baise de deux autostopeuses a l'arriére de ma voiture
Récit érotique écrit par Chriscarr [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-07-2008 dans la catégorie Plus on est
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baise de deux autostopeuses a l'arriére de ma voiture
<p>Bonjour cette aventure s'étant déroulée en 1995 pourrait être toujours d'actualité pour tous les automobilistes, ouvrez l'oeil.
Rentrant chez moi en voiture après des vacances, je prends en stop à Caumont deux belles filles se rendant sur la cote, je leur proposais de les rapprocher en les emmenant jusqu'à Aix en Provence. Proposition qu'elles acceptaient sans peine, nous discutions sur leur lieu de vacances, du danger de l'auto stop et après une soixantaine de kms, l'une d'elles me demanda s'il était possible de fumer, je proposais de m'arrêter des que possible pour qu'elles fument à l'extérieur de la voiture. J'avais déjà ma petite idée coquine derrière la tête. Connaissant un peu les lieux, je stationnais mon véhicule sur un chemin de terre parallèle à notre nationale, dans un endroit bien à l'abri des regards des automobilistes .Ne sachant comment aborder le sujet, je proposais aux filles de les emmener jusqu'à St Maximin en contrepartie de quelques caresses, elles répondirent oui sans hésitation ( ce qui m'étonna beaucoup quand même ) , appuyé sur l'aile avant j'exhiber mon sexe déjà en érection, et leur proposais de me caresser une fois leur cigarettes finies. Me voici palpé et masturbé par quatre mains avec beaucoup d'ardeur, tellement que je faillis jouir tout de suite sans tenter d'obtenir encore plus, je ne me privais pas non plus de glisser mes mains sur les fesses et les seins de ces deux filles, je leur proposais de passer sur les siéges arrière et je récupérais au passage des préservatifs cachés dans le coffre. Placé au milieu et déjà nu, je regardais (en les caressant) les filles se déshabiller, lorsque l'une des deux fit la réflexion suivante en voyant la toison de l'autre :"tu es poilue toi ?", cette phrase m'a interloqué, c'est vrai que les minous étaient opposés complètement, l'un fourni en poils et l'autre épilé totalement.
Une fois tout le monde nu je passais une première capote qui me servie à être bien sucé par une seule fille pendant que mes mains s'occupaient de l'autre, le moment intense de la pénétration arrivait enfin, celle qui venait de me sucer avait le minou déjà bien trempé, mon sexe si engouffrait aisément lui prodiguant des coups de toutes sortes, petits et gros, allers et retours sous le regard de sa copine qui savait que son tour allait arriver, après un changement de préservatif j'entrepris la deuxième (celle qui avait la chatte rasée), c'est avec elle que je voulais jouir, une belle brune un peu typée, avec de belles fesses fermes. Les bras et jambes s'entremêlent dans cet espace restreint, les filles ne se sont à aucun moment embrassées ou caressées, j'aurais espéré qu"elles soient bi, je ne tardait pas à jouir pleinement, dans une chaleur torride, conscient de ce moment magique et inhabituel. Nous nous sommes rhabillés en cherchant nos affaires éparpillées dans la voiture, les filles ont fumées une deuxième cigarette en plaisantant de cette situation, je leur répondis que ce serait comme cela à chaque fois qu'elles voudraient s'arrêter pour fumer. Croyez moi, jusqu'à St Maximin elles n'ont plus rien réclamées.
Cette histoire est réelle et sérieuse, survenue bien après la même aventure en moto racontée sur ce site.
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Rentrant chez moi en voiture après des vacances, je prends en stop à Caumont deux belles filles se rendant sur la cote, je leur proposais de les rapprocher en les emmenant jusqu'à Aix en Provence. Proposition qu'elles acceptaient sans peine, nous discutions sur leur lieu de vacances, du danger de l'auto stop et après une soixantaine de kms, l'une d'elles me demanda s'il était possible de fumer, je proposais de m'arrêter des que possible pour qu'elles fument à l'extérieur de la voiture. J'avais déjà ma petite idée coquine derrière la tête. Connaissant un peu les lieux, je stationnais mon véhicule sur un chemin de terre parallèle à notre nationale, dans un endroit bien à l'abri des regards des automobilistes .Ne sachant comment aborder le sujet, je proposais aux filles de les emmener jusqu'à St Maximin en contrepartie de quelques caresses, elles répondirent oui sans hésitation ( ce qui m'étonna beaucoup quand même ) , appuyé sur l'aile avant j'exhiber mon sexe déjà en érection, et leur proposais de me caresser une fois leur cigarettes finies. Me voici palpé et masturbé par quatre mains avec beaucoup d'ardeur, tellement que je faillis jouir tout de suite sans tenter d'obtenir encore plus, je ne me privais pas non plus de glisser mes mains sur les fesses et les seins de ces deux filles, je leur proposais de passer sur les siéges arrière et je récupérais au passage des préservatifs cachés dans le coffre. Placé au milieu et déjà nu, je regardais (en les caressant) les filles se déshabiller, lorsque l'une des deux fit la réflexion suivante en voyant la toison de l'autre :"tu es poilue toi ?", cette phrase m'a interloqué, c'est vrai que les minous étaient opposés complètement, l'un fourni en poils et l'autre épilé totalement.
Une fois tout le monde nu je passais une première capote qui me servie à être bien sucé par une seule fille pendant que mes mains s'occupaient de l'autre, le moment intense de la pénétration arrivait enfin, celle qui venait de me sucer avait le minou déjà bien trempé, mon sexe si engouffrait aisément lui prodiguant des coups de toutes sortes, petits et gros, allers et retours sous le regard de sa copine qui savait que son tour allait arriver, après un changement de préservatif j'entrepris la deuxième (celle qui avait la chatte rasée), c'est avec elle que je voulais jouir, une belle brune un peu typée, avec de belles fesses fermes. Les bras et jambes s'entremêlent dans cet espace restreint, les filles ne se sont à aucun moment embrassées ou caressées, j'aurais espéré qu"elles soient bi, je ne tardait pas à jouir pleinement, dans une chaleur torride, conscient de ce moment magique et inhabituel. Nous nous sommes rhabillés en cherchant nos affaires éparpillées dans la voiture, les filles ont fumées une deuxième cigarette en plaisantant de cette situation, je leur répondis que ce serait comme cela à chaque fois qu'elles voudraient s'arrêter pour fumer. Croyez moi, jusqu'à St Maximin elles n'ont plus rien réclamées.
Cette histoire est réelle et sérieuse, survenue bien après la même aventure en moto racontée sur ce site.
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