Belle-mère
Récit érotique écrit par Yvan69 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-07-2016 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Belle-mère
Il y a une dizaine d’années il m’est arrivé comme à beaucoup une histoire. Mariée à l’époque, j’avais une belle-mère ni belle ni laide. Une femme grande, bien en chair avec une bonne poitrine et des jambes bien charnues. Le genre de femme que les hommes aiment, même s’ils disent préférer les jeunettes minces. Moi, de tout temps j’ai préféré les femmes mûres et bien en chair, pas les grosses, mais celles qui ont des formes et parfois quelques rondeurs bien placées.
A cette époque, son mari l’avait déjà délaissé sexuellement parlant. Enfin elle ne m’en a jamais parlé mais leur couple battait froid comme on dit et je pense qu’ils faisaient chambre à part. J’aimais bien l’été, car elle s’habillait de manière particulière pour avoir moins chaud. Elle était vêtue de ses sous-vêtements et d’une blouse à boutons. Inutile de vous préciser que j’espérais toujours que les premiers et les derniers boutons ne soient pas fermés. Il m’arrivait de faire des travaux pour elle et son mari, si celui-ci ne savait pas les réaliser. Il n’était pas très bricoleur. Un jour d’été, je sortais de la douche et ma femme me dit que sa mère a appelé pour que je vienne vérifier le robinet de la salle de bain qui semblait avoir une fuite. Le beau-père était parti pour une journée de pétanque, elle était donc seule et ne voulait pas appeler le plombier un dimanche. Une fois séché, je me rendis donc au domicile de ma belle-mère qui n’habitait qu’à quelques kilomètres de chez nous.
Je gare la voiture devant chez elle, prends mes outils et sonne à la porte. Elle vient m’ouvrir et me fait la bise sur le coin des lèvres. Ce n’est pas son habitude, elle est très prude et ne plaisante jamais sur les questions de sexe. Peut-être me suis-je imaginé qu’elle m’a embrassé sur le coin des lèvres. Je lui demande de me conduire à la salle de bain. Elle ouvre la porte et me montre effectivement une fuite sous le lavabo. Il fait chaud, je suis en short et t-shirt. Je m’assois par terre pour étudier la situation. Elle se penche pour regarder ce que je fais et me demander si je pourrais réparer :- Vous pensez pouvoir faire quelque chose ?
- Je ne sais pas encore, mais cela ne me semble pas bien méchant.
Je démonte le siphon et comme je le supposais, il était bouché. Je le nettoie et le rince sous la douche. Je le remonte en prenant soin de changer le joint. Ma belle-mère me regarde toujours, penchée, la blouse bien décolletée laissant apparaître la naissance de ses seins. Je découvre avec surprise qu’elle ne porte pas de soutien-gorge. Je commence à bander dur dans mon short. Pour mieux voir ce que je fais, elle s’accroupit face à moi. Sa blouse qui n’est pas boutonnée jusqu’en bas, remonte sur ses cuisses et je plonge machinalement mon regard dans son entre cuisses pour m’apercevoir qu’elle ne porte pas de culotte. Il est vrai qu’il fait une chaleur inhabituelle ce jour-là. Je fais traîner le remontage du siphon pour bien avoir le temps de la mater. Parfois elle écarte un peu ses cuisses.
- Voilà, ce doit être bon, pouvez-vous faire couler el robinet ?
- Oui, pas de problème.
Elle se relève et se positionne devant le lavabo et ouvre le robinet doucement. Toujours assis par terre j’ai la tête pratiquement sous sa blouse et je peux admirer sa chatte poilue et ses fesses. Mon sexe redouble de dureté et commence à me faire mal.
- C’est bon ?
- On dirait que ça ne fuit plus.
- Tant mieux.
Elle arrête le robinet et se penche de nouveau vers moi me montrant ainsi sa grosse poitrine que je rêve de toucher depuis de longues années. Son regard se porte sur mon short qui fait une bosse.
- Vous transpirez, vous pouvez prendre une douche pour vous rafraîchir avant de rentrer si vous le voulez.
- C’est gentil, mais je ne voudrais pas abuser.
- Vous ne me gênez pas.
- Pourquoi pas, il fait vraiment très chaud aujourd’hui, il y va certainement faire orage.
- Oui, le temps est lourd et humide.
- C’est vrai.
