Banquier et… salope!
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-07-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Banquier et… salope!
Je suis entré dans la banque en coup de vent avant la fermeture pour aller chercher mon nouveau carnet de chèques, et me faire chambrer par la fille derrière le guichet.
-toujours au dernier moment monsieur Fabrice P. me dit elle avec son grand et beau sourire.
-ben quand vous resterez ouvert le midi je pourrais venir plus tranquillement aussi, ça mange des banquières ?
Elle rigole.
-vous avez reçu la lettre de changement de Directeur ? c'est monsieur Edouard B. qui a repris l'agence depuis 15 jours, alors si vous voulez le rencontrer, faire sa connaissance.
Je la regarde, faisant l'étonné.
-vous organisez des rencontres maintenant ?
-non dit elle en rigolant, mais comme vous êtes un bon client ça peut être utile de le rencontrer.
-oui mais je n'ai rien de spécial à faire en ce moment et puis il n'a qu'à payer un coup pour son arrivée! il y aura du monde qui viendra!
On rigole tous les deux… et son visage se fige.
-monsieur B, je vous présente monsieur Fabrice P. client de l'agence depuis un moment.
Un bel homme de 35 ans se tient devant moi, brun, yeux noirs, petite moustache fine, bien rasé, costume, cravate qui lui vont magnifiquement bien. Un sourire à tomber sur le cul. Il me tend la main que je serre et je vois dans ses yeux une étrange lueur que je n'arrive pas vraiment à définir. On serait sur un lieu de drague, je dirais que le mec a envie de moi, mais là! dans une banque.
On papote quelques instants. Ses yeux comme les miens font le tour des corps, vraiment un beau mec et, après une autre poignée de mains je vois dans le miroir de l'entrée qu'il a les yeux de posés sur mon cul.
Bon c'est vrai que j'ai un beau cul et pas que ça d'ailleurs…
Je ne sais pas trop quoi penser de ce mec.
Il va m'obséder plusieurs jours et il quitte mes pensées.
Mais je vous l'ai déjà dit qu'il y avait un bon Dieu spécial pour les gays!
Peut être 15 jours trois semaines plus tard, je suis invité un samedi midi pour un barbecue chez un vieux pote Gérard qui s'est marié l'année dernière avec Manuel, deux beaux phénomènes de 40 ans avec qui on s'amuse beaucoup.
-met toi à l'aise, on sera une quinzaine m'avait dit Gérard.
Quand je suis arrivé les bras chargés de bouteilles et que je me sois fait engueuler. J'ai vu que je connaissais pratiquement tout le monde de présent, une dizaine de personnes, ça papotait, ça rigolait, ça picolait à l'ombre.
Manuel avait fait les braises comme il disait et, tout ce qu'il y avait à griller était là. On n'allait pas manquer.
Les retardataires arrivaient petit à petit et en bon dernier, seul, j'ai vu arriver mon banquier Edouard… surprise!
Gérard est allé à sa rencontre, je l'ai vu lui faire la bise, le prendre par l'épaule et l'amener vers nous.
-certains connaissent peut être déjà Edouard. Il est arrivé il y a peu de temps dans notre ville et c'est le nouveau directeur de la banque où j'ai mes comptes. J'ai eu l'occasion de parler avec lui et comme j'ai trouvé que c'était un mec formidable, j'ai décidé de vous le faire connaitre.
Et voilà Gérard qui nous présente tour à tour, quand il est arrivé à Mehdi, j'ai bien vu son petit sourire ironique au rebeu de compétition, et la gêne du banquier… oh j'ai pensé y aurait il anguille sous roche ? car je connais le beau Mehdi, s'il y a un mec qui lui plait, il finit à quatre pattes son sgeg au fond du cul… là ça devenait intéressant.
Quand Gérard arrive à ma hauteur, je me lève et tend la main.
-oh on se connait dit Edouard, il est comme toi client à la banque.
-eh bien dit Gérard, assis toi près de lui, vous pourrez vérifier les comptes!
