Baise à la marocaine
Récit érotique écrit par Hdemarrakech [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-03-2004 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Baise à la marocaine
J'adorerais raser ta vulve, Adeline, tout doucement évidemment, en commençant par les grandes lèvres... le pourtour de l'anus ensuite.
J'imagine déjà ta petite fleur s'ouvrant vers moi, comme une invite aux caresses et à la pénétration. Tu te saisis de ma queue. Je suis déjà dur. Tu m'attires vers ta chatte en haletant, comme un animal essoufflé. Ta poitrine se gonfle, parée de deux tétons érigés.
Tu me décalottes d'une main ferme, cette fois je suis complètement nu... Mon gland touche l'entrée de ton sexe, c'est tellement chaud... Pas encore. Je veux goûter et sentir ta mouillure d'abord. Tu es trempée, ouverte, très impudique comme ça, sur le dos les jambes écartées, les genoux relevés, avec pour seul habit ton pubis luisant.
Maintenant, je te bouffe le cul, la bouche grande ouverte sur ton sexe, léchant comme un fou ton jus. Ta chatte sent fort... j'adore ça... Elle sent la femelle excitée. La preuve, tu me montres ton clitoris, en écartant son capuchon. Il est gonflé et luisant de salive. Je lui fais subir les pires sévices pendant de longues minutes. Je crois qu'on va bien s'entendre tous les deux.
Je me relève, je bande mais je veux encore te regarder nue. Plus que nue, tu es offerte, je peux vraiment voir comment tu es faite. Partout... A l'intérieur... Les plus profonds replis de ta chatte humide n'ont maintenant plus aucun secret pour moi.
Tu m'attires vers toi en m'attrapant la queue, ton regard planté dans mes yeux. Et d'un coup de poignet, tu te la plantes profondément dans le ventre, comme une épée de chair. J'ai l'impression qu'une flamme me lèche le gland. Ta chatte est un cratère de lave en fusion. Je contracte mes couilles pour durcir ma queue un peu plus encore. Tu sors ta langue, cherchant l'oxygène, le souffle comme coupé. Je te donne un violent coup de rein, le gland toujours prêt à exploser, injecté de sang, les artères battantes.
Maintenant, je te remplis, je sens ton vagin se contracter sur moi, ses spasmes puissants et réguliers tentant de me vider les couilles de leur foutre brûlant... La sueur perle sur tes seins...
Les femmes disent entre elles, que pour réellement posséder entièrement un homme, il faut l'avoir sucé, masturbé, maintenu au bord de la jouissance jusqu'à lui faire perdre connaissance, et enfin avoir bu son foutre, jusqu'aux dernières gouttes. Tu es ma femelle, je suis ton mâle, je te sailli, tu m'engloutis.
Soudain tu te cabres et m'expulses, me laissant le membre luisant de tes jus, orphelin de son fourreau. De ta main tu le décalottes avant de le serrer très fort à la base. Tu le contemples ainsi, tendu à l'extrême, avant de le prendre dans ta bouche et enfin de le traire littéralement. De la salive épaisse roule dans ta bouche autour de ma queue, tu me pompes, tu t'étouffes, tu tousses mais ne cesses pour autant de m'engloutir, jusqu'à la garde parfois. Pendant ce temps, tes mains me pétrissent les couilles avec brutalité. Tu les fais rouler l'une contre l'autre entre tes doigts serrés. Habile guerrière, tu en isoles une dans ta paume pour mieux la torturer. Elle est malaxée, pétrie, étirée avec force. Une chappe de béton envahit mon bas-ventre. Tous ces sévices m'arrachent de la gorge des grognements, mélanges de douleur et de plaisir extrêmes.
Tu t'écartes pour contempler ton oeuvre... Tes glaires me coulent sur les couilles. Elles portent la trace de tes ongles...
