Baise à trois
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-01-2015 dans la catégorie Plus on est
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Baise à trois
Je ne sais trop pourquoi, sinon pour me débarrasser d'un fardeau que j'ai avoué à Arlette que je me donnais souvent du plaisir dans mon lit. Pour moi c'était une faute. Elle ne riait en me disant que je voyais des erreurs là où j'avais trouvé du plaisir. Elle aussi se masturbait souvent.
Ainsi, presque tous les matins nous nous racontions comment nous avions pris du plaisir chacune de notre côté.
Un dimanche après midi, en nous baladant en ville, nous nous somme assises dans un square, sur un banc. Inévitablement nous avons encore abordé le problème, pour moi, de mes caresses isolées.
Pour Arlette, il était normal de chercher du plaisir là où nous en trouvions. Nous avions eu les bons réflexes en nous caressant l'une et l'autre au même endroit. Mais elle ajoutait quelle en trouvait un peu plus bas, sur son anus. Elle m'expliquait quelle se caressait le bord avant d'entrer deux doigts profondément. Il lui tardait d'avoir un amant qui lui mettrait la bite en elle à cet endroit.
Et un jour, elle me disait qu'enfin elle s'était fait mettre par une belle queue assez grosse, d'abord par devant puis, sur sa demande par derrière. Elle avait beaucoup apprécié d'être sodomisée.
J'insistais pour que son amant me prenne aussi, devant elle.
Demander à un homme de baiser une autre femme est facile, surtout si l'amante le prévient qu'elle sera là pour surveiller qu'il baise bien.
Nous nous sommes retrouvé à trois chez elle, dans sa chambre, elle déjà nue, lui presque nu qui la léchait et moi, idiote qui ne savait que faire.
C'est encore une fois Arlette qui me forçait presque à me donner à son amant qui était d'accord.
J'ai pu prendre la bite que je voyais pour la première fois dans ma main pour le masturber (ça, je savais le faire). Mais c'est elle qui m'a forcé à me coucher, écarter les cuisses, me donner entièrement à son amoureux.
Il m'a donné sa bouche et sa langue. Quel bonheur de sentir cette langue venir dans tous les endroits sensible de mon sexe et même de mon cul. Arlette ne se gênait pas pour prendre la queue de son amant dans la bouche. J'avais dans l'idée que c'est elle qui me léchait le con, chose que je désirais sans le dire. Elle se tournait un peu, mettait son compas sur ma bouche. Je pouvais à mon tour la sentir frémir avec mes lèvres.
Nous nous sommes arrêter un peu pour respirer. Mais Arlette voulais que nous jouissions seules devant son mec. Au début, elle a commencé à me branler en attendant que moi aussi je touche son sexe mouillé. Je l'ai branlée aussi puis, nous nous sommes mises en 69.
Nous avons oublié son amant pour ne faire l'amour qu'entre filles. Je ne léchais pas son sexe, je buvais sa liqueur, mais c'est quand même elle qui prenant la direction de notre déviance. Elle était sur moi, sa bouche penchée sur mon sexe, la langue dedans, au moins au début. Je la sentais venir sur l'anus. Là, je permettais à mes amants de mettre leur queue profonde, elle y mettait sa langue dedans.
Je sortais ma langue de son sexe pour faire ce qu'elle me faisait. Pour la première fois de ma vie je posais ma langue sur un cul. J'y trouvais un goût excitant, je plongeais la langue dans sa profondeur ; Je sentais son anus s'ouvrir, comme je faisais mais moi avec une bite. Et je l'enculais sans y penser. C'était agréable de sodomiser avec sa langue le cul d'un fille, sans être gêner par des couilles.
Je sentais la bite venir vers le cul que j'occupais. Je me suis contenté du vagin proche, mais je voyais de très près comment une bite entrait dans un cul. Évidemment le cul s'ouvrait sans difficulté, la bite s'enfonçait lentement dans l'anus offert.
Les gémissements que j'entendais étaient dus à la bite, pas à ma langue. Dommage.
Dommage surtout pour moi qui n'avais rien dans mon cul. Alors, sans honte je me suis caressée d'abord le clitoris et ensuite, rapidement l'anus en y mettant mes deux doigts habituels.