J'étais un peu déçu, mon beau banquier n'avait pas son costume cravate. Je ne sais pas pourquoi j'adore les mecs habillés ainsi, peut être parce que je n'en mets jamais, ou dans de très rares occasions. J'aime regarder les mecs ainsi vêtus, la veste entrouverte en bas laissant voir l'entrejambe renflé dans le pantalon, toujours serrés ses pantalons de costard! et chez certains le renflement laisse à penser et quand ils se retournent de voir de beaux petits culs bien dessinés… eh bien moi les mecs, ça me fait bander. Ensuite de déshabiller un mec comme ça! un vrai délice de l'amener à toi en le tirant par la cravate et d'en faire ce que tu as envie.
L'après midi commençait bien, ça rigolait beaucoup autour de la table. Histoires simples et histoires de cul se mélangeaient et Edouard me parlait souvent tout bas, comme s'il me donnait les secrets de la banque! sa jambe avait frôlé la mienne à plusieurs reprises et depuis quelques temps elle restait collée, faisant de petits mouvements et moi je bandais.
Le repas se terminait, et les gens commençaient à bouger. Edouard me dit qu'il va pisser et je vois Mehdi venir vers moi, tout sourire, l'air heureux le rebeu!
Il se penche sur moi, derrière, m'entoure de ses bras, colle sa joue à la mienne, me fait un bisou.
-alors ? tu m'as même pas fait un câlin aujourd'hui! tu deviens radin mon pote!
-oh j'ai vu que tu étais bien occupé, je ne le connais pas le mec avec qui tu es venu.
-bah rien de spécial sauf qu'il a un bon cul et qu'il prend bien mon gros sgeg et il a de la voix le garçon! t'as intérêt à fermer les fenêtres.
Je rigole.
-dis donc, tout à l'heure quand le banquier est arrivé et que Gérard te l'a présenté, j'ai eu l'impression.
-que je l'avais déjà baisé..?
-et ?
-et mon pote tu peux y aller! c'est une salope je dis que ça! in fa ti ga ble!! il a pas peur des gros calibres le mec et j'ai bien vu qu'il te kiffait. Alors ramène le chez toi et baise le! euh dans ton lit pas dans le jardin si tu veux pas que tes voisins appellent les flics!
Il me fait des bisous.
-et si tu y arrives pas tout seul… ben tu m'appelles!
Il part rejoindre son mec en riant en me faisant un bisou du bout des lèvres.
Edouard revient, s'assoit près de moi, sa jambe se colle sans ambiguïté à la mienne, il me fixe.
-t'as l'air de bien le connaitre le rebeu ?
-oh oui dis je en riant, c'est un pote d'école, alors tu vois j'ai 30 ans on se connait depuis la maternelle.
-ah oui effectivement je vois, mais il te disait quoi là ? enfin si c'est pas indiscret.
-oh tu sais rien de sensationnel, il faut qu'il raconte tout le temps des bêtises Mehdi, mais c'est un mec que j'aime beaucoup tu sais.
-t'as… tu…
-mais c'est qu'il serait indiscret mon banquier dis je en lui prenant le menton, et la réponse que tu veux savoir, je ne pense pas qu'elle rentre dans le secret bancaire.
Il rigole.
-t'as raison Fabrice, mais tu sais le secret bancaire est large, très large.
Toi tu me cherches vraiment mec! j'ai pensé en le fixant et, surprise, il a baissé les yeux, les relève, me regarde et baisse les yeux à nouveau, faisant son soumis le mec!
-dis donc Edouard il faudrait que je te parle d'un truc mais faut qu'on passe à la maison. Je voudrais faire des travaux d'irrigation de mon verger et je vais avoir besoin d'un prêt.
Bien sûr que c'est faux! mais le banquier n'y connait rien en verger ! il m'écoute parler, ses yeux ne quittent pas mes lèvres, je fais exprès de sortir la langue pour me lécher les lèvres. C'est tout juste s'il ne gémit pas.
