Belle et le pique nique
Récit érotique écrit par Huguette34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-04-2011 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Belle et le pique nique
Quelques fois, il faut faire des choses qu’on aime pas. Ainsi j’ai une sainte frousse de la moto. Pourtant je suis sur l’arrière de la selle depuis presque 200 bornes, me tenant à la taille de Belle qui elle adore les deux roues. Pour ma part je préfère un bonne vieille voiture qui au mois à 4 roues. Belle double les autres véhicules sans se soucier de la vitesse: elle adore ça la vitesse, malgré les risques encouru par la maréchaussée. A la rigueur la moto ne me donne qu’un seul effet: elle m’excite: avoir ses cuisses écartées avec les pieds sur les reposes pieds, et les vibrations ou les légers frottements de la selle que je ressent entre les jambes. C’est rien que pour ça que je ne porte aucun sous vêtement sous ma jupe en jean. Belle qui décide de tout a voulu me faire voir du pays. En effet les paysages sont magnifiques. Je les regarde, sans les admirer à cause de la frousse.
Enfin Belle trouve un endroit idéal pour pique niquer. C’est vrai que le coin est adorable avec ses grands sapins et da petite clairière. Elle avance la moto à petite vitesse pour ne pas abimer « l’environnement ». Tu parles, elle cherche l’endroit où il y aura du soleil et surtout la tranquillité. Enfin je peux descendre de son dragon à essence. Je tire un peu sur ma jupe pour la faire descendre le plus possible, comme si c’était gênant pour Belle. Elle n’est guère plus habillée que moi, sinon une paire de botte arrivant presque aux genoux, ce qui lui donne une drôle d’allure avec la jupe à mi cuisse.
Je me laisse servir comme une princesse: elle se charge de sortir les victuailles des sacoches ainsi que la petite couverture. Je suis parait-il maladroite pour certaine choses pratique. Elle ne me dit pas ça tout le temps, sinon je l’aurai quittée. Elle trouvé une vieille baraque derrière laquelle nous serons tranquilles. Je l’aide à « mettre » la table. Avant de nous assoir, j’ai envie de sa bouche. Je viens tout contre elle comme le ferai une chatte. Mes lèvres s’approchent doucement des siennes: elle reste immobile dans l’attente. Quand elles se touchent j’ai l’impression qu’un arc électrique de forme entre nos deux bouches. Nous ouvrons les ouvrons: nos langues commencent à se caresser. Je n’aurai pas du l’embrasser presque en descendant de moto. J’ai envie d’aller plus loin, bien plus loin. Je me fout des gens qui peuvent passer et nous voir enlacées. Je la veux maintenant: j’ai un creux dans mes reins: je ne connais qu’un seul moyen, de me guérir. Je prend la main de Belle pour qu’elle la mette sous ma jupe: c’est vite fait de le faire, il n’y a qu’à la lever un peu, y mettre la main et trouver à peine un peu plus haut, d’abord mon petit nid et juste en haut mon petit oiseau qui me fait trembler quand elle le caresse. Pourtant c’est-ce que je fais de moi-même quand Belle est comme maintenant contre moi. Le seul ennui est qu’elle ne quitte pas ses bottes.
Je sens enfin sa main monter entre les jambes, caresser lentement pour me faire languir; Elle trouve même le moyen d’oublier mon sexe au passage avant d’y revenir.
Pour moi le paradis commence quand elle me frôle le petit bouton, si petit et si sensible. J’ai bien écarté mes jambes, pour qu’elle puisse aller maintenant là où elle veux. Mes bras ont servi au début pour me tenir à son cou. Maintenant un seul suffit. Ma main va aussi sous sa jupe et je n’ai besoin d’aucune aide pour trouver son point faible; j’ai trouvé l’entrée de son fourreau. Mes deux doigts font comme souvent: ils vont et viennent dans son ventre. Elle aussi écarte ses jambes. Je peux passer aussi par l’arrière de ses cuisses une main qui va vers ses fesses. Je passe deux doigts dans la raie pour aboutir sur son anus. Je le caresse longuement. Je sais, et ça arrive que je la fait toujours jouir en lui caressant le bord du cul. Elle est appuyée contre le mur de la baraque pour jouir: c’est son point de faiblesse: si elle jouit debout sans soutien elle risque de se laisser aller à terre. Je suis la maitresse dans ce cas, ce cas seulement. Je me laisse toujours faire par elle qui sait tout mieux que moi. La preuve c’est elle qui m’a dépucelée. C’était même très agréable, moins que sa langue, mais agréable quand même. Elle a gardé le godemiché dont elle s’est servi.