Souvent je repense à ces moment de plaisirs à plusieurs. J'ai perdu depuis longtemps Arlette.
Je me masturbe devant mon mari, en lui disant ce que je faisais avant et que je ne regrette pas : il me la met tellement bien.
Ainsi, presque tous les matins nous nous racontions comment nous avions pris du plaisir chacune de notre côté.
Un dimanche après midi, en nous baladant en ville, nous nous somme assises dans un square, sur un banc. Inévitablement nous avons encore abordé le problème, pour moi, de mes caresses isolées.
Pour Arlette, il était normal de chercher du plaisir là où nous en trouvions. Nous avions eu les bons réflexes en nous caressant l'une et l'autre au même endroit. Mais elle ajoutait quelle en trouvait un peu plus bas, sur son anus. Elle m'expliquait quelle se caressait le bord avant d'entrer deux doigts profondément. Il lui tardait d'avoir un amant qui lui mettrait la bite en elle à cet endroit.
Et un jour, elle me disait qu'enfin elle s'était fait mettre par une belle queue assez grosse, d'abord par devant puis, sur sa demande par derrière. Elle avait beaucoup apprécié d'être sodomisée.
J'insistais pour que son amant me prenne aussi, devant elle.
Demander à un homme de baiser une autre femme est facile, surtout si l'amante le prévient qu'elle sera là pour surveiller qu'il baise bien.
Nous nous sommes retrouvé à trois chez elle, dans sa chambre, elle déjà nue, lui presque nu qui la léchait et moi, idiote qui ne savait que faire.
C'est encore une fois Arlette qui me forçait presque à me donner à son amant qui était d'accord.
J'ai pu prendre la bite que je voyais pour la première fois dans ma main pour le masturber (ça, je savais le faire). Mais c'est elle qui m'a forcé à me coucher, écarter les cuisses, me donner entièrement à son amoureux.
Il m'a donné sa bouche et sa langue. Quel bonheur de sentir cette langue venir dans tous les endroits sensible de mon sexe et même de mon cul. Arlette ne se gênait pas pour prendre la queue de son amant dans la bouche. J'avais dans l'idée que c'est elle qui me léchait le con, chose que je désirais sans le dire. Elle se tournait un peu, mettait son compas sur ma bouche. Je pouvais à mon tour la sentir frémir avec mes lèvres.
Nous nous sommes arrêter un peu pour respirer. Mais Arlette voulais que nous jouissions seules devant son mec. Au début, elle a commencé à me branler en attendant que moi aussi je touche son sexe mouillé. Je l'ai branlée aussi puis, nous nous sommes mises en 69.
Nous avons oublié son amant pour ne faire l'amour qu'entre filles. Je ne léchais pas son sexe, je buvais sa liqueur, mais c'est quand même elle qui prenant la direction de notre déviance. Elle était sur moi, sa bouche penchée sur mon sexe, la langue dedans, au moins au début. Je la sentais venir sur l'anus. Là, je permettais à mes amants de mettre leur queue profonde, elle y mettait sa langue dedans.
Je sortais ma langue de son sexe pour faire ce qu'elle me faisait. Pour la première fois de ma vie je posais ma langue sur un cul. J'y trouvais un goût excitant, je plongeais la langue dans sa profondeur ; Je sentais son anus s'ouvrir, comme je faisais mais moi avec une bite. Et je l'enculais sans y penser. C'était agréable de sodomiser avec sa langue le cul d'un fille, sans être gêner par des couilles.
Je sentais la bite venir vers le cul que j'occupais. Je me suis contenté du vagin proche, mais je voyais de très près comment une bite entrait dans un cul. Évidemment le cul s'ouvrait sans difficulté, la bite s'enfonçait lentement dans l'anus offert.
Les gémissements que j'entendais étaient dus à la bite, pas à ma langue. Dommage.
Dommage surtout pour moi qui n'avais rien dans mon cul. Alors, sans honte je me suis caressée d'abord le clitoris et ensuite, rapidement l'anus en y mettant mes deux doigts habituels.
Souvent je repense à ces moment de plaisirs à plusieurs. J'ai perdu depuis longtemps Arlette.
Je me masturbe devant mon mari, en lui disant ce que je faisais avant et que je ne regrette pas : il me la met tellement bien.
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