Elles reposent maintenant dans la paume de ta main, je me sens extraordinairement vulnérable comme ça... Tu me rassures en les flattant de petits coups de langue amoureux. Pourtant, un éclair dans tes yeux et déjà ton pouce et ton index, réunis en un anneau, m'enserrent les couilles fermement. La pression de ta main se fait de plus en plus forte, l'étreinte se resserre autour de moi. J'ai l'impression que la peau de mes couilles va rompre, je t'implore d'arrêter, tu sers plus fort encore. Mes testicules vont bientôt exploser entre tes doigts.
Sentant la limite proche, tu ouvres ta main. Elles sont écarlates, gonflées, sensibles à l'extrême. Tu en gobes une tout à coup, puis l'autre. Tu tires dessus avec force, je m'évanouis presque, tu la relâches brutalement. Un coup de fouet me dévaste les reins et je décharge enfin. Onze traits de lumière dans l'ombre de ta bouche, bus les uns après les autres, avidement. Tu es une bonne baiseuse. Tu as avalé tout mon foutre, petite salope. Tu es ma petite chienne en chaleur! Ma belle buveuse de foutre! Ma videuse de couilles attitrée. Ce soir tu n'es qu'excitation, désir, ton sexe te dicte ta conduite.
J'aurai ma revanche tout à l'heure!
Tu te mets à quatre pattes devant moi, la croupe offerte. Je ne t'ai jamais vu la chatte aussi humide. Comme un chien en rut, je te renifle le cul. On ne pourra jamais trouver les mots pour décrire fidèlement le parfum intime d'une femme, mélange de senteurs musquées, d'embruns iodés. A ma demande, tu ne t'es pas lavé le sexe depuis 2 jours. Tu sens la femme négligée et cela m'excite beaucoup.
Je te demande de t'allonger sur le dos et d'écarter les jambes. Tu t'exécutes. Tu écartes tes lèvres en même temps que tes cuisses. Ta chatte exhale ainsi pleinement son parfum musqué. Je te lèche... L'urine et la mouillure se mélangent dans ma bouche, ma langue se promène avidement sur les replis parfumés et luisants de ton anus. J'y enfonce un doigt, puis deux, puis trois, les remue à l'intérieur furieusement. Le conduit est bien huilé. L'odeur est encore plus forte, là, entre tes fesses. Plus tard je te prendrai le cul, quand ton vagin m'aura lassé par trop de douceurs.
Pour l'heure, je frotte mon gland nu sur ta vulve béante et ruisselante, de haut en bas, lentement, comme pour éprouver ta patience, attendant que tu me supplies avant de daigner t'enfiler comme tu le mérites, ma petite chienne en chaleur!
Tu te relèves sur les coudes afin de profiter du spectacle. De deux doigts tu écartes les pétales de ta vulve. Ton clitoris se dresse devant moi. Il est rouge sang, dégagé de tout fourreau, luisant de mouille.
« Regardes-le, dis-tu, il est tout sorti! »
Ta candeur finit de me rendre fou complètement. Je me jette sur ton sexe et le lèche furieusement, tu es trempée et ça sent la chatte. Je sors mon visage d'entre tes jambes quelques secondes pour me repaître de la vue de ta vulve. La teinte rassurante des grandes lèvres, le rouge intense du clitoris et du vagin, les délicats ourlets qui décorent les petites lèvres, autant de détails qui signent les grandes oeuvres. Mon majeur ressort de ta chatte huilé d'un liquide visqueux et odorant. Je te fais sentir mon doigt, avant de le lécher. C'est salé, ennivrant !
