Ballade à vélo
Récit érotique écrit par Sandrine [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-08-2011 dans la catégorie Plus on est
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Ballade à vélo
Bonjour,
je voulais vous raconter une histoire qui date de l'été de mes dix huit ans (mais ça faisait déja un bout de temps que j'adorais le sexe)
Mes parents avaient loué une maison au fin fond d'une campagne pourrie et je me faisais proprement chi.... Un après midi, je décidais de tenter ma chance en allant faire une promenade à vélo ; qui sait, je rencontrerai peut-être un type qui s'emmer... autant que moi, et pourquoi pas une petite après midi caline ?
Avant d'enfourcher mon vélo, je monte dans ma chambre enfiler une tenue adéquate : un dos nu rouge attaché par des noeuds en bas des reins et dans le cou, et pour éviter les commentaires de ma mère, je mets dessous un soutien gorge très sage bien que normalement je n'en porte pas avec ce dos nu, malgré mon 95C. Sous ma jupe mi cuisse qui va voler au vent, je mets un joli string noir avec une fleur rouge, mais la encore, pour éviter les discussions avec ma mère, j'enfile un short sous ma jupe.
Je passe au salon lancer un "au revoir, je vais me promener en vélo une bonne partie de l'après midi", puis je passe par le garage prendre mon vélo et en route !
Dès la maison hors de vue, je bifurque dans le premier chemin venu, je pose mon vélo contre la haie, et , personne en vue, j'enlève ce soutif ridicule et le short que je fourre dans ma sacoche de guidon. Je suis bien plus a l'aise comme cela, mes seins se promènent librement sous mon dos nu, et le vent peut ainsi s'engoufrer sous ma jupe et je sens sa caresse sur le haut de mes cuisses. Me savoir quasiment nue, à la merci d'un coup de vent qui relève ma jupe ou d'un mouvement un peu exagéré qui fait déborder un sein de sa cachette m'exite au plus haut point.
Je reprends mon chemin, et de temps en temps, je croise une vieille qui travaille dans son jardin ou un agriculteur qui revient de soigner ses bètes, mais rien de bien interessant, jusqu'au moment ou je tombe sur un groupe de 4 cyclistes arrétés au bord de la route pour une pause bien méritée ; je les mate au passage, profitant de leur short moulant et de leur maillot qui dessine leur corps, et je les vois aussi qui me suivent du regard, et même une fois passée, je sens encore leur regard sur mon dos.
Je ne vais pas laisser passer une si bonne occasion, ils sont tous les 4 mignons, la trentaine environ, et plutot pas mal faits de corps ; juste après le virage, ils ne peuvent plus me voir, je mets pied à terre et je fais sauter la chaine du dérailleur ; je m'accroupis face à la route, faisant semblant d'essayer de réparer, mais sans succès bien entendu. Quelques instants àprès (ils n'ont pas attendu longtemps, les bougres), les 4 gars jaillissent du virage, et me voyant occupée à essayer de réparer, ils s'arrètent près de moi, en ayant eu bien sur le temps de se rincer l'oeil sur mon entrejambes car j'étais toujours accroupie devant mon vélo.
- " des ennuis ma petite demoiselle ? "
- " oh oui, j'ai déraillé et la chaine s'est coincée "
- " vous inquiétez pas je vais vous la décoincer, moi "
Et il s'approche de mon vélo, s'accroupit à coté de moi et entreprend de réparer la chaine ; pendant ce temps, les autres se sont aussi approchés, il y en a deux en face de moi qui matent sans retenue mon entrejambe, pendant que je fais semblant de m'intéresser aux réparations et ne rien remarquer de leur manège ; le quatrième est venu se placer à ma droite et légèrement en retrait afin de pouvoir contempler mon décolleté.
- " dites, ça ne doit pas être très pratique de faire du vélo en jupe " entame l'un des deux en face de moi .
Je lève les yeux et lui répond du tac au tac
- "c'est surement plus agréable que d'avoir les parties comprimées comme ça dans votre short ! d'autant plus que ça m'a l'air de prendre plus de place que prévu ..."
- "Normal, surtout quand y'a des filles qui passent à moitié à poil devant nous !" répond le premier.
C'est le moment que choisit le gars qui était légèrement derrière moi pour tirer sur le noeud qui retient mon dos nu dans le cou ; et me voila accroupie avec les seins à l'air au milieu de quatre types qui bandent déjà dur.
- " Ben te gène pas" dis-je en me relevant " tu veux pas non plus ma petite culotte ? " ajoutai-je d'un ton provoquant.
