Bain à Deux
Récit érotique écrit par Thomas Hugh [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-08-2008 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Bain à Deux
<p> BAIN a Deux
Par Bernard Hung
C'était un après-midi en plein été. La chaleur dans notre studio était étouffante car il n'y avait pas de climatiseur, seulement un ventilateur électrique de faible puissance. Ainsi, il nous était impossible de faire la sieste comme d'habitude. Nous nous tournions et retournions sans cesse sur un lit de bois vermoulu malgré le peu de vêtements qui restaient sur nos deux corps nus : un mince caleçon pour moi et un soutif plus un G-string pour ma femme.
_Lève-toi, chérie ! Va prendre ton bain avec moi pour nous rafraîchir et initier un nouveau jeu de sexe. Je lui tapotais légèrement les fesses rondelettes et chuchotais voluptueusement à son oreille en chatouillant son sexe.
_Oh non! La salle de bain est trop étroite pour qu'on se baigne ensemble.
_Pas de problème ! On se pelotonne et ça nous donne plus de jouissance.
_Mais je crains que nos voisins dans la chambre d'à coté ne nous espionnent et ça leur procurait un sujet de moquerie parmi les locataires des huit familles dans cet immeuble.
_Mais qu'importe ! Nous agissons avec prudence et observons d'ailleurs un silence absolu.Vas-y, ma chérie !
L'objection spontanée de ma femme est bien fondée parce que notre lieu de bain en ces temps-là n'était qu'une extension bâtie illégalement à l'arrière de notre logement et mesurait en tout quatre mètres carres. Il empiétait sur le terrain d'une petite cour séparant notre chambre d'une cuisine et d'un garage habité par quatre personnes. Pour cette raison, on ne pouvait avoir aucune vie privée dans ce bâtiment et nous étions constamment en garde contre des oreilles indiscrètes.
Néanmoins, en dépit de cette situation peu commode, je donnais à mon épouse une forte et sensuelle embrassade pour l'inciter à ce bain érotique. Se sentant quelque peu excitée par l'air chaud et fatigant (nous vivions dans un pays asiatique), elle ôtait sans un mot son soutien-gorge tandis que moi je me hâtais de sortir ma bite et tirais en même temps le G-string de ma femme pour la mettre à poil. Puis, main en main et pieds nus, nous entrâmes dans notre piètre"salle de bains" dénuée de tout le nécessaire de toilette : sans baignoire, ni douche, ni lavabo, ni cuvette...
*************
La vue de ma partenaire sexuelle avec des seins saillants et des charmes exposes d'une manière provocant me fait bander. En pleine érection, ma queue durcit et atteint sa dimension maximale. A l'état nu, sans caleçon ni slip, elle dresse d'une manière agressive en se balançant compulsivement, prête à s'enfoncer dans la fente de ma femme. Naturellement, à peine entré dans la petite chambre, je l'étreints dans mes bras en collant fortement mes lèvres sur les siennes ; je presse ses gros nichons contre ma poitrine et appuie mon sexe et mes couilles sur sa chatte. Nos deux corps nus sont voluptueusement entrelacés avec les bras de l'un serrant fermement le dos de l'autre. Aux pieds nus, ma femme doit se tenir sur la pointe des pieds pour rapprocher son con de mon pénis avec sa langue remuant sans cesse dans un patin amoureux. Cela m'a tellement excité que je soulève d'un bond ses fesses charnues pour une meilleure friction vulve-verge. Puis je "tourne la page" pour qu'elle s'adosse à ma poitrine, en proie à mes attouchements sadiques : j'empoigne ses seins nus avec les deux mains en les pelotant, palpant et même dévorant, touche son sexe et son nombril, caresse son mont de Venus potelé, pince ses fesses arrondies et enfin, de son fion, je glisse mon gland à sa fente remplie de mouille. Ses grandes lèvres sont sensiblement gonflées et un peu raidies sous l'impulsion d'une grande excitation. En effet, elle dandine légèrement ses fesses d'un air rêveur comme pour twister mais soudain, elle s'arrête net et me dit d'une voix très basse :
_Eh bien ! C'est assez ! On se baigne donc !
Je ne réponds pas mais lui mordille un lobe de l'oreille. Je m'appuie sur son épaule pour la faire asseoir avec moi sur le sol cimenté. Se tenant face à face, jambes écartées, nous versons écope après écope d'eau froide contenue dans une jarre sur nos corps nus. Les couleurs scintillantes des bulles de savon et les gouttes d'eau ruisselant sur sa peau fine et blanche semblent grossir sa poitrine ferme et hautement perchée comme l'engorgement des seins dans un implant siliconique. Ca me donne une forte envie de baise, j'attrape alors ses roberts à deux mains pour les malaxer, tirer en longueur et compresser. En me penchant, je tends ma bouche vers ses bouts de seins endurcis par l'eau froide pour les lécher et sucer savoureusement avec ma langue, mes lèvres et ma salive abondante. En réponse à ce comportement grossier, ma femme réagit presque instinctivement en saisissant mon bâton pour caresser son gland et le faire balancer comme un jouet dans sa main. Elle lui donne une ou deux secousses puis tâtonne mes couilles avec ses doigts d'une manière érotique. Jambes écartées pour me laisser voir son entrecuisse, elle me demande de faire de même.Tenant ma queue d'une main, elle la frotte de haut en bas sur sa vulve et la dirige vers son clito couvert de mouille. Sur ce, je ne puis m'empêcher de l'enfiler mais seulement après deux ou trois petits mouvements de va-et vient je m'empresse de retirer mon membre par crainte d'éjaculation.
