Bon anniversaire ma chérie.

Récit érotique écrit par GM34280 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Bon anniversaire ma chérie.
Aujourd’hui, j’ai trente huit ans, et suis toujours aussi séduisante qu’à vingt ans. D’ailleurs, les amis qui gravitent autour de moi lors de soirée, aimeraient bien passer une nuit avec moi à me baiser, me sodomiser ou se faire sucer, plutôt qu’une nuit maussade avec leurs épouses. Mais voila, j’aime mon mari, et reste une femme fidèle.
Ce soir là, Ethan était venu me récupérer à la sortie du bureau. Son regard coquin laissait deviner une espièglerie dont lui seul à le secret. Il m’embrassa, et je fus surprise qu’il ne me souhaite pas mon anniversaire, se contentant du baiser habituel.
- Bonsoir ma chérie, tu n’es pas trop fatiguée ?
Ces mots fleuraient bon à mon oreille, tandis qu’il m’enlaçait tendrement.
- Ou veux-tu aller ? Dîner quelque part, se caler à la maison ?
Après une journée éprouvante, j’étais heureuse de le retrouver. Alors je lui dis simplement que je lui faisais confiance, qu’il m’emmène là ou il voulait. Et tel l’éclair qui fend le ciel, je vois son visage s’illuminer, ses yeux pétiller, un sourire jusqu’au oreilles. Satisfait, il rétorqua.
- Parfait ma chérie J’aime quand tu me laisses prendre les initiatives, et t’amener ou je veux.
Je sentais une pointe de provocation, de jouissance, une sorte « Hum » étouffé. Il me serre dans se bras, approche ses lèvres de mon oreille, me murmure doucement.
- Ma chérie, tu es si belle, ce soir, laisses-toi aller...je veux que tu détendes, je veux ton plaisir...
j’ai le droit d’obtenir ce que je veux de toi, d’accord ?
L’espace d’un instant, je fus prise d’inquiétude, je sentais mon cœur battre plus fort dans ma poitrine. Je m’éloigne un peu de lui pour le regarder fixement
- Mais, de quoi parles-tu ? Demandais-je l’air inquiet, pas vraiment approbateur.
Son sourire redoublait de tendresse, d’amour inconditionnel, effaçait rapidement ma question, restée sans réponse. Je n’avais pas envie de l’entendre d’ailleurs.
- Viens mon amour, susurra-t-il.
Il m’accompagne, ouvre la portière de la voiture, s’installe au volant. Il n’était pas rare quand nous rentrions, de nous arrêter dans un coin discret pour faire un câlin. Il caressait ma chatte, doigtait mon clitoris, tandis que je lui taillait une pipe. Afin de ne pas souiller les sièges, j’avalais tout, pour son plus grand plaisir, mais aussi pour le sien. Ce soir là, pas d’arrêt, nous avons rejoint la maison trente minutes plus tard.
Alors que je rentre au salon, il se place derrière moi, couvre mes yeux de ses mains, me conduit à travers la pièce. J'entends une porte grincer, puis me demande d’ouvrir les yeux.
Je la vois là, devant moi, un magnifique Golf cabriolet jaune, assorti de cuir noir.
- Bon anniversaire ma chérie, c’est ce que tu voulais, n’est-ce pas ?
Je restais sans voix, et moi qui croyais qu’il avait oublier mon anniversaire.
- Mon Dieu mon amour, quelle folie as-tu fais là, dis-je les larmes aux yeux.c’est exactement ce que je voulais. Moi qui pensais que tu avais oublié.
Je m’installais au volant, touchais le cuir des sièges, le tableau de bord. Je passais mes bras autour du cou d’Ethan, lui donnait un tendre baiser.
- Chut...allez, file à la douche pendant que je prépare le dîner.
De la salle de bains, je l’écoutais cuisiner, préparer le repas. Je souriais, l’imaginais être aux petits soins pour moi. Je filais dans ma chambre choisir une tenue adaptais à la soirée. Je m'habillais simplement, pantalon de toile, tee-shirt jaune, la couleur de la "Golf". Je brossais mes cheveux et le rejoignais.
