Béa Chapitre 1
Récit érotique écrit par lololateub [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-05-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Béa Chapitre 1
Bonjour à tous, j’ai décidé de me mettre moi aussi à coucher par écrit des aventures qui me sont arrivés, je ferais des séries plus ou moins longues en fonction de l’intérêt, j’ai eu la chance d’avoir une vie sexuelle plutôt riche et que c’était le moment de vous en faire profitez.
Aujourd’hui on commence avec Béa, j’espère qu’elle vous plaira autant qu’elle m’a plu à l’époque, surement l’une de mes meilleures expériences sexuelles, ça commence doucement mais vous en faites pas il y a du lourd qui arrive ensuite
Cette histoire se passe en 1998, mais par soucis de commodité je vais la raconter au présent. Ah et avant de commencer cette histoire est véridique.
13 juillet, je suis à bord d’un train direction une ville du sud de la France, pour 3 semaines de Vacances, à mes côtés ma nouvelle copine rencontré il y a un mois.
Vous savez quoi, avant de continuer, le mieux c'est de remonter le temps, ça vous aidera à comprendre ce qu’il va se passer.
Moi, c’est Laurent, 23 ans, plutôt beau gosse, style surfeur, blond et les yeux bleus, le mètre 80. Et là on est début juin, le 12 exactement, il fait beau et je suis boulevard Montparnasse, mon objectif la rue de Rennes et un célèbre magasin culturel.
Regard à gauche à droite, pas de voiture s, on peut trave…
Pardon monsieur. C’est une voie féminine qui vient De la gauche, vous avez l'heure ?
Je n'ai pas de montre mais j’ai consulté un parcmètre n'y a pas 5 minutes.
Je me retourne pour lui dire et la Pam ! C’est quoi ce machin, trop belle ! Suivi d'une réplique, cela ne dure pas plus d’une seconde mais son regard l’a trahi, je lui plais.
Il est 15h15 mademoiselle.
Merci !
Elle tourne la tête et traverse la rue.
Bon je fais quoi moi, il s'est passé un truc là, non ? Je me fais un film ?
Et elle va où ? Ah ! Bien elle prend la rue de Rennes, je vais la suivre sans la suivre. Je suis derrière elle. Elle semble regardée sur les côtés, peut-être pour savoir si je la suis ? Elle s'arrête à une vitrine, je vais devoir la dépasser, je ne me suis pas encore décidé. Maintenant c'est moi qui suis devant, bientôt le magasin, va falloir prendre une décision, je regarde derrière moi, je ralentis, elle me dépasse à son tour, nos regards se croisent.
Raaahh Laurent tu fais quoi là ? Tu vas laisser passer ta chance.
Elle rentre dans le magasin, c’est un signe là, non ? Elle prend l’escalator, je suis juste derrière elle, arrivée au niveau supérieur. Elle s’arrête et balaye du regard les rayons, j’arrive à sa hauteur.
Et c’est là qu’elle me regarde.
Je cherche le rayon rock, tu sais où c’est ?
Wouhou ! Merci cupidon ou n'importe quel dieu ou déesse de l'amour !
Mais bien sûr, j'y vais aussi.
On y va ensemble alors.
Et c’est comme ça que notre histoire a commencé.
Nous passons une bonne heure dans le magasin à parler musique, de concert des albums et groupes que nous aimons.
Il se passe un truc entre nous et on le sait, on n'a pas envie de se séparer, il ne s’est encore rien passé que je voudrais que cette journée ne s’arrête jamais.
Nous sortons du magasin et on s’arrête à la première terrasse venue.
On prend le temps de se connaître en buvant un verre, j’apprends qu’elle s’appelle Béatrice, et elle a 29 ans et travaille dans un musée.
Il n'y a pas que le physique dans la vie mais quand même, profitons de ce temps calme pour vous décrire Béa.
Elle fait 1 m 70, elle ne s'est pas habillée en vue de séduire, un pantalon yoga noir et un haut beige, le tout moulant un corps très sensuel, une belle et grosse poitrine, des fesses rebondis, un ventre plat et le visage fin, une belle chevelure châtaine et des yeux noisettes.
