baisée par mon oncle

- Par l'auteur HDS mariesalope -
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Récit libertin : baisée par mon oncle Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-09-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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baisée par mon oncle
Norbert va bientôt être libéré. (De l'armée, pas de prison).
Je suis à la fois heureuse de le revoir, et un peu ennuyée. Comment va se passer ma vie sexuelle ? Bien sûr, j'ai mes lundis de libre, mais Norbert rentrant le soir, mes journées vont être écourtées.
J'ai acheté mon salon de coiffure, grâce à mon cul et aux deux amis d'Isabelle. Finalement, c'est facile, pour une jolie fille pas trop farouche, de réussir dans la vie.
Il ne faut pas que Norbert apprenne comment j'ai eu mon salon. J'ai un oncle assez aisé, qui est aussi mon parrain, je décide de lui demander de l'aide.
Mon oncle est connu dans la famille pour être un pervers notoire, mais je ne me doute pas à quel point.
Un lundi Je me rend à son restaurant. Comme d'habitude, il me serre dans ses bras pour m'embrasser, sur les lèvres comme à son habitude, sa main glissant sur mes fesses comme par inadvertance.

— Parrain, je viens d'acheter un salon de coiffure, est-ce que tu peux dire que c'est toi qui m'as prêté l'argent.
— Pourquoi ?
— C'est trop long à t'expliquer.
— OK et bien tu vas revenir ce soir pour m'expliquer tout cela, mais pas au restaurant, à cette adresse.

Et il me tend une carte de visite.

Me voilà repartie, bien embêtée. Qu'est-ce que je vais pouvoir raconter à mon parrain pour qu'il m'aide ?
Pas la vérité, il faut que je trouve une histoire.
Je vais voir Isabelle pour qu'elle me donne des idées.
Ton parrain est un pervers, me dit-elle, dis-lui la vérité, je suis sûr qu'il comprendra.
Elle me demande de passer avant mon rendez-vous, « pour me mettre en valeur ».
Le jour du rendez-vous arrive. Je passe donc chez Isabelle. Je suis habillé sobrement pour une fois, pantalon, tee-shirt, ballerine, maquillage discret la jeune fille modèle.
Isabelle, à ma vue, éclate de rire.

— Ça ne va pas, tu vas demander de l'aide, montre-toi telle que tu es, ton histoire passera mieux.

A sa demande, je me déshabille entièrement. Isabelle m'examine, quelques poils repoussent sur mon pubis et ma chatte qu'elle s'empresse de supprimer, non sans me caresser au passage.
Puis elle me fait revêtir la guêpière que j'ai mis pour aller au bal antillais. Des bas, une jupe courte, boutonnée devant, un chemisier transparent, très échancré. Elle me maquille outrageusement, insistant sur mes lèvres et mes tétons, elle termina par un plug qu'elle m'enfonce dans l'anus.

— Voilà tu es prête.
— Mais j'ai l'air d'une pute.
— Ce que tu es.

Sur ces bonnes paroles, je revêts un imperméable pour cacher ma tenue et je me rends à l'adresse indiquée sur la carte. Quartier chic, discret. Je sonne à la porte, une dame vient m'ouvrir, elle m'ôte l'imperméable, elle sourit à la vue de ma tenue. Sans que je ne lui demande quoi que ce soit, elle m'entraîne vers une porte qu'elle ouvre, me faisant pénétrer dans une chambre où mon oncle m'attend. Il était en robe de chambre.

— Alors ma chérie, raconte-moi tout.

Ne voulant pas trop entrer dans les détails, j'explique que deux amis d'une amie ont bien voulu investir dans un salon de coiffure pour moi.
Mon oncle me regarde avec un petit sourire narquois.

— Et tu ne veux pas le dire à Norbert, pourquoi ?
— J'ai peur qu'il ne se fasse des idées.
— C'est vrai que 2 inconnus qui donnent de l'argent, et une grosse somme, à une jolie fille, ça peut paraître curieux. Ils ont quel âge tes bienfaiteurs ?
— 50 ans.
— De plus en plus curieux. Si tu veux que je t'aide, il faut tout me dire.

Alors, je déballe tout. Les deux mecs (trois même) qui m'avaient baisée, sur toutes les coutures (voire mon récit : « Offerte à trois vicelard »), et comme je ne veux pas que Norbert me pose des questions, j'ai espéré qu'il m'aide.

— Tu es une vraie petite salope, tu mérites une punition.

Il me saisit par le bras et me couche en travers de ses cuisses. Je comprends ce qu'il allait me faire.

Mon parrain remonte ma jupe.

— Tu es une vraie salope. Pas de culotte, et un magnifique plug dans le cul. Tu es venue pour te faire baiser et enculer, non ?

