TANYA Chapitre 9
Récit érotique écrit par Azkinato [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-02-2012 dans la catégorie Dominants et dominés
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TANYA Chapitre 9
Chapitre 9 : Tanya et Stella s’installent chez moi.
Après nos petites péripéties avec les voisins, le week-end se passa calmement pour nous trois. Les filles reprirent leurs petites habitudes en me vouvoyant, et en étant aux petits soins pour moi.
Comme c’était devenu une habitude à présent, Tanya vint me voir le jeudi. Suivant le rituel établi, elle se présenta nue à ma porte, mais je remarquai sur son visage que quelque chose n’allait pas bien. Je la questionnai immédiatement :
- Qu’est-ce qui ne va pas ? Tu as l’air toute bizarre.
Elle prit un peu de temps avant de me répondre :
- Depuis que j’ai fait votre connaissance, je me suis aperçue que j’ai très peu pensé à mon chéri. Je crois que je n’étais pas si amoureuse de lui que je ne le pensais.
Elle reprit son souffle pour enchainer :
- Et puis, comme vous me l’avez dit tout au début, je suis sûre que ma sexualité avec lui va me paraître bien fade à présent. J’aime trop ce que je vis avec vous, et je ne veux pas revenir en arrière.
Elle s’arrêta quelques secondes avant de poursuivre :- J’ai écris une dernière lettre à mon chéri, pour lui annoncer que je rompais avec lui. Il doit rentrer bientôt, et je ne peux plus vivre avec lui. Je dois rechercher un autre appartement pour lui laisser le sien libre.
Comme j’avais trouvé une perle rare, et que ces deux dernières semaines s’étaient très bien passées, je lui proposai :
- Si tu veux, tu peux t’installer ici chez moi.
Elle me sauta au cou, en me remerciant de nombreuses fois, et en me faisant plein de bisous partout sur le visage. Elle ne s’attendait pas à une telle proposition de ma part, je lui avais toujours dit que j’aimais bien ma solitude.
Après ce court moment fort en intensité, je constatai qu’il y avait encore autre chose qui la chagrinait :
- Il y a encore autre chose qui te tracasse.
C’était plus une affirmation, qu’une question.
Gênée, elle m’annonça alors :
- Stella a du mal avec son petit salaire pour payer son loyer, nous devions prendre un appartement ensemble, je ne peux pas la laisser tomber.
Une perle rare c’était magnifique, mais deux ensembles c’était presque inespéré.
J’avais plusieurs chambres de libres dans ma maison, mais je voulais qu’elles couchent ensemble, au propre comme au figuré. La plus grande chambre inoccupée les ravirait.
Je voulais la taquiner un peu, je pris un air sérieux pour lui annoncer:
- Une fille chez moi, c’est déjà beaucoup, alors deux !!!
Je vis qu’elle était un peu déçue, je ne la fis pas attendre plus longtemps
- Ca serait mieux. Elle pourrait peut-être s’installer ici aussi.
Cette fois, Tanya se permit une privauté, qu’elle ne s’était jamais permis jusqu’à présent. Elle me sauta une nouvelle fois au cou, mais cette fois elle m’embrassa torridement sur les lèvres, en se plaquant tout contre moi.
Elle me remerciant de nouveau mille fois, en me disant que je ne le regretterais pas.
Je repris vite mes sens pour lui annoncer :
- C’est d’accord pour toutes les deux, mais ce que tu viens de faire est intolérable.
Tu mérites une fessée.
Je m’installai sur une chaise, en lui demandant de venir chercher sa punition.
Ce fut l’occasion d’un nouveau petit jeu sexuel.
Elle se coucha immédiatement en travers de mes genoux, les pieds d’un côté, et le haut du corps de l’autre.
Si mes premières frappes laissèrent quelques traces légèrement rosées sur ses fesses, les suivantes ressemblaient plus à des caresses. Je glissai un doigt entre cuisses ouvertes à la recherche de son petit bouton, pendant que l’autre continuait la supposée « punition ».
