metro 9
Récit érotique écrit par Conteur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-07-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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metro 9
Une fois ses affaires dans la voiture je l’ai fait attendre devant la porte pour entrer la voiture dans la grange et désactiver l‘alarme. Pousse la porte ce n’est jamais fermé.
Il a poussé la porte et pénétré. Ouvre les volets et la fenêtre vers le chemin et allume le feu qu’on sache la maison habitée. Je branche l’électricité et vais m’allonger un moment. Regarde dans le congélateur ce que tu trouves et prépare un truc rapide pour ce soir. Je suis monté le laissant seul.
Je me doutais bien que le jeune Bruno le serveur de l’hôtel du bas viendrais voir. Il surveillait régulièrement la ferme. Toutes les caméras extérieures allumées j’ai surveillé je connaissais ses heures de coupure dans son service.
Une fois ses affaires dans la voiture je l’ai fait attendre devant la porte pour entrer la voiture dans la grange et désactiver l‘alarme. Pousse la porte ce n’est jamais fermé.
Il a poussé la porte et pénétré. Ouvre les volets et la fenêtre vers le chemin et allume le feu qu’on sache la maison habitée. Je branche l’électricité et vais m’allonger un moment. Regarde dans le congélateur ce que tu trouves et prépare un truc rapide pour ce soir. Je suis monté le laissant seul.
Je me doutais bien que le jeune Bruno le serveur de l’hôtel du bas viendrais voir. Il surveillait régulièrement la ferme. Toutes les caméras extérieures allumées j’ai surveillé je connaissais ses heures de coupure dans son service.
Vers seize heures je l’ai aperçu sur les écrans dans le chemin de terre qui menait à la ferme. J’avais le son devant la porte d’entrée et du salon. Il a hésité puis a frappé à la porte. Hervé ne disait rien. D’en haut je lui ai dit d’ouvrir.
-Je suis à poil !
Et alors ! Ouvre !
Face à face, j’ai vu Bruno ouvrir grand les yeux.
-Le maître n’est pas là ? Oh pardon il s’est dévêtu avant de reposer la question, nu cette fois. Je suis descendu.
Bien tu es toujours obéissant.
-Je croyais que c’était maitre Éric, pardon.
-Oh ! Pardon maître j’ai vu les fenêtres ouvertes et de la fumée alors je suis venu voir.
Il s’est tout de suite agenouillé la bouche à hauteur de la braguette de mon jean.
Je vois que la dose d’hormone commence à faire effet. J’ai palpé les mamelons un peu plus proéminents, percés juste sous les tétons. Je me suis reculé un peu et j’ai vu que ses poils devenaient du duvet.
Tu es aussi doux qu’une fille. Toujours célibataire ?
-Dans le coin ce n’est pas génial à part un client qui passe et bien souvent en famille Il faut que je descende au Touquet pour être moins seul.
Hervé tu es surpris mais Bruno travaille à l’hôtel en dessous de nous sur la droite. Il n’est qu’un amusement pour nous, dominateurs de passage et je le sais plus obéissant que toi encore. Tu peux lui lécher le museau il te rendra la même léchouille ou baisé. Lui bandait en s’approchant de Bruno et s’est collé à lui, lui faisant sentir que soumis il aimait aussi les lopettes.
Bel ensemble. Tu connais le chemin pour le blockhaus alors passe devant. Il a déplacé un tapis et en se penchant a soulevé une trappe au grand étonnement d’Hervé. Il s’est engagé dans les marches qui descendaient en tortillant des fesses. Hervé l’a suivi de près, surement trop Bruno gloussait. J’ai suivi. Après une première cave il a repris la descente dans le coin opposé. Cette fois on est arrivé dans un ancien blockhaus allemand avec une large ouverture en fente qui donnait sur la manche.
(Mes lecteurs auront reconnu l’endroit qui existe réellement. Pas situé ou je l’ai mis mais cherchez !)
Au centre, une croix de Saint André peu épaisse se balançait fixée au plafond. D’un regard vers moi il est allé se coller contre.
Aide moi Hervé il faut l’attacher. Des menottes en cuir étaient fixées au bois du X pour les poignets et les chevilles. Une lanière m’a permis de bloquer ses reins contre le centre de la croix.
-Une vraie femelle maître.