-alors si tu veux on peut aller chez moi, je te montrerais ce que je veux faire.
-oui dit il.
On se lève, il me suit comme un petit chien et je retrouve Gérard en grande discussion avec Mehdi.
-désolé Gérard je dois montrer les travaux que je veux faire dans mon verger à Edouard, on va partir maintenant, merci en tout cas pour l'invitation.
-ben vous pouvez revenir pour ce soir dit Gérard.
-y peuvent pas dit Mehdi en riant, c'est long ce qu'il a à faire visiter Fabrice.
Ils riaient quand on est parti.
J'ai joué le jeu en l'emmenant dans le verger, j'ai bien vu qu'était épaté. On était bien à l'ombre des arbres et je ne cessais de le regarder, de m'approcher de lui en le fixant et je l'ai attrapé par le tee-shirt juste sous le menton en mettant ma tête devant la sienne.
-j'aurais bien aimé voir monsieur le banquier en costume cravate ici dans mon verger. Je pourrais te tenir par la cravate.
-ça changerait quoi ? demande t-il doucement.
-que j'aime les mecs habillés comme ça et en fait j'aime les déshabiller, les foutre à poils devant moi.
Je disais ça en faisant le mec sévère, ses yeux s'agrandissent, mais pas de peur mais de plaisir.
-ici ? dans le verger ? tu fais mettre des mecs à poil ? demande t-il.
-toi t'as envie de te déshabiller ?
Il baisse la tête.
-t'as envie de faire ta salope ?
Il ne bouge pas.
Je le colle le long du poirier, qui n'a rien demandé.
-enlève ton pantalon ma belle salope et regarde moi!
Il relève la tête, ses yeux brillent, ses mains se dépêchent de défaire le pantalon, de l'ouvrir, il tombe à ses pieds.
-enlève le complètement.
Il obéit. Ses yeux me fixent toujours.
Je lui retire son tee-shirt et le reprend à la gorge l'obligeant à rester la tête droite.
-mais c'est une belle salope Edouard le banquier, alors t'aimes ça la queue ?
-oui dit il dans un souffle.
-touche la mienne délicatement.
Je sens sa main arriver sur mon entrejambe, caresse furtive, puis appuyée, ses doigts suivent ma tige, ma belle longue et grosse tige.
-tu te souviens ce qu'à dit Mehdi c'est long à visiter chez Fabrice.
Il sourit, d'un air de dire, même pas peur…!
Il baisse la fermeture éclair, sa main s'engouffre dans mon pantalon, touchant la queue.
-défait le pantalon.
Je me retrouve comme lui en boxer. Sans attendre que je lui dise quelque chose, il me tâte, me caresse, sa main passe dans le boxer et sort la bête, heureuse de prendre l'air du jardin.
Sa main l'enveloppe bien , il l'a décalotte complètement, son pouce passe sur mon gland, me faisant tressaillir.
-elle te plait ?
-oui dit il.
-tu la veux où ma belle salope ?
-j'me suis jamais fait baiser dans un verger dit il en baissant les yeux.
-oh mais on va y remédier de suite, vire moi ton boxer.
Je lâche son cou et j'ai mon nouveau directeur de banque, à poil, en chaussettes dans mon verger. Une belle verge pointe vers le haut, pas grosse, pas très longue mais y'a de quoi s'occuper. Je le fais tourner sans ménagement et j'observe son cul! putain de beau cul! haut, fier, il contracte les fesses, mes mains sont attirées, je les passe délicatement dessus, fine caresse qui m'électrise.
De lui-même, il se penche en avant, l'épaule sur le tronc du poirier, qui décidément c'est sa journée. Il écarte les jambes, écarte les belles fesses et une belle raie poilue apparait, un cul poilu, mon péché mignon. Je passe mes doigts dans la raie, la chaleur, la douceur, la moiteur, je m'agenouille pour voir ça de plus près, j'écarte plus les fesses et l'anus apparait déjà ouvert… gras… brillant.
