Berline
Récit érotique écrit par CHOU [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 2 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.5 • Cote moyenne attribuée par HDS : 7.5
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-09-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Berline
C’était assez troublant comme sensation.
Une sorte d’émotion contraire et contradictoire, j’ai envie mais là raison me ramène les pieds sur terre. Minutes après minutes, elles défilaient à une vitesse folle. Comme si la montre nous aidait à prendre du bon temps. Les regards, les gestes ou les attentions étaient contrôlées mais plutôt désirées. Le temps passe et semble toujours arrêté.
Désormais installés dans la berline, nos cigarettes brûles les une après les autres.
Les gouttes de pluies ne cessent de s’écraser sur la carrosserie et elles raisonnent dans l’habitacle. Passée de l’avant à l’arrière, l’espace est plus vaste et plus confortable. Il est tard dans la nuit. Il y a peu de lumière. Tout est réuni pour ça. L’épaisse fumée nous envahit, tout comme l’envie.
Ses mains s’emparent de moi. Début des festivités. Ses caresses bien placés me font pâlir, je me retiens pour ne pas mourir d’excitation.
Mon corps tremble et monte en température.
Buée sur les vitres, plus aucun arbitre.
Je me laisse emporter par cette vague de chaleur humaine. Nos corps se découvre malgré cet espace très restreint. C’est souvent mieux mais on fait comme on peut. Ça m’attise.
Nos corps ne font plus qu’un. Nos hanches se déchaîne en rythme, ma voix est incontrôlable pourtant je ne peux pas parler. Je l’écoute, il me parle. J’adore ça. Oh non c’est pas sérieux.
Je n’ai pas ma fin, mais je suis compliqué.. mon corps à souvent besoin d’un temps supplémentaire pour le nirvana. Son souffle me transperce la peau. Ces couches de vêtements nous empêche le contact peau contre peau. C’est très frustrant. Nous ne prenons pas le temps de tout enlever. Peut-être pour ne pas tout dévoiler dès le premier soir. Tout est furtif et interdit. L’interdit attire. Je ne peux pas le griffer, oh non! Sa dame serait très énervée. Ça m’excite. Il s’abandonne en moi et tout est humide. Oh non c’est pas sérieux. Je veux plus, tellement plus. Je veux jouir très fort.
Mon souffle est rapide et très profond. Mon visage est contre son torse si rassurant, je le sers fort comme pour dire merci et redescendre doucement sur terre. Il ne dit pas grand choses mais il me semble qu’il va bien. Je souris, il sourit. Nous somme en phase.
Mle Chouchou a fortement apprécié ce moment. Elle espère un prochain match également sans arbitre et sans contrainte d’espace.
Une sorte d’émotion contraire et contradictoire, j’ai envie mais là raison me ramène les pieds sur terre. Minutes après minutes, elles défilaient à une vitesse folle. Comme si la montre nous aidait à prendre du bon temps. Les regards, les gestes ou les attentions étaient contrôlées mais plutôt désirées. Le temps passe et semble toujours arrêté.
Désormais installés dans la berline, nos cigarettes brûles les une après les autres.
Les gouttes de pluies ne cessent de s’écraser sur la carrosserie et elles raisonnent dans l’habitacle. Passée de l’avant à l’arrière, l’espace est plus vaste et plus confortable. Il est tard dans la nuit. Il y a peu de lumière. Tout est réuni pour ça. L’épaisse fumée nous envahit, tout comme l’envie.
Ses mains s’emparent de moi. Début des festivités. Ses caresses bien placés me font pâlir, je me retiens pour ne pas mourir d’excitation.
Mon corps tremble et monte en température.
Buée sur les vitres, plus aucun arbitre.
Je me laisse emporter par cette vague de chaleur humaine. Nos corps se découvre malgré cet espace très restreint. C’est souvent mieux mais on fait comme on peut. Ça m’attise.
Nos corps ne font plus qu’un. Nos hanches se déchaîne en rythme, ma voix est incontrôlable pourtant je ne peux pas parler. Je l’écoute, il me parle. J’adore ça. Oh non c’est pas sérieux.
Je n’ai pas ma fin, mais je suis compliqué.. mon corps à souvent besoin d’un temps supplémentaire pour le nirvana. Son souffle me transperce la peau. Ces couches de vêtements nous empêche le contact peau contre peau. C’est très frustrant. Nous ne prenons pas le temps de tout enlever. Peut-être pour ne pas tout dévoiler dès le premier soir. Tout est furtif et interdit. L’interdit attire. Je ne peux pas le griffer, oh non! Sa dame serait très énervée. Ça m’excite. Il s’abandonne en moi et tout est humide. Oh non c’est pas sérieux. Je veux plus, tellement plus. Je veux jouir très fort.
Mon souffle est rapide et très profond. Mon visage est contre son torse si rassurant, je le sers fort comme pour dire merci et redescendre doucement sur terre. Il ne dit pas grand choses mais il me semble qu’il va bien. Je souris, il sourit. Nous somme en phase.
Mle Chouchou a fortement apprécié ce moment. Elle espère un prochain match également sans arbitre et sans contrainte d’espace.
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