La dessus, celui qui était encore accroupi à ma gauche en train de réparer mon vélo, souleva ma jupe en s'exclamant :
- " moi je la veux bien, ce sera ma récompense pour la réparation du vélo "
Il se baissa à nouveau pour faire glisser mon string le long de mes cuisses ; voyant que le laissais faire, ceux qui étaient debout s'empressèrent de prendre possession de mon corps, les mains me caressaient le ventre, le dos, les seins tandis que celui qui m'avait volé ma culotte posait ses lèvres sur ma fine toison et commencait à me lécher la vulve.
J'étais au bord de la route, les seins à l'air, tripotée par 4 paires de mains, la jupe retroussée jusqu'aux hanches, et les mains continuaient leur exploration, je sentais des doigts qui pénètraient ma chatte, un autre qui caressait ma rosace, alors je commençais moi aussi à caresser les bosses qui durcissaient dans leur shorts, j'essayais de plonger ma main dedans, mais c'était trop serré, aussi ils baissèrent eux mêmes leurs shorts pour que je puisse les branler plus confortablement.
C'est le grand roux, je crois, qui m'a pris les cheveux pour faire descendre ma tête jusqu'au niveau de son sexe pour que je puisse le pomper ; sa verge était de bonne taille, et quand il l'enfonça au plus profond de ma gorge, j'ai bien cru que j'allais gerber ; mais il a relaché sa pression juste a temps pour que je puisse respirer, mais profitant que l'étais courbée en deux, celui qui était derrière moi en a profité pour s'enfoncer d'un seul coup sans prévenir jusqu'au fond de mon vagin.
J'étais tellement trempée, qu'il n'a eu aucun mal à rentrer, et quelques allers retours plus tard, j'ai eu mon premier orgasme pendant que le grand roux m'envoyait toute sa purée au fond de la gorge. Il m'a forcé à lui nettoyer son outil en me traitant de salope et de sac à foutre, ce qui paraissait l'exiter au plus haut point car il rebandait déja quand j'ai eu fini de le nettoyer.
Mais les autres voulaient leur part aussi, et il le poussèrent pour que je puisse les prendre en bouche eux aussi : alternativement, je sucais l'un en branlant l'autre pendant que celui qui me ramonait la chatte accélérait le mouvement jusqu'à venir vider ses couilles en longs jets chauds au fond de mon vagin. Il fut vite remplacé par le rouquin qui me pénétra d'un seul trait et se mit à me limer à grands coups de reins, tout en caressant ma rosette. Il insistait de plus en plus, laissa couler un peu de bave dessus et introduisit un doigt, puis un deuxième, et puis un troisième, mais de l'autre main ; il savait bougrement bien y faire le salaud, il utilisait ses doigts dans mon cul pour frotter sa bite dans ma chatte à travers la fine paroi de séparation. En plus, il dilatait mon anus, ce qui me conduisit à mon deuxième orgasme. Profitant de cet instant ou je n'avais plus aucune force ni aucune volonté, il sortit sa queue couverte du sperme gluant de son prédecesseur pour la présenter à l'entrée de mon anus ou elle força le passage d'un long coup puissant qui m'arracha un cri, je ne saurais dire si c'était de jouissance ou de douleur tellement les deux étaient mèlés. En quelques coups de reins, il éjacula au fond de mon cul et se retira rapidement.
Mais ce n'était pas fini : un des deux que j'étais en train de sucer s'est allongé sur le dos dans l'herbe du bas coté, et comprenant ce qu'il attendait de moi, je me suis empalée sur son sexe dressé. Profitant de la situation, l'autre a quitté ma bouche pour venir se placer à l'entrée de mon cul dégoulinant de sperme et ils m'ont ainsi prise en sandwich pendant que le premier qui m'avait baisé pendant que je sucais le grand roux forçait ma bouche.
Pendant plus d'une demi heure, j'ai été baisée comme cela par tous les orifices, et quand ils m'ont laissé sur le bord de la route, à moitié nue, je dégoulinais de sperme et j'étais comblée, mais complètement épuisée. Il a pourtant fallu que j'arrache quelques touffes d'herbe pour essuyer un peu le trop plein avant de pouvoir rentrer chez moi (après avoir remis mon short et mon soutif) un rapide "je suis rentrée" dans le salon et je file dans la salle de bains.
Depuis cette aventure, j'apprécie beaucoup plus les charmes de la campagne et sa traquillité, ou on peut baiser en pleine nature sans être inquiétée le moins du monde. Je peux vous dire que j'en ai profité tout le reste des vacances, mais ceci est une autre histoire.
je voulais vous raconter une histoire qui date de l'été de mes dix huit ans (mais ça faisait déja un bout de temps que j'adorais le sexe)
Mes parents avaient loué une maison au fin fond d'une campagne pourrie et je me faisais proprement chi.... Un après midi, je décidais de tenter ma chance en allant faire une promenade à vélo ; qui sait, je rencontrerai peut-être un type qui s'emmer... autant que moi, et pourquoi pas une petite après midi caline ?