Ethan est allé même jusqu’à dresser une jolie table, m’installe en face de lui...il fait même le service. Son sourire est radieux, ses yeux pétillants, son regard caressant le mien. Il me tend un verre, et trinquons.
- Bon anniversaire ma chérie, que cette soirée soit inoubliable.
Ma curiosité est à son comble.
- Mais dis-moi, as-tu prévu quelque chose d’autre ?
- Hum...je vais simplement te donner un indice. Je vais assouvir un de tes fantasmes.
Il se lève, prend ma main, s’arrête sous le porche d’entrée. Un foulard de soie de sa poche, qu’il me montre. Sans un mot, il le place sur mes yeux. Je n’ai pas le temps de lui poser la moindre question, qu’il pose à nouveau son index sur mes lèvres.
- Chut...ce moment est à toi, laisses-toi aller.
Ses mains dans les miennes, il me conduit près du canapé. Il m’enlace tendrement, dépose un baiser sur mes lèvres et me chuchote.
- Viens ma chérie.
Des frissons envahissent mon corps, de mes épaules jusqu'à mes longues jambes. Je sais ses caresses, il connaît les moindre courbes sur le bout des doigts. Je ne sais pas vers ou il m’emmène, mais le suis avec confiance. Il m’invite à m’asseoir sur la banquette, puis d’un geste délicat, m’allonge sur lui. Il sais que c’est ma position préféré.
J’ai l’impression d’être sur une rivière, il est la barque qui m’entraîne au fil de l’eau. Déjà, ses mains enlacent ma taille, passent sous le petit haut, en effleurant mon nombril, carrefour de toutes mes émotions. J’apprécie ses geste, j'aime sa présence aimante, rassurante; Puis, délicatement, il soulève mon tee-shirt, le remonte juste au dessus de mes seins qu’il caresse de l’index, qu'il contourne, qu'il apprivoise. Il sait que les bouts sont sensible à ces caresses, il s’en amuse, s’en délecte. Mon corps se cambre, ma tête en arrière sur son épaule, ses lèvres près de mon oreille.
- Tu es belle...tu es à moi Audrey, mon amour.
Ses mains se font plus espiègle, déboutonnent mon pantalon, descendent la fermeture éclair. Je devine son regard diriger sur ma poitrine, sur mon ventre. Sa main droite longe l’une de mes jambes, caresse mon genoux et descend à l’intérieur de ma cuisse, sur mon intimité. Elle reste là, douce et ferme à la fois. Elle s’impose.
De l’autre main, il écarte mes cuisses afin que sa jambe se faufile entre les miennes. Mon bassin ondule sur sa cuisse musclée qui me retient ainsi. Ses mains se rejoignent sur mon nombril, remontent sur mes seins qu’elles enveloppent entièrement, puis descendent encore jusqu’à parvenir à mon string. Ses mains, bien à plat sur mon ventre se frayent un passage, je les sens, elles me troublent. Une caresses succède à une autre, inlassablement. Mon corps fébrile se détend, s’apprête à s’offrir à lui, à son désir, il le sait, il le sent. Il me le montre par une caresse appuyée sur ma chatte, alors que sa jambe me retient. On dirait que ses mains déposent un voile de couleurs, caresses de plumes pour dessiner mes soupirs. Elles deviennent étoiles au milieu de mon arc en ciel.
Curieusement, je le sens partout presque en même temps, sur mes seins, mes jambes, mes hanches, comme si plusieurs mains effleuraient ma peau. Une onde venant du creux de mes reins soulèvent mon corps qui ondule, mon bassin s’écrase sur le sien, seins tendus, gorgés de désir. Son autre main, posée sur mes lèvres intimes, me rappelle que je lui appartiens, qu'il me veut à lui, tout à lui. Cette idée me plaît.
Mon visage tourné vers le sien, je lui réclame encore ses caresses. Il prend mes lèvres entre les siennes, cherche ma langue, la veut, la suce, l’aspire. Je sens son désir dans le creux de mes reins, ses mains qui me plaquent à lui; Elles voyagent de mes seins, à mon ventre, mes cuisses, ma chatte. L’un des doigts écarte ma culotte, caresse mes lèvres intimes, mon clitoris. Je ne sais ou sont ses mains, ses lèvres, mais mon corps s’éveille de plus en plus.
