Baise pendant la fenaison
Récit érotique écrit par Melajean [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-10-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Baise pendant la fenaison
Je vais encore vous raconter une aventure qu’il m’est arrivé après l’accouchement de ma femme.
Pendant la fenaison, mon épouse, qui avait accouché quelques semaines plus tôt, roule avec le tracteur, la petite dans son maxi cosy près d’elle, tandis que ma belle-mère range les ballots de foin sur la remorque, quant à moi, je charge les ballots. Ma belle-mère est en jupe et chemisier. Au fur et à mesure que la charrée se remplit, ses dessous sont de plus en plus volontairement visibles. Sa façon de se courber sur la remorque est telle que c’est pour moi carrément de l’exhibition. Sa fine culotte laisse passer des poils noirs de chaque côté. Cette situation m’excite de plus en plus et je ne peux cacher mon érection qui se dessine dans mon short.
Les ballots dans le bas de la prairie sont chargés et je m’installe dans le tracteur près de ma femme afin de ne pas devoir remonter toute la prairie à pied. Ma femme constate immédiatement que mon short est sérieusement déformé.
-Dommage que maman est sur la remorque.. .!
-Pourquoi ?
-J’aimerai sucer ta grosse queue !
-Elle est à l’arrière de la remorque, elle ne nous voit pas !
Je sors ma queue de mon short et elle l’engloutit au fond de sa gorge. Je regarde vers l’arrière et je constate que belle maman nous observe mais je ne dis rien à ma femme qui continue à me pomper le dard tout en roulant.
Mon plaisir est de courte durée car on arrive déjà dans le haut de la prairie.
Avec mes 14 centimètres qui déforment sérieusement mon short, je me remets au boulot.
Je m’approche de la remorque avec un ballot au bout de la fourche et ma belle-mère est assise sur un ballot de foin, jambes grandes ouvertes, et sans culotte….Elle passe son doigt dans sa chatte, le met dans sa bouche et me dit :- Regarde, elle attend ta bite !
Je bandais comme un âne en voyant ses lèvres charnues garnies de poils et sa toison imposante.
Jusqu’à ce que la remorque soit chargée, j’ai eu droit à de belles exhibitions volontaires de sa chatte ainsi que ses petits sourires en coin.
Il y avait encore quelques ballots de foin à charger que Mélanie me dit qu’elle allait donner le sein a la petite.
Comme d’habitude, lorsque la remorque est remplie, belle -mère descend par l’arrière en se tenant à la grosse corde et moi je pique mes fourches dans les ballots de foin pour qu’elle puisse y déposer ses pieds et descendre sans danger.
- Descend à ton aise pour pas tomber, Mélanie donne le sein à la petiteNaturellement tout le plaisir était pour moi. Encore une fois, j’ai eu une vue superbe sur sa chatte et plus est, elle a mis beaucoup plus de temps que d’habitude pour descendre. Quand elle avait presque pied à terre, j’ai mis deux doigts dans sa chatte qui était trempée- Je préfère ta queue dans ma chatte .
Je la laisse mettre pied sur le plancher des vaches et elle me demande en mettant sa main sur ma queue:- C’est moi qui te fais tant effet?
Mélanie est arrivée à ce moment-là et nous nous sommes retournés à la ferme.
Au soir, alors que Mélanie donne un dernier biberon avant de mettre la petite au lit, je lui dis que je vais prendre un bain dans l’arrière remise. Remise que l’on a provisoirement aménagée en salle de bain pendant la rénovation de notre salle de bain à l’intérieur de la maison. Pour un minimum d’intimité, nous avons placés un drap, un peu trop court certes, devant la fenêtre qui donne sur le jardin et la rue.
Pendant que je me lave, j’entends la porte arrière de la maison s’ouvrir puis une deuxième, qui est celle donnant sur le jardin. Je me dis que c’est bizarre qu’à 22H30 quelqu’un aille encore au jardin.