Elle ne lâche pas la bosse de mon short et moi de mon côté je mate son décolleté et ses cuisses qui apparaissent à chaque mouvement.
- Je vous laisse vous rafraichir.
- Merci.
Elle sort, je me déshabille et je rentre dans la douche dont je règle la température sur frais. Cela me fait du bien mais ne baisse pas les ardeurs et mon sexe est toujours aussi dur et me fait toujours mal. Je commence à me masturber pour me soulager. Elle m’a vraiment exciter la Paulette. Je suis en plein exercice quand elle frappe à la porte de la salle de bain.
- Je ne vous ai pas donné de serviette, puis-je entrer pour la poser sur le lavabo ?
- Oui, allez-y.
Elle entre, prend son temps, pose la serviette.
- Tout va bien, vous n’avez besoins de rien ?
- Ca dépend …Qu’est-ce qu’il me prend de dire ça à Paulette. Elle écarte le rideau de la douche et me regarde. J’ai le sexe à la main. Elle reste quelques secondes sans bouger.
- Excusez-moi, je ne sais pas ce qui m’a pris, je vous laisse.
- Vous ne me dérangez pas, et pour tout vous dire, me faire surprendre de la sorte m’a encore plus excité.
- Non, ce n’est pas bien, je m’excuse encore.
- Arrêtez de vous excusez Paulette.
Elle a refermé le rideau de la douche, mais j’attrape son bras pour la retenir.
- Restez, j’en ai très envie.
- Je ne sais pas …- Restez juste là à me regarder si vous le voulez.
Après une nouvelle hésitation, elle ouvre de nouveau le rideau de douche en grand et me regarde. Je continue de me savonner et reprend mon sexe en main pour me masturber. Il n’a jamais été aussi gros. Je vous que Paulette a le rouge qui lui monte aux joues. La situation l’excite également.
- Le spectacle vous plaît ?
- Oui …Je me tourne pour qu’elle admire aussi mes fesses et tout mon corps. Je devine que ses mains ont envie de me toucher mais elle se retient. Je continue à me savonner en passant une main entre mes fesses tandis que de l’autre je me branle. Elle est bouche bée.
Alors je me retourne face à elle et j’ouvre sa blouse. Elle fait un geste pour m’en empêcher.
- Je voudrais juste vous voir pendant que je me caresse.
Elle déboutonne sa blouse et la laisse tomber au sol. Elle est nue devant moi. J’ai envie d’elle.
- Je peux vous toucher les seins ?
- Je ne sais pas …- Vous n’avez pas envie ?
- Si mais …Je ne lui laisse pas le temps de finir sa phrase. Mes mains se posent sur ses seins. Elle ferme les yeux et soupire de plaisir. Je l’attire plus près de moi, elle me rejoint sous la douche. Je voudrais l’embrasser mais elle refuse. Elle se laisse caresser. Mes mains parcourent son corps, malaxent ses seins, empoignent ses fesses, passent entre ses cuisses pour atteindre sa chatte, ouverte et dégoulinante de désir. Elle gémit.
- Non, il ne faut pas ….
En disant cela elle prend mon sexe et commence à ma masturber doucement. Elle se met à genoux dans la douche et commence une fellation de rêve. Mes mains pétrissent ses seins. Puis je lui prends la tête pour mieux lui baiser la bouche.
- Tu aimes ça Paulette, te faire prendre la bouche.
- Oui, j’aime, dis-moi des mots crus …- Tu n’es qu’une salope qui aime se faire baiser par son gendre.
- Oui, baise-moi bien la bouche, gicle dans ma gorge.
Alors j’accélère le mouvement en lui tenant bien la tête et je jouis comme jamais au fond de sa bouche. Paulette avale tout, elle est en chaleur. A ce moment je sais qu’elle fera tout ce que je lui demande. Une fois bien vidé, elle se redresse, je la plaque contre la paroi, je me mets à genoux et je lui lèche la chatte par derrière et prenant soin de passer ma langue sur son petit trou.
- Tu aimes te faire lécher grosse salope.
- Oui, continue, on ne m’a jamais fait ça ….
Alors je redouble de coupe de langue sur son clitoris et sur son petit trou. Je bande toujours. Je l’entends gémir de plus en plus fort.
- Tu mérites que je t’encule ma salope.
- Je suis vierge du cul mais je suis ta salope, fais de moi ce que tu veux.