Une jeune chienne oui. Tu veux l’enfiler ? Il m’a regardé, étonné.
-Moi ?
Oui toi, tu as bien baisé Pascal il me semble et regarde ses fesses sont dégagées derrière la croix. Si tu as envie, deux choses à faire, lui lécher le cul et me sucer. Dans cet ordre.
Il s’est accroupi ouvrant les fesses de Bruno des deux mains.
-Il est bien souple maître !
Lèche-le, comme la femelle qu’il est, tu vois bien qu’il tend ses fesses vers toi.
Au-dessus d’eux je voyais la langue passer et entrer en pointe dans l’anus de Bruno qui feignait comme une femelle.
-Je vous excite maître ?
Tu m’excites tout le temps maintenant suce moi et salive bien mon gland. Là oui, c’est bien. Maintenant prends le cul de Bruno il n’attend que ça.
Une fois bien en place et remuant ses fesses pour aller au plus loin dans Bruno je me suis rapproché et mon gland est passé sur la raie d’Hervé qui excité aussi se frottait cherchant à se faire prendre. J’aimais ce moment où le mec attend, sachant très bien ce qui va arriver.
-Prenez moi maître, comme je prends Bruno.
Je ne me suis pas gêné et il a pris ma queue tout entière dans un râle au moment où il se reculait.
-Waouh ! C’est génial d’être pris en prenant. Je laboure en me faisant bourrer le cul !
Ne te gêne pas Bruno est sain et il doit se contrôler VIH souvent. Pose une main sur un téton et l’autre sur sa petite bite. Il ne bande pas mais va jouir d’être dans l’impuissance de faire quoi que ce soit. Ses coups de bite ont accéléré autant que ma queue dans ses fesses. J’ai senti sa crispation au moment de sa jouissance et j’ai lâché prise aussi au fond de son cul. Je me suis retiré. Suce-moi. Regarde Bruno a joui sans se toucher et sans même bander je pense.
Une fois que tu m’auras nettoyé on le libèrera. Il doit aller bosser pour le repas du soir. Hervé s’est aussitôt baissé sur ma queue la laissant luisante et comme neuve.
Détachons ce bâtard. Bruno tu prendras tes affaires mais ne te rhabilleras qu’hors champ des caméras. Une promenade nue te fera du bien.
-Merci maître. Je peux lécher la bite et le cul de votre soumis ?
Je vois bien que ça te fait plaisir. Dépêche-toi.
Accroupi il a sucé et nettoyé sa queue avant de passer la langue dans la raie et plus sur le trou encore ouvert. On a tous remonté l’escalier et il est sorti nu récupérant ses affaires au passage. On a vu son petit cul disparaitre derrière le repli du terrain.
Alors Hervé tu as pris ton pied ?
-Bien plus que je pensais oui. Je n’y ai pas pensé en bas mais il ne fait pas chaud. Ici l’humidité s’en va et on est bien.
Même nu ?
Il a un peu rougi.
-Oui je m’habitue comme à tout ce que je découvre.
Tu fais juste effleurer ce monde. La première fois je n’étais que l’assistant d’un maître. Tu as prévu quoi pour manger ce soi ?
-J’ai fait avec ce que j’ai trouvé au congé, une paella.
Bien couvre là et sors-la du feu. On va faire un tour. Soulève ta bite molle que j’installe le poids. Comme tu supportes bien j’ai pris celui un peu plus lourd. Tiens ta bitte et tire sur tes couilles que je l’installe.
Là je lâche. Habitue-toi. J’ai vu ton regard sur les piercings de Bruno. Intéressé ? Il y a un tatoueur très bon qui pose des piercings du côté du Havre.
-Oui ça m’intéresse mais pas aux tétons. Il a piqué un fard.
Et tu penses avoir un piercing où ?
-Un endroit pas trop visible, sous le scrotum ou au frein.
Au frein tu sais que le trou peut s’élargir jusqu’à porter un anneau lourd mais seuls ta bouche et ton cul peuvent servir pendant un moment.
-Bah, j’aime bien sentir mon cul ouvert et vous faire plaisir de la bouche comme ça je vous vois !
Tu sais que si je te fais faire la grenouille je pourrai voir ton plaisir et toi me regarder.
-Là c’est quand vous voulez, j’adore.
Bon aller mets ce short en lycra échancré on va courir dans les prés de la ferme.