Je pus constater, qu’elle était déjà toute humide d’excitation, décidément elle avait la soumission dans le sang. Je continuai quelques secondes, avant de la prendre alors dans mes bras et de la porter jusqu’à ma chambre. C’était la première fois qu’elle y pénétrait. Après l’avoir déposée doucement sur le lit, je me déshabillai lentement en la regardant. Elle comprit immédiatement que cette séance serait bien différente des autres.
Après m’être allongé sur elle tendrement sur elle, je l’embrassai aussi passionnément qu’elle l’avait fait l’instant d’avant. Puis, je fis courir ma langue sur tout son corps, passant beaucoup de temps sur sa poitrine. Une fois celle-ci bien dure, je continuai mon exploration jusqu’à son minou. Celui-ci ne m’avait jamais paru aussi humide. Ma langue experte savait comment s’y prendre pour torturer avec finesse son clitoris. Aussi, je ne fus pas surpris qu’elle ne résiste guère longtemps, et bruyamment à son assaut. Et là ce n’était pas le cinéma sonore qu’elle avait fait pour Denis, elle n’avait joui comme jamais.
Je la pris ensuite de nouveau dans mes bras, et la fit tourner pour qu’elle se retrouve à son tour allongée sur moi. Comprenant ce que je désirais, elle commença de petits mouvements de bas en haut, en frottant son intimité sur la mienne. Elle se releva ensuite, écarta ses cuisses, et s’enficha sur ma virilité. Ses mouvements la firent à présent osciller de haut en bas, et de bas en haut. Elle contracta au maximum ses lèvres, maintenant mon sexe dans un fourreau étroit et doux. Cette fois, ce fut moi qui n’opposai guère longtemps de résistance à ses compétences.
Pour cette première pénétration « normale » entre nous, moi seul eut du plaisir. Elle se releva, et pour faire bonne mesure, me prit dans sa bouche pour me nettoyer au mieux.
Je pris quelques secondes pour l’admirer pendant qu’elle terminait, avant de lui dire :
- Si on allait annoncer la bonne nouvelle à Stella.
Elle descendit rapidement du lit, pour courir mettre ses vêtements, restés devant la porte.
Lorsque nous ne fûmes qu’à quelques mètres du magasin, en y apercevant Stella seule, elle se mit à cavaler vers elle pour se jeter dans ses bras.
- Nous nous installons chez Joshua. Lui annonça-t-elle comme une grande nouvelle qui allait révolutionner le monde.
Cette dernière eut un grand sourire, puis les deux filles s’embrassèrent passionnément sur la bouche. Leur baiser de joie n’était pas simulé, et dura un certain temps.
Heureusement que personne ne passait dans les environs.
Je les mis tout de même en garde :
- Je vous prends à l’essai un mois, vous dormirez ensemble dans la grande chambre, cela ne changera en rien nos relation, et je ne veux pas que cela perturbe mes habitudes.
Elles furent d’accord pour tout, et promirent d’être très discrètes pour ne pas me déranger. Il fut décidé qu’elles s’installeraient chez moi, dés le week-end à venir.
Je raccompagnai Tanya chez elle, pour qu’elle commence à faire le nécessaire.
Le lendemain soir, j’eus la surprise de voir Sonia me rendre visite.
Etonné par sa visite, je la fis entrer.
- Je suis venu te remercier, pour ce que toi, Tanya et Stella avez fait pour moi. Je ne vous remercierez jamais assez pour cela. Je n’ai jamais été aussi heureuse avec « toutou Denis ».
Cette appellation de Denis venant de sa part me fit sourire. Elle continua.
- Je m’en veux terriblement pour ce que j’avais dit à Tanya à la boite aux lettres, et je ne sais pas comment me faire pardonner.
Je lui annonçai alors, que ce que les filles lui avaient dit tenait toujours : « Qu’elle avait une dette envers nous, et que pour la payer, elle devrait revenir nous voir chaque fois qu’on la solliciterait. »
Puis, je lui expliquai les changements à venir :
- Tanya et Stella vont venir s’installer chez moi. Chaque fois que nous te réclamerons, tu devras venir sans délais. Quand tu viendras nous voir, tu devras toujours te présenter nue, et nous vouvoyer. Pour moi, ce sera Monsieur, et pour elles Maîtresse Tanya, et Maîtresse Stella. Et tu devras toujours faire ce que nous te demanderons. C’est bien compris ?