Je t'attrape par les chevilles, je t'enfile, mon gland trouve facilement son passage dans ta chatte détrempée. Tu te cabres, les reins prêts à recevoir mon assaut, la saillie peut commencer. Verge à l'équerre, je pousse en toi furieusement. Ta vulve accueille chacun de mes coups de reins par des petits bruits de succion. Je sens mes couilles lourdes frapper tes lèvres gonflées. Tes jambes enserrent mes reins, comme pour me forcer à te prendre plus profondément encore, jusqu'à la garde, jusqu'aux couilles. Tu veux m'engloutir complètement, une façon de montrer ta fierté de petite femelle en chaleur, un exutoire à tes fantasmes de castration. Mais à ce moment précis, j'en suis sûr, tu m'aimes entier, muni de mes couilles, de ma queue dressée, que tu fais disparaître maintenant totalement dans ton ventre. Je te laboure le ventre comme une brute, frappant à chaque poussée le fond de ta chatte. Je te lime comme tu aimes, en puissance. Je ralentis mes aller-retours pour sortir presque de toi, puis pousse violemment, d'un coup de rein rapide, faisant claquer mes hanches contre tes fesses.
« Ne bouges plus, me souffles-tu »
Tu me souris et commence à faire rouler tes reins, clouées sur ma queue dressée. Mon sexe est labouré par les puissants muscles de ta chatte. Tu me pétris ainsi le gland consciencieusement, concentrée sur chacun de tes mouvements, menée par ton instinct ancestral. Je te sens excitée et chaude, prête à tout. Tu contractes fortement ta chatte autour de ma queue. Je sais ce que tu veux. C'est très clair pour moi. Ce petit jeu, nous l'avons souvent pratiqué, toi et moi. Tu aimes que je pousse mon sexe en toi, puis le retires, puis le pousse, puis le retires, encore et encore, pendant que de ton côté, tu résistes à mes mouvements par la seule action des muscles de ta chatte. J'attrape ma queue à pleine main, en décalotte le gland, qui bientôt se gonfle de sang. Je la glisse en toi complètement. Au moment où tu commences à assurer ta prise, un bruit de succion s'échappe de ton vagin, en même temps qu'un filet de mouillure coule sur mes couilles. Je décide cette fois de me retirer d'un coup sec. La surprise provoque en toi, alors que tu me serrais de toutes tes forces, une série de violentes contractions. J'assiste en parfait voyeur à ton orgasme. Tu es jambes écartées devant moi, les pétales de ta vulve ondulant régulièrement, drainant par petites poussées un petit ruisseau de jus odorant. contacter moi si voulez vous pratiquer mesdames
J'imagine déjà ta petite fleur s'ouvrant vers moi, comme une invite aux caresses et à la pénétration. Tu te saisis de ma queue. Je suis déjà dur. Tu m'attires vers ta chatte en haletant, comme un animal essoufflé. Ta poitrine se gonfle, parée de deux tétons érigés.
Tu me décalottes d'une main ferme, cette fois je suis complètement nu... Mon gland touche l'entrée de ton sexe, c'est tellement chaud... Pas encore. Je veux goûter et sentir ta mouillure d'abord. Tu es trempée, ouverte, très impudique comme ça, sur le dos les jambes écartées, les genoux relevés, avec pour seul habit ton pubis luisant.
Maintenant, je te bouffe le cul, la bouche grande ouverte sur ton sexe, léchant comme un fou ton jus. Ta chatte sent fort... j'adore ça... Elle sent la femelle excitée. La preuve, tu me montres ton clitoris, en écartant son capuchon. Il est gonflé et luisant de salive. Je lui fais subir les pires sévices pendant de longues minutes. Je crois qu'on va bien s'entendre tous les deux.
Je me relève, je bande mais je veux encore te regarder nue. Plus que nue, tu es offerte, je peux vraiment voir comment tu es faite. Partout... A l'intérieur... Les plus profonds replis de ta chatte humide n'ont maintenant plus aucun secret pour moi.
Tu m'attires vers toi en m'attrapant la queue, ton regard planté dans mes yeux. Et d'un coup de poignet, tu te la plantes profondément dans le ventre, comme une épée de chair. J'ai l'impression qu'une flamme me lèche le gland. Ta chatte est un cratère de lave en fusion. Je contracte mes couilles pour durcir ma queue un peu plus encore. Tu sors ta langue, cherchant l'oxygène, le souffle comme coupé. Je te donne un violent coup de rein, le gland toujours prêt à exploser, injecté de sang, les artères battantes.
