Beau, intense : un morceau de braise.
Récit érotique écrit par Clairelartiste [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-08-2021 dans la catégorie Pour la première fois
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Couleur du fond :
Beau, intense : un morceau de braise.
Arrivée à un diner chez une amie, j’ai tout de suite remarqué le sourire de cet homme qui allait diner avec nous. Un sourire communicatif qui me donnait envie de lui sourire.
Il était grand, blond, un jean Levi’s noir, un tee-shirt blanc et des doc Martens en plein été.
Il respirait la décontraction et l’esprit libre.
Cette amie commune, nous la connaissions chacun très bien et pourtant on ne s’était encore jamais rencontré. Il était grand temps.
Le diner se passe, on apprend à se connaître et on échange quelques blagues.
En rentrant, je l’ajoute sur les réseaux sociaux pour potentiellement en apprendre plus.
Cet homme n’y partageait rien mais j’ai pu lui écrire.
Grâce à l’écran entre nous, j’ose quelques banalités puis quelques jours plus tard, j’arrive à me faire inviter à diner chez lui dans son nouvel appartement.
On cuisine rapidement quelque chose, on partage des bières, je n’ai qu’une envie : qu’il y ait le moins d’espace possible entre nous. On s’installe dans son canapé et je tente une technique d’approche. Je lui dis que je m’interroge car j’aimerais savoir comment il embrasse, qu’est-ce qu’il ferait de ses mains, de sa langue, est-ce que sa barbe va me chatouiller ou me caresser le visage ? Je l’ai décontenancé, il me regarde alors avec de grands yeux. Il me prend dans ses bras puis nos visages sont face à face et lentement on commence à s’embrasser. Il sent bon, nos baisers sont langoureux, je me sens à l’aise.
J’avais envie que nos peaux nues se touchent. J’avais envie de lui et envie de lui dire. Il ne sait pas encore que j’aime dire tout ce que je pense. Un peu stressée par cette première nudité ensemble, je lui demande qu’on ait moins de lumière alors on est allé dans sa chambre en allumant uniquement la lampe de chevet.
Pour un premier moment d’intimité, j’avais emmené mon huile de coco que j’utilise seule pour me masturber. A deux c’est parfait comme c’est comestible. Je n’avais pas envie de pénétration mais qu’on se donne du plaisir.
Dans cette chambre que je découvrais, j’avais envie de le dévorer de bisous.
Je lui ai proposé l’huile de coco et il était partant. On s’est déshabillé et j’en ai mis au bout de mes doigts puis j’ai doucement caressé sa verge. C’était très agréable comme sensation pour lui et pour moi. Je glissais sur son gland avant d’y poser ma bouche et de le laisser ma main se promener le long de sa verge et de ses couilles.
Il amena mon visage au sien pour m’embrasser. Je collais mon sexe au sien en faisant attention à ne pas lui faire mal.
Doucement il enleva ma culotte puis embrassa mon pubis. Il promena ses doigts sur ma vulve puis enfonça un doigt dans mon vagin ce qui me fit tressaillir. Je relâchais ma tête en arrière et me concentrait sur mes sensations. Très à l’écoute de mon corps, il guettait les moindres sursauts qu’il entrainait en promenant ses doigts près de mon clitoris. Mon bassin accompagnait ses mouvements. Je ressentais comme des décharges électriques par moment.
Il continuait ses mouvements, j’avais encore envie de le toucher alors on s’est mis en 69.
J’ai massé sa verge et ses couilles, je ressentais un plaisir très libérateur et quand je souhaitais me retenir de gémir trop fort, je mettais sa verge dans ma bouche.
Je le repris en main en le serrant plus fort qu’avant. J’avais envie de le voir jouir. Il contracta son corps et jouit dans un lâcher-prise beau à voir.
Je suis allée me laver les mains et je me suis couchée contre lui.
Le corps soulagé, apaisé. Je sentais que sur les prochains mois, on allait développer l’entente entre nos corps.
Il était grand, blond, un jean Levi’s noir, un tee-shirt blanc et des doc Martens en plein été.
Il respirait la décontraction et l’esprit libre.
Cette amie commune, nous la connaissions chacun très bien et pourtant on ne s’était encore jamais rencontré. Il était grand temps.
Le diner se passe, on apprend à se connaître et on échange quelques blagues.
En rentrant, je l’ajoute sur les réseaux sociaux pour potentiellement en apprendre plus.
Cet homme n’y partageait rien mais j’ai pu lui écrire.
Grâce à l’écran entre nous, j’ose quelques banalités puis quelques jours plus tard, j’arrive à me faire inviter à diner chez lui dans son nouvel appartement.
On cuisine rapidement quelque chose, on partage des bières, je n’ai qu’une envie : qu’il y ait le moins d’espace possible entre nous. On s’installe dans son canapé et je tente une technique d’approche. Je lui dis que je m’interroge car j’aimerais savoir comment il embrasse, qu’est-ce qu’il ferait de ses mains, de sa langue, est-ce que sa barbe va me chatouiller ou me caresser le visage ? Je l’ai décontenancé, il me regarde alors avec de grands yeux. Il me prend dans ses bras puis nos visages sont face à face et lentement on commence à s’embrasser. Il sent bon, nos baisers sont langoureux, je me sens à l’aise.
J’avais envie que nos peaux nues se touchent. J’avais envie de lui et envie de lui dire. Il ne sait pas encore que j’aime dire tout ce que je pense. Un peu stressée par cette première nudité ensemble, je lui demande qu’on ait moins de lumière alors on est allé dans sa chambre en allumant uniquement la lampe de chevet.
Pour un premier moment d’intimité, j’avais emmené mon huile de coco que j’utilise seule pour me masturber. A deux c’est parfait comme c’est comestible. Je n’avais pas envie de pénétration mais qu’on se donne du plaisir.
Dans cette chambre que je découvrais, j’avais envie de le dévorer de bisous.
Je lui ai proposé l’huile de coco et il était partant. On s’est déshabillé et j’en ai mis au bout de mes doigts puis j’ai doucement caressé sa verge. C’était très agréable comme sensation pour lui et pour moi. Je glissais sur son gland avant d’y poser ma bouche et de le laisser ma main se promener le long de sa verge et de ses couilles.
Il amena mon visage au sien pour m’embrasser. Je collais mon sexe au sien en faisant attention à ne pas lui faire mal.
Doucement il enleva ma culotte puis embrassa mon pubis. Il promena ses doigts sur ma vulve puis enfonça un doigt dans mon vagin ce qui me fit tressaillir. Je relâchais ma tête en arrière et me concentrait sur mes sensations. Très à l’écoute de mon corps, il guettait les moindres sursauts qu’il entrainait en promenant ses doigts près de mon clitoris. Mon bassin accompagnait ses mouvements. Je ressentais comme des décharges électriques par moment.
Il continuait ses mouvements, j’avais encore envie de le toucher alors on s’est mis en 69.
J’ai massé sa verge et ses couilles, je ressentais un plaisir très libérateur et quand je souhaitais me retenir de gémir trop fort, je mettais sa verge dans ma bouche.
Je le repris en main en le serrant plus fort qu’avant. J’avais envie de le voir jouir. Il contracta son corps et jouit dans un lâcher-prise beau à voir.
Je suis allée me laver les mains et je me suis couchée contre lui.
Le corps soulagé, apaisé. Je sentais que sur les prochains mois, on allait développer l’entente entre nos corps.
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