Soudain, il soulève légèrement ma tête, décide d’enlever le petit foulard. Mes yeux restent fermés encore un instant, puis s'ouvrent doucement, se referment, s'ouvrent, et d'un coup, restent grand ouvert. Mon corps observe un élan de recul. Ma tête se cale à celle d'Ethan, mes mains pétrisent les siennes. J’ai compris.
A quelques mètres de moi, se tient un homme, un inconnu. Il me sourit, s’approche un peu plus, perçoit ma gêne, mes craintes. Je le dévisage. Il porte un pantalon noir, une chemise blanche, il est grand, cheveux courts, très séduisant, c’est un beau black. Mon cœur bat la chamade. Je regarde Ethan sur lequel je suis allongée, l’interrogeant du regard. Il me sourit lui aussi et me dit doucement.
« Ma chérie, ce soir, nous allons vivre ton fantasme ensemble, je suis là, près de toi, je veux être là pour ressentir tes émotions, tes frissons, ton plaisir…»
Mon regard ne peut se détacher de cet homme devant moi, son sourire, ses mains, ses dents blanches, sa peau d’ébène. Doucement, il s’approche en me souriant. Je me demande depuis quand il est là. C’est alors qu’il pose ses mains sur mes jambes, ses longs doigts effilés sur ma peau blanche. Elles sont douces. Il approche l’une de mes jambes près de sa bouche, ses mains ne cessent de prodiguer des divines caresses. Ses lèvres généreuses déposent un long baiser.sur la plante des pieds, Il observe mes réactions, le moindre de mes frissons. Il me lèche le pied qu’il a posé sur son épaule, ma cheville, mes orteils. Ses mains remontent lentement jusqu’à ma cuisse. Une jambe, l’autre jambe. Ses gestes sont doux, précis.
Il s’agenouille devant moi, replace mes jambes sur les cuisses d’Ethan sur qui je suis allongée. Il joue avec ses lèvres qui montent et descendent le long de mes jambes, mes cuisses, mes chevilles jusqu’à se poser délicatement sur mon intimité.
Ses baisers deviennent plus insistants, ils virevoltent, mordillant le tissu de ma culotte qu’il étire avec ses dents. Pas un centimètre de ma peau n’est oublié. Ses mains noires remontent sur mon ventre, ma poitrine qu’il effleure pour la première fois. Un premier soupir, mon corps s’allonge, il ouvre les yeux, me sourit.
Il me respire, je sens son souffle, sa langue écarte ma culotte accompagnée de l’un de ses doigts. Il pose ses mains tout en haut de mes cuisses en les ouvrant encore un peu. Sa bouche vient se poser sur ma fente, ses lèvres entrouvertes, sans bouger. Quelques secondes s’écoulent, puis sa langue commence alors des doux va et vient, cherchant à remonter lentement le long de mes lèvres intimes, jusqu’à mon clitoris qu’elle contourne jusqu’à déposer à nouveau mille baisers sur cette petite perle de plaisir.
Il cherche encore ce petit bouton du bout de sa langue, le titille en faisant le tour, l’aspire délicatement, le mordille presque, sa langue tantôt insistante ou légère, puis s’éloigne un instant. Je donne des à coups, mes reins se creusent, mes mains serrent fort celles de ce bel inconnu que j'aime. Pourtant, à cet instant précis, il lâche mes mains, caresse mes seins, mon ventre, mes cuisses, mes hanches. Ses doigts se faufilent de part et d'autre de mon bassin. Je le regarde, il me regarde, ses yeux fixés dans les miens. Il passe ses mains sous mon bassin, elles glissent sous mes fesses, en même temps qu'il retire doucement ma culotte, ce dernier rempart qui protégeait mon intimité.
Je suis entièrement nue, offerte. Ma sensualité est en éveil. Je suis impatiente. Je devrais trouver cette situation gênante, indécente. Mon corps se heurte à mon esprit, mais il veut plus. Ethan, l'homme de ma vie, me permet de vivre cet instant. Il est attentif, ses mains sont là, toujours à apaiser mes craintes ou accompagner mes frissons.