- Oui Monsieur. Répondit-elle en se déshabillant.
Je lui fis comprendre que je voulais une petite amabilité buccale, et qu’elle pourrait rentrer chez elle ensuite.
Elle répondit favorablement à ma sollicitation, en s’appliquant à me donner beaucoup de plaisir. Puis elle reprit ses habits, et se dirigea toujours nue vers son pavillon.
Encore une qui avait bien compris sa place.
L’installation des deux filles se fit rapidement. Tanya débarqua chez moi avec seulement deux grosses valises. Pour Stella ce fut un peu différent. Comme elle avait déjà un appartement, en fait un petit studio, elle avait quelques meubles à déménager.
Elle m’avait téléphoné la veille pour me demander mon avis. Je lui avais répondu qu’elle pourrait les amener ici, et qu’on les rangerait dans le hangar qui me servait de fourre tout.
Un ami était passé avec sa camionnette, et avait tout embarqué en un seul voyage.
Comme mon ami médecin, il serait remercié à sa juste valeur.
Les règles de vie changèrent quelques peu mes habitudes. Mes deux nouvelles compagnes promirent de tout s’occuper à la maison : rangement, nettoyage, lessive, etc… Je serais comme un coq en pâte.
Pour le reste, leur attitude envers moi serait la même. Elles vivraient nues à la maison, sauf lors de leurs petites périodes spécifiques aux filles, ou quand je recevrais des amis qui n’étaient pas au courant de mes tendances sexuelles.
Si le besoin s’en faisait sentir, je ferais une petite mise aux points avec elles.
Par l’intermédiaire d’un ami qui connaissait la patronne de Stella, je lui demandai qu’il intervienne auprès d’elle, pour que Stella puisse avoir ses jeudis. Il me promit de faire le nécessaire, et de me tenir au courant. Si cela se faisait, c’était un de plus, que les filles devraient remercier bientôt.
L’avenir ne s’annonçait pas si mal pour moi.
Après nos petites péripéties avec les voisins, le week-end se passa calmement pour nous trois. Les filles reprirent leurs petites habitudes en me vouvoyant, et en étant aux petits soins pour moi.
Comme c’était devenu une habitude à présent, Tanya vint me voir le jeudi. Suivant le rituel établi, elle se présenta nue à ma porte, mais je remarquai sur son visage que quelque chose n’allait pas bien. Je la questionnai immédiatement :
- Qu’est-ce qui ne va pas ? Tu as l’air toute bizarre.
Elle prit un peu de temps avant de me répondre :
- Depuis que j’ai fait votre connaissance, je me suis aperçue que j’ai très peu pensé à mon chéri. Je crois que je n’étais pas si amoureuse de lui que je ne le pensais.
Elle reprit son souffle pour enchainer :
- Et puis, comme vous me l’avez dit tout au début, je suis sûre que ma sexualité avec lui va me paraître bien fade à présent. J’aime trop ce que je vis avec vous, et je ne veux pas revenir en arrière.
Elle s’arrêta quelques secondes avant de poursuivre :- J’ai écris une dernière lettre à mon chéri, pour lui annoncer que je rompais avec lui. Il doit rentrer bientôt, et je ne peux plus vivre avec lui. Je dois rechercher un autre appartement pour lui laisser le sien libre.
Comme j’avais trouvé une perle rare, et que ces deux dernières semaines s’étaient très bien passées, je lui proposai :
- Si tu veux, tu peux t’installer ici chez moi.
Elle me sauta au cou, en me remerciant de nombreuses fois, et en me faisant plein de bisous partout sur le visage. Elle ne s’attendait pas à une telle proposition de ma part, je lui avais toujours dit que j’aimais bien ma solitude.
Après ce court moment fort en intensité, je constatai qu’il y avait encore autre chose qui la chagrinait :
- Il y a encore autre chose qui te tracasse.