_Attends, chéri ! dit-elle, me coupant le courant de mes idées pornographiques. Gratte-moi le dos avec de l'eau et du savon.
Encore enivré du goût charnel qui fait apparemment monter mon sperme, je suis prompt à me conformer aux désirs de mon épouse. C'est justement une bonne occasion pour me donner le maximum de plaisir charnel en variant le jeu sexuel : je gratte, frotte et lave le dos de ma femme en explorant les coins intimes de sa chair fine et blanche, allant du cou au dos jusqu'a son cul, puis en sens inverse : remonter les hanches pour frictionner son bas-ventre, ses cuisses, son chat et enfin ses deux mamelles. Dans une pulsion sexuelle, ma bite se relève et essaie de pénétrer encore une fois le triangle de Bermudes. Cette tentative se ferait aisément avec ses grandes lèvres gonflées et visiblement ouvertes, son clicli déjà en érection. Je sens même des contractions occasionnelles dans ses profondeurs humides mais elle s'oppose gentiment à mon élan:
_Mais non! Pas de baise pour le moment !
Je comprends bien qu'elle n'aime pas les rapports en position de levrette, surtout dans ce piètre lieu de bain. Je déconne donc non sans regret et termine volontairement notre bain quelques minutes plus tard.Toutefois, avec mon bâton encore dandinant de volupté, je demande à ma femme de lui aider à sécher son corps avec une grande serviette. J'en profite l'occasion pour m'attarder aux alentours de ses totoches, ses hanches et ses parties génitales. Je donne un bruyant baiser aux bouts de ses nénés, hume avidement l'odeur parfumée de sa peau et me mets à genoux sur le sol cimenté pour l'aider à mettre son cache-sexe. Je tourne mes lèvres vers sa chatte pour donner un dernier baiser à son mont de Venus garni de poils noirs, très fins et légèrement humides...
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Par Bernard Hung
C'était un après-midi en plein été. La chaleur dans notre studio était étouffante car il n'y avait pas de climatiseur, seulement un ventilateur électrique de faible puissance. Ainsi, il nous était impossible de faire la sieste comme d'habitude. Nous nous tournions et retournions sans cesse sur un lit de bois vermoulu malgré le peu de vêtements qui restaient sur nos deux corps nus : un mince caleçon pour moi et un soutif plus un G-string pour ma femme.
_Lève-toi, chérie ! Va prendre ton bain avec moi pour nous rafraîchir et initier un nouveau jeu de sexe. Je lui tapotais légèrement les fesses rondelettes et chuchotais voluptueusement à son oreille en chatouillant son sexe.
_Oh non! La salle de bain est trop étroite pour qu'on se baigne ensemble.
_Pas de problème ! On se pelotonne et ça nous donne plus de jouissance.
_Mais je crains que nos voisins dans la chambre d'à coté ne nous espionnent et ça leur procurait un sujet de moquerie parmi les locataires des huit familles dans cet immeuble.
_Mais qu'importe ! Nous agissons avec prudence et observons d'ailleurs un silence absolu.Vas-y, ma chérie !
L'objection spontanée de ma femme est bien fondée parce que notre lieu de bain en ces temps-là n'était qu'une extension bâtie illégalement à l'arrière de notre logement et mesurait en tout quatre mètres carres. Il empiétait sur le terrain d'une petite cour séparant notre chambre d'une cuisine et d'un garage habité par quatre personnes. Pour cette raison, on ne pouvait avoir aucune vie privée dans ce bâtiment et nous étions constamment en garde contre des oreilles indiscrètes.
Néanmoins, en dépit de cette situation peu commode, je donnais à mon épouse une forte et sensuelle embrassade pour l'inciter à ce bain érotique. Se sentant quelque peu excitée par l'air chaud et fatigant (nous vivions dans un pays asiatique), elle ôtait sans un mot son soutien-gorge tandis que moi je me hâtais de sortir ma bite et tirais en même temps le G-string de ma femme pour la mettre à poil. Puis, main en main et pieds nus, nous entrâmes dans notre piètre"salle de bains" dénuée de tout le nécessaire de toilette : sans baignoire, ni douche, ni lavabo, ni cuvette...
