Beau papa pas sage ou belle fille pas sage?
Récit érotique écrit par Beau papa [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-06-2008 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Beau papa pas sage ou belle fille pas sage?
Bonjour à tous. Je me nomme Salvator, j’ai 51 ans. L’histoire que je vais vous raconter est réelle et pourtant peu banale.
J’ai un fils Julien, 18 ans. Depuis peu, il sort avec Leila, une jolie Turque de son école. Elle porte le foulard mais le retire dès qu’elle arrive chez moi. Evidemment, cette relation est cachée de sa famille. Elle fait semblant d’aller chez une copine ou à l’école pour prendre le bus et venir voir mon fils.
Le moins que l’on puisse dire, c’est que mon fils a du goût. Malgré son foulard, elle aime s’habiller sexy mais pas provocante pour autant. Elle aime les pantalons taille basse qui lui font un si joli cul et montre le haut de son string ou les blouses serrantes mettant en évidence sa belle poitrine de jeune femme. Pour ne rien gâcher, elle est brillante à l’école et surtout très sympathique et toujours souriante. Elle nous remercie à chaque fois de l’avoir accueillie alors qu’il est clair que son avenir avec mon fils est compromis (religion oblige).
Je suis le père de mon fils (bien !!!) mais je suis aussi un homme et j’avoue que j’ai souvent l’œil qui traîne. Le top, c’est con à dire, mais c’est quand elle retire son foulard et libère ses cheveux. Un vrai top.
Un jour, pour l’anecdote, je suis rentré dans la chambre de mon fils alors qu’elle le suçait. (Je suppose que leurs relations ne vont pas plus loin). La situation m’avait excité mais j’avais quitté aussi vite la pièce un peu gênée. Eux deux, je les avais entendu rire.
Le jour- là, à 16h00, devant aller chez un ami, je l’avais déposée près de chez elle. J’avais abordé le sujet mais sur le ton de la plaisanterie et elle ne semblait pas gênée.
Un mois plus tard, dîner chez moi à la Noël, avec toute la famille. Certes, elle ne fait pas Noël mais ça ne l’empêche pas de faire croire qu’elle va chez une amie et de venir manger avec nous.
Nous sommes une dizaine à table et tout le monde boit assez bien, excepté Leila (religion oblige également).
Et vers 17h00, après avoir bu et mangé pendant 5h00, ma conne de femme (mais je l’aime) propose un cache- cache à tous nos convives. Tout le monde accepte directement. Tirage au sort et mon pauvre fils, mort- plein, est désigné pour compter et chercher.
Tout le monde court dans tous les sens, sauf Leila un peu perdue, ne sachant pas trop où aller.
- Viens, je connais une cachette introuvable !
Elle me suit. Nous fonçons dans le garage, montons via une échelle à une sorte de vieux grenier et nous cachons tout au fond. Il fait sombre mais nous nous voyons tout de même.
- Le problème, dis- je, c’est qu’on nous trouvera jamais. Donc ca va être long.
- On va s’embêter.
- Pour passer le temps, tu n’as qu’à me faire ce que tu faisais à julien, l’autre fois.
Merde, la gaffe, c’est sorti tout seul. Que je suis con. Si elle le dit à mon fils…
Mais elle sourit gentiment.
Je m’assied sur une caisse et parlons.
Au bout de quelques minutes je lui propose de prendre ma place pour ne pas rester debout.
- Non, c’est gentil, mais vous ?
- C’est rien, je vais rester debout.
- Bah on va se serrer ou je me mets sur vos jambes, si ça ne vous dérange pas.
« Euh tu veux rire, si ça me dérange ton petit cul sur mes jambes ??? »
Elle s’assied et nous discutons. Je bande dans un premier temps mais heureusement, ça redescend.
- E vous êtes sur que personne ne nous trouvera ?
- Oui, c’est sur.
- Et si quelqu’un arrive, on l’entend ?
- Bien sur mais pourquoi ?
- Ben si je vous fais ce que je faisais à julien mais que quelqu’un arrive…
Elle ne me regarde pas en disant ça. Elle regarde du côté de l’échelle mais on la sent sérieuse. Moi je tombe des nues.
- Aucun souci, on entendra l’échelle. Assieds- toi.
Là, j’ai pris les devants. Je la laisse s’asseoir sur la caisse et me mets debout, devant elle.
J’ouvre ma braguette, mes boutons, descend mon slip et sors mon petit sexe, tout mou.
Je la vois regarder une dernière fois du côté de l’échelle puis prend le sexe en mains, lèche une fois le gland violacé puis le met en bouche directement.
Le sexe gonfle très vite dans sa bouche et elle n’a plus qu’à s’amuser. Pas à dire, elle ne fait peut- être que ça mais elle sait y faire. Tout y passe : elle branle, suce, lèche, pompe, caresse els couilles, les lèche, bave sur le gland,… Un vrai bonheur. Je dois me retenir deux fois pour ne pas éjaculer.
Mais au bout de cinq grosses minutes, elle met mon pénis en bouche et commence à le branler dans sa bouche. C’en est trop : quatre, cinq jets très épais s’en suivent et coulent dans sa gorge. Elle me fixe durant l’éjaculation et ne retire pas sa bouche. Elle avale tout et lèche encore le gland pour els dernières gouttes. Quelle chienne.
Elle range ainsi mon sexe dans mon slip et me fait un grand sourire.
- je ne savais pas que tu avalais tout !
- C’est la première fois. Je n’allais pas laisser tout aller par terre.
- Personne ne vient jamais ici, tu sais, ça n’est pas grave !
- Tant pis !
Elle me sourit.