-pas la peine de me préparer dit il, j'ai mis du gel avant de partir!
Mais quelle salope j'ai pensé en me relevant! ah il veut se faire baiser le mec!
J'ai bien décalotté mon gland, le mouillant de la mouille et de salive, chercher l'entrée, sentir la douceur de l'anus chaud s'ouvrir, saisir Edouard le banquier aux hanches, forcer doucement, sentir le gland glisser assez rapidement. Alors j'ai donné un coup de reins et en même temps que le gland entrait d'un coup il s'est mis à gueuler comme si on l'égorgeait.
J'ai voulu mettre ma main sur sa bouche, et ma queue est toute entrée d'un coup avant que je puisse le bâillonner. Il avait encore poussé un long cri.
Mehdi m'avait bien prévenu! j'ai pensé en riant, mais je m'en foutais car dans mon verger on est tranquille, les voisins ne peuvent rien voir et s'ils ont le son ben tant pis!
Heureusement que les poires n'étaient pas formées quand je lai baisé comme un malade, ça le secouait et il tenait l'arbre à pleines mains. Son épaule cognait sur l'arbre si bien que la peau a été endommagé et qu'il saignait!
Mais ma queue était heureuse et le ramonait bien. Putain de bon cul il avait mon banquier! chaud, encore bien serré, et ça claquait bien sur ses fesses. Plusieurs fois j'ai eu envie de jouir mais j'ai ralenti. C'est lui qui bougeait son cul sur ma queue, la serrant dans son conduit. Il avait passé une main entre ses jambes et me tripotait les couilles.
Je l'ai fait mettre à quatre pattes, toujours l'épaule contre le poirier et je l'ai niqué bien à fond comme dit Mehdi! il gueulait, mais demandait des encore! et quand j'ai joui j'avais l'impression d'avoir un karcher a la place de la queue, ça giclait avec force dans son cul.
Quand je suis sorti de lui, voir mon gland réapparaître, l'anus se refermer doucement, mon jus sortir et couler sur ses couilles pendantes. Je l'ai fait relever face à face et je l'ai embrassé, caressé par sa petite moustache j'ai de suite aimé sa langue, ses lèvres, sa bouche. Il se donnait, s'offrait, gémissait. La salive changeait de bouche, j'ai caressé son dos, ses fesses, pour prendre sa queue toute décalottée dans ma main chaude et le branler en me faisant sucer la langue. Il grognait, me serrait contre lui quand il a arrêté de me sucer la langue, il s'est bloqué et a joui me lançant sur le corps de longues traînées de son sperme chaud. Il a eu des soubresauts avant de me regarder, regarder mon corps.
-oh je t'en ai mis partout!
Et, avant que je dise quelque chose il était à genoux et léchait toutes traces en arrêtant pas de me fixer, des yeux de chiens heureux!
Il s'est relevé, m'a pris dans ses bras et j'ai reçu plein de bisous tendres. J'adore les bisous, ça tombe bien!
-alors ? ça fait quel effet une première fois dans un verger ?
Il rigole.
-on a eu de la chance il pleuvait pas.
-tu recommencerais ?
-avec toi! sûr et certain.
-sinon on peut trouver d'autres endroits inconnus en baise, dis je.
-oh toi t'as une idée derrière la tête dit il en riant.
-alors dis moi oui!
-euh... je pense que t'es un coquin Fabrice, alors avant de me prononcer je préfère savoir.
-ah la sagesse du banquier qui ressort dis je en riant, non, je pensais juste… te baiser dans ton bureau à la banque.
-ça va pas! dit il les yeux horrifiés, t'as pas entendu les gueulantes que je pousse! t'es sûr qu'on se fait griller.
-ben alors sans te baiser, j'ai envie que tu me suces dans ton bureau, avec les filles de l'autre côté de la porte.
Il rougit pour un brun.
-je sais pas dit il.
-dis moi oui monsieur le banquier et je te fais passer la nuit de tes rêves.