Alors j’enfonce ma langue profondément dans son anus, puis je me relève, présente mon gland à l’entrée de son cul et commence à pousser. Elle se contacte. Je lui prends les hanches pour qu’elle recule sur mon sexe. Lorsqu’il est à moitié dedans, elle commence à aller et venir en gémissant de plus en plus fort. Je lui caresse le clito pendant que je la sodomise.
- Oui, vas-y c’est bon, je n’ai jamais pris autant de plaisir, encule ta salope …Je vais et je viens de plus en plus fort, elle jouit, ses muscles se resserrent sur mon sexe. Elle crie puis se dégage. Je la retourne face à moi, je la fait mettre encore une fois à genoux et je me branle devant son visage.
- Tu aimes ça me regarder et regarder ma bite ?
- Oui, j’aime ta bite et te voir te branler m’excite beaucoup.
Elle prend mon sexe et commence à me branler d’une main en me regardant dans les yeux. Elle aime ce qu’elle me fait. Le plaisir monte alors je prends son autre main et la dirige vers mes fesses.
- Tu aimes mes fesses ?
- Oui elle me plaise, tu veux que je les caresse ?
- Je veux plus encore.
Je prends un de ses doigts et le dirige sur mon anus. Elle commence à me caresser le petit trou en me branlant. Elle gémit de plaisir.
- Tu aimes ça salope, me toucher le cul ?
- Oui, j’adore je vais te mettre un doigt …Aussitôt dit, elle introduit un doigt et me branle plus fort. Je jouis et lâche tout le sperme sur son visage. Elle continue pour bien me vider en me titillant bien le cul.
Après nous être regardé quelques instants, nous nous sommes lavés. Je me suis rhabillé, elle aussi.
- La prochaine fois que je viens, je veux que ta chatte soit épilée, c’est compris.
- Tout ce que tu veux si tu me jouir comme aujourd’hui.
- Tu feras tout ce que je veux.
- Oui ….
A cette époque, son mari l’avait déjà délaissé sexuellement parlant. Enfin elle ne m’en a jamais parlé mais leur couple battait froid comme on dit et je pense qu’ils faisaient chambre à part. J’aimais bien l’été, car elle s’habillait de manière particulière pour avoir moins chaud. Elle était vêtue de ses sous-vêtements et d’une blouse à boutons. Inutile de vous préciser que j’espérais toujours que les premiers et les derniers boutons ne soient pas fermés. Il m’arrivait de faire des travaux pour elle et son mari, si celui-ci ne savait pas les réaliser. Il n’était pas très bricoleur. Un jour d’été, je sortais de la douche et ma femme me dit que sa mère a appelé pour que je vienne vérifier le robinet de la salle de bain qui semblait avoir une fuite. Le beau-père était parti pour une journée de pétanque, elle était donc seule et ne voulait pas appeler le plombier un dimanche. Une fois séché, je me rendis donc au domicile de ma belle-mère qui n’habitait qu’à quelques kilomètres de chez nous.
Je gare la voiture devant chez elle, prends mes outils et sonne à la porte. Elle vient m’ouvrir et me fait la bise sur le coin des lèvres. Ce n’est pas son habitude, elle est très prude et ne plaisante jamais sur les questions de sexe. Peut-être me suis-je imaginé qu’elle m’a embrassé sur le coin des lèvres. Je lui demande de me conduire à la salle de bain. Elle ouvre la porte et me montre effectivement une fuite sous le lavabo. Il fait chaud, je suis en short et t-shirt. Je m’assois par terre pour étudier la situation. Elle se penche pour regarder ce que je fais et me demander si je pourrais réparer :- Vous pensez pouvoir faire quelque chose ?
- Je ne sais pas encore, mais cela ne me semble pas bien méchant.
Je démonte le siphon et comme je le supposais, il était bouché. Je le nettoie et le rince sous la douche. Je le remonte en prenant soin de changer le joint. Ma belle-mère me regarde toujours, penchée, la blouse bien décolletée laissant apparaître la naissance de ses seins. Je découvre avec surprise qu’elle ne porte pas de soutien-gorge. Je commence à bander dur dans mon short. Pour mieux voir ce que je fais, elle s’accroupit face à moi. Sa blouse qui n’est pas boutonnée jusqu’en bas, remonte sur ses cuisses et je plonge machinalement mon regard dans son entre cuisses pour m’apercevoir qu’elle ne porte pas de culotte. Il est vrai qu’il fait une chaleur inhabituelle ce jour-là. Je fais traîner le remontage du siphon pour bien avoir le temps de la mater. Parfois elle écarte un peu ses cuisses.