Ça va faire 2 heures que nous sommes assis à discuter de tout et de rien, on semble sur la même longueur d’onde, je suis comme sur un nuage, que j'en oublie que j'avais proposé de sortir le soir même avec une autre fille rencontré lors d’une soirée chez des amis.
Rappelez-vous que nous sommes le 12juin et que pour l'ouverture de la coupe du monde une fête est organisée.
Dilemme, car j’ai très envie de rester avec Béa et elle aussi mais l'autre fille m’a appelé pour me demander si c'était toujours bon pour ce soir.
Qu a cela ne tienne, je propose à Béa de m’accompagner à la fête. Elle est d’accord mais a besoin de rentrer se changer, on convient de se retrouver à Nation sur le quai de métro de la ligne 6 vers 19h. Une fois parti, j’appelle Pierre, un ami à moi, je lui explique brièvement la situation, j'ai besoin de lui pour tenir compagnie à mon autre rencard, après tout on ne sait jamais, ils vont peut-être se plaire …
18h30 je suis sur le quai ligne 6, oui je sais je suis en avance, à la hauteur de mon envie. Avec un peu de chance la fille va arriver en retard et on pourra se barrer sans elle… je sais c’est pas bien mais comprenez-moi je suis mal à l’aise dans cette situation, cette fille ne me plaît pas tant que ça surtout si je Compare au coup de foudre que je vis avec Béa.
18h45 c'est l'autre fille qui arrive, m'est avis que je ne suis pas le seul motivé dans cette histoire, je lui explique que j'attends deux autres amis et qu’ensuite on se dirigera vers le centre de Paris.
19h00 c’est Pierre qui débarque, alors est ce que la mayonnaise va prendre ? Manifestement non, déjà pierre n'est pas un gros dragueur et en plus la fille n'a de yeux que pour moi. Bon tant pis, on va se débrouiller autrement.
19h 20 Béa pointe enfin le bout de son nez. Radieuse, elle s'est changée, elle porte un jean taillé corsaire et un top noir, c'est simple mais on ne va pas à une soirée cocktail. La tenue décontractée est de circonstance.
Il est temps de se mettre en route. Je reste près de Béa en espérant que pierre et la fille vont se rapprocher. Arrivés sur les quais de Seine, on assiste à la parade.il y a beaucoup de monde, nous déambulons dans les rues de Paris en discutant tous les quatre mais il n'y a pas moyen de se rapprocher de Béatrice, on est peut-être tous les deux inhibés par la présence des deux autres
Ce n’est pas tout mais il se fait soif, nous trouvons un bar près du palais royal. Je m’installe à côté de Béa, Pierre et la fille en face, je plaisante beaucoup avec Béa, j'ai décidé d’accélérer, je veux conclure dès ce soir, l’autre fille ne s’avoue pas vaincue et saisis la moindre occasion pour se mettre en avant. Hélas c est peine perdue. Je profite d’une bonne blague lancée pour toucher la cuisse de Béa, façon de tester sa réceptivité.
Bingo ! Elle répond en touchant ma cuisse à son tour, à chaque fois que l’on parle est une occasion de se toucher la cuisse, j’ai le plein de confiance, les yeux de Béa sont plein de désirs, les miens sûrement aussi. Notre manège n'est pas passé inaperçu auprès de nos deux comparses.
On repart, on se promène tous les quatre
La fille après ce qui s’est passé au bar s’est résignée. Je suis Devant avec Béa, les deux suivent derrière. La foule est dense et joyeuse, mais qui voit-on, qui voit on ! Sean Connery ! J'en reste bouche bée, il nous gratifié d'un signe de tête et d'un geste de la main, on se regarde Béa et moi et pouffons de rire, trop cool. Nous voilà à un croisement, mouvement de foule. Nous sommes bousculés, je prends Béa par la taille pour nous faufiler dans le flux de gens, une fois au calme, elle ne m’enlève pas le bras, mieux elle met le sien autour de ma taille, nous sommes serrés l’un contre l’autre. On se regardent une fois, Deux fois, nos têtes se rapprochent, ça y est, on s’embrasse, nos bouches se collent, nos langues s’entremêlent, nos salives se mélangent, un frisson telle une décharge électrique me parcourt le corps, comme libéré par la tension de la journée. C’est devenu fusionnelle, nous nous embrassons tous les 10 mètres, je la serre fort contre moi, ou elle se colle. J'en ai oublié les autres, ils sont justes derrière nous, spectateurs de notre amour.