Maintenant, je te remplis, je sens ton vagin se contracter sur moi, ses spasmes puissants et réguliers tentant de me vider les couilles de leur foutre brûlant... La sueur perle sur tes seins...
Les femmes disent entre elles, que pour réellement posséder entièrement un homme, il faut l'avoir sucé, masturbé, maintenu au bord de la jouissance jusqu'à lui faire perdre connaissance, et enfin avoir bu son foutre, jusqu'aux dernières gouttes. Tu es ma femelle, je suis ton mâle, je te sailli, tu m'engloutis.
Soudain tu te cabres et m'expulses, me laissant le membre luisant de tes jus, orphelin de son fourreau. De ta main tu le décalottes avant de le serrer très fort à la base. Tu le contemples ainsi, tendu à l'extrême, avant de le prendre dans ta bouche et enfin de le traire littéralement. De la salive épaisse roule dans ta bouche autour de ma queue, tu me pompes, tu t'étouffes, tu tousses mais ne cesses pour autant de m'engloutir, jusqu'à la garde parfois. Pendant ce temps, tes mains me pétrissent les couilles avec brutalité. Tu les fais rouler l'une contre l'autre entre tes doigts serrés. Habile guerrière, tu en isoles une dans ta paume pour mieux la torturer. Elle est malaxée, pétrie, étirée avec force. Une chappe de béton envahit mon bas-ventre. Tous ces sévices m'arrachent de la gorge des grognements, mélanges de douleur et de plaisir extrêmes.
Tu t'écartes pour contempler ton oeuvre... Tes glaires me coulent sur les couilles. Elles portent la trace de tes ongles...
Elles reposent maintenant dans la paume de ta main, je me sens extraordinairement vulnérable comme ça... Tu me rassures en les flattant de petits coups de langue amoureux. Pourtant, un éclair dans tes yeux et déjà ton pouce et ton index, réunis en un anneau, m'enserrent les couilles fermement. La pression de ta main se fait de plus en plus forte, l'étreinte se resserre autour de moi. J'ai l'impression que la peau de mes couilles va rompre, je t'implore d'arrêter, tu sers plus fort encore. Mes testicules vont bientôt exploser entre tes doigts.
Sentant la limite proche, tu ouvres ta main. Elles sont écarlates, gonflées, sensibles à l'extrême. Tu en gobes une tout à coup, puis l'autre. Tu tires dessus avec force, je m'évanouis presque, tu la relâches brutalement. Un coup de fouet me dévaste les reins et je décharge enfin. Onze traits de lumière dans l'ombre de ta bouche, bus les uns après les autres, avidement. Tu es une bonne baiseuse. Tu as avalé tout mon foutre, petite salope. Tu es ma petite chienne en chaleur! Ma belle buveuse de foutre! Ma videuse de couilles attitrée. Ce soir tu n'es qu'excitation, désir, ton sexe te dicte ta conduite.
J'aurai ma revanche tout à l'heure!
Tu te mets à quatre pattes devant moi, la croupe offerte. Je ne t'ai jamais vu la chatte aussi humide. Comme un chien en rut, je te renifle le cul. On ne pourra jamais trouver les mots pour décrire fidèlement le parfum intime d'une femme, mélange de senteurs musquées, d'embruns iodés. A ma demande, tu ne t'es pas lavé le sexe depuis 2 jours. Tu sens la femme négligée et cela m'excite beaucoup.
Je te demande de t'allonger sur le dos et d'écarter les jambes. Tu t'exécutes. Tu écartes tes lèvres en même temps que tes cuisses. Ta chatte exhale ainsi pleinement son parfum musqué. Je te lèche... L'urine et la mouillure se mélangent dans ma bouche, ma langue se promène avidement sur les replis parfumés et luisants de ton anus. J'y enfonce un doigt, puis deux, puis trois, les remue à l'intérieur furieusement. Le conduit est bien huilé. L'odeur est encore plus forte, là, entre tes fesses. Plus tard je te prendrai le cul, quand ton vagin m'aura lassé par trop de douceurs.
