Bastien 1 - histoire érotique

Bonjour, je m’appelle Bastien et je suis gay.
Je ne me souviens pas avoir été attiré par une femme à part ma mère que j’aimais d’un amour filial.
Après avoir joué souvent au docteur et à touche pipi j’ai évolué en grandissant. J’ai sucé des potes qui m’ont méprisé ensuite. Je ne trouvais pas celui à qui m’offrir totalement. Me sentir méprisé ne me gênait pas, je trouvais même ça intéressant.
Vers mes dix-huit ans je commençais à avoir une expérience de sucette assez bonne et avalait parfois le jus de bite que j’appréciais. Je devais avoir une tête qui plaisait mais qui perso ne m’intéressait pas, je cherchais moi plutôt un mec jeune, mignon mais actif et vicieux.
Un soir en boîte, sur une péniche disco, je discutais au bar avec un mec qui me plaisait mais qui matait tout le monde sans trop faire attention à moi. J’avais un besoin urgent et me suis excusé un moment pour aller aux toilettes. Au retour il avait les yeux un peu brillants et il avait commandé un verre qui m’attendait sur le comptoir. On a trinqué et j’ai siroté ce verre tranquillement. Je le voyais me surveiller mais il était beau et je sentais le bon coup.
Au bout d’un moment, le verre fini il a passé le bras sur mon épaule.
-Tu viens prendre le dernier chez moi ?
J’ai souri, oui pourquoi pas. Une fois sorti et monté dans sa voiture j’ai commencé à me sentir tout mou et sans volonté. Il a attaché ma ceinture, frôlant ma braguette. Et on a roulé le long du canal ou était stationné la péniche. Je ne réalisais plus rien me laissant partir dans un rêve auquel je participais sans vraiment être moi.
J’ai bien senti qu’on me soutenait pour sortir de la voiture sans vraiment savoir ou je me trouvais. J’ai commencé à réaliser quand le mec m’a dessapé et a attaché mes bras au montant d’un lit sans matelas, juste avec un sommier qui grinçait et dont les ressorts me rentraient dans la peau.
La voix pâteuse j’ai demandé ce qu’il voulait.
-Je veux tout Bastien. Tu m’as dit être dans la dèche, ne plus avoir de quoi te loger ni de parents à qui t’adresser. Alors je vais abuser de toi, tu seras entièrement à moi. Tu m’as parlé de ta recherche vaine et moi je t’ai trouvé
J’ai senti mon corps réagir sans savoir si j’appréciais ou pas. Je bandais sans me voir, la tête attachée par le cou au sommier, mais j’étais raide sans aucun doute quand il a pris ma bite de la main et a tiré pour dégager entièrement le gland.
-Comme ça je vois tes réactions et ça ne te déplais pas. Tu as déjà été enculé ?
J’ai rougi ce qui l’a fait rire.
-Je prends ce rouge au front pour un non. Voilà qui va me changer de baiser un puceau ! Enfin tu ne le seras plus dans peu de temps.
Se servant d’une menotte de cheville il a accroché un de mes pieds à un morceau du sommier métallique et fait de même avec l’autre.
-Je vais attacher tes genoux pour que tu sois ouvert et ton anus bien visible.
Il l’a fait et a placé un coussin sous mes reins. Je voyais qu’il prenait des photos avec son portable sans que je puisse réagir.
-Regarde ce que tu ne vois jamais et qui sera sur un réseau de soumission dans peu de temps.
Avec une corde en sisal qui picotait il a entouré mes couilles et a attaché l’autre bout à un anneau au plafond tirant dessus.
-Bon et plus agréable pour moi.
Il a enduit ses doigts de gel avant de les passer dans ma raie. J’ai gémi, bien sûr j’avais déjà eu des mains passant à cet endroit mais jamais été impuissant pour la repousser. Il a bien vite trouvé l’endroit et a poussé un peu son doigt. Je me suis retenu tellement je ne ressentais pas la douleur, non, mais la sensation d’e ne pas pouvoir me maitriser. Il a tourné le doigt dans mes fesses avant de le sortir.
-On va passer aux choses sérieuses.
Tranquillement il s’est dessapé et s’est branlé un peu en me regardant. Sa verge était belle, tendue et le gland qui sortait est vite passé du rose au rouge. Il a mis une couverture épaisse et s’est installé dessus à genoux.
-Pense que tu vis tes derniers instants de puceau.
Il a approché son gland que je ne voyais plus juste contre mon anus resserré et doucement a poussé. J’ai ouvert la bouche dans un cri muet. Il poussait et mon cul cédait à sa queue. Délicieusement violé comme dans mes rêves les plus fous.
-Ouvre les yeux ! Regarde celui qui te baise le cul. Tu te rappelleras de moi toute ta vie.
Il souriait tout en me pinant le cul tranquillement.
-J’ai de la réserve et j’espère que tu es propre car tu vas sucer la queue et devoir t’habituer à tes odeurs corporelles comme ce que tu as dans les boyaux. Je suis sûr que tu entretiendras mieux tes fesses la prochaine fois.
Il s’est dégagé de mes fesses pour me mettre sa bite sous le nez.
-Suce moi, je sais tout de tes fantasmes de chienne. Tu m’as beaucoup parlé dans la voiture et je vais réaliser et transformer tes fantasmes en réalité. Lèche d’abord et suce après.
-Ah l’odeur de mon cul ! J’en avais rêvé dans les toilettes mais là je l’avais sous les yeux autour du gland de ce mec mignon mais inconnu.
J’ai donné des coups de langue sur le gland odorant mais pas trop, je connaissais mon odeur et quand il s’est approche un peu plus j’ai sucé, le nez dans les poils de son pubis.
-Arrête je ne veux pas jouir dans ta petite tronche mais dans ton cul.
Il est revenu entre mes fesses et le passage s’est ouvert cette fois non sans mal mais pas trop et il a entamé ses va et vient entre mes cuisses. Chacun de ses coups de reins tirait sur mon sac de couilles attaché au plafond.