- Voilà, ce doit être bon, pouvez-vous faire couler el robinet ?
- Oui, pas de problème.
Elle se relève et se positionne devant le lavabo et ouvre le robinet doucement. Toujours assis par terre j’ai la tête pratiquement sous sa blouse et je peux admirer sa chatte poilue et ses fesses. Mon sexe redouble de dureté et commence à me faire mal.
- C’est bon ?
- On dirait que ça ne fuit plus.
- Tant mieux.
Elle arrête le robinet et se penche de nouveau vers moi me montrant ainsi sa grosse poitrine que je rêve de toucher depuis de longues années. Son regard se porte sur mon short qui fait une bosse.
- Vous transpirez, vous pouvez prendre une douche pour vous rafraîchir avant de rentrer si vous le voulez.
- C’est gentil, mais je ne voudrais pas abuser.
- Vous ne me gênez pas.
- Pourquoi pas, il fait vraiment très chaud aujourd’hui, il y va certainement faire orage.
- Oui, le temps est lourd et humide.
- C’est vrai.
Elle ne lâche pas la bosse de mon short et moi de mon côté je mate son décolleté et ses cuisses qui apparaissent à chaque mouvement.
- Je vous laisse vous rafraichir.
- Merci.
Elle sort, je me déshabille et je rentre dans la douche dont je règle la température sur frais. Cela me fait du bien mais ne baisse pas les ardeurs et mon sexe est toujours aussi dur et me fait toujours mal. Je commence à me masturber pour me soulager. Elle m’a vraiment exciter la Paulette. Je suis en plein exercice quand elle frappe à la porte de la salle de bain.
- Je ne vous ai pas donné de serviette, puis-je entrer pour la poser sur le lavabo ?
- Oui, allez-y.
Elle entre, prend son temps, pose la serviette.
- Tout va bien, vous n’avez besoins de rien ?
- Ca dépend …Qu’est-ce qu’il me prend de dire ça à Paulette. Elle écarte le rideau de la douche et me regarde. J’ai le sexe à la main. Elle reste quelques secondes sans bouger.
- Excusez-moi, je ne sais pas ce qui m’a pris, je vous laisse.
- Vous ne me dérangez pas, et pour tout vous dire, me faire surprendre de la sorte m’a encore plus excité.
- Non, ce n’est pas bien, je m’excuse encore.
- Arrêtez de vous excusez Paulette.
Elle a refermé le rideau de la douche, mais j’attrape son bras pour la retenir.
- Restez, j’en ai très envie.
- Je ne sais pas …- Restez juste là à me regarder si vous le voulez.
Après une nouvelle hésitation, elle ouvre de nouveau le rideau de douche en grand et me regarde. Je continue de me savonner et reprend mon sexe en main pour me masturber. Il n’a jamais été aussi gros. Je vous que Paulette a le rouge qui lui monte aux joues. La situation l’excite également.
- Le spectacle vous plaît ?
- Oui …Je me tourne pour qu’elle admire aussi mes fesses et tout mon corps. Je devine que ses mains ont envie de me toucher mais elle se retient. Je continue à me savonner en passant une main entre mes fesses tandis que de l’autre je me branle. Elle est bouche bée.
Alors je me retourne face à elle et j’ouvre sa blouse. Elle fait un geste pour m’en empêcher.
- Je voudrais juste vous voir pendant que je me caresse.
Elle déboutonne sa blouse et la laisse tomber au sol. Elle est nue devant moi. J’ai envie d’elle.
- Je peux vous toucher les seins ?
- Je ne sais pas …- Vous n’avez pas envie ?
- Si mais …Je ne lui laisse pas le temps de finir sa phrase. Mes mains se posent sur ses seins. Elle ferme les yeux et soupire de plaisir. Je l’attire plus près de moi, elle me rejoint sous la douche. Je voudrais l’embrasser mais elle refuse. Elle se laisse caresser. Mes mains parcourent son corps, malaxent ses seins, empoignent ses fesses, passent entre ses cuisses pour atteindre sa chatte, ouverte et dégoulinante de désir. Elle gémit.
