais été très mal, si j’avais dû la
renvoyer chez elle.
Un jour je lui proposai à mon tour de lui faire un massage, elle accepta assez facilement.
Lorsqu’elle fut allongée, je pris bien mon temps pour la caresser, et pour l’exciter au maximum. J’espérais qu’elle m’autoriserait à
aller plus loin. Ses seins pointaient comme jamais je ne les avais vu, et elle se tortillait dans tous les sens, excitée comme jamais.
Je crois qu’on m’a jeté un sort patron. Me dit-elle dans un râle. Je crois qu’il va falloir que tu essaies de me guérir.
J’attendais ce moment depuis longtemps. J’approchai doucement mes mains de son intimité, et là surprise, elle ne dit rien. Mes
doigts trouvèrent facilement son petit bouton, qu’ils commencèrent à taquiner avec application.
Semblant se réveiller soudainement, elle me lança :
- Je crois qu’avec ta bouche, tu serais plus efficace patron.
Je ne me le fis pas dire deux fois, et plongeai immédiatement la tête la première. Ma langue prit aussitôt la place de mes doigts, et
continua le travail commencé. Azou se cabra de plaisir très peu de temps après. Je pense que c’était la première fois de sa vie
qu’elle jouissait.
Elle mit un certain temps à reprendre ses esprits, et à me dire :
- Toi aussi tu dois avoir des talents de guérisseur patron.
Les journées passaient très vite à présent, plusieurs fois par jour nous nous « guérissions » mutuellement, elle comme moi, étions
souvent victime d’un « sort ». A ce rythme là, j’allais y laisser ma santé.
Azou semblait elle aussi être de plus en plus fatiguée de ses journées, elle me proposa alors :
- Tu sais patron, il y a de plus en plus de travail pour moi ici, tu devrais prendre une deuxième assistante pour m’aider.
C’était bien évidemment une excuse, il n’y avait pas plus de travail qu’avant. Mais Azou, sans l’avouer, devenait de plus en plus
épouse, et de moins en moins employée.
Nous nous mîmes d’accord pour recruter une autre fille, la prochaine fois que je l’emmènerais voir sa famille.
Azou fut chargée du recrutement, j’avais émis deux conditions : que la fille me plaise, et qu’elles ne parlent pas leur langage entre
elles en ma présence.
Azou avait bien essayé de m’apprendre sa langue, mais à part quelques mots courants comme bonjour, au revoir ou merci, j’y
avais renoncé.
Azou me présenta sa cousine Malounidazata, qui me plus immédiatement. Aussi grande et aussi belles l’une que l’autre.
De retour à la maison, il y eut un petit problème, il n’y avait qu’une seule chambre pour les deux filles. Azou refusa
catégoriquement que Malounidazata ne couche avec elle :
- Si c’était ma sœur, il n’y aurait eu aucun problème patron, mais c’est ma cousine, et on n’a pas le droit.
Tiens mon œil, pas le droit. Dans son village, il n’y avait pas de chambre pour tout le monde, seulement une case pour toute une
famille. Et ça m’étonnerait que des cousines ne viennent pas « en vacances » l’une chez l’autre. C’était une nouvelle excuse
d’Azou, comme j’en avais l’habitude. Lorsqu’elle ne voulait pas quelque chose, ou au contraire qu’elle voulait quelque chose de
bien précis, elle trouvait une excuse toujours bidon.
Je proposai alors :
- Bon ce n’est pas grave, Malou dormira dans ma chambre. Je l’appelais ainsi, car son prénom était trop long, et je n’étais pas sûr
de bien le prononcer.
- Tu n’y penses pas patron, que vont dire les gens du village. Répliqua de suite Azou.
Les gens du village étaient à plusieurs centaines de kilomètres, je ne pense pas qu’ils sachent comment nous vivions.
- Tant pis patron, je dormirai dans ta chambre. Proposa de suite Azou. Mais je te rappelle qu’une employée ne couche pas avec
son patron.
Je voyais mieux à présent où elle voulait en venir avec son histoire de cousine qui ne dorment pas ensemble : une autre excuse.
L’affaire fut entendue, et Azou ne mit pas longtemps à mettre ses affaires dans ma chambre. Le lendemain nous irions acheter
une armoire pour y mettre tout ses habits.
A peine les deux filles installées, Azou annonça à sa cousine qu’elle devrait vivre nue elle aussi :
- C’est une tradition française. Annonça-t-elle en mentant effrontément.
Malou sembla gênée de se mettre nue devant moi, mais se plia à la « tradition française ».
Elle était vraiment aussi bien faite que sa cousine, bien qu’à peine plus grande. Avec mes 1m75 j’avais presque l’air d’un nain à
côté d’elles.
- Il faut que je t’avoue quelque chose. Prévint Azou à sa cousine. La maison est maraboutée, et parfois on nous jette un sortilège.