C’était plus une affirmation, qu’une question.
Gênée, elle m’annonça alors :
- Stella a du mal avec son petit salaire pour payer son loyer, nous devions prendre un appartement ensemble, je ne peux pas la laisser tomber.
Une perle rare c’était magnifique, mais deux ensembles c’était presque inespéré.
J’avais plusieurs chambres de libres dans ma maison, mais je voulais qu’elles couchent ensemble, au propre comme au figuré. La plus grande chambre inoccupée les ravirait.
Je voulais la taquiner un peu, je pris un air sérieux pour lui annoncer:
- Une fille chez moi, c’est déjà beaucoup, alors deux !!!
Je vis qu’elle était un peu déçue, je ne la fis pas attendre plus longtemps
- Ca serait mieux. Elle pourrait peut-être s’installer ici aussi.
Cette fois, Tanya se permit une privauté, qu’elle ne s’était jamais permis jusqu’à présent. Elle me sauta une nouvelle fois au cou, mais cette fois elle m’embrassa torridement sur les lèvres, en se plaquant tout contre moi.
Elle me remerciant de nouveau mille fois, en me disant que je ne le regretterais pas.
Je repris vite mes sens pour lui annoncer :
- C’est d’accord pour toutes les deux, mais ce que tu viens de faire est intolérable.
Tu mérites une fessée.
Je m’installai sur une chaise, en lui demandant de venir chercher sa punition.
Ce fut l’occasion d’un nouveau petit jeu sexuel.
Elle se coucha immédiatement en travers de mes genoux, les pieds d’un côté, et le haut du corps de l’autre.
Si mes premières frappes laissèrent quelques traces légèrement rosées sur ses fesses, les suivantes ressemblaient plus à des caresses. Je glissai un doigt entre cuisses ouvertes à la recherche de son petit bouton, pendant que l’autre continuait la supposée « punition ».
Je pus constater, qu’elle était déjà toute humide d’excitation, décidément elle avait la soumission dans le sang. Je continuai quelques secondes, avant de la prendre alors dans mes bras et de la porter jusqu’à ma chambre. C’était la première fois qu’elle y pénétrait. Après l’avoir déposée doucement sur le lit, je me déshabillai lentement en la regardant. Elle comprit immédiatement que cette séance serait bien différente des autres.
Après m’être allongé sur elle tendrement sur elle, je l’embrassai aussi passionnément qu’elle l’avait fait l’instant d’avant. Puis, je fis courir ma langue sur tout son corps, passant beaucoup de temps sur sa poitrine. Une fois celle-ci bien dure, je continuai mon exploration jusqu’à son minou. Celui-ci ne m’avait jamais paru aussi humide. Ma langue experte savait comment s’y prendre pour torturer avec finesse son clitoris. Aussi, je ne fus pas surpris qu’elle ne résiste guère longtemps, et bruyamment à son assaut. Et là ce n’était pas le cinéma sonore qu’elle avait fait pour Denis, elle n’avait joui comme jamais.
Je la pris ensuite de nouveau dans mes bras, et la fit tourner pour qu’elle se retrouve à son tour allongée sur moi. Comprenant ce que je désirais, elle commença de petits mouvements de bas en haut, en frottant son intimité sur la mienne. Elle se releva ensuite, écarta ses cuisses, et s’enficha sur ma virilité. Ses mouvements la firent à présent osciller de haut en bas, et de bas en haut. Elle contracta au maximum ses lèvres, maintenant mon sexe dans un fourreau étroit et doux. Cette fois, ce fut moi qui n’opposai guère longtemps de résistance à ses compétences.
Pour cette première pénétration « normale » entre nous, moi seul eut du plaisir. Elle se releva, et pour faire bonne mesure, me prit dans sa bouche pour me nettoyer au mieux.
Je pris quelques secondes pour l’admirer pendant qu’elle terminait, avant de lui dire :
- Si on allait annoncer la bonne nouvelle à Stella.
Elle descendit rapidement du lit, pour courir mettre ses vêtements, restés devant la porte.