-chiche! dit il en me prenant dans ses bras.
Mon banquier est bien une salope!
-toujours au dernier moment monsieur Fabrice P. me dit elle avec son grand et beau sourire.
-ben quand vous resterez ouvert le midi je pourrais venir plus tranquillement aussi, ça mange des banquières ?
Elle rigole.
-vous avez reçu la lettre de changement de Directeur ? c'est monsieur Edouard B. qui a repris l'agence depuis 15 jours, alors si vous voulez le rencontrer, faire sa connaissance.
Je la regarde, faisant l'étonné.
-vous organisez des rencontres maintenant ?
-non dit elle en rigolant, mais comme vous êtes un bon client ça peut être utile de le rencontrer.
-oui mais je n'ai rien de spécial à faire en ce moment et puis il n'a qu'à payer un coup pour son arrivée! il y aura du monde qui viendra!
On rigole tous les deux… et son visage se fige.
-monsieur B, je vous présente monsieur Fabrice P. client de l'agence depuis un moment.
Un bel homme de 35 ans se tient devant moi, brun, yeux noirs, petite moustache fine, bien rasé, costume, cravate qui lui vont magnifiquement bien. Un sourire à tomber sur le cul. Il me tend la main que je serre et je vois dans ses yeux une étrange lueur que je n'arrive pas vraiment à définir. On serait sur un lieu de drague, je dirais que le mec a envie de moi, mais là! dans une banque.
On papote quelques instants. Ses yeux comme les miens font le tour des corps, vraiment un beau mec et, après une autre poignée de mains je vois dans le miroir de l'entrée qu'il a les yeux de posés sur mon cul.
Bon c'est vrai que j'ai un beau cul et pas que ça d'ailleurs…
Je ne sais pas trop quoi penser de ce mec.
Il va m'obséder plusieurs jours et il quitte mes pensées.
Mais je vous l'ai déjà dit qu'il y avait un bon Dieu spécial pour les gays!
Peut être 15 jours trois semaines plus tard, je suis invité un samedi midi pour un barbecue chez un vieux pote Gérard qui s'est marié l'année dernière avec Manuel, deux beaux phénomènes de 40 ans avec qui on s'amuse beaucoup.
-met toi à l'aise, on sera une quinzaine m'avait dit Gérard.
Quand je suis arrivé les bras chargés de bouteilles et que je me sois fait engueuler. J'ai vu que je connaissais pratiquement tout le monde de présent, une dizaine de personnes, ça papotait, ça rigolait, ça picolait à l'ombre.
Manuel avait fait les braises comme il disait et, tout ce qu'il y avait à griller était là. On n'allait pas manquer.
Les retardataires arrivaient petit à petit et en bon dernier, seul, j'ai vu arriver mon banquier Edouard… surprise!
Gérard est allé à sa rencontre, je l'ai vu lui faire la bise, le prendre par l'épaule et l'amener vers nous.
-certains connaissent peut être déjà Edouard. Il est arrivé il y a peu de temps dans notre ville et c'est le nouveau directeur de la banque où j'ai mes comptes. J'ai eu l'occasion de parler avec lui et comme j'ai trouvé que c'était un mec formidable, j'ai décidé de vous le faire connaitre.
Et voilà Gérard qui nous présente tour à tour, quand il est arrivé à Mehdi, j'ai bien vu son petit sourire ironique au rebeu de compétition, et la gêne du banquier… oh j'ai pensé y aurait il anguille sous roche ? car je connais le beau Mehdi, s'il y a un mec qui lui plait, il finit à quatre pattes son sgeg au fond du cul… là ça devenait intéressant.
Quand Gérard arrive à ma hauteur, je me lève et tend la main.
-oh on se connait dit Edouard, il est comme toi client à la banque.
-eh bien dit Gérard, assis toi près de lui, vous pourrez vérifier les comptes!
