Bastien 5
Récit érotique écrit par Conteur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 157 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.9 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.9
- • L'ensemble des récits érotiques de Conteur ont reçu un total de 314 954 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-04-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 1 499 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Bastien 5
-Il sera ma chienne jusqu’à Amsterdam. Pas touche pour le moment. En Belgique peut être. Il doit s’habituer à toutes les bites qui lui sont présentée. Aller toi, descend lui va prendre la barre.
Une fois en bas il m’a fait subir un examen minutieux.
-Tes tifs ça va, de dos ça fait fille. Les poils sous les bras je vais les raser ainsi que tes jambes. Une femelle n’a pas de poils là. Ta queue fait tache mais les clients savent ce que tu es. En revanche les poils de poitrine je vais les virer et tailler ta toison du nombril jusqu’à en faire une petite touffe. Des mecs aiment bien un petit cul épilé et ce sera fait en Allemagne. Je vois que tu bandes. Ce que je te dis t’excite ?
Ben puisque vous savez tout quand j’ai parlé en étant contrôlé par la drogue dans le verre, vous savez que je voudrais être la lopette d’un homme alfa. Et là oui je suis excité.
-Alors lève les bras au niveau du crochet au plafond.
Il n’a pas eu de mal à attacher mes poignets et il est allé dans la petite salle de bain et revenu avec une tondeuse sans fils. Sans me prévenir il a rasé mes aisselles, l’une après l’autre. Le collier m’empêchait de me pencher mais je l’ai senti passer sur mon ventre et soulevant mes boules attaquer le devant des cuisses et des mollets. Je bandais comme un fou et il a rasé l’arrière des cuisses et mollets.
-Pas mal mais il reste ta broussaille autour de ta queue et ne bouge pas du tout.
Il était accroupi devant moi et à petits coups précis a cerné mon chibre, laissant juste le mât dépasser des poils. Je bavais du gland et il le voyait bien. Il a tiré le prépuce et passé le doigt dessus avant de le porter à ma bouche.
-Lèche mon doigt !
J’ai léché retrouvant l’odeur de mon sexe.
-Bonne salope. Tu vas nettoyer tes poils tombés par terre il y a une balayette dans le coin avec une pelle tu jetteras ça par-dessus bord. Sorti des villes tu peux être à poil dehors. Avant je vais te prendre. Plus je t’ouvrirais les fesses et plus elles seront souples. Cambre-toi et écarte les je suis sûr que tu sais faire ça sans les mains.
S’il savait le nombre de fois où seul dans ma chambre je prenais cette pose ! j’ai donc obéi sans problème et senti son torse contre mon dos et sa queue trouver le chemin que je lui offrais. Bien sûr je n’étais pas encore habitué et j’ai poussé un gémissement retenu quand il a pénétré lentement mais sur toute la longueur en moi. Il a mis la main sur ma bouche me laissant respirer par le nez et m’a pilonné à grands coups de reins jusqu’à l’éjaculation totale. Ma première. Il m’a détaché.
-Nettoie moi mais il va falloir te laver le fond du cul pour les autres fois.
Cette fois sa bite sentait plus fort mais j’avais voulu être dominé. J’ai sucé. Pas de gaité de cœur mais c’était la queue de mon mec.
-T’es vraiment une chienne.
Il a fouillé un placard et sorti un plug avec une queue noire au bout. Il a dû forcer pour que boule entre mais je devenais un vrai clebs avec une queue derrière qui remuait et ma queue bandée.
-Nettoie tes poils et va les virer dehors tu me réveilleras dans deux heures en suçant si c’est raide ou en mâchouillant jusque ce soit dur. Si je suis tourné sur l’autre côté tu me lécheras les fesses et le cul une fois réveillé tu n’auras qu’à écarter mes fesses. J’aime bien la langue des chiennes sur mon cul.
Je suis sur que tu aimes ça !
J’ai balayé une fois qu’il est monté dans son lit et maintenu les poils sur la pelle en remontant.
En passant le nouveau à la barre a souri.
-Tu es bien mieux comme ça.
Il a ouvert la porte coulissante et donné un coup de sirène on croisait une péniche. J’ai été surpris et tous les poils sont partis dans le vent La péniche qu’on croisait à vitesse réduite a envoyé deux coups de sirène et à la porte ouverte j’ai vu le pilote lever la main et embrasser ses doigts.
-Il te trouve mignon m’a dit le marinier à la barre. Profite du beau temps et allonge toi sur un des toits coulissants.
Je ne pouvais pas résister à un homme et me suis allongé sur le ventre. La queue noire dépassant de mes fesses. Je voyais la rive défiler et des silhouettes me saluer. Je répondais, ils ne voyaient que ma tête, ce n’est qu’en passant sous un pont qu’un mec m’a vu nu, mes fesses ouvertes et la queue noire qui en sortait.