Nous ôtons nos hauts pour être à l’aise et prendre le soleil. Tans qu’on y est nous enlevons les jupes qui nous gênent. C’est donc nues que nous déjeunons sur l’herbe: façon agréable de manger. Pour manger sans doute, pour nos bas ventre c’est aussi agréable. Chaque une se caresse la fente en regardant l’autre. Nous avons de la salive qui arrive dans les bouche et de la cyprine dans nos sexes. Quand elle se penche pour prendre à boire, par exemple, je vois ses seins pourtant fermes balloter un peu. Les miens doivent en faire autant.
Avant la fin du pique nique Belle a envie de moi. Elle me couche sur la couverture me fait écarter les cuisse pour que sa tête puisse passer. Je sens son souffle entre mes cuisses. Je le sens sur ma bouche d’en bas. Je ne sais encore où elle va se loger. Avec elle ça change souvent, c’est pour ça que c’est agréable de me faire baiser par cette coquine. Cette fois elle vient bien près de l’anus. D’avance je savoure ces instants: elle me lèche l’anus lentement, très lentement. Je sens sa langue se durcir. Cette fois enfin, j’y ai droit, elle me sodomise avec sa langue durcie. Je ne sais combien elle en met: elle me fait jouir ainsi, c’est la principal. Elle a monté les deux mains sur mes seins. Les deux se font caresser lentement avec les mamelons entre deux doigts qu’elle caresse avec lenteur. Je sens mes seins durcir avec cette caresse pourtant habituelle. Elle ne se consacre qu’à mon seul plaisir. Je ferme les yeux pour mieux apprécier sa langue et ses mains sur mon corps. Mon Dieu qu’elle me fait du bien, qu’elle est gentille de me donner ses plaisirs immenses. Je ne sens plus mon corps tellement il est pris pas Belle.
Elle me fait mettre le jambes sur ses épaules. Sa langue est maintenant sur le bouton. Elle ne me lâche pas et pourtant je sens qu’elle bouge: elle prend je ne sais quoi dans le panier.
Elle entre deux doigts dans la chatte. Il me semble qu’elle force comme pour élargir le diamètre de ma moule. Comme je me trombe, elle n’élargit pas, elle me baise avec le gode qu’elle a porté exprès pour me donner de plaisir différent en remplissant tout mon sexe. Elle sait pourtant que je n’aime pas tellement me faire mettre par une bite, même vivante.
Elle enfonce le faux sexe très lentement tout en continuant à me sucer. Je ne me rend même pas compte qu’elle l’a mit tout au fond. Ce n’est que quand elle fait des va et vient que je le sens. Je crois que l’alliance du gode et de sa langue me font jouir ensemble.
Elle se relève pour venir s’assoir sur ma bouche. J’aime sentir ainsi toute sa chatte, avec son gout légèrement musqué et sa cyprine si agréable à voir sur la langue et dans ma bouche. Je prends dans la bouche son clitoris que j’aspire: elle adore cette façon de faire quand je la lèche dans ma bouche. Je la tiens par le dessus des cuisses. Je peux ainsi aller lui caresser facilement les fesses de haut en bas.
Soudain, elle me demande de tout arrêter. Il lui semble avoir entendu quelqu’un. Elle se relève pour apercevoir une jeune femme qui nous regarde en ayant la robe relevé avec une main sur son bijou. Belle ne se démonte pas, elle l’appelle pour venir jouir avec nous
Qu’elle drôle d’idée t’inviter une étrangère à nos étreintes. J’espère que la fille ne va pas venir. Hélas, elle vient comme si nous n’étions pas occupées à deux.
Je comprend mieux quand je la vois: c’est une belle fille peu farouche puisqu’elle est venue à la première sollicitation d’une autre fille nue celle la.