Avant d'enfourcher mon vélo, je monte dans ma chambre enfiler une tenue adéquate : un dos nu rouge attaché par des noeuds en bas des reins et dans le cou, et pour éviter les commentaires de ma mère, je mets dessous un soutien gorge très sage bien que normalement je n'en porte pas avec ce dos nu, malgré mon 95C. Sous ma jupe mi cuisse qui va voler au vent, je mets un joli string noir avec une fleur rouge, mais la encore, pour éviter les discussions avec ma mère, j'enfile un short sous ma jupe.
Je passe au salon lancer un "au revoir, je vais me promener en vélo une bonne partie de l'après midi", puis je passe par le garage prendre mon vélo et en route !
Dès la maison hors de vue, je bifurque dans le premier chemin venu, je pose mon vélo contre la haie, et , personne en vue, j'enlève ce soutif ridicule et le short que je fourre dans ma sacoche de guidon. Je suis bien plus a l'aise comme cela, mes seins se promènent librement sous mon dos nu, et le vent peut ainsi s'engoufrer sous ma jupe et je sens sa caresse sur le haut de mes cuisses. Me savoir quasiment nue, à la merci d'un coup de vent qui relève ma jupe ou d'un mouvement un peu exagéré qui fait déborder un sein de sa cachette m'exite au plus haut point.
Je reprends mon chemin, et de temps en temps, je croise une vieille qui travaille dans son jardin ou un agriculteur qui revient de soigner ses bètes, mais rien de bien interessant, jusqu'au moment ou je tombe sur un groupe de 4 cyclistes arrétés au bord de la route pour une pause bien méritée ; je les mate au passage, profitant de leur short moulant et de leur maillot qui dessine leur corps, et je les vois aussi qui me suivent du regard, et même une fois passée, je sens encore leur regard sur mon dos.
Je ne vais pas laisser passer une si bonne occasion, ils sont tous les 4 mignons, la trentaine environ, et plutot pas mal faits de corps ; juste après le virage, ils ne peuvent plus me voir, je mets pied à terre et je fais sauter la chaine du dérailleur ; je m'accroupis face à la route, faisant semblant d'essayer de réparer, mais sans succès bien entendu. Quelques instants àprès (ils n'ont pas attendu longtemps, les bougres), les 4 gars jaillissent du virage, et me voyant occupée à essayer de réparer, ils s'arrètent près de moi, en ayant eu bien sur le temps de se rincer l'oeil sur mon entrejambes car j'étais toujours accroupie devant mon vélo.
- " des ennuis ma petite demoiselle ? "
- " oh oui, j'ai déraillé et la chaine s'est coincée "
- " vous inquiétez pas je vais vous la décoincer, moi "
Et il s'approche de mon vélo, s'accroupit à coté de moi et entreprend de réparer la chaine ; pendant ce temps, les autres se sont aussi approchés, il y en a deux en face de moi qui matent sans retenue mon entrejambe, pendant que je fais semblant de m'intéresser aux réparations et ne rien remarquer de leur manège ; le quatrième est venu se placer à ma droite et légèrement en retrait afin de pouvoir contempler mon décolleté.
- " dites, ça ne doit pas être très pratique de faire du vélo en jupe " entame l'un des deux en face de moi .
Je lève les yeux et lui répond du tac au tac
- "c'est surement plus agréable que d'avoir les parties comprimées comme ça dans votre short ! d'autant plus que ça m'a l'air de prendre plus de place que prévu ..."
- "Normal, surtout quand y'a des filles qui passent à moitié à poil devant nous !" répond le premier.
C'est le moment que choisit le gars qui était légèrement derrière moi pour tirer sur le noeud qui retient mon dos nu dans le cou ; et me voila accroupie avec les seins à l'air au milieu de quatre types qui bandent déjà dur.
- " Ben te gène pas" dis-je en me relevant " tu veux pas non plus ma petite culotte ? " ajoutai-je d'un ton provoquant.
La dessus, celui qui était encore accroupi à ma gauche en train de réparer mon vélo, souleva ma jupe en s'exclamant :
- " moi je la veux bien, ce sera ma récompense pour la réparation du vélo "
Il se baissa à nouveau pour faire glisser mon string le long de mes cuisses ; voyant que le laissais faire, ceux qui étaient debout s'empressèrent de prendre possession de mon corps, les mains me caressaient le ventre, le dos, les seins tandis que celui qui m'avait volé ma culotte posait ses lèvres sur ma fine toison et commencait à me lécher la vulve.