Une fois en bas il m’a fait subir un examen minutieux.
-Tes tifs ça va, de dos ça fait fille. Les poils sous les bras je vais les raser ainsi que tes jambes. Une femelle n’a pas de poils là. Ta queue fait tache mais les clients savent ce que tu es. En revanche les poils de poitrine je vais les virer et tailler ta toison du nombril jusqu’à en faire une petite touffe. Des mecs aiment bien un petit cul épilé et ce sera fait en Allemagne. Je vois que tu bandes. Ce que je te dis t’excite ?
Ben puisque vous savez tout quand j’ai parlé en étant contrôlé par la drogue dans le verre, vous savez que je voudrais être la lopette d’un homme alfa. Et là oui je suis excité.
-Alors lève les bras au niveau du crochet au plafond.
Il n’a pas eu de mal à attacher mes poignets et il est allé dans la petite salle de bain et revenu avec une tondeuse sans fils. Sans me prévenir il a rasé mes aisselles, l’une après l’autre. Le collier m’empêchait de me pencher mais je l’ai senti passer sur mon ventre et soulevant mes boules attaquer le devant des cuisses et des mollets. Je bandais comme un fou et il a rasé l’arrière des cuisses et mollets.
-Pas mal mais il reste ta broussaille autour de ta queue et ne bouge pas du tout.
Il était accroupi devant moi et à petits coups précis a cerné mon chibre, laissant juste le mât dépasser des poils. Je bavais du gland et il le voyait bien. Il a tiré le prépuce et passé le doigt dessus avant de le porter à ma bouche.
-Lèche mon doigt !
J’ai léché retrouvant l’odeur de mon sexe.
-Bonne salope. Tu vas nettoyer tes poils tombés par terre il y a une balayette dans le coin avec une pelle tu jetteras ça par-dessus bord. Sorti des villes tu peux être à poil dehors. Avant je vais te prendre. Plus je t’ouvrirais les fesses et plus elles seront souples. Cambre-toi et écarte les je suis sûr que tu sais faire ça sans les mains.
S’il savait le nombre de fois où seul dans ma chambre je prenais cette pose ! j’ai donc obéi sans problème et senti son torse contre mon dos et sa queue trouver le chemin que je lui offrais. Bien sûr je n’étais pas encore habitué et j’ai poussé un gémissement retenu quand il a pénétré lentement mais sur toute la longueur en moi. Il a mis la main sur ma bouche me laissant respirer par le nez et m’a pilonné à grands coups de reins jusqu’à l’éjaculation totale. Ma première. Il m’a détaché.
-Nettoie moi mais il va falloir te laver le fond du cul pour les autres fois.
Cette fois sa bite sentait plus fort mais j’avais voulu être dominé. J’ai sucé. Pas de gaité de cœur mais c’était la queue de mon mec.
-T’es vraiment une chienne.
Il a fouillé un placard et sorti un plug avec une queue noire au bout. Il a dû forcer pour que boule entre mais je devenais un vrai clebs avec une queue derrière qui remuait et ma queue bandée.
-Nettoie tes poils et va les virer dehors tu me réveilleras dans deux heures en suçant si c’est raide ou en mâchouillant jusque ce soit dur. Si je suis tourné sur l’autre côté tu me lécheras les fesses et le cul une fois réveillé tu n’auras qu’à écarter mes fesses. J’aime bien la langue des chiennes sur mon cul.
Je suis sur que tu aimes ça !
J’ai balayé une fois qu’il est monté dans son lit et maintenu les poils sur la pelle en remontant.
En passant le nouveau à la barre a souri.
-Tu es bien mieux comme ça.
Il a ouvert la porte coulissante et donné un coup de sirène on croisait une péniche. J’ai été surpris et tous les poils sont partis dans le vent La péniche qu’on croisait à vitesse réduite a envoyé deux coups de sirène et à la porte ouverte j’ai vu le pilote lever la main et embrasser ses doigts.
-Il te trouve mignon m’a dit le marinier à la barre. Profite du beau temps et allonge toi sur un des toits coulissants.
Je ne pouvais pas résister à un homme et me suis allongé sur le ventre. La queue noire dépassant de mes fesses. Je voyais la rive défiler et des silhouettes me saluer. Je répondais, ils ne voyaient que ma tête, ce n’est qu’en passant sous un pont qu’un mec m’a vu nu, mes fesses ouvertes et la queue noire qui en sortait.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Conteur
2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Je ne sais plus ou j'en suis mais il devrait y en avoir une douzaine
ah super une suite