J'étais un peu déçu, mon beau banquier n'avait pas son costume cravate. Je ne sais pas pourquoi j'adore les mecs habillés ainsi, peut être parce que je n'en mets jamais, ou dans de très rares occasions. J'aime regarder les mecs ainsi vêtus, la veste entrouverte en bas laissant voir l'entrejambe renflé dans le pantalon, toujours serrés ses pantalons de costard! et chez certains le renflement laisse à penser et quand ils se retournent de voir de beaux petits culs bien dessinés… eh bien moi les mecs, ça me fait bander. Ensuite de déshabiller un mec comme ça! un vrai délice de l'amener à toi en le tirant par la cravate et d'en faire ce que tu as envie.
L'après midi commençait bien, ça rigolait beaucoup autour de la table. Histoires simples et histoires de cul se mélangeaient et Edouard me parlait souvent tout bas, comme s'il me donnait les secrets de la banque! sa jambe avait frôlé la mienne à plusieurs reprises et depuis quelques temps elle restait collée, faisant de petits mouvements et moi je bandais.
Le repas se terminait, et les gens commençaient à bouger. Edouard me dit qu'il va pisser et je vois Mehdi venir vers moi, tout sourire, l'air heureux le rebeu!
Il se penche sur moi, derrière, m'entoure de ses bras, colle sa joue à la mienne, me fait un bisou.
-alors ? tu m'as même pas fait un câlin aujourd'hui! tu deviens radin mon pote!
-oh j'ai vu que tu étais bien occupé, je ne le connais pas le mec avec qui tu es venu.
-bah rien de spécial sauf qu'il a un bon cul et qu'il prend bien mon gros sgeg et il a de la voix le garçon! t'as intérêt à fermer les fenêtres.
Je rigole.
-dis donc, tout à l'heure quand le banquier est arrivé et que Gérard te l'a présenté, j'ai eu l'impression.
-que je l'avais déjà baisé..?
-et ?
-et mon pote tu peux y aller! c'est une salope je dis que ça! in fa ti ga ble!! il a pas peur des gros calibres le mec et j'ai bien vu qu'il te kiffait. Alors ramène le chez toi et baise le! euh dans ton lit pas dans le jardin si tu veux pas que tes voisins appellent les flics!
Il me fait des bisous.
-et si tu y arrives pas tout seul… ben tu m'appelles!
Il part rejoindre son mec en riant en me faisant un bisou du bout des lèvres.
Edouard revient, s'assoit près de moi, sa jambe se colle sans ambiguïté à la mienne, il me fixe.
-t'as l'air de bien le connaitre le rebeu ?
-oh oui dis je en riant, c'est un pote d'école, alors tu vois j'ai 30 ans on se connait depuis la maternelle.
-ah oui effectivement je vois, mais il te disait quoi là ? enfin si c'est pas indiscret.
-oh tu sais rien de sensationnel, il faut qu'il raconte tout le temps des bêtises Mehdi, mais c'est un mec que j'aime beaucoup tu sais.
-t'as… tu…
-mais c'est qu'il serait indiscret mon banquier dis je en lui prenant le menton, et la réponse que tu veux savoir, je ne pense pas qu'elle rentre dans le secret bancaire.
Il rigole.
-t'as raison Fabrice, mais tu sais le secret bancaire est large, très large.
Toi tu me cherches vraiment mec! j'ai pensé en le fixant et, surprise, il a baissé les yeux, les relève, me regarde et baisse les yeux à nouveau, faisant son soumis le mec!
-dis donc Edouard il faudrait que je te parle d'un truc mais faut qu'on passe à la maison. Je voudrais faire des travaux d'irrigation de mon verger et je vais avoir besoin d'un prêt.
Bien sûr que c'est faux! mais le banquier n'y connait rien en verger ! il m'écoute parler, ses yeux ne quittent pas mes lèvres, je fais exprès de sortir la langue pour me lécher les lèvres. C'est tout juste s'il ne gémit pas.
-alors si tu veux on peut aller chez moi, je te montrerais ce que je veux faire.