- Non, il ne faut pas ….
En disant cela elle prend mon sexe et commence à ma masturber doucement. Elle se met à genoux dans la douche et commence une fellation de rêve. Mes mains pétrissent ses seins. Puis je lui prends la tête pour mieux lui baiser la bouche.
- Tu aimes ça Paulette, te faire prendre la bouche.
- Oui, j’aime, dis-moi des mots crus …- Tu n’es qu’une salope qui aime se faire baiser par son gendre.
- Oui, baise-moi bien la bouche, gicle dans ma gorge.
Alors j’accélère le mouvement en lui tenant bien la tête et je jouis comme jamais au fond de sa bouche. Paulette avale tout, elle est en chaleur. A ce moment je sais qu’elle fera tout ce que je lui demande. Une fois bien vidé, elle se redresse, je la plaque contre la paroi, je me mets à genoux et je lui lèche la chatte par derrière et prenant soin de passer ma langue sur son petit trou.
- Tu aimes te faire lécher grosse salope.
- Oui, continue, on ne m’a jamais fait ça ….
Alors je redouble de coupe de langue sur son clitoris et sur son petit trou. Je bande toujours. Je l’entends gémir de plus en plus fort.
- Tu mérites que je t’encule ma salope.
- Je suis vierge du cul mais je suis ta salope, fais de moi ce que tu veux.
Alors j’enfonce ma langue profondément dans son anus, puis je me relève, présente mon gland à l’entrée de son cul et commence à pousser. Elle se contacte. Je lui prends les hanches pour qu’elle recule sur mon sexe. Lorsqu’il est à moitié dedans, elle commence à aller et venir en gémissant de plus en plus fort. Je lui caresse le clito pendant que je la sodomise.
- Oui, vas-y c’est bon, je n’ai jamais pris autant de plaisir, encule ta salope …Je vais et je viens de plus en plus fort, elle jouit, ses muscles se resserrent sur mon sexe. Elle crie puis se dégage. Je la retourne face à moi, je la fait mettre encore une fois à genoux et je me branle devant son visage.
- Tu aimes ça me regarder et regarder ma bite ?
- Oui, j’aime ta bite et te voir te branler m’excite beaucoup.
Elle prend mon sexe et commence à me branler d’une main en me regardant dans les yeux. Elle aime ce qu’elle me fait. Le plaisir monte alors je prends son autre main et la dirige vers mes fesses.
- Tu aimes mes fesses ?
- Oui elle me plaise, tu veux que je les caresse ?
- Je veux plus encore.
Je prends un de ses doigts et le dirige sur mon anus. Elle commence à me caresser le petit trou en me branlant. Elle gémit de plaisir.
- Tu aimes ça salope, me toucher le cul ?
- Oui, j’adore je vais te mettre un doigt …Aussitôt dit, elle introduit un doigt et me branle plus fort. Je jouis et lâche tout le sperme sur son visage. Elle continue pour bien me vider en me titillant bien le cul.
Après nous être regardé quelques instants, nous nous sommes lavés. Je me suis rhabillé, elle aussi.
- La prochaine fois que je viens, je veux que ta chatte soit épilée, c’est compris.
- Tout ce que tu veux si tu me jouir comme aujourd’hui.
- Tu feras tout ce que je veux.
- Oui ….
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très bonne histoire avec juste de retenue au départ pour épicer le contenu.
Merci pour ton histoire car j'ai vraiment bandé comme un cheval et te lisant et en voyant quasiment la scène devant moi. Tu es un sacré veinard et je t'encourage à écrire ce types d'article en brodant un peu plus et ne pas aller directement au but. Une ou des histoires qui s'intègre plus sur une plus longue durée.
Je pense que toutes les femmes ont droit au plaisir ,même si moralement c'est un peu répréhensible ,mais il vaut mieux que les belles mère délaissées ou non se fasse baiser par leur gendre plutôt que par un inconnu ; les relations avec la belle mère son parfois tendues voir même orageuses et ces situations peuvent détruire un couple et donc la vie des enfants
Je suis tout à fait pour et ça évite aussi aux gendres de prendre une maîtresse ou d'aller aux putes et donc à faire des économies .
Je suis tout à fait pour et ça évite aussi aux gendres de prendre une maîtresse ou d'aller aux putes et donc à faire des économies .
la suite vite trop bien la belle mere
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