J’entends ma belle-mère tousser. Le faisceau lumineux venant de l’éclairage public et entrant dans la salle de bain est coupé et je me dis qu’elle va sûrement m’épier par la fenêtre. Une folle envie me prend de montrer ce que la nature m’a donné entre les jambes. Je sors du bain avec une superbe érection et me place pour qu’elle puisse me voir. Je me masturbe lentement et quelques secondes plus tard elle entre dans la salle de bain, s’agenouille et me fait une fellation du tonnerre.
- mmmmm tu as une sacrée queue et surtout bien épaisse. Je fais finir ce que ma fille a commencé cet après-midi…tu t’en souviendras.
Je place une jambe sur le bord de la baignoire pour qu’elle puisse facilement lécher et sucer mes testicules. Sa langue parcours ma tige, de mes testicules jusqu’au gland. Les veines sur ma bite deviennent de plus en plus grosses. Je n’avais pas de craintes quant à la présence de ma femme car elle s’occupait de notre bébé. Elle me pompe tellement fort que je crois que je n’ai jamais eu une queue aussi grosse que cette fois. Comme sa fille elle réussit à mettre totalement ma bite dans sa bouche. Je me suis mis à gémir des petits sons de jouissance, de plaisir, d'extase. Lorsqu'elle a senti que mon corps vibrait, elle a ralenti le rythme. Puis sans un mot, elle s’est redressée, relève sa jupe, aucun tissu ne cache sa chatte, ses lèvres sont luisantes de cyprine au milieu d’une grosse touffe de poils Elle prend appuis des deux mains sur le bain et me fait comprendre que sa chatte attendais ma queue.
Mais je veux la faire languir, à mon tour je m’agenouille et lui lèche la chatte trempée de cyprine.
Mes doigts explorent sa grotte, son clitoris que je décalotte et qui est plus gros que celui de sa fille.
Malgré ma position inconfortable, je parviens à sucer son clitoris et je le sens encore grossir dans la bouche pendant que deux doigts s’enfoncent au fond de sa chatte. Elle me supplie d’y mettre mon bâton de chair.
Je prends ma queue en main et la frotte sur ses lèvres et clitoris trempés de désir.
Tel un missile, elle a pris ma queue d’un coup au fond de sa chatte…. !
- mmmmm mais qu’elle est grosse continue fais-moi jouir…mmmmmJe la pilonne, j’arrête, je sors ma queue entièrement, elle est luisante de mouille, je frotte ma pine sur sa chatte, ses jambes tremblent.
- S’il te plait, laisse ta queue dans ma chatte et fait moi jouir…fais-moi jouir…..mmmmmJe lamine son puits d’amour, mes testicules claquent sur sa peau, des bruits d’humidité accompagnent mes mouvements de vas et vient. Sa respiration s’accélère de plus en plus et elle jouit juste avant moi.
Elle râle de plaisir et ses jambes tremblent quand je lui envoie en 8 ou 9 jets de sauce au fond de sa chatte. Je me demande bien pourquoi lors de certains orgasmes, j’éjecte autant de fois du sperme.
Je continue encore quelques vas et vient avant de ressortir ma queue. Mon gland en ressort rouge – violet avec des traînées blanchâtres. Elle se retourne, s’agenouille et lèche mon sperme et sa cyprine comme si c’est une glace. Elle l’engloutit de nouveau mais je l’arrache de sa bouche, ma pine étant devenue trop sensible.
- Est-ce que je suce aussi bien que ma fille ?
- Vous êtes deux déesses… !
Elle prend la clenche de la porte mais je l’arrête.
- Avant de partir je veux voir tes mamelles.
Elle déboutonne rapidement son chemisier, remonte son soutien et me montre ses gros seins (D-E ?)lourds avec des gros et longs tétons que je m’empresse de pincer entre les doigts.
- Non, une autre fois…et elle est partie en fermant la porte.
Elle mouille autant que ma femme et si l’on m’avait bandé les yeux, je pense être incapable de dire si je baisais ma femme ou ma belle-mère.
On dit telle mère telle fille… c’est bien vrai… super chaudes toutes les deux.