-oui dit il.
On se lève, il me suit comme un petit chien et je retrouve Gérard en grande discussion avec Mehdi.
-désolé Gérard je dois montrer les travaux que je veux faire dans mon verger à Edouard, on va partir maintenant, merci en tout cas pour l'invitation.
-ben vous pouvez revenir pour ce soir dit Gérard.
-y peuvent pas dit Mehdi en riant, c'est long ce qu'il a à faire visiter Fabrice.
Ils riaient quand on est parti.
J'ai joué le jeu en l'emmenant dans le verger, j'ai bien vu qu'était épaté. On était bien à l'ombre des arbres et je ne cessais de le regarder, de m'approcher de lui en le fixant et je l'ai attrapé par le tee-shirt juste sous le menton en mettant ma tête devant la sienne.
-j'aurais bien aimé voir monsieur le banquier en costume cravate ici dans mon verger. Je pourrais te tenir par la cravate.
-ça changerait quoi ? demande t-il doucement.
-que j'aime les mecs habillés comme ça et en fait j'aime les déshabiller, les foutre à poils devant moi.
Je disais ça en faisant le mec sévère, ses yeux s'agrandissent, mais pas de peur mais de plaisir.
-ici ? dans le verger ? tu fais mettre des mecs à poil ? demande t-il.
-toi t'as envie de te déshabiller ?
Il baisse la tête.
-t'as envie de faire ta salope ?
Il ne bouge pas.
Je le colle le long du poirier, qui n'a rien demandé.
-enlève ton pantalon ma belle salope et regarde moi!
Il relève la tête, ses yeux brillent, ses mains se dépêchent de défaire le pantalon, de l'ouvrir, il tombe à ses pieds.
-enlève le complètement.
Il obéit. Ses yeux me fixent toujours.
Je lui retire son tee-shirt et le reprend à la gorge l'obligeant à rester la tête droite.
-mais c'est une belle salope Edouard le banquier, alors t'aimes ça la queue ?
-oui dit il dans un souffle.
-touche la mienne délicatement.
Je sens sa main arriver sur mon entrejambe, caresse furtive, puis appuyée, ses doigts suivent ma tige, ma belle longue et grosse tige.
-tu te souviens ce qu'à dit Mehdi c'est long à visiter chez Fabrice.
Il sourit, d'un air de dire, même pas peur…!
Il baisse la fermeture éclair, sa main s'engouffre dans mon pantalon, touchant la queue.
-défait le pantalon.
Je me retrouve comme lui en boxer. Sans attendre que je lui dise quelque chose, il me tâte, me caresse, sa main passe dans le boxer et sort la bête, heureuse de prendre l'air du jardin.
Sa main l'enveloppe bien , il l'a décalotte complètement, son pouce passe sur mon gland, me faisant tressaillir.
-elle te plait ?
-oui dit il.
-tu la veux où ma belle salope ?
-j'me suis jamais fait baiser dans un verger dit il en baissant les yeux.
-oh mais on va y remédier de suite, vire moi ton boxer.
Je lâche son cou et j'ai mon nouveau directeur de banque, à poil, en chaussettes dans mon verger. Une belle verge pointe vers le haut, pas grosse, pas très longue mais y'a de quoi s'occuper. Je le fais tourner sans ménagement et j'observe son cul! putain de beau cul! haut, fier, il contracte les fesses, mes mains sont attirées, je les passe délicatement dessus, fine caresse qui m'électrise.
De lui-même, il se penche en avant, l'épaule sur le tronc du poirier, qui décidément c'est sa journée. Il écarte les jambes, écarte les belles fesses et une belle raie poilue apparait, un cul poilu, mon péché mignon. Je passe mes doigts dans la raie, la chaleur, la douceur, la moiteur, je m'agenouille pour voir ça de plus près, j'écarte plus les fesses et l'anus apparait déjà ouvert… gras… brillant.
-pas la peine de me préparer dit il, j'ai mis du gel avant de partir!