La parade est terminée, il se fait tard nous prenons un verre place de l’Opéra, cette fois ci Béa est sur mes genoux, personne ne parle, moi et Béa on s’embrassent, la fille est dégoûtée de voir cette Béa venue de nulle part lui piquer ce qu’elle pensait être son futur mec, Pierre se demande ce qu’il fait la, dommage qu’il n’ait pas tenté quelque chose, elle est pas mal, c’est juste que ça m’est tombé dessus sans prévenir.
23h il est temps de rentrer tout le monde part de son côté, sauf Béa et moi, elle habite en banlieue, loin de chez moi mais je tiens à la raccompagner, par chance il y a moins de métro…, assis sur mes genoux, entre deux baisers j'en profite pour la caresser, le dos le ventre je remonte jusqu’au bas des seins, je suis très excité, je porte un jean et je me sens très à l'étroit dedans. Le métro arrive, il y a beaucoup de monde, nous trouvons deux strapontins pour nous asseoir. On discute un peu mais c’est comme si on avait envie d’autre chose. Quand tout d'un coup, Béa regarde mon pantalon et met son doigt sur une excroissance au niveau de mon entrejambe.
C’est quoi ça, d'un ton innocent.
C'est mou et dur, normal c'est mon sexe et j'ai une érection du tonnerre, une vraie bite de taureau.
Elle a laissé son doigt a peine deux secondes et la retirée des qu elle s’est rendu compte de la nature de l'objet. Silence gênée de sa part, elle regarde ses pieds, je prends son visage dans mes mains et lui lance un sourire pour désamorcer la situation, on s’embrasse. Ouf ! Elle n’est pas choquée et puis là elle sait ce que je veux. On arrive à sa station qui est aussi le terminus. Je fais quoi je l’accompagne ? Non, je veux qu’elle comprenne que c'est sérieux, on a échangé nos téls, je lui promets de la rappeler, je la vois partir vers la sortie, ma bite dans le pantalon est toujours dure comme du bois.
Aujourd’hui on commence avec Béa, j’espère qu’elle vous plaira autant qu’elle m’a plu à l’époque, surement l’une de mes meilleures expériences sexuelles, ça commence doucement mais vous en faites pas il y a du lourd qui arrive ensuite
Cette histoire se passe en 1998, mais par soucis de commodité je vais la raconter au présent. Ah et avant de commencer cette histoire est véridique.
13 juillet, je suis à bord d’un train direction une ville du sud de la France, pour 3 semaines de Vacances, à mes côtés ma nouvelle copine rencontré il y a un mois.
Vous savez quoi, avant de continuer, le mieux c'est de remonter le temps, ça vous aidera à comprendre ce qu’il va se passer.
Moi, c’est Laurent, 23 ans, plutôt beau gosse, style surfeur, blond et les yeux bleus, le mètre 80. Et là on est début juin, le 12 exactement, il fait beau et je suis boulevard Montparnasse, mon objectif la rue de Rennes et un célèbre magasin culturel.
Regard à gauche à droite, pas de voiture s, on peut trave…
Pardon monsieur. C’est une voie féminine qui vient De la gauche, vous avez l'heure ?
Je n'ai pas de montre mais j’ai consulté un parcmètre n'y a pas 5 minutes.
Je me retourne pour lui dire et la Pam ! C’est quoi ce machin, trop belle ! Suivi d'une réplique, cela ne dure pas plus d’une seconde mais son regard l’a trahi, je lui plais.
Il est 15h15 mademoiselle.
Merci !
Elle tourne la tête et traverse la rue.
Bon je fais quoi moi, il s'est passé un truc là, non ? Je me fais un film ?
Et elle va où ? Ah ! Bien elle prend la rue de Rennes, je vais la suivre sans la suivre. Je suis derrière elle. Elle semble regardée sur les côtés, peut-être pour savoir si je la suis ? Elle s'arrête à une vitrine, je vais devoir la dépasser, je ne me suis pas encore décidé. Maintenant c'est moi qui suis devant, bientôt le magasin, va falloir prendre une décision, je regarde derrière moi, je ralentis, elle me dépasse à son tour, nos regards se croisent.