Ma belle-mère a eu souvent l’occasion de profiter de ma queue quand ma femme et mon beau-père n’étaient pas là ou alors, pendant que ma femme donnais le sein, ma belle-mère et moi on s’éclipsait dans la remise ou une étable. Rapidement, elle me sortait la queue de mon pantalon, me suçais jusqu’à ce qu’elle soit bien dure et y déposait une bonne dose de salive. Puis elle se retournait, je remontais sa jupe ou robe sur le dos, j’écartais sa culotte et j’enfonçais sans aucune résistance, ma colonne de chair au plus profond de sa chatte.
- Baise moi comme une chienne, fais-moi jouir et rempli ma chatte de ton jus tel étais souvent ses paroles.
La plus part du temps après avoir éjaculer, elle s’agenouillait pour lécher ma queue. Elle écartait sa culotte d’une main et poussais pour faire sortir mon sperme de sa chatte.
- Encore une culotte pleine de sperme pour la lessive- Et moi j’adore savoir que j’ai souillé ta culotteAu lit, aussi bien avec l’une qu’avec l’autre, la durée d’une partie de jambes en l’air était toujours supérieur à un quart d’heure, mais lorsque la baise se faisait dans une étable ou une remise, cela se limitais à cinq minutes pour ne pas se faire surprendre.
Après ce bain, Mélanie et moi sommes partis au lit, j’avais un peu difficile pour bander mais Mélanie avait de nouveau une folle envie de baiser, après une bonne pipe, elle s’est assise sur ma queue et s’est déchainée et m’a tari les testicules jusqu’à la dernière goutte.
On dit qu’à force de baiser on baise facilement et souvent. Je remercie la nature de m’avoir donné une bonne constitution. Sans me vanter, 25 baises par mois était monnaie courante pour moi.
Quand à Mélanie, je ne sais pas exactement (voir récit précèdent) mais j’ose parier entre 25 et 35 fois jusqu’à ses 30 ans, l’année qu’Edgard a été tué dans un accident de voiture. Elle en a souffert beaucoup et pendant 2 ou 3 mois il y a eu une sérieuse diminution de baise avec Mélanie. Elle a même pleuré plusieurs fois pendant que je la baisais
Pendant la fenaison, mon épouse, qui avait accouché quelques semaines plus tôt, roule avec le tracteur, la petite dans son maxi cosy près d’elle, tandis que ma belle-mère range les ballots de foin sur la remorque, quant à moi, je charge les ballots. Ma belle-mère est en jupe et chemisier. Au fur et à mesure que la charrée se remplit, ses dessous sont de plus en plus volontairement visibles. Sa façon de se courber sur la remorque est telle que c’est pour moi carrément de l’exhibition. Sa fine culotte laisse passer des poils noirs de chaque côté. Cette situation m’excite de plus en plus et je ne peux cacher mon érection qui se dessine dans mon short.
Les ballots dans le bas de la prairie sont chargés et je m’installe dans le tracteur près de ma femme afin de ne pas devoir remonter toute la prairie à pied. Ma femme constate immédiatement que mon short est sérieusement déformé.
-Dommage que maman est sur la remorque.. .!
-Pourquoi ?
-J’aimerai sucer ta grosse queue !
-Elle est à l’arrière de la remorque, elle ne nous voit pas !
Je sors ma queue de mon short et elle l’engloutit au fond de sa gorge. Je regarde vers l’arrière et je constate que belle maman nous observe mais je ne dis rien à ma femme qui continue à me pomper le dard tout en roulant.
Mon plaisir est de courte durée car on arrive déjà dans le haut de la prairie.
Avec mes 14 centimètres qui déforment sérieusement mon short, je me remets au boulot.
Je m’approche de la remorque avec un ballot au bout de la fourche et ma belle-mère est assise sur un ballot de foin, jambes grandes ouvertes, et sans culotte….Elle passe son doigt dans sa chatte, le met dans sa bouche et me dit :- Regarde, elle attend ta bite !
Je bandais comme un âne en voyant ses lèvres charnues garnies de poils et sa toison imposante.