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La vue de ma partenaire sexuelle avec des seins saillants et des charmes exposes d'une manière provocant me fait bander. En pleine érection, ma queue durcit et atteint sa dimension maximale. A l'état nu, sans caleçon ni slip, elle dresse d'une manière agressive en se balançant compulsivement, prête à s'enfoncer dans la fente de ma femme. Naturellement, à peine entré dans la petite chambre, je l'étreints dans mes bras en collant fortement mes lèvres sur les siennes ; je presse ses gros nichons contre ma poitrine et appuie mon sexe et mes couilles sur sa chatte. Nos deux corps nus sont voluptueusement entrelacés avec les bras de l'un serrant fermement le dos de l'autre. Aux pieds nus, ma femme doit se tenir sur la pointe des pieds pour rapprocher son con de mon pénis avec sa langue remuant sans cesse dans un patin amoureux. Cela m'a tellement excité que je soulève d'un bond ses fesses charnues pour une meilleure friction vulve-verge. Puis je "tourne la page" pour qu'elle s'adosse à ma poitrine, en proie à mes attouchements sadiques : j'empoigne ses seins nus avec les deux mains en les pelotant, palpant et même dévorant, touche son sexe et son nombril, caresse son mont de Venus potelé, pince ses fesses arrondies et enfin, de son fion, je glisse mon gland à sa fente remplie de mouille. Ses grandes lèvres sont sensiblement gonflées et un peu raidies sous l'impulsion d'une grande excitation. En effet, elle dandine légèrement ses fesses d'un air rêveur comme pour twister mais soudain, elle s'arrête net et me dit d'une voix très basse :
_Eh bien ! C'est assez ! On se baigne donc !
Je ne réponds pas mais lui mordille un lobe de l'oreille. Je m'appuie sur son épaule pour la faire asseoir avec moi sur le sol cimenté. Se tenant face à face, jambes écartées, nous versons écope après écope d'eau froide contenue dans une jarre sur nos corps nus. Les couleurs scintillantes des bulles de savon et les gouttes d'eau ruisselant sur sa peau fine et blanche semblent grossir sa poitrine ferme et hautement perchée comme l'engorgement des seins dans un implant siliconique. Ca me donne une forte envie de baise, j'attrape alors ses roberts à deux mains pour les malaxer, tirer en longueur et compresser. En me penchant, je tends ma bouche vers ses bouts de seins endurcis par l'eau froide pour les lécher et sucer savoureusement avec ma langue, mes lèvres et ma salive abondante. En réponse à ce comportement grossier, ma femme réagit presque instinctivement en saisissant mon bâton pour caresser son gland et le faire balancer comme un jouet dans sa main. Elle lui donne une ou deux secousses puis tâtonne mes couilles avec ses doigts d'une manière érotique. Jambes écartées pour me laisser voir son entrecuisse, elle me demande de faire de même.Tenant ma queue d'une main, elle la frotte de haut en bas sur sa vulve et la dirige vers son clito couvert de mouille. Sur ce, je ne puis m'empêcher de l'enfiler mais seulement après deux ou trois petits mouvements de va-et vient je m'empresse de retirer mon membre par crainte d'éjaculation.
_Attends, chéri ! dit-elle, me coupant le courant de mes idées pornographiques. Gratte-moi le dos avec de l'eau et du savon.
Encore enivré du goût charnel qui fait apparemment monter mon sperme, je suis prompt à me conformer aux désirs de mon épouse. C'est justement une bonne occasion pour me donner le maximum de plaisir charnel en variant le jeu sexuel : je gratte, frotte et lave le dos de ma femme en explorant les coins intimes de sa chair fine et blanche, allant du cou au dos jusqu'a son cul, puis en sens inverse : remonter les hanches pour frictionner son bas-ventre, ses cuisses, son chat et enfin ses deux mamelles. Dans une pulsion sexuelle, ma bite se relève et essaie de pénétrer encore une fois le triangle de Bermudes. Cette tentative se ferait aisément avec ses grandes lèvres gonflées et visiblement ouvertes, son clicli déjà en érection. Je sens même des contractions occasionnelles dans ses profondeurs humides mais elle s'oppose gentiment à mon élan:
_Mais non! Pas de baise pour le moment !
Je comprends bien qu'elle n'aime pas les rapports en position de levrette, surtout dans ce piètre lieu de bain. Je déconne donc non sans regret et termine volontairement notre bain quelques minutes plus tard.Toutefois, avec mon bâton encore dandinant de volupté, je demande à ma femme de lui aider à sécher son corps avec une grande serviette. J'en profite l'occasion pour m'attarder aux alentours de ses totoches, ses hanches et ses parties génitales. Je donne un bruyant baiser aux bouts de ses nénés, hume avidement l'odeur parfumée de sa peau et me mets à genoux sur le sol cimenté pour l'aider à mettre son cache-sexe. Je tourne mes lèvres vers sa chatte pour donner un dernier baiser à son mont de Venus garni de poils noirs, très fins et légèrement humides...
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