Pour l'heure, je frotte mon gland nu sur ta vulve béante et ruisselante, de haut en bas, lentement, comme pour éprouver ta patience, attendant que tu me supplies avant de daigner t'enfiler comme tu le mérites, ma petite chienne en chaleur!
Tu te relèves sur les coudes afin de profiter du spectacle. De deux doigts tu écartes les pétales de ta vulve. Ton clitoris se dresse devant moi. Il est rouge sang, dégagé de tout fourreau, luisant de mouille.
« Regardes-le, dis-tu, il est tout sorti! »
Ta candeur finit de me rendre fou complètement. Je me jette sur ton sexe et le lèche furieusement, tu es trempée et ça sent la chatte. Je sors mon visage d'entre tes jambes quelques secondes pour me repaître de la vue de ta vulve. La teinte rassurante des grandes lèvres, le rouge intense du clitoris et du vagin, les délicats ourlets qui décorent les petites lèvres, autant de détails qui signent les grandes oeuvres. Mon majeur ressort de ta chatte huilé d'un liquide visqueux et odorant. Je te fais sentir mon doigt, avant de le lécher. C'est salé, ennivrant !
Je t'attrape par les chevilles, je t'enfile, mon gland trouve facilement son passage dans ta chatte détrempée. Tu te cabres, les reins prêts à recevoir mon assaut, la saillie peut commencer. Verge à l'équerre, je pousse en toi furieusement. Ta vulve accueille chacun de mes coups de reins par des petits bruits de succion. Je sens mes couilles lourdes frapper tes lèvres gonflées. Tes jambes enserrent mes reins, comme pour me forcer à te prendre plus profondément encore, jusqu'à la garde, jusqu'aux couilles. Tu veux m'engloutir complètement, une façon de montrer ta fierté de petite femelle en chaleur, un exutoire à tes fantasmes de castration. Mais à ce moment précis, j'en suis sûr, tu m'aimes entier, muni de mes couilles, de ma queue dressée, que tu fais disparaître maintenant totalement dans ton ventre. Je te laboure le ventre comme une brute, frappant à chaque poussée le fond de ta chatte. Je te lime comme tu aimes, en puissance. Je ralentis mes aller-retours pour sortir presque de toi, puis pousse violemment, d'un coup de rein rapide, faisant claquer mes hanches contre tes fesses.
« Ne bouges plus, me souffles-tu »
Tu me souris et commence à faire rouler tes reins, clouées sur ma queue dressée. Mon sexe est labouré par les puissants muscles de ta chatte. Tu me pétris ainsi le gland consciencieusement, concentrée sur chacun de tes mouvements, menée par ton instinct ancestral. Je te sens excitée et chaude, prête à tout. Tu contractes fortement ta chatte autour de ma queue. Je sais ce que tu veux. C'est très clair pour moi. Ce petit jeu, nous l'avons souvent pratiqué, toi et moi. Tu aimes que je pousse mon sexe en toi, puis le retires, puis le pousse, puis le retires, encore et encore, pendant que de ton côté, tu résistes à mes mouvements par la seule action des muscles de ta chatte. J'attrape ma queue à pleine main, en décalotte le gland, qui bientôt se gonfle de sang. Je la glisse en toi complètement. Au moment où tu commences à assurer ta prise, un bruit de succion s'échappe de ton vagin, en même temps qu'un filet de mouillure coule sur mes couilles. Je décide cette fois de me retirer d'un coup sec. La surprise provoque en toi, alors que tu me serrais de toutes tes forces, une série de violentes contractions. J'assiste en parfait voyeur à ton orgasme. Tu es jambes écartées devant moi, les pétales de ta vulve ondulant régulièrement, drainant par petites poussées un petit ruisseau de jus odorant. contacter moi si voulez vous pratiquer mesdames
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