-Il n’y a personne ?
D’habitude non mais tu t’en fous tu es un bâtard, alors tu cours. De temps en temps je me retournais et le voyais grimacer quand le poids se coinçait sous le short. Après une longue course dans les prés on est entré.
J’ai pensé à ton piercing et je pense que sur le frein t’ira parfaitement. Je prends ma douche et pendant que tu le feras je donnerais un coup de fil au tatoueur qui perce. Le temps que le trou de l’anneau reste ouvert sans infection. J’ai envie d’aller faire un tour en Allemagne, c’est pas loin et ça va te décoincer sérieusement. Au début ce sera dur pour toi mais mentalement ça te fera du bien.
-Je peux enlever le poids maître ?
NON ! Sèche-moi plutôt. Tu garderas le poids le temps que je le jugerais.
Il m’amusait, bandant à l’équerre tout le temps du séchage son gland bavait. D’une claque sur les fesses je l’ai envoyé sous l’eau, se laver pendant que j’appelais le tatoueur. Du pot, j’ai eu un rdv pour le lendemain en fournissant l’anneau en inox.
Ce soir tu vas pouvoir jouer avec ton prépuce. Rejoins-moi sur le perron une fois sec.
Je m’étais assis sur une chaise cuisses écartées et l’ai fait placer debout contre moi. Bien sur ce con bandait, j’ai saisi sa queue en la serrant et l’ai branlé, faisant remonter régulièrement le prépuce sur le gland pour le rabaisser le plus possible. Il a très vite trépigné et haleté, se retenant mais j’ai continué jusqu’à le faire jouir sur mon torse.
-Pardon maître.
Je n’ai pas arrêté pour ça pressant encore plus son gland. Il en tremblait mais n’a pas tenté de retenir ma main.
Il te reste encore pas mal de jus bâtard. Il était amusant, le poids pesant à chaque fois. Il a haleté de plus en plus jusqu’à se cambrer vers moi en me fixant.
Libère toi, jouis de ma main. Je le veux !
Ses yeux ont tourné ne montrant que le blanc et il a joui une deuxième fois.
-Merci maître.
Sa nouille lâchée je lui ai mis la main sur la bouche et il a léché bien sagement le jus que j’avais sur les doigts.
Tu pues le sperme et lèche mon ventre de ton premier jet.
Il a poussé la porte et pénétré. Ouvre les volets et la fenêtre vers le chemin et allume le feu qu’on sache la maison habitée. Je branche l’électricité et vais m’allonger un moment. Regarde dans le congélateur ce que tu trouves et prépare un truc rapide pour ce soir. Je suis monté le laissant seul.
Je me doutais bien que le jeune Bruno le serveur de l’hôtel du bas viendrais voir. Il surveillait régulièrement la ferme. Toutes les caméras extérieures allumées j’ai surveillé je connaissais ses heures de coupure dans son service.
Une fois ses affaires dans la voiture je l’ai fait attendre devant la porte pour entrer la voiture dans la grange et désactiver l‘alarme. Pousse la porte ce n’est jamais fermé.
Il a poussé la porte et pénétré. Ouvre les volets et la fenêtre vers le chemin et allume le feu qu’on sache la maison habitée. Je branche l’électricité et vais m’allonger un moment. Regarde dans le congélateur ce que tu trouves et prépare un truc rapide pour ce soir. Je suis monté le laissant seul.
Je me doutais bien que le jeune Bruno le serveur de l’hôtel du bas viendrais voir. Il surveillait régulièrement la ferme. Toutes les caméras extérieures allumées j’ai surveillé je connaissais ses heures de coupure dans son service.
Vers seize heures je l’ai aperçu sur les écrans dans le chemin de terre qui menait à la ferme. J’avais le son devant la porte d’entrée et du salon. Il a hésité puis a frappé à la porte. Hervé ne disait rien. D’en haut je lui ai dit d’ouvrir.
-Je suis à poil !
Et alors ! Ouvre !
Face à face, j’ai vu Bruno ouvrir grand les yeux.
-Le maître n’est pas là ? Oh pardon il s’est dévêtu avant de reposer la question, nu cette fois. Je suis descendu.
Bien tu es toujours obéissant.
-Je croyais que c’était maitre Éric, pardon.