Belle commence par l’embrasser sur la bouche, la déshabille. Elle la caresse partout, avant de toucher son endroit sensible. Est-ce la caresse, sa nouveauté ou simplement qu’elle n’a pas encore jouit, de toute manière je la vois se raidir un peu. Je n’ai pas pu tenir devant ce couple qui s’aime: je me masturbe. En jouissant je cri un peu. Si Belle sait comment je fait, la nouvelle ne sait rien de moi, ni de Belle, sinon quelle doit bien embrasser, ce qui est la vérité. C’est bizarre, je ne me sens pas jalouse. Je m’approche d’elle à quatre pattes pour lui lécher les cuisses et chercher son petit trou. Qui sait je pourrai peut-être y entrer la langue. Belle comprend ce que je veux, elle s’arrange même pour que les fesses de cette fille soient bien vers moi. Ma langue monte lentement tant qu’elle se laisse faire. Je monte toujours jusqu’à arriver à la fin des fesses. Je les écarte pour pouvoir passer. Je suis obligé de mettre mon visage horizontal pour bien arriver sur l’anus. Je me trouve ainsi le nez bloqué dans sa raie; J’ai réussi à poser le bout de ma langue sur son petit trou. Il est réellement petit. Je me demande si elle s’est déjà faite mettre par là. Je lèche doucement et arrive ce que je n’attendais pas du tout: son cul s’ouvre un peu: je peux y mettre ma langue en partie. Je suis obligé de forcer un peu pour le reste. Je sens sur mon menton la main de Belle qui la doigte. En sommes cette jeune femme a droit à une double pénétration. Elle ne reste pas immobile: elle fait les même vas et viens que nous. Elle pousse surtout un cri strident quand elle jouit.
Nous la lâchons toutes les deux.
Elle tient à nous faire jouir:
- Vous avez étaient chics toutes les deux, j’avais envie de connaitre les baises entre femme.
- Tu ne connais pas tout, lui dis-je
- Alors apprends moi le principal.
- Couches toi, ouvres les jambes et je vais te sucer partout.
Je suis maintenant la tête contre son bas ventre. Je suce son clitoris à ma façon, je la doigte en même temps. Belle essaie et arrive à mettre un doigt dans le cul. Elle jouit comme une dingue en hurlant encore plus fort.
Elle voudrai nous revoir parce que son copain ne la baise pas comme elle veux ni comme nous. Belle, déjà attacher à sa chatte lui donne rendez vous la semaine prochaine au même endroit: nous viendrons doutes les deux. Nous nous rhabillons en vitesse pour ne pas rentrer trop tard
En montant sur la moto, Belle me passe la main entre les cuisses pour me rassurer pour le voyage.
Enfin Belle trouve un endroit idéal pour pique niquer. C’est vrai que le coin est adorable avec ses grands sapins et da petite clairière. Elle avance la moto à petite vitesse pour ne pas abimer « l’environnement ». Tu parles, elle cherche l’endroit où il y aura du soleil et surtout la tranquillité. Enfin je peux descendre de son dragon à essence. Je tire un peu sur ma jupe pour la faire descendre le plus possible, comme si c’était gênant pour Belle. Elle n’est guère plus habillée que moi, sinon une paire de botte arrivant presque aux genoux, ce qui lui donne une drôle d’allure avec la jupe à mi cuisse.
Je me laisse servir comme une princesse: elle se charge de sortir les victuailles des sacoches ainsi que la petite couverture. Je suis parait-il maladroite pour certaine choses pratique. Elle ne me dit pas ça tout le temps, sinon je l’aurai quittée. Elle trouvé une vieille baraque derrière laquelle nous serons tranquilles. Je l’aide à « mettre » la table. Avant de nous assoir, j’ai envie de sa bouche. Je viens tout contre elle comme le ferai une chatte. Mes lèvres s’approchent doucement des siennes: elle reste immobile dans l’attente. Quand elles se touchent j’ai l’impression qu’un arc électrique de forme entre nos deux bouches. Nous ouvrons les ouvrons: nos langues commencent à se caresser. Je n’aurai pas du l’embrasser presque en descendant de moto. J’ai envie d’aller plus loin, bien plus loin. Je me fout des gens qui peuvent passer et nous voir enlacées. Je la veux maintenant: j’ai un creux dans mes reins: je ne connais qu’un seul moyen, de me guérir. Je prend la main de Belle pour qu’elle la mette sous ma jupe: c’est vite fait de le faire, il n’y a qu’à la lever un peu, y mettre la main et trouver à peine un peu plus haut, d’abord mon petit nid et juste en haut mon petit oiseau qui me fait trembler quand elle le caresse. Pourtant c’est-ce que je fais de moi-même quand Belle est comme maintenant contre moi. Le seul ennui est qu’elle ne quitte pas ses bottes.
Je sens enfin sa main monter entre les jambes, caresser lentement pour me faire languir; Elle trouve même le moyen d’oublier mon sexe au passage avant d’y revenir.
