Bastien 4
Récit érotique écrit par Conteur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-04-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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Bastien 4
Se servant d’une menotte de cheville il a accroché un de mes pieds à un morceau du sommier métallique et fait de même avec l’autre.
-Je vais attacher tes genoux pour que tu sois ouvert et ton anus bien visible.
Il l’a fait et a placé un coussin sous mes reins. Je voyais qu’il prenait des photos avec son portable sans que je puisse réagir.
-Regarde ce que tu ne vois jamais et qui sera sur un réseau de soumission dans peu de temps.
Avec une corde en sisal qui picotait il a entouré mes couilles et a attaché l’autre bout à un anneau au plafond tirant dessus.
-Bon et plus agréable pour moi.
Il a enduit ses doigts de gel avant de les passer dans ma raie. J’ai gémi, bien sûr j’avais déjà eu des mains passant à cet endroit mais jamais été impuissant pour la repousser. Il a bien vite trouvé l’endroit et a poussé un peu son doigt. Je me suis retenu tellement je ne ressentais pas la douleur, non, mais la sensation d’e ne pas pouvoir me maitriser. Il a tourné le doigt dans mes fesses avant de le sortir.
-On va passer aux choses sérieuses.
Tranquillement il s’est dessapé et s’est branlé un peu en me regardant. Sa verge était belle, tendue et le gland qui sortait est vite passé du rose au rouge. Il a mis une couverture épaisse et s’est installé dessus à genoux.
-Pense que tu vis tes derniers instants de puceau.
Il a approché son gland que je ne voyais plus juste contre mon anus resserré et doucement a poussé. J’ai ouvert la bouche dans un cri muet. Il poussait et mon cul cédait à sa queue. Délicieusement violé comme dans mes rêves les plus fous.
-Ouvre les yeux ! Regarde celui qui te baise le cul. Tu te rappelleras de moi toute ta vie.
Il souriait tout en me pinant le cul tranquillement.
-J’ai de la réserve et j’espère que tu es propre car tu vas sucer la queue et devoir t’habituer à tes odeurs corporelles comme ce que tu as dans les boyaux. Je suis sûr que tu entretiendras mieux tes fesses la prochaine fois.
Il s’est dégagé de mes fesses pour me mettre sa bite sous le nez.
-Suce moi, je sais tout de tes fantasmes de chienne. Tu m’as beaucoup parlé dans la voiture et je vais réaliser et transformer tes fantasmes en réalité. Lèche d’abord et suce après.
-Ah l’odeur de mon cul ! J’en avais rêvé dans les toilettes mais là je l’avais sous les yeux autour du gland de ce mec mignon mais inconnu.
J’ai donné des coups de langue sur le gland odorant mais pas trop, je connaissais mon odeur et quand il s’est approche un peu plus j’ai sucé, le nez dans les poils de son pubis.
-Arrête je ne veux pas jouir dans ta petite tronche mais dans ton cul.
Il est revenu entre mes fesses et le passage s’est ouvert cette fois non sans mal mais pas trop et il a entamé ses va et vient entre mes cuisses. Chacun de ses coups de reins tirait sur mon sac de couilles attaché au plafond.
-Je sais que ton fantasme était d’appartenir à un jeune dominateur. Parle dis-moi que ça te plaît, que je te plais !
Oui, euh je ne sais pas votre nom ?
-Tu n’as pas besoin de le savoir pour le moment. Tu étais Bastien et tu es maintenant ma chienne, ma lopette, en gros, mon esclave de cul. Tu le voulais non ?
Oui je le voulais.
-Bien j’ai vérifié et tu as l’âge et une carte d’identité. Comme je suis batelier on va remonter doucement vers le nord, la Belgique, l’Allemagne. Là-bas on passera par les Pays bas et tu seras mis à disposition. Comme une pute. Tu apprendras que ce n’est pas l’âge ni le physique qui compte mais la queue et les vices. D’ici là je t’aurais ouvert le cul et ta petite gueule. Si tu te demandes où tu es, pour le moment je suis amarré à une autre péniche à Conflans. Quand on partira tu auras un peu de liberté mais juste ici. Il faudra t’habituer à porter un collier de chien. Tu te trouves dans la cale, à la pointe du bateau, là où personne ne vérifie ce qu’il y a. Juste la trappe en haut permet de sortir et je le cadenasse en partant. Je te laisse un moment.