Tu devras certainement devoir faire quelque chose à ce moment là pour nous guérir.
Malou ne voyait pas trop de quoi il s’agissait, mais pour éviter le mauvais œil, elle était prête à faire ce que lui disait sa cousine.
Pour fêter l’arrivée de Malou, j’ai débouché une bouteille de Champagne. Les deux filles n’en n’avaient jamais bu, mais elles
apprécièrent immédiatement les petites bulles qui pétillaient dans leur bouche. Il fallu en ouvrir une seconde, après que la
première eut disparu en à peine cinq minutes.
Les deux filles étaient déjà bien gaies, et totalement nues toutes deux, elles commencèrent à danser ensemble tendrement
enlacées. Ce spectacle me mit immédiatement en émoi. Azou s’en aperçut après quelques minutes.
- Tu vois. Dit-elle à sa cousine en me désignant. Quelqu’un a jeté un sort au patron, tu dois vite le sauver.
Elle me fit allonger, et poussa sa cousine à m’entreprendre.
- Retires lui son short, sinon ta médecine ne marchera pas.
En état d’euphorie, Malou n’hésita pas une seconde à me mettre nu, et comme sa cousine éclata de rire, en voyant mon sexe.
Décidément, elles n’étaient pas habituées à voir le sexe d’un blanc.
Malou, sans se démonter, mis ses mains sur ma virilité, qu’elle commença à masser avec une certaine maladresse.
Azou prit la tête de Malou, et l’approcha de mon extrémité tendue, en lui disant :
- Avec ta bouche, tu iras plus vite à le soigner.
Comme l’avait fait Azou la première fois, Malou n’hésita pas à me prendre en bouche. Un peu ivre moi aussi, je mis un peu de
temps à parvenir au plaisir. Lorsque celui-ci arriva Malou n’en perdit pas une seule goutte, toujours à mon grand étonnement. Un
autre tabou qui ne devait pas exister dans la famille.
La différence avec Azou, c’est que Malou n’avait rien dit lorsque j’avais voulu la caresser intimement. Mes caresses avaient fait leur
effet, Malou était toute humide.
J’en profitai alors pour taquiner Azou.
- Tu sais, je crois que ta cousine a eut un sort elle aussi, il faudrait peut être la soigner avant qu’il ne soit trop tard.
Azou comprit le message et me demanda :
- Patron, il faut que tu la guérisses.
Un peu à l’improviste je lui lançai alors:
- Tes pouvoirs sont plus forts, il faut que ce soit toi qui la soignes, et puis je suis trop fatigué.
Une nouvelle surprise m’attendait, Azou plaqua Malou au sol et commença un massage très caressant. Je suppose que le
champagne y était pour beaucoup.
Les mains d’Azou commencèrent au niveau du cou pour descendre très rapidement. Malou, le champagne qui avait dû à elle aussi
lui embrumer l’esprit, se laissait faire passivement. Elle ne broncha pas davantage lorsque les doigts d’Azou s’insinuèrent entre
ses cuisses. Je poussai alors doucement le visage d’Azou vers le Mont de Vénus de sa cousine. Sans se démonter, elle y plaqua
sa bouche, puis sa langue. Pendant qu’elle faisait cela, pour l’encourager je la caressais amoureusement. Malou se libéra en se
tortillant dans tous les sens. Pour elle aussi, je pense que c’était son premier orgasme.
Lorsque Malou fut un peu remise, je la sommai de faire la même chose à Azou.
- Tu sais, c’est très contagieux, tu dois toi aussi guérir ta cousine avant qu’elle ne soit vraiment malade.
Elle ne semblait pas d’accord, mais après une brève explication dans leur langue entre les deux cousines, elle se résigna. Je ne
sais pas ce qu’elles purent se dire, mais cela avait été efficace.
Azou s’allongea, et Malou commença immédiatement ses caresses, non pas avec ses mains comme je m’y attendais, mais avec
sa bouche. Azou guida directement le visage de sa cousine sur ses seins. Puis, toujours en tenant la tête de Malou, elle la fit
lentement et progressivement descendre vers son bas ventre. Je pus alors voir la langue de Malou pénétrer progressivement
l’intimité de sa cousine, puis s’attaquer à son petit bouton. Azou maintenait toujours fermement la chevelure de sa cousine, en lui
imprimant la cadence qu’elle voulait. Elle ne relâcha la pression que lorsqu’elle fut pleinement rassasiée.
- Elle a plus de pouvoir que toi patron. M’annonça-t-elle après un moment.
Tout cela pour me faire comprendre qu’elle avait préféré les câlineries de sa cousine aux miennes.
Après le repas, il fut le temps d’aller dormir. Azou m’avait prévenu que l’on dormirait dans le même lit, mais chacun de son côté. Et
que si je faisais quoi que ce soit pour m’approcher, elle hurlerait si fort, que son père viendrait me couper la tête.