Pour moi le paradis commence quand elle me frôle le petit bouton, si petit et si sensible. J’ai bien écarté mes jambes, pour qu’elle puisse aller maintenant là où elle veux. Mes bras ont servi au début pour me tenir à son cou. Maintenant un seul suffit. Ma main va aussi sous sa jupe et je n’ai besoin d’aucune aide pour trouver son point faible; j’ai trouvé l’entrée de son fourreau. Mes deux doigts font comme souvent: ils vont et viennent dans son ventre. Elle aussi écarte ses jambes. Je peux passer aussi par l’arrière de ses cuisses une main qui va vers ses fesses. Je passe deux doigts dans la raie pour aboutir sur son anus. Je le caresse longuement. Je sais, et ça arrive que je la fait toujours jouir en lui caressant le bord du cul. Elle est appuyée contre le mur de la baraque pour jouir: c’est son point de faiblesse: si elle jouit debout sans soutien elle risque de se laisser aller à terre. Je suis la maitresse dans ce cas, ce cas seulement. Je me laisse toujours faire par elle qui sait tout mieux que moi. La preuve c’est elle qui m’a dépucelée. C’était même très agréable, moins que sa langue, mais agréable quand même. Elle a gardé le godemiché dont elle s’est servi.
Nous ôtons nos hauts pour être à l’aise et prendre le soleil. Tans qu’on y est nous enlevons les jupes qui nous gênent. C’est donc nues que nous déjeunons sur l’herbe: façon agréable de manger. Pour manger sans doute, pour nos bas ventre c’est aussi agréable. Chaque une se caresse la fente en regardant l’autre. Nous avons de la salive qui arrive dans les bouche et de la cyprine dans nos sexes. Quand elle se penche pour prendre à boire, par exemple, je vois ses seins pourtant fermes balloter un peu. Les miens doivent en faire autant.
Avant la fin du pique nique Belle a envie de moi. Elle me couche sur la couverture me fait écarter les cuisse pour que sa tête puisse passer. Je sens son souffle entre mes cuisses. Je le sens sur ma bouche d’en bas. Je ne sais encore où elle va se loger. Avec elle ça change souvent, c’est pour ça que c’est agréable de me faire baiser par cette coquine. Cette fois elle vient bien près de l’anus. D’avance je savoure ces instants: elle me lèche l’anus lentement, très lentement. Je sens sa langue se durcir. Cette fois enfin, j’y ai droit, elle me sodomise avec sa langue durcie. Je ne sais combien elle en met: elle me fait jouir ainsi, c’est la principal. Elle a monté les deux mains sur mes seins. Les deux se font caresser lentement avec les mamelons entre deux doigts qu’elle caresse avec lenteur. Je sens mes seins durcir avec cette caresse pourtant habituelle. Elle ne se consacre qu’à mon seul plaisir. Je ferme les yeux pour mieux apprécier sa langue et ses mains sur mon corps. Mon Dieu qu’elle me fait du bien, qu’elle est gentille de me donner ses plaisirs immenses. Je ne sens plus mon corps tellement il est pris pas Belle.
Elle me fait mettre le jambes sur ses épaules. Sa langue est maintenant sur le bouton. Elle ne me lâche pas et pourtant je sens qu’elle bouge: elle prend je ne sais quoi dans le panier.
Elle entre deux doigts dans la chatte. Il me semble qu’elle force comme pour élargir le diamètre de ma moule. Comme je me trombe, elle n’élargit pas, elle me baise avec le gode qu’elle a porté exprès pour me donner de plaisir différent en remplissant tout mon sexe. Elle sait pourtant que je n’aime pas tellement me faire mettre par une bite, même vivante.
Elle enfonce le faux sexe très lentement tout en continuant à me sucer. Je ne me rend même pas compte qu’elle l’a mit tout au fond. Ce n’est que quand elle fait des va et vient que je le sens. Je crois que l’alliance du gode et de sa langue me font jouir ensemble.
Elle se relève pour venir s’assoir sur ma bouche. J’aime sentir ainsi toute sa chatte, avec son gout légèrement musqué et sa cyprine si agréable à voir sur la langue et dans ma bouche. Je prends dans la bouche son clitoris que j’aspire: elle adore cette façon de faire quand je la lèche dans ma bouche. Je la tiens par le dessus des cuisses. Je peux ainsi aller lui caresser facilement les fesses de haut en bas.