Il a grimpé une échelle et j’ai vu le jour passer par la trappe avant qu’elle se referme. Il n’y avait qu’une faible lampe sous un grillage et je ne voyais que peu de choses. Combien de fois j’avais rêvé me trouver dans cette situation je l’ignore mais je bandais comme un fou. Seul, attaché en croix, exposé sans défense. J’avais déjà pris cette pose mais je ne tenais pas longtemps avant de me branler ce qui m’était impossible cette fois. J’ai entendu du bruit, un que je ne connaissais pas mais j’ai compris que c’était l’étrave qui faisait glisser le bateau en avant. Je n’ai pas revu le mec avant un bon moment et j’ai dû m’assoupir.
J’ai été réveillé par un bruit de roulement, cette fois j’ai compris que c’était le roulement des toits de la péniche et ensuite le grondement du vrac qui l’alourdissait avant que les panneaux se referment et que la péniche déhale de cet endroit. Je m’ankylosais sans pouvoir bouger et après un moment la trappe s’est ouverte et il est descendu.
-Je te détache rapidement on est en ligne droite.
Il m’a passé un collier de chien clouté et cadenassé derrière le cou.
Tu peux sortir, nu bien sûr et venir à côté de mon poste de barre. Même si un batelier te vois il n’opèrera pas un demi-tour pour ça. Si on croise une autre péniche cramponne toi ça bouge pas mal dans sa vague d’étrave.
Il est reparti assez vite me laissant nu. Pas de vêtements dans cette cale. Je suis monté de quelques marches, la tête dehors j’ai regardé autour de moi. Personne si ce n’est mon mec de l’autre côté de la cabine vitrée. Je suis sorti, ça m’a fait drôle de marcher nu vers lui un peu comme une femelle va trouver son mâle. Il souriait.
-Tu vas devoir t’habituer à être nu, pendant les écluses tu descendras dans ma cabine et enfilera le pantalon à bretelle, sauf à certaines où je suis connu. Un homme jeune ne doit pas craindre de se montrer et t’es pas si mal. Il n’y aura qu’aux frontières où tu devras aller dans la cale avant. Tout à l’heure je ferais halte près d’un quai et une fois amarré tu auras droit à ta deuxième enculade. Descend dans ma cabine, laves-toi et fais-toi à manger.
Je suis descendu dans sa cabine assez grande, enfin plus que j’imaginais je le devinais mater mes fesses et j’ai creusé les reins pour l’exciter. Il m’avait dépucelé et j’avais déjà envie de le sentir à nouveau en moi. En bas tout était en bois ciré sauf une gazinière et le frigo. J’avais faim et me suis fait un sandwich avec ce que je trouvais. Je le voyais à la barre et je suis remonté m’appuyer à son épaule.
D‘une bourrade il m’a rejeté à terre.
-Tu n’es qu’une chienne et si tu veux un câlin, frotte-toi à mes cuisses ou lèche mes pieds !
J’ai vu qu’il était nu pieds et je me suis aplati sur les épaules pour lécher ses pieds. Dans cette pose je montrais ma raie brune et l’endroit plus sombre de ma fente de mec.
-Bien ça, comme pose. Ouvre la porte coulissante que ceux qu’on croise voit ton cul.
Dans ce milieu je ne connaissais personne et ça ne m’a pas dérangé de montrer mes fesses en léchant ses pieds.
Surpris j’ai vu une tête apparaître dans le petit escalier de la cabine. De visage il devait avoir trente ans, cheveux noirs bouclés et en montant il portait une salopette. Il me matait.
-Je vois que tu t’es trouvé un matelot en apprentissage. Je te prends la barre ?