-Oh ! Pardon maître j’ai vu les fenêtres ouvertes et de la fumée alors je suis venu voir.
Il s’est tout de suite agenouillé la bouche à hauteur de la braguette de mon jean.
Je vois que la dose d’hormone commence à faire effet. J’ai palpé les mamelons un peu plus proéminents, percés juste sous les tétons. Je me suis reculé un peu et j’ai vu que ses poils devenaient du duvet.
Tu es aussi doux qu’une fille. Toujours célibataire ?
-Dans le coin ce n’est pas génial à part un client qui passe et bien souvent en famille Il faut que je descende au Touquet pour être moins seul.
Hervé tu es surpris mais Bruno travaille à l’hôtel en dessous de nous sur la droite. Il n’est qu’un amusement pour nous, dominateurs de passage et je le sais plus obéissant que toi encore. Tu peux lui lécher le museau il te rendra la même léchouille ou baisé. Lui bandait en s’approchant de Bruno et s’est collé à lui, lui faisant sentir que soumis il aimait aussi les lopettes.
Bel ensemble. Tu connais le chemin pour le blockhaus alors passe devant. Il a déplacé un tapis et en se penchant a soulevé une trappe au grand étonnement d’Hervé. Il s’est engagé dans les marches qui descendaient en tortillant des fesses. Hervé l’a suivi de près, surement trop Bruno gloussait. J’ai suivi. Après une première cave il a repris la descente dans le coin opposé. Cette fois on est arrivé dans un ancien blockhaus allemand avec une large ouverture en fente qui donnait sur la manche.
(Mes lecteurs auront reconnu l’endroit qui existe réellement. Pas situé ou je l’ai mis mais cherchez !)
Au centre, une croix de Saint André peu épaisse se balançait fixée au plafond. D’un regard vers moi il est allé se coller contre.
Aide moi Hervé il faut l’attacher. Des menottes en cuir étaient fixées au bois du X pour les poignets et les chevilles. Une lanière m’a permis de bloquer ses reins contre le centre de la croix.
-Une vraie femelle maître.
Une jeune chienne oui. Tu veux l’enfiler ? Il m’a regardé, étonné.
-Moi ?
Oui toi, tu as bien baisé Pascal il me semble et regarde ses fesses sont dégagées derrière la croix. Si tu as envie, deux choses à faire, lui lécher le cul et me sucer. Dans cet ordre.
Il s’est accroupi ouvrant les fesses de Bruno des deux mains.
-Il est bien souple maître !
Lèche-le, comme la femelle qu’il est, tu vois bien qu’il tend ses fesses vers toi.
Au-dessus d’eux je voyais la langue passer et entrer en pointe dans l’anus de Bruno qui feignait comme une femelle.
-Je vous excite maître ?
Tu m’excites tout le temps maintenant suce moi et salive bien mon gland. Là oui, c’est bien. Maintenant prends le cul de Bruno il n’attend que ça.
Une fois bien en place et remuant ses fesses pour aller au plus loin dans Bruno je me suis rapproché et mon gland est passé sur la raie d’Hervé qui excité aussi se frottait cherchant à se faire prendre. J’aimais ce moment où le mec attend, sachant très bien ce qui va arriver.
-Prenez moi maître, comme je prends Bruno.
Je ne me suis pas gêné et il a pris ma queue tout entière dans un râle au moment où il se reculait.
-Waouh ! C’est génial d’être pris en prenant. Je laboure en me faisant bourrer le cul !
Ne te gêne pas Bruno est sain et il doit se contrôler VIH souvent. Pose une main sur un téton et l’autre sur sa petite bite. Il ne bande pas mais va jouir d’être dans l’impuissance de faire quoi que ce soit. Ses coups de bite ont accéléré autant que ma queue dans ses fesses. J’ai senti sa crispation au moment de sa jouissance et j’ai lâché prise aussi au fond de son cul. Je me suis retiré. Suce-moi. Regarde Bruno a joui sans se toucher et sans même bander je pense.
Une fois que tu m’auras nettoyé on le libèrera. Il doit aller bosser pour le repas du soir. Hervé s’est aussitôt baissé sur ma queue la laissant luisante et comme neuve.
Détachons ce bâtard. Bruno tu prendras tes affaires mais ne te rhabilleras qu’hors champ des caméras. Une promenade nue te fera du bien.