Lorsque nous ne fûmes qu’à quelques mètres du magasin, en y apercevant Stella seule, elle se mit à cavaler vers elle pour se jeter dans ses bras.
- Nous nous installons chez Joshua. Lui annonça-t-elle comme une grande nouvelle qui allait révolutionner le monde.
Cette dernière eut un grand sourire, puis les deux filles s’embrassèrent passionnément sur la bouche. Leur baiser de joie n’était pas simulé, et dura un certain temps.
Heureusement que personne ne passait dans les environs.
Je les mis tout de même en garde :
- Je vous prends à l’essai un mois, vous dormirez ensemble dans la grande chambre, cela ne changera en rien nos relation, et je ne veux pas que cela perturbe mes habitudes.
Elles furent d’accord pour tout, et promirent d’être très discrètes pour ne pas me déranger. Il fut décidé qu’elles s’installeraient chez moi, dés le week-end à venir.
Je raccompagnai Tanya chez elle, pour qu’elle commence à faire le nécessaire.
Le lendemain soir, j’eus la surprise de voir Sonia me rendre visite.
Etonné par sa visite, je la fis entrer.
- Je suis venu te remercier, pour ce que toi, Tanya et Stella avez fait pour moi. Je ne vous remercierez jamais assez pour cela. Je n’ai jamais été aussi heureuse avec « toutou Denis ».
Cette appellation de Denis venant de sa part me fit sourire. Elle continua.
- Je m’en veux terriblement pour ce que j’avais dit à Tanya à la boite aux lettres, et je ne sais pas comment me faire pardonner.
Je lui annonçai alors, que ce que les filles lui avaient dit tenait toujours : « Qu’elle avait une dette envers nous, et que pour la payer, elle devrait revenir nous voir chaque fois qu’on la solliciterait. »
Puis, je lui expliquai les changements à venir :
- Tanya et Stella vont venir s’installer chez moi. Chaque fois que nous te réclamerons, tu devras venir sans délais. Quand tu viendras nous voir, tu devras toujours te présenter nue, et nous vouvoyer. Pour moi, ce sera Monsieur, et pour elles Maîtresse Tanya, et Maîtresse Stella. Et tu devras toujours faire ce que nous te demanderons. C’est bien compris ?
- Oui Monsieur. Répondit-elle en se déshabillant.
Je lui fis comprendre que je voulais une petite amabilité buccale, et qu’elle pourrait rentrer chez elle ensuite.
Elle répondit favorablement à ma sollicitation, en s’appliquant à me donner beaucoup de plaisir. Puis elle reprit ses habits, et se dirigea toujours nue vers son pavillon.
Encore une qui avait bien compris sa place.
L’installation des deux filles se fit rapidement. Tanya débarqua chez moi avec seulement deux grosses valises. Pour Stella ce fut un peu différent. Comme elle avait déjà un appartement, en fait un petit studio, elle avait quelques meubles à déménager.
Elle m’avait téléphoné la veille pour me demander mon avis. Je lui avais répondu qu’elle pourrait les amener ici, et qu’on les rangerait dans le hangar qui me servait de fourre tout.
Un ami était passé avec sa camionnette, et avait tout embarqué en un seul voyage.
Comme mon ami médecin, il serait remercié à sa juste valeur.
Les règles de vie changèrent quelques peu mes habitudes. Mes deux nouvelles compagnes promirent de tout s’occuper à la maison : rangement, nettoyage, lessive, etc… Je serais comme un coq en pâte.
Pour le reste, leur attitude envers moi serait la même. Elles vivraient nues à la maison, sauf lors de leurs petites périodes spécifiques aux filles, ou quand je recevrais des amis qui n’étaient pas au courant de mes tendances sexuelles.
Si le besoin s’en faisait sentir, je ferais une petite mise aux points avec elles.
Par l’intermédiaire d’un ami qui connaissait la patronne de Stella, je lui demandai qu’il intervienne auprès d’elle, pour que Stella puisse avoir ses jeudis. Il me promit de faire le nécessaire, et de me tenir au courant. Si cela se faisait, c’était un de plus, que les filles devraient remercier bientôt.
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