Comme prévu, personne ne nous trouva et au bout d’une heure, nous rejoignirent les autres dans le salon. Tous nous cherchaient. Jamais je n’ai révélé notre cachette. Mais plus jamais, je n’ai eu de pipes de ma belle- fille.
J’ai un fils Julien, 18 ans. Depuis peu, il sort avec Leila, une jolie Turque de son école. Elle porte le foulard mais le retire dès qu’elle arrive chez moi. Evidemment, cette relation est cachée de sa famille. Elle fait semblant d’aller chez une copine ou à l’école pour prendre le bus et venir voir mon fils.
Le moins que l’on puisse dire, c’est que mon fils a du goût. Malgré son foulard, elle aime s’habiller sexy mais pas provocante pour autant. Elle aime les pantalons taille basse qui lui font un si joli cul et montre le haut de son string ou les blouses serrantes mettant en évidence sa belle poitrine de jeune femme. Pour ne rien gâcher, elle est brillante à l’école et surtout très sympathique et toujours souriante. Elle nous remercie à chaque fois de l’avoir accueillie alors qu’il est clair que son avenir avec mon fils est compromis (religion oblige).
Je suis le père de mon fils (bien !!!) mais je suis aussi un homme et j’avoue que j’ai souvent l’œil qui traîne. Le top, c’est con à dire, mais c’est quand elle retire son foulard et libère ses cheveux. Un vrai top.
Un jour, pour l’anecdote, je suis rentré dans la chambre de mon fils alors qu’elle le suçait. (Je suppose que leurs relations ne vont pas plus loin). La situation m’avait excité mais j’avais quitté aussi vite la pièce un peu gênée. Eux deux, je les avais entendu rire.
Le jour- là, à 16h00, devant aller chez un ami, je l’avais déposée près de chez elle. J’avais abordé le sujet mais sur le ton de la plaisanterie et elle ne semblait pas gênée.
Un mois plus tard, dîner chez moi à la Noël, avec toute la famille. Certes, elle ne fait pas Noël mais ça ne l’empêche pas de faire croire qu’elle va chez une amie et de venir manger avec nous.
Nous sommes une dizaine à table et tout le monde boit assez bien, excepté Leila (religion oblige également).
Et vers 17h00, après avoir bu et mangé pendant 5h00, ma conne de femme (mais je l’aime) propose un cache- cache à tous nos convives. Tout le monde accepte directement. Tirage au sort et mon pauvre fils, mort- plein, est désigné pour compter et chercher.
Tout le monde court dans tous les sens, sauf Leila un peu perdue, ne sachant pas trop où aller.
- Viens, je connais une cachette introuvable !
Elle me suit. Nous fonçons dans le garage, montons via une échelle à une sorte de vieux grenier et nous cachons tout au fond. Il fait sombre mais nous nous voyons tout de même.
- Le problème, dis- je, c’est qu’on nous trouvera jamais. Donc ca va être long.
- On va s’embêter.
- Pour passer le temps, tu n’as qu’à me faire ce que tu faisais à julien, l’autre fois.
Merde, la gaffe, c’est sorti tout seul. Que je suis con. Si elle le dit à mon fils…
Mais elle sourit gentiment.
Je m’assied sur une caisse et parlons.
Au bout de quelques minutes je lui propose de prendre ma place pour ne pas rester debout.
- Non, c’est gentil, mais vous ?
- C’est rien, je vais rester debout.
- Bah on va se serrer ou je me mets sur vos jambes, si ça ne vous dérange pas.
« Euh tu veux rire, si ça me dérange ton petit cul sur mes jambes ??? »
Elle s’assied et nous discutons. Je bande dans un premier temps mais heureusement, ça redescend.
- E vous êtes sur que personne ne nous trouvera ?
- Oui, c’est sur.
- Et si quelqu’un arrive, on l’entend ?
- Bien sur mais pourquoi ?
- Ben si je vous fais ce que je faisais à julien mais que quelqu’un arrive…
Elle ne me regarde pas en disant ça. Elle regarde du côté de l’échelle mais on la sent sérieuse. Moi je tombe des nues.
- Aucun souci, on entendra l’échelle. Assieds- toi.
Là, j’ai pris les devants. Je la laisse s’asseoir sur la caisse et me mets debout, devant elle.
J’ouvre ma braguette, mes boutons, descend mon slip et sors mon petit sexe, tout mou.
Je la vois regarder une dernière fois du côté de l’échelle puis prend le sexe en mains, lèche une fois le gland violacé puis le met en bouche directement.
Le sexe gonfle très vite dans sa bouche et elle n’a plus qu’à s’amuser. Pas à dire, elle ne fait peut- être que ça mais elle sait y faire. Tout y passe : elle branle, suce, lèche, pompe, caresse els couilles, les lèche, bave sur le gland,… Un vrai bonheur. Je dois me retenir deux fois pour ne pas éjaculer.
Mais au bout de cinq grosses minutes, elle met mon pénis en bouche et commence à le branler dans sa bouche. C’en est trop : quatre, cinq jets très épais s’en suivent et coulent dans sa gorge. Elle me fixe durant l’éjaculation et ne retire pas sa bouche. Elle avale tout et lèche encore le gland pour els dernières gouttes. Quelle chienne.
Elle range ainsi mon sexe dans mon slip et me fait un grand sourire.
- je ne savais pas que tu avalais tout !
- C’est la première fois. Je n’allais pas laisser tout aller par terre.
- Personne ne vient jamais ici, tu sais, ça n’est pas grave !
- Tant pis !
Elle me sourit.
Comme prévu, personne ne nous trouva et au bout d’une heure, nous rejoignirent les autres dans le salon. Tous nous cherchaient. Jamais je n’ai révélé notre cachette. Mais plus jamais, je n’ai eu de pipes de ma belle- fille.
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