Raaahh Laurent tu fais quoi là ? Tu vas laisser passer ta chance.
Elle rentre dans le magasin, c’est un signe là, non ? Elle prend l’escalator, je suis juste derrière elle, arrivée au niveau supérieur. Elle s’arrête et balaye du regard les rayons, j’arrive à sa hauteur.
Et c’est là qu’elle me regarde.
Je cherche le rayon rock, tu sais où c’est ?
Wouhou ! Merci cupidon ou n'importe quel dieu ou déesse de l'amour !
Mais bien sûr, j'y vais aussi.
On y va ensemble alors.
Et c’est comme ça que notre histoire a commencé.
Nous passons une bonne heure dans le magasin à parler musique, de concert des albums et groupes que nous aimons.
Il se passe un truc entre nous et on le sait, on n'a pas envie de se séparer, il ne s’est encore rien passé que je voudrais que cette journée ne s’arrête jamais.
Nous sortons du magasin et on s’arrête à la première terrasse venue.
On prend le temps de se connaître en buvant un verre, j’apprends qu’elle s’appelle Béatrice, et elle a 29 ans et travaille dans un musée.
Il n'y a pas que le physique dans la vie mais quand même, profitons de ce temps calme pour vous décrire Béa.
Elle fait 1 m 70, elle ne s'est pas habillée en vue de séduire, un pantalon yoga noir et un haut beige, le tout moulant un corps très sensuel, une belle et grosse poitrine, des fesses rebondis, un ventre plat et le visage fin, une belle chevelure châtaine et des yeux noisettes.
Ça va faire 2 heures que nous sommes assis à discuter de tout et de rien, on semble sur la même longueur d’onde, je suis comme sur un nuage, que j'en oublie que j'avais proposé de sortir le soir même avec une autre fille rencontré lors d’une soirée chez des amis.
Rappelez-vous que nous sommes le 12juin et que pour l'ouverture de la coupe du monde une fête est organisée.
Dilemme, car j’ai très envie de rester avec Béa et elle aussi mais l'autre fille m’a appelé pour me demander si c'était toujours bon pour ce soir.
Qu a cela ne tienne, je propose à Béa de m’accompagner à la fête. Elle est d’accord mais a besoin de rentrer se changer, on convient de se retrouver à Nation sur le quai de métro de la ligne 6 vers 19h. Une fois parti, j’appelle Pierre, un ami à moi, je lui explique brièvement la situation, j'ai besoin de lui pour tenir compagnie à mon autre rencard, après tout on ne sait jamais, ils vont peut-être se plaire …
18h30 je suis sur le quai ligne 6, oui je sais je suis en avance, à la hauteur de mon envie. Avec un peu de chance la fille va arriver en retard et on pourra se barrer sans elle… je sais c’est pas bien mais comprenez-moi je suis mal à l’aise dans cette situation, cette fille ne me plaît pas tant que ça surtout si je Compare au coup de foudre que je vis avec Béa.
18h45 c'est l'autre fille qui arrive, m'est avis que je ne suis pas le seul motivé dans cette histoire, je lui explique que j'attends deux autres amis et qu’ensuite on se dirigera vers le centre de Paris.
19h00 c’est Pierre qui débarque, alors est ce que la mayonnaise va prendre ? Manifestement non, déjà pierre n'est pas un gros dragueur et en plus la fille n'a de yeux que pour moi. Bon tant pis, on va se débrouiller autrement.
19h 20 Béa pointe enfin le bout de son nez. Radieuse, elle s'est changée, elle porte un jean taillé corsaire et un top noir, c'est simple mais on ne va pas à une soirée cocktail. La tenue décontractée est de circonstance.