Sa main s'abat sur mon cul nu, après la douleur des premiers coups, vient le plaisir, ma chatte se dilate, j'écarte les cuisses, me cambre davantage pour aller au-devant de ses coups.
Je m'offre à mon parrain.
Ce que je n'ai pas encore dit, c'est que mon parrain est le frère jumeau de mon père. J'avais l'impression que c'est lui qui va me baiser.

— Petite salope, quand j'aurais terminé, tu vas me sucer. Il y a longtemps que je rêve de tes lèvres de suceuse de bite. Je vais te faire boire mon foutre. Après je te baiserais.
— Oui parrain. Je suis à toi, fais-moi tout ce que tu veux.

Mon parrain me redresse, il m'ordonne de me déshabiller, ce que je fais sans hésiter, prête déjà à m'abandonner. Isabelle a raison, je ne suis qu'une pute. J'aime baiser, avec n'importe qui, même mon parrain. Un canapé est présent dans la pièce, face au miroir, mon parrain s'y allonge, puis il m'attire vers lui, à genoux sur le canapé, je dois me pencher pour atteindre sa bite. Mes lèvres se posent sur son gland, je le lèche puis j'ouvre la bouche toute grande, je descends jusqu'au pubis. Sa bite remplit toute ma bouche, je la léche de plus belle, faisant coulisser mes lèvres tout au long de la hampe. Mon parrain estt aux anges.

— C'est bon ma salope, j'étais sûr que tu étais une bonne pipeuse. Ecarte les cuisses et cambre-toi bien, il y a des spectateurs derrière le miroir, fais-leur admirer ta chatte.

Je m'exécute, la pensée de tous ces voyeurs augmente mon plaisir. Je sens la bite de mon parrain enfler, il va jouir. Il essaye de se retirer, mais je le retiens, avalant ses giclées de foutre jusqu'à la dernière goutte.

— Salope, en plus tu avales, t'es vraiment une bonne petite pute, on va bien s'entendre tous les deux.

Nous sommes côte à côte dans le grand lit, un miroir au plafond nous renvoi notre image. Je suis là, nue dans les bras de mon parrain, je l'ai sucé, avalé son foutre.
Il me caresse les seins, tirant sur mes tétons, une caresse à laquelle je ne résiste pas. Ma chatte bâille de nouveau, je la sent s'ouvrir, je mouille.
Mon parrain suit la montée de mon excitation.

— Tu en veux encore, petite salope ?
— Oui parrain, j'ai envie de ta queue.
— Où tu la veux ?
— Où tu veux, je suis toute à toi.
— J'ai envie de t'enculer, ton petit trou est rodé.

Je me mets à quatre pattes, lui montrant le plug qu'Isabelle a enfilé dans mon anus.

— Regarde, je suis prête.

Alors mon parrain retire le plug qu'il remplace par sa bite.
Son gland m'écarte la rosette, je sens son braquemart progresser dans mon cul, mon parrain est en train de m'enculer, c'est bon.
Quand ses couilles touchent ma chatte, il s'arrête pour me faire bien sentir la présence de sa bite, puis il entreprend de faire coulisser son zob dans mon cul, allant jusqu'à sortir presque, puis s'enfonçant de nouveau brutalement.

Je sens le plaisir m'envahir. Je vais au-devant de ses coups, je veux le sentir encore mieux, je l'encourage à me défoncer le cul.
Mon parrain, ayant déjà joui dans ma bouche, prend tout son temps. Mon cul s'est fait à son diamètre. Ma chatte ruisselle, s'épanouit, mon clito bande.
Mon parrain change de position, il s'allonge sur le dos. Je viens m'empaler sur sa bite, face au miroir. J'imagine les voyeurs excités à la vue de cette bite qui me défonce le cul, ma chatte béante est humide, je suis sûre qu'ils savent que mon baiseur est mon parrain. Cette pensée déclenche mon orgasme, suivi d'un deuxième quand mon parrain lâche son foutre dans mon fondement.

Après ce deuxième orgasme, mon parrain jeta l'éponge. Je vais me laver, expulsant le foutre qui a envahi mes entrailles.
C'est alors que mon parrain me soumet sa proposition. Il accepte de dire qu'il m'a prêté l'argent. Nous allons faire un contrat en bonne et due forme. Tous les mois, je ferais un chèque pour rembourser mon prêt, puis je viendrais dans cette maison récupérer cet argent.

Mais il y aurait une condition pour récupérer mon dû. Me soumettre à la directrice de la maison. Lui obéir en tout.
Je n'ai pas le choix. J'accepte ses conditions, en me demandant ce qui m'attendrait dans cette maison si particulière.

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Trés bien écrit et excitant j'aime me promener avec mon plug anal

Histoire Libertine
Trés bon récit qui donne envie je me suis Bien doigtée

Histoire Libertine
j'adore

La suite sera chaude comme l'œillet de la demoiselle

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Sacré deal !!!



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