Mais quelle salope j'ai pensé en me relevant! ah il veut se faire baiser le mec!
J'ai bien décalotté mon gland, le mouillant de la mouille et de salive, chercher l'entrée, sentir la douceur de l'anus chaud s'ouvrir, saisir Edouard le banquier aux hanches, forcer doucement, sentir le gland glisser assez rapidement. Alors j'ai donné un coup de reins et en même temps que le gland entrait d'un coup il s'est mis à gueuler comme si on l'égorgeait.
J'ai voulu mettre ma main sur sa bouche, et ma queue est toute entrée d'un coup avant que je puisse le bâillonner. Il avait encore poussé un long cri.
Mehdi m'avait bien prévenu! j'ai pensé en riant, mais je m'en foutais car dans mon verger on est tranquille, les voisins ne peuvent rien voir et s'ils ont le son ben tant pis!
Heureusement que les poires n'étaient pas formées quand je lai baisé comme un malade, ça le secouait et il tenait l'arbre à pleines mains. Son épaule cognait sur l'arbre si bien que la peau a été endommagé et qu'il saignait!
Mais ma queue était heureuse et le ramonait bien. Putain de bon cul il avait mon banquier! chaud, encore bien serré, et ça claquait bien sur ses fesses. Plusieurs fois j'ai eu envie de jouir mais j'ai ralenti. C'est lui qui bougeait son cul sur ma queue, la serrant dans son conduit. Il avait passé une main entre ses jambes et me tripotait les couilles.
Je l'ai fait mettre à quatre pattes, toujours l'épaule contre le poirier et je l'ai niqué bien à fond comme dit Mehdi! il gueulait, mais demandait des encore! et quand j'ai joui j'avais l'impression d'avoir un karcher a la place de la queue, ça giclait avec force dans son cul.
Quand je suis sorti de lui, voir mon gland réapparaître, l'anus se refermer doucement, mon jus sortir et couler sur ses couilles pendantes. Je l'ai fait relever face à face et je l'ai embrassé, caressé par sa petite moustache j'ai de suite aimé sa langue, ses lèvres, sa bouche. Il se donnait, s'offrait, gémissait. La salive changeait de bouche, j'ai caressé son dos, ses fesses, pour prendre sa queue toute décalottée dans ma main chaude et le branler en me faisant sucer la langue. Il grognait, me serrait contre lui quand il a arrêté de me sucer la langue, il s'est bloqué et a joui me lançant sur le corps de longues traînées de son sperme chaud. Il a eu des soubresauts avant de me regarder, regarder mon corps.
-oh je t'en ai mis partout!
Et, avant que je dise quelque chose il était à genoux et léchait toutes traces en arrêtant pas de me fixer, des yeux de chiens heureux!
Il s'est relevé, m'a pris dans ses bras et j'ai reçu plein de bisous tendres. J'adore les bisous, ça tombe bien!
-alors ? ça fait quel effet une première fois dans un verger ?
Il rigole.
-on a eu de la chance il pleuvait pas.
-tu recommencerais ?
-avec toi! sûr et certain.
-sinon on peut trouver d'autres endroits inconnus en baise, dis je.
-oh toi t'as une idée derrière la tête dit il en riant.
-alors dis moi oui!
-euh... je pense que t'es un coquin Fabrice, alors avant de me prononcer je préfère savoir.
-ah la sagesse du banquier qui ressort dis je en riant, non, je pensais juste… te baiser dans ton bureau à la banque.
-ça va pas! dit il les yeux horrifiés, t'as pas entendu les gueulantes que je pousse! t'es sûr qu'on se fait griller.
-ben alors sans te baiser, j'ai envie que tu me suces dans ton bureau, avec les filles de l'autre côté de la porte.
Il rougit pour un brun.
-je sais pas dit il.
-dis moi oui monsieur le banquier et je te fais passer la nuit de tes rêves.
-chiche! dit il en me prenant dans ses bras.
Mon banquier est bien une salope!
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