-Un moment oui. Tu as bien dormi ?
-Ouais ça va. Beau petit cul ton matelot.
-Je vais attacher tes genoux pour que tu sois ouvert et ton anus bien visible.
Il l’a fait et a placé un coussin sous mes reins. Je voyais qu’il prenait des photos avec son portable sans que je puisse réagir.
-Regarde ce que tu ne vois jamais et qui sera sur un réseau de soumission dans peu de temps.
Avec une corde en sisal qui picotait il a entouré mes couilles et a attaché l’autre bout à un anneau au plafond tirant dessus.
-Bon et plus agréable pour moi.
Il a enduit ses doigts de gel avant de les passer dans ma raie. J’ai gémi, bien sûr j’avais déjà eu des mains passant à cet endroit mais jamais été impuissant pour la repousser. Il a bien vite trouvé l’endroit et a poussé un peu son doigt. Je me suis retenu tellement je ne ressentais pas la douleur, non, mais la sensation d’e ne pas pouvoir me maitriser. Il a tourné le doigt dans mes fesses avant de le sortir.
-On va passer aux choses sérieuses.
Tranquillement il s’est dessapé et s’est branlé un peu en me regardant. Sa verge était belle, tendue et le gland qui sortait est vite passé du rose au rouge. Il a mis une couverture épaisse et s’est installé dessus à genoux.
-Pense que tu vis tes derniers instants de puceau.
Il a approché son gland que je ne voyais plus juste contre mon anus resserré et doucement a poussé. J’ai ouvert la bouche dans un cri muet. Il poussait et mon cul cédait à sa queue. Délicieusement violé comme dans mes rêves les plus fous.
-Ouvre les yeux ! Regarde celui qui te baise le cul. Tu te rappelleras de moi toute ta vie.
Il souriait tout en me pinant le cul tranquillement.
-J’ai de la réserve et j’espère que tu es propre car tu vas sucer la queue et devoir t’habituer à tes odeurs corporelles comme ce que tu as dans les boyaux. Je suis sûr que tu entretiendras mieux tes fesses la prochaine fois.
Il s’est dégagé de mes fesses pour me mettre sa bite sous le nez.
-Suce moi, je sais tout de tes fantasmes de chienne. Tu m’as beaucoup parlé dans la voiture et je vais réaliser et transformer tes fantasmes en réalité. Lèche d’abord et suce après.
-Ah l’odeur de mon cul ! J’en avais rêvé dans les toilettes mais là je l’avais sous les yeux autour du gland de ce mec mignon mais inconnu.
J’ai donné des coups de langue sur le gland odorant mais pas trop, je connaissais mon odeur et quand il s’est approche un peu plus j’ai sucé, le nez dans les poils de son pubis.
-Arrête je ne veux pas jouir dans ta petite tronche mais dans ton cul.
Il est revenu entre mes fesses et le passage s’est ouvert cette fois non sans mal mais pas trop et il a entamé ses va et vient entre mes cuisses. Chacun de ses coups de reins tirait sur mon sac de couilles attaché au plafond.
-Je sais que ton fantasme était d’appartenir à un jeune dominateur. Parle dis-moi que ça te plaît, que je te plais !
Oui, euh je ne sais pas votre nom ?
-Tu n’as pas besoin de le savoir pour le moment. Tu étais Bastien et tu es maintenant ma chienne, ma lopette, en gros, mon esclave de cul. Tu le voulais non ?
Oui je le voulais.
-Bien j’ai vérifié et tu as l’âge et une carte d’identité. Comme je suis batelier on va remonter doucement vers le nord, la Belgique, l’Allemagne. Là-bas on passera par les Pays bas et tu seras mis à disposition. Comme une pute. Tu apprendras que ce n’est pas l’âge ni le physique qui compte mais la queue et les vices. D’ici là je t’aurais ouvert le cul et ta petite gueule. Si tu te demandes où tu es, pour le moment je suis amarré à une autre péniche à Conflans. Quand on partira tu auras un peu de liberté mais juste ici. Il faudra t’habituer à porter un collier de chien. Tu te trouves dans la cale, à la pointe du bateau, là où personne ne vérifie ce qu’il y a. Juste la trappe en haut permet de sortir et je le cadenasse en partant. Je te laisse un moment.