Jusqu’à ce que la remorque soit chargée, j’ai eu droit à de belles exhibitions volontaires de sa chatte ainsi que ses petits sourires en coin.
Il y avait encore quelques ballots de foin à charger que Mélanie me dit qu’elle allait donner le sein a la petite.
Comme d’habitude, lorsque la remorque est remplie, belle -mère descend par l’arrière en se tenant à la grosse corde et moi je pique mes fourches dans les ballots de foin pour qu’elle puisse y déposer ses pieds et descendre sans danger.
- Descend à ton aise pour pas tomber, Mélanie donne le sein à la petiteNaturellement tout le plaisir était pour moi. Encore une fois, j’ai eu une vue superbe sur sa chatte et plus est, elle a mis beaucoup plus de temps que d’habitude pour descendre. Quand elle avait presque pied à terre, j’ai mis deux doigts dans sa chatte qui était trempée- Je préfère ta queue dans ma chatte .
Je la laisse mettre pied sur le plancher des vaches et elle me demande en mettant sa main sur ma queue:- C’est moi qui te fais tant effet?
Mélanie est arrivée à ce moment-là et nous nous sommes retournés à la ferme.
Au soir, alors que Mélanie donne un dernier biberon avant de mettre la petite au lit, je lui dis que je vais prendre un bain dans l’arrière remise. Remise que l’on a provisoirement aménagée en salle de bain pendant la rénovation de notre salle de bain à l’intérieur de la maison. Pour un minimum d’intimité, nous avons placés un drap, un peu trop court certes, devant la fenêtre qui donne sur le jardin et la rue.
Pendant que je me lave, j’entends la porte arrière de la maison s’ouvrir puis une deuxième, qui est celle donnant sur le jardin. Je me dis que c’est bizarre qu’à 22H30 quelqu’un aille encore au jardin.
J’entends ma belle-mère tousser. Le faisceau lumineux venant de l’éclairage public et entrant dans la salle de bain est coupé et je me dis qu’elle va sûrement m’épier par la fenêtre. Une folle envie me prend de montrer ce que la nature m’a donné entre les jambes. Je sors du bain avec une superbe érection et me place pour qu’elle puisse me voir. Je me masturbe lentement et quelques secondes plus tard elle entre dans la salle de bain, s’agenouille et me fait une fellation du tonnerre.
- mmmmm tu as une sacrée queue et surtout bien épaisse. Je fais finir ce que ma fille a commencé cet après-midi…tu t’en souviendras.
Je place une jambe sur le bord de la baignoire pour qu’elle puisse facilement lécher et sucer mes testicules. Sa langue parcours ma tige, de mes testicules jusqu’au gland. Les veines sur ma bite deviennent de plus en plus grosses. Je n’avais pas de craintes quant à la présence de ma femme car elle s’occupait de notre bébé. Elle me pompe tellement fort que je crois que je n’ai jamais eu une queue aussi grosse que cette fois. Comme sa fille elle réussit à mettre totalement ma bite dans sa bouche. Je me suis mis à gémir des petits sons de jouissance, de plaisir, d'extase. Lorsqu'elle a senti que mon corps vibrait, elle a ralenti le rythme. Puis sans un mot, elle s’est redressée, relève sa jupe, aucun tissu ne cache sa chatte, ses lèvres sont luisantes de cyprine au milieu d’une grosse touffe de poils Elle prend appuis des deux mains sur le bain et me fait comprendre que sa chatte attendais ma queue.
Mais je veux la faire languir, à mon tour je m’agenouille et lui lèche la chatte trempée de cyprine.
Mes doigts explorent sa grotte, son clitoris que je décalotte et qui est plus gros que celui de sa fille.
Malgré ma position inconfortable, je parviens à sucer son clitoris et je le sens encore grossir dans la bouche pendant que deux doigts s’enfoncent au fond de sa chatte. Elle me supplie d’y mettre mon bâton de chair.
Je prends ma queue en main et la frotte sur ses lèvres et clitoris trempés de désir.
Tel un missile, elle a pris ma queue d’un coup au fond de sa chatte…. !