J'étais au bord de la route, les seins à l'air, tripotée par 4 paires de mains, la jupe retroussée jusqu'aux hanches, et les mains continuaient leur exploration, je sentais des doigts qui pénètraient ma chatte, un autre qui caressait ma rosace, alors je commençais moi aussi à caresser les bosses qui durcissaient dans leur shorts, j'essayais de plonger ma main dedans, mais c'était trop serré, aussi ils baissèrent eux mêmes leurs shorts pour que je puisse les branler plus confortablement.
C'est le grand roux, je crois, qui m'a pris les cheveux pour faire descendre ma tête jusqu'au niveau de son sexe pour que je puisse le pomper ; sa verge était de bonne taille, et quand il l'enfonça au plus profond de ma gorge, j'ai bien cru que j'allais gerber ; mais il a relaché sa pression juste a temps pour que je puisse respirer, mais profitant que l'étais courbée en deux, celui qui était derrière moi en a profité pour s'enfoncer d'un seul coup sans prévenir jusqu'au fond de mon vagin.
J'étais tellement trempée, qu'il n'a eu aucun mal à rentrer, et quelques allers retours plus tard, j'ai eu mon premier orgasme pendant que le grand roux m'envoyait toute sa purée au fond de la gorge. Il m'a forcé à lui nettoyer son outil en me traitant de salope et de sac à foutre, ce qui paraissait l'exiter au plus haut point car il rebandait déja quand j'ai eu fini de le nettoyer.
Mais les autres voulaient leur part aussi, et il le poussèrent pour que je puisse les prendre en bouche eux aussi : alternativement, je sucais l'un en branlant l'autre pendant que celui qui me ramonait la chatte accélérait le mouvement jusqu'à venir vider ses couilles en longs jets chauds au fond de mon vagin. Il fut vite remplacé par le rouquin qui me pénétra d'un seul trait et se mit à me limer à grands coups de reins, tout en caressant ma rosette. Il insistait de plus en plus, laissa couler un peu de bave dessus et introduisit un doigt, puis un deuxième, et puis un troisième, mais de l'autre main ; il savait bougrement bien y faire le salaud, il utilisait ses doigts dans mon cul pour frotter sa bite dans ma chatte à travers la fine paroi de séparation. En plus, il dilatait mon anus, ce qui me conduisit à mon deuxième orgasme. Profitant de cet instant ou je n'avais plus aucune force ni aucune volonté, il sortit sa queue couverte du sperme gluant de son prédecesseur pour la présenter à l'entrée de mon anus ou elle força le passage d'un long coup puissant qui m'arracha un cri, je ne saurais dire si c'était de jouissance ou de douleur tellement les deux étaient mèlés. En quelques coups de reins, il éjacula au fond de mon cul et se retira rapidement.
Mais ce n'était pas fini : un des deux que j'étais en train de sucer s'est allongé sur le dos dans l'herbe du bas coté, et comprenant ce qu'il attendait de moi, je me suis empalée sur son sexe dressé. Profitant de la situation, l'autre a quitté ma bouche pour venir se placer à l'entrée de mon cul dégoulinant de sperme et ils m'ont ainsi prise en sandwich pendant que le premier qui m'avait baisé pendant que je sucais le grand roux forçait ma bouche.
Pendant plus d'une demi heure, j'ai été baisée comme cela par tous les orifices, et quand ils m'ont laissé sur le bord de la route, à moitié nue, je dégoulinais de sperme et j'étais comblée, mais complètement épuisée. Il a pourtant fallu que j'arrache quelques touffes d'herbe pour essuyer un peu le trop plein avant de pouvoir rentrer chez moi (après avoir remis mon short et mon soutif) un rapide "je suis rentrée" dans le salon et je file dans la salle de bains.
Depuis cette aventure, j'apprécie beaucoup plus les charmes de la campagne et sa traquillité, ou on peut baiser en pleine nature sans être inquiétée le moins du monde. Je peux vous dire que j'en ai profité tout le reste des vacances, mais ceci est une autre histoire.
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
histoire très chaude et excitante...
pouvez vous me contacter?
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vive les promenades a bicyclette en campagne :)
Super! Raconte nous la suite de t vacances cochonne maintenant
sandrine très coquine qui mariée maintenant doit se faire encore prendre (voir
immobilier avec 2 frères) les affaires peuvent se conclure agréablement par du sexe-- n
attend d'autre récits petite coquine vicieuse
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Bonjour il m'arrive de faire du vélo en mini avec un dot nu et je reconnée que c très
exitand de sentir les regards sur soit. Sandy
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