Soudain, elle me demande de tout arrêter. Il lui semble avoir entendu quelqu’un. Elle se relève pour apercevoir une jeune femme qui nous regarde en ayant la robe relevé avec une main sur son bijou. Belle ne se démonte pas, elle l’appelle pour venir jouir avec nous
Qu’elle drôle d’idée t’inviter une étrangère à nos étreintes. J’espère que la fille ne va pas venir. Hélas, elle vient comme si nous n’étions pas occupées à deux.
Je comprend mieux quand je la vois: c’est une belle fille peu farouche puisqu’elle est venue à la première sollicitation d’une autre fille nue celle la.
Belle commence par l’embrasser sur la bouche, la déshabille. Elle la caresse partout, avant de toucher son endroit sensible. Est-ce la caresse, sa nouveauté ou simplement qu’elle n’a pas encore jouit, de toute manière je la vois se raidir un peu. Je n’ai pas pu tenir devant ce couple qui s’aime: je me masturbe. En jouissant je cri un peu. Si Belle sait comment je fait, la nouvelle ne sait rien de moi, ni de Belle, sinon quelle doit bien embrasser, ce qui est la vérité. C’est bizarre, je ne me sens pas jalouse. Je m’approche d’elle à quatre pattes pour lui lécher les cuisses et chercher son petit trou. Qui sait je pourrai peut-être y entrer la langue. Belle comprend ce que je veux, elle s’arrange même pour que les fesses de cette fille soient bien vers moi. Ma langue monte lentement tant qu’elle se laisse faire. Je monte toujours jusqu’à arriver à la fin des fesses. Je les écarte pour pouvoir passer. Je suis obligé de mettre mon visage horizontal pour bien arriver sur l’anus. Je me trouve ainsi le nez bloqué dans sa raie; J’ai réussi à poser le bout de ma langue sur son petit trou. Il est réellement petit. Je me demande si elle s’est déjà faite mettre par là. Je lèche doucement et arrive ce que je n’attendais pas du tout: son cul s’ouvre un peu: je peux y mettre ma langue en partie. Je suis obligé de forcer un peu pour le reste. Je sens sur mon menton la main de Belle qui la doigte. En sommes cette jeune femme a droit à une double pénétration. Elle ne reste pas immobile: elle fait les même vas et viens que nous. Elle pousse surtout un cri strident quand elle jouit.
Nous la lâchons toutes les deux.
Elle tient à nous faire jouir:
- Vous avez étaient chics toutes les deux, j’avais envie de connaitre les baises entre femme.
- Tu ne connais pas tout, lui dis-je
- Alors apprends moi le principal.
- Couches toi, ouvres les jambes et je vais te sucer partout.
Je suis maintenant la tête contre son bas ventre. Je suce son clitoris à ma façon, je la doigte en même temps. Belle essaie et arrive à mettre un doigt dans le cul. Elle jouit comme une dingue en hurlant encore plus fort.
Elle voudrai nous revoir parce que son copain ne la baise pas comme elle veux ni comme nous. Belle, déjà attacher à sa chatte lui donne rendez vous la semaine prochaine au même endroit: nous viendrons doutes les deux. Nous nous rhabillons en vitesse pour ne pas rentrer trop tard
En montant sur la moto, Belle me passe la main entre les cuisses pour me rassurer pour le voyage.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
huguette.... on ne sait pas qui se cache derriere un pseudo , mais derriere Huguette 34 seule une femme une vraie peut écrire de tels recits pour les femmes , quoi de plus beau que deux corps enlacés de femmes qui s'aiment,bien que je peux l'avouer, parfois j'ai du mal a m'insserer dans le récit , celà est surement dut a mon status de male !et pourtant il n'y a pas si longtemps , un soir en club, Annie a accroché le regard de sa voisine de table, un sourire, des mains qui s'etreignent, un long baiser, des carresses de plus en plus précises, un éffeuillage mutuel, pour finir nues, tetes beches a meme le sol, nous les deux maris occupés a faire la police afin d'ecarter les mains avides des hommes et des femmes qui avaient formé un cercle, pendant que les deux amantes récuperraient le fruit de leurs carresses a grands coups de doigts , de langues , de sussions, et enfin repues chacune d'elle offre a son mari la chatte de sa maitresse prete a etre introduite....
en ton honneur j'ai ecrit un petit récit qui met en scene deux femmes qui se nomment 'Huguette et Annie'j'espere qu'il serat publié !un fidele lecteur.... Georges
en ton honneur j'ai ecrit un petit récit qui met en scene deux femmes qui se nomment 'Huguette et Annie'j'espere qu'il serat publié !un fidele lecteur.... Georges