Autant fatigués par notre journée, que par le champagne, nous ne mîmes pas longtemps à nous endormir.
Le lendemain matin, je me réveillai le premier. Quelle ne fut pas ma surprise de voir que nous étions, Azou et moi, quasiment dans
les bras l’un de l’autre. N’osant pas bouger de peur de la réveiller, je contemplais son sourire en attendant son réveil. Elle
commença à émerger quelques minutes plus tard. En me voyant, elle me fit un grand sourire, mais en se rendant compte de notre
position, elle me cria toute une tirade dans sa langue. Je ne pense pas que ce furent des gentillesses. Comme lorsque je l’avais
surprise la première fois nue dans la douche, elle ne semblait pas pressée de quitter mes bras. Ce n’est qu’au bout d’un moment
qu’elle s’y arracha en me lançant :
- Si tu as le malheur de recommencer, je t’arrache les yeux.
Notre vie à trois continuait tranquillement. Une fois que j’étais très excité de voir Malou « guérir » sa cousine avec sa langue, je
caressai intensément et intimement Malou. Lorsque j’approchai mon sexe tendu près de ses fesses, et ne broncha pas, au
contraire elle se frotta contre moi avec plus de chaleur. Encouragé par cette invite muette, je le glissai alors entre ses cuisses, tout
contre ses lèvres intimes. Elle écarta davantage les cuisses, et le guida carrément en elle. Je fis alors des allers-retours sans
aucune retenue. Excitée par cette pénétration, elle s’activa encore plus à satisfaire Azou. Cette dernière prit son pied comme
jamais, suivie de prés par Malou. Quelques minutes plus tard, ce fut mon tour.
Au début Azou ne s’était pas rendue compte que je faisais l’amour à sa cousine, ce n’est que lorsque cette dernière se dégagea
d’elle, qu’elle vit que Malou et moi ne faisions qu’un. Je vis alors à son visage qu’elle n’était pas contente. Pour la première fois
depuis qu’elle était « à mon service », Azou me fit la tête jusqu’au soir.
Comme les vieux couples, ce n’est qu’une fois couchés, que j’ai pu avoir une explication.
- Il me semble que tu me fais la tête Azou, c’est parce que j’ai fais l’amour avec Malou ?
- Tu fais ce que tu veux patron, c’est toi le patron.
- Oui, mais je croyais qu’une employée ne devait pas coucher avec son patron.
- Malou n’est pas employée, elle est mon assistante. Me répondit-elle vexée.
Je ne voyais pas la différence entre les deux, encore une nouvelle excuse.
Le lendemain, Azou n’était plus fâchée, d’autant que nous devions partir pour son village.
A notre retour, il me sembla qu’Azou avait changée, elle était bien plus câline.
La journée se passa comme à l’habitude, c'est-à-dire avec plusieurs séances de massage et de « guérisons ». La nuit par contre,
prit un nouveau tournant.
Alors que je m’apprêtais à m’endormir bien sagement de mon côté, Azou se rapprocha petit à petit de moi, jusqu’à me grimper
carrément dessus. Je me laissais faire en attendant de voir la suite des événements. Azou se frottait maintenant sans aucune
retenue sur mon sexe. Elle fit tellement bien, que je le sentis commencer à la pénétrer lentement. Je la laissai faire jusqu’à ce que
je sois bien ancrée en elle. Je la pris par les épaules pour stopper tout mouvement de sa part et la questionnai sérieusement :
- Je croyais qu’une employée ne couchait pas avec son patron ?
Sans se démonter, elle me répondit aussitôt :
- Le marabout du village m’a dit qu’il n’y avait pas de mal, car il y avait déjà un bon moment que j’étais à ton service patron.
Encore une de ses excuses bidon. Je crois plutôt qu’elle avait été vexée que je fasse l’amour à sa cousine, et pas à elle. Je fis
semblant de croire à son explication, et l’encourageai à reprendre ses ébats. Je n’eus pas à lui répéter ma phrase.
Azou se lâcha carrément, et se mit en position verticale, tout en continuant ses mouvements de va et vient. J’en profitai pour lui
caresser les seins d’une main, et son petit bouton de l’autre. Elle prit son pied en hurlant.
Avant que sa cousine ne vienne voir ce qui se passait de si grave, elle eut le temps de me dire :
- Tu es vraiment un très bon guérisseur patron.
Maintenant j’ai deux femmes à la maison, qui ne demandent qu’à faire l’amour, oh pardon, qu’à être guéries. Et comme elles ne
sont jalouses ni l’une ni l’autre, je me demande si je tiendrai le coup encore longtemps. Heureusement qu’elles « s’auto-
guérissent » mutuellement aussi, sinon je serais mort depuis longtemps.
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