Il est temps de se mettre en route. Je reste près de Béa en espérant que pierre et la fille vont se rapprocher. Arrivés sur les quais de Seine, on assiste à la parade.il y a beaucoup de monde, nous déambulons dans les rues de Paris en discutant tous les quatre mais il n'y a pas moyen de se rapprocher de Béatrice, on est peut-être tous les deux inhibés par la présence des deux autres
Ce n’est pas tout mais il se fait soif, nous trouvons un bar près du palais royal. Je m’installe à côté de Béa, Pierre et la fille en face, je plaisante beaucoup avec Béa, j'ai décidé d’accélérer, je veux conclure dès ce soir, l’autre fille ne s’avoue pas vaincue et saisis la moindre occasion pour se mettre en avant. Hélas c est peine perdue. Je profite d’une bonne blague lancée pour toucher la cuisse de Béa, façon de tester sa réceptivité.
Bingo ! Elle répond en touchant ma cuisse à son tour, à chaque fois que l’on parle est une occasion de se toucher la cuisse, j’ai le plein de confiance, les yeux de Béa sont plein de désirs, les miens sûrement aussi. Notre manège n'est pas passé inaperçu auprès de nos deux comparses.
On repart, on se promène tous les quatre
La fille après ce qui s’est passé au bar s’est résignée. Je suis Devant avec Béa, les deux suivent derrière. La foule est dense et joyeuse, mais qui voit-on, qui voit on ! Sean Connery ! J'en reste bouche bée, il nous gratifié d'un signe de tête et d'un geste de la main, on se regarde Béa et moi et pouffons de rire, trop cool. Nous voilà à un croisement, mouvement de foule. Nous sommes bousculés, je prends Béa par la taille pour nous faufiler dans le flux de gens, une fois au calme, elle ne m’enlève pas le bras, mieux elle met le sien autour de ma taille, nous sommes serrés l’un contre l’autre. On se regardent une fois, Deux fois, nos têtes se rapprochent, ça y est, on s’embrasse, nos bouches se collent, nos langues s’entremêlent, nos salives se mélangent, un frisson telle une décharge électrique me parcourt le corps, comme libéré par la tension de la journée. C’est devenu fusionnelle, nous nous embrassons tous les 10 mètres, je la serre fort contre moi, ou elle se colle. J'en ai oublié les autres, ils sont justes derrière nous, spectateurs de notre amour.
La parade est terminée, il se fait tard nous prenons un verre place de l’Opéra, cette fois ci Béa est sur mes genoux, personne ne parle, moi et Béa on s’embrassent, la fille est dégoûtée de voir cette Béa venue de nulle part lui piquer ce qu’elle pensait être son futur mec, Pierre se demande ce qu’il fait la, dommage qu’il n’ait pas tenté quelque chose, elle est pas mal, c’est juste que ça m’est tombé dessus sans prévenir.
23h il est temps de rentrer tout le monde part de son côté, sauf Béa et moi, elle habite en banlieue, loin de chez moi mais je tiens à la raccompagner, par chance il y a moins de métro…, assis sur mes genoux, entre deux baisers j'en profite pour la caresser, le dos le ventre je remonte jusqu’au bas des seins, je suis très excité, je porte un jean et je me sens très à l'étroit dedans. Le métro arrive, il y a beaucoup de monde, nous trouvons deux strapontins pour nous asseoir. On discute un peu mais c’est comme si on avait envie d’autre chose. Quand tout d'un coup, Béa regarde mon pantalon et met son doigt sur une excroissance au niveau de mon entrejambe.
C’est quoi ça, d'un ton innocent.
C'est mou et dur, normal c'est mon sexe et j'ai une érection du tonnerre, une vraie bite de taureau.
Elle a laissé son doigt a peine deux secondes et la retirée des qu elle s’est rendu compte de la nature de l'objet. Silence gênée de sa part, elle regarde ses pieds, je prends son visage dans mes mains et lui lance un sourire pour désamorcer la situation, on s’embrasse. Ouf ! Elle n’est pas choquée et puis là elle sait ce que je veux. On arrive à sa station qui est aussi le terminus. Je fais quoi je l’accompagne ? Non, je veux qu’elle comprenne que c'est sérieux, on a échangé nos téls, je lui promets de la rappeler, je la vois partir vers la sortie, ma bite dans le pantalon est toujours dure comme du bois.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci beaucoup, venant de vous ça me touche. Je m'excuse quand même pour les fautes, j'ai pourtant relu plusieurs fois, il y en a encore.
Très beau récit!