Baise à l'hôtel

- Par l'auteur HDS Xtorien -
Récit érotique écrit par Xtorien [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Baise à l'hôtel Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-01-2011 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Baise à l'hôtel
J'avais rencontré Christine sur un site de tchat. Après deux mois de discutions via msn et nos webcams, nous nous sommes décidés à nous rencontrer.
Nous connaissions mutuellement nos fantasmes. J'allai la rencontrer dans une grande gare de Paris. Puis nous nous dirigeames directement à l'hôtel où
j'avais réservé un chambre. Nous savions pourquoi nous devions nous rencontrer. Pour baiser comme nous l'avions imaginé lors de nos discutions très chaudes.

Pendant que nous baisons, j'eus l'idée de réaliser un des fantasmes de Christine. Elle avait le fantasme d'être exhibée et en jouir.
Nous avions la chance d'avoir une chambre avec un vis-à-vis avec un immeuble en face. J'ai tiré sur les rideaux pour laisser une vue
étroite suffisante pour que l'on voit ce qui se passe dans la chambre. Aussitôt Christine se posta en levrette sur le lit, le cul face à la fenêtre. Je la sentais très excitée dans cette posture. Au bout de 20 minutes, nous vîmes un homme à sa fenêtre dans l'immeuble en face.
Il avait l'air de regarder dans notre direction. Et moi, aussitôt, je me suis appliqué à caresser les larges fesses de Christine en me décalant sur le côté afin d'en faire profiter l'individu en face. Et je dis à Christine : "Ca t’excite de savoir que le mec en face de mâte, hein !!
- Oh oui, ça m'excite. Continue à me caresser comme ça.
- Mets toi là, bien dans l’axe afin qu’il voit bien ton cul de grosse salope.
Christine aimait que je lui parle ainsi lorsque nous tchations. Elle commençait à geindre en se cambrant. L'autre en face, avait l'air de ne plus vouloir quitter sa fenêtre.
On aurait dit qu'il ne tenait plus en place. Nous devinions qu'il se branlait.
"Ouh la la p'tain, comment tu mouilles dis donc! P’tain, t’es tellement mouillée que je pourrais te glisser au moins quatre doigts. Hmmmm cochoooonne.
Tu m’fous une trique d’enfer. Vise moi ça. T’as vu ma queue comme elle est bandée ? Je vais te prendre comme une jument, tu vas voir!!!
Maintenant, il n'y avait plus d'équivoque sur celui d'en face. Pour sur qu'il se branlait. comme un fou.
"Attend voir. Ouais, c’est ça, remue ton cul, ouiiiii comme ça j’aime ça. Et l'autre va aimer ça aussi. Fais lui voir que t'aimes la queue et qu'une seconde ne serait pas de trop."
Le branleur d’en face me fait des signes de la main. J'ai cru comprendre qu’il voulait voir ma grosse bite noire avant que je la mette à Christine.
J'empoigne ma bite, la masturbe et me poste derrière le cul de Christine et la lui fourre. Christine se cambre, le cul offert à ma bite.
"Oooh ouiiii vas y baise moi comme une grosse
C'est comme ça que nous avions imaginé notre rencontre. Bien hard. Et là, je la traitais comme elle le souhaitait.
Le voyeur quand il voit ma bite, il accélère sa branlette. Christine tourne la tête pour le voir en action.
"Ca t’excite que je t’exhibe devant un autre. Un inconnu en plus"
Elle mouillait abondamment. Je lui mis une tape sur son large cul en demande. Puis j’empoigne ma bite et la lui tapote dessus.
Je la faisais languir. Elle avait encore envie que je la pine devant l’inconnu. Qu’il voit bien comment je la traite à grands coups de queue sans que lui puisse y participer.
N’en pouvant plus, elle me dit:
« Allez, vas y, baise moi. Fous la moi ta grosse queue, salaud.
"Je suis ta salope, fais moi c’que tu veux mais surtout baise moi»
- Allez, cambre toi mieux que ça. Ecarte les cuisses. Je veux te sentir comme une chienne en manque de bite. Ouiiiii comme ça. L’autre en face à l’air d’aimer ça, en tout cas.»
Je me poste derrière Elle. Bien en appui sur mes jambes fléchies. Je prends ma bite à plein main, vise la fente toute gluante, frotte mon gland à l’entrée de sa chatte. Elle commence à espérer. Elle remue du cul. Lui dis : «Tiens, prends ça, tu le sens comme ça glisse, hein, salope, tiens prend la entière»
Je fais en sorte que le mateur puisse bien voir ma queue noire qui glisse dans la chatte blanche. L’enculé, je vois que ça l’excite, car il se cambre et se branle de plus en plus vite. Il s’accroche d’une main à la poignée de sa fenêtre et de l’autre se branle, la bouche entrouverte.
Je pine Christine à tout va. Elle sent mes couilles tapoter sa chatte. Elle me les saisit par en dessous et m’encourage comme une affamée.
«Ooooh Ouiiiiiii continue, continue, ouiiiii encooore baise moi». Je sens mes couilles prisonnières de sa main. Elle tire dessus pour m’obliger à lui mettre de grands coups de bite. Je grimace. Je lui écarte le cul pour mater sa rondelle toute striée.
Je lui réponds : « Oooooh ouiiiiii salope, tiens, lâche moi les couilles, tu vas me faire jouir. Je veux te baiser longtemps encore. Lâche, lâche mes couilles je te dis»
Je lui empoigne les cheveux et tire dessus pour que qu'elle comprenne. Elle finit par lâcher. Elle se caresse le clito violemment en même temps qu'elle sent glisser ma queue dans sa chatte. Ca clapote, tellement qu'elle mouille, la salope. Je fais tomber un long filet de salive directement sur sa rondelle qui palpite sous mes yeux. Puis m’en enduis l’index et lentement, lui doigte l’anus. Je la baise comme elle en rêvait dans ses fantasmes. En plus, à la vue d’un voyeur. Dans un hôtel à Paris. Je la pine sans ménagement en proférant des propos crus qui font raidir ma queue. Dès fois ça glisse à côté. Je la lui remets aussitôt. Elle remonte le cul pour bien l’accueillir. Elle sens la buttée bien profond dans sa chatte. Au comble de l’excitation procurée par son imagination, je la sens se contracter, se raidir. Elle râle comme une truie et tétanisée par la jouissance. Elle sent tout l’intérieur de sa chatte palpiter comme un mollusque. Elle s’abandonne aux assauts de ma queue défonceuse et s’effondre sur le lit.

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