-Merci maître. Je peux lécher la bite et le cul de votre soumis ?
Je vois bien que ça te fait plaisir. Dépêche-toi.
Accroupi il a sucé et nettoyé sa queue avant de passer la langue dans la raie et plus sur le trou encore ouvert. On a tous remonté l’escalier et il est sorti nu récupérant ses affaires au passage. On a vu son petit cul disparaitre derrière le repli du terrain.
Alors Hervé tu as pris ton pied ?
-Bien plus que je pensais oui. Je n’y ai pas pensé en bas mais il ne fait pas chaud. Ici l’humidité s’en va et on est bien.
Même nu ?
Il a un peu rougi.
-Oui je m’habitue comme à tout ce que je découvre.
Tu fais juste effleurer ce monde. La première fois je n’étais que l’assistant d’un maître. Tu as prévu quoi pour manger ce soi ?
-J’ai fait avec ce que j’ai trouvé au congé, une paella.
Bien couvre là et sors-la du feu. On va faire un tour. Soulève ta bite molle que j’installe le poids. Comme tu supportes bien j’ai pris celui un peu plus lourd. Tiens ta bitte et tire sur tes couilles que je l’installe.
Là je lâche. Habitue-toi. J’ai vu ton regard sur les piercings de Bruno. Intéressé ? Il y a un tatoueur très bon qui pose des piercings du côté du Havre.
-Oui ça m’intéresse mais pas aux tétons. Il a piqué un fard.
Et tu penses avoir un piercing où ?
-Un endroit pas trop visible, sous le scrotum ou au frein.
Au frein tu sais que le trou peut s’élargir jusqu’à porter un anneau lourd mais seuls ta bouche et ton cul peuvent servir pendant un moment.
-Bah, j’aime bien sentir mon cul ouvert et vous faire plaisir de la bouche comme ça je vous vois !
Tu sais que si je te fais faire la grenouille je pourrai voir ton plaisir et toi me regarder.
-Là c’est quand vous voulez, j’adore.
Bon aller mets ce short en lycra échancré on va courir dans les prés de la ferme.
-Il n’y a personne ?
D’habitude non mais tu t’en fous tu es un bâtard, alors tu cours. De temps en temps je me retournais et le voyais grimacer quand le poids se coinçait sous le short. Après une longue course dans les prés on est entré.
J’ai pensé à ton piercing et je pense que sur le frein t’ira parfaitement. Je prends ma douche et pendant que tu le feras je donnerais un coup de fil au tatoueur qui perce. Le temps que le trou de l’anneau reste ouvert sans infection. J’ai envie d’aller faire un tour en Allemagne, c’est pas loin et ça va te décoincer sérieusement. Au début ce sera dur pour toi mais mentalement ça te fera du bien.
-Je peux enlever le poids maître ?
NON ! Sèche-moi plutôt. Tu garderas le poids le temps que je le jugerais.
Il m’amusait, bandant à l’équerre tout le temps du séchage son gland bavait. D’une claque sur les fesses je l’ai envoyé sous l’eau, se laver pendant que j’appelais le tatoueur. Du pot, j’ai eu un rdv pour le lendemain en fournissant l’anneau en inox.
Ce soir tu vas pouvoir jouer avec ton prépuce. Rejoins-moi sur le perron une fois sec.
Je m’étais assis sur une chaise cuisses écartées et l’ai fait placer debout contre moi. Bien sur ce con bandait, j’ai saisi sa queue en la serrant et l’ai branlé, faisant remonter régulièrement le prépuce sur le gland pour le rabaisser le plus possible. Il a très vite trépigné et haleté, se retenant mais j’ai continué jusqu’à le faire jouir sur mon torse.
-Pardon maître.
Je n’ai pas arrêté pour ça pressant encore plus son gland. Il en tremblait mais n’a pas tenté de retenir ma main.
Il te reste encore pas mal de jus bâtard. Il était amusant, le poids pesant à chaque fois. Il a haleté de plus en plus jusqu’à se cambrer vers moi en me fixant.
Libère toi, jouis de ma main. Je le veux !
Ses yeux ont tourné ne montrant que le blanc et il a joui une deuxième fois.
-Merci maître.
Sa nouille lâchée je lui ai mis la main sur la bouche et il a léché bien sagement le jus que j’avais sur les doigts.
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