Il a grimpé une échelle et j’ai vu le jour passer par la trappe avant qu’elle se referme. Il n’y avait qu’une faible lampe sous un grillage et je ne voyais que peu de choses. Combien de fois j’avais rêvé me trouver dans cette situation je l’ignore mais je bandais comme un fou. Seul, attaché en croix, exposé sans défense. J’avais déjà pris cette pose mais je ne tenais pas longtemps avant de me branler ce qui m’était impossible cette fois. J’ai entendu du bruit, un que je ne connaissais pas mais j’ai compris que c’était l’étrave qui faisait glisser le bateau en avant. Je n’ai pas revu le mec avant un bon moment et j’ai dû m’assoupir.
J’ai été réveillé par un bruit de roulement, cette fois j’ai compris que c’était le roulement des toits de la péniche et ensuite le grondement du vrac qui l’alourdissait avant que les panneaux se referment et que la péniche déhale de cet endroit. Je m’ankylosais sans pouvoir bouger et après un moment la trappe s’est ouverte et il est descendu.
-Je te détache rapidement on est en ligne droite.
Il m’a passé un collier de chien clouté et cadenassé derrière le cou.
Tu peux sortir, nu bien sûr et venir à côté de mon poste de barre. Même si un batelier te vois il n’opèrera pas un demi-tour pour ça. Si on croise une autre péniche cramponne toi ça bouge pas mal dans sa vague d’étrave.
Il est reparti assez vite me laissant nu. Pas de vêtements dans cette cale. Je suis monté de quelques marches, la tête dehors j’ai regardé autour de moi. Personne si ce n’est mon mec de l’autre côté de la cabine vitrée. Je suis sorti, ça m’a fait drôle de marcher nu vers lui un peu comme une femelle va trouver son mâle. Il souriait.
-Tu vas devoir t’habituer à être nu, pendant les écluses tu descendras dans ma cabine et enfilera le pantalon à bretelle, sauf à certaines où je suis connu. Un homme jeune ne doit pas craindre de se montrer et t’es pas si mal. Il n’y aura qu’aux frontières où tu devras aller dans la cale avant. Tout à l’heure je ferais halte près d’un quai et une fois amarré tu auras droit à ta deuxième enculade. Descend dans ma cabine, laves-toi et fais-toi à manger.
Je suis descendu dans sa cabine assez grande, enfin plus que j’imaginais je le devinais mater mes fesses et j’ai creusé les reins pour l’exciter. Il m’avait dépucelé et j’avais déjà envie de le sentir à nouveau en moi. En bas tout était en bois ciré sauf une gazinière et le frigo. J’avais faim et me suis fait un sandwich avec ce que je trouvais. Je le voyais à la barre et je suis remonté m’appuyer à son épaule.
D‘une bourrade il m’a rejeté à terre.
-Tu n’es qu’une chienne et si tu veux un câlin, frotte-toi à mes cuisses ou lèche mes pieds !
J’ai vu qu’il était nu pieds et je me suis aplati sur les épaules pour lécher ses pieds. Dans cette pose je montrais ma raie brune et l’endroit plus sombre de ma fente de mec.
-Bien ça, comme pose. Ouvre la porte coulissante que ceux qu’on croise voit ton cul.
Dans ce milieu je ne connaissais personne et ça ne m’a pas dérangé de montrer mes fesses en léchant ses pieds.
Surpris j’ai vu une tête apparaître dans le petit escalier de la cabine. De visage il devait avoir trente ans, cheveux noirs bouclés et en montant il portait une salopette. Il me matait.
-Je vois que tu t’es trouvé un matelot en apprentissage. Je te prends la barre ?
-Un moment oui. Tu as bien dormi ?
-Ouais ça va. Beau petit cul ton matelot.
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