- mmmmm mais qu’elle est grosse continue fais-moi jouir…mmmmmJe la pilonne, j’arrête, je sors ma queue entièrement, elle est luisante de mouille, je frotte ma pine sur sa chatte, ses jambes tremblent.
- S’il te plait, laisse ta queue dans ma chatte et fait moi jouir…fais-moi jouir…..mmmmmJe lamine son puits d’amour, mes testicules claquent sur sa peau, des bruits d’humidité accompagnent mes mouvements de vas et vient. Sa respiration s’accélère de plus en plus et elle jouit juste avant moi.
Elle râle de plaisir et ses jambes tremblent quand je lui envoie en 8 ou 9 jets de sauce au fond de sa chatte. Je me demande bien pourquoi lors de certains orgasmes, j’éjecte autant de fois du sperme.
Je continue encore quelques vas et vient avant de ressortir ma queue. Mon gland en ressort rouge – violet avec des traînées blanchâtres. Elle se retourne, s’agenouille et lèche mon sperme et sa cyprine comme si c’est une glace. Elle l’engloutit de nouveau mais je l’arrache de sa bouche, ma pine étant devenue trop sensible.
- Est-ce que je suce aussi bien que ma fille ?
- Vous êtes deux déesses… !
Elle prend la clenche de la porte mais je l’arrête.
- Avant de partir je veux voir tes mamelles.
Elle déboutonne rapidement son chemisier, remonte son soutien et me montre ses gros seins (D-E ?)lourds avec des gros et longs tétons que je m’empresse de pincer entre les doigts.
- Non, une autre fois…et elle est partie en fermant la porte.
Elle mouille autant que ma femme et si l’on m’avait bandé les yeux, je pense être incapable de dire si je baisais ma femme ou ma belle-mère.
On dit telle mère telle fille… c’est bien vrai… super chaudes toutes les deux.
Ma belle-mère a eu souvent l’occasion de profiter de ma queue quand ma femme et mon beau-père n’étaient pas là ou alors, pendant que ma femme donnais le sein, ma belle-mère et moi on s’éclipsait dans la remise ou une étable. Rapidement, elle me sortait la queue de mon pantalon, me suçais jusqu’à ce qu’elle soit bien dure et y déposait une bonne dose de salive. Puis elle se retournait, je remontais sa jupe ou robe sur le dos, j’écartais sa culotte et j’enfonçais sans aucune résistance, ma colonne de chair au plus profond de sa chatte.
- Baise moi comme une chienne, fais-moi jouir et rempli ma chatte de ton jus tel étais souvent ses paroles.
La plus part du temps après avoir éjaculer, elle s’agenouillait pour lécher ma queue. Elle écartait sa culotte d’une main et poussais pour faire sortir mon sperme de sa chatte.
- Encore une culotte pleine de sperme pour la lessive- Et moi j’adore savoir que j’ai souillé ta culotteAu lit, aussi bien avec l’une qu’avec l’autre, la durée d’une partie de jambes en l’air était toujours supérieur à un quart d’heure, mais lorsque la baise se faisait dans une étable ou une remise, cela se limitais à cinq minutes pour ne pas se faire surprendre.
Après ce bain, Mélanie et moi sommes partis au lit, j’avais un peu difficile pour bander mais Mélanie avait de nouveau une folle envie de baiser, après une bonne pipe, elle s’est assise sur ma queue et s’est déchainée et m’a tari les testicules jusqu’à la dernière goutte.
On dit qu’à force de baiser on baise facilement et souvent. Je remercie la nature de m’avoir donné une bonne constitution. Sans me vanter, 25 baises par mois était monnaie courante pour moi.
Quand à Mélanie, je ne sais pas exactement (voir récit précèdent) mais j’ose parier entre 25 et 35 fois jusqu’à ses 30 ans, l’année qu’Edgard a été tué dans un accident de voiture. Elle en a souffert beaucoup et pendant 2 ou 3 mois il y a eu une sérieuse diminution de baise avec Mélanie. Elle a même pleuré plusieurs fois pendant que je la baisais
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