Mon regard est rivé sur cet inconnu qui se met debout devant moi. Il ôte sa chemise blanche, enlève la ceinture de son pantalon. Le boxer blanc qui contraste avec sa peau me trouble. Son visage est souriant, et tout en me regardant fixement, il se met nu. Mes yeux s’écarquillent en voyant l’énormité de sa queue. Il revient s’accroupir devant moi, désireux de s’occuper encore de ce délicat bouton qui provoque aussi chez lui une érection non dissimulée. Ses mains caressent mes cuisses, remontent vers ma chatte, un doigt, puis deux en forcent l’accès. Je frémis. Ses doigts légèrement tournés vers le haut à la recherche du point mystérieux du plaisir, ses lèvres emprisonnent mon clitoris. Ma respiration est de plus en plus courte, mon corps s’ouvre à cet inconnu, il le sait, il le sent. Alors il se redresse, approche son énorme queue de ma fente humide. Je regarde sa taille imposante et doute qu’il puisse me pénétrer. Il essaie. Mes lèvres s’ouvrent, mais pas suffisamment. Il n’insiste pas, revient à mes genoux, et comme un fou, avec une fougue inouïe, ses lèvres me dévorent. Sa langue s’active à me donner du plaisir. Son regard tourné vers moi me dit qu’il n’arrêtera pas. Mes mains cramponnent celles d'Ethan, l’homme que j'aime, tandis que j’atteins l’orgasme, même si c’est un autre qui me donne ce plaisir.
Ses dents provoquent mon clitoris, impudiquement décalotté. Je ne sais plus. Je sens ma chatte s’ouvrir, et en profite pour l'ouvrir davantage avec ses doigts. Le plaisir monte en moi, au creux de mes reins, couvert par de sourds gémissements. Ma respiration s'est accélérée, je ne contrôle plus rien. Il remonte sur mon corps, glisse sa queue entre mes seins; fait de lents va et vient, incessant. Selon le mouvement, le gland est tout près de me bouche, je le fixe, n’en peux plus et l’engloutis. J’entame alors une douce fellation, qui ne va pas à son terme. Il se retire, se positionne entre mes cuisses. Je suis déçu, j’aurai tant aimé goûter sa semence.
Il me pénètre doucement, profondément, son énorme bite envahit mon ventre, jusqu’à m’empêcher de bouger. Les mains de mon mari tiennent les miennes. Cet inconnu me fait l’amour lentement, de va et vient incessant. Je ne peux m’empêcher de pousser un profond gémissement de plaisir. Puis il accélère le rythme, son pouce doigtant mon petit bouton. Une nouvelle vague de plaisir m’envahit, tous les muscles de mon corps sont soudainement engourdis. Ma respiration se fait haletante, mes seins dressés au plafond, ma chatte se contracte, je sens des fourmillements dans tout le corps.
Mon plaisir est intense, prêt à exploser. Je flirte avec l’orgasme qui m’emporte dans un cri qui résonne à travers le salon. Je tremble, mon corps entier tremble. Je suis fébrile. Une vague de frissons plus doux provoquent de petits spasmes. J’ouvre les yeux, vois sa queue se retirer de moi. Après s’être copieusement vidé de sa semence. Il revient à nouveau, mais change de trajectoire.
Je regarde mon mari. A mon regard apeuré, il comprend mon désarroi, et d’un geste repousse l’homme afin d’éviter une sodomie certaine. Je ferme les yeux, et me dis que, seule avec l’inconnu, j’aurai consenti à ce qu’elle se produise.
J’ouvre les yeux. Mon bel étalon me sourit, tenant sa bite à deux centimètres de ma bouche.
J’écarte mes lèvres, tandis que mon mari fait pression sur mes joues pour que je m’ouvre davantage. Le gland se pose sur ma langue, et y dépose son plaisir. Je ferme la bouche et avale son abondante semence.
Voyant l'intensité de mon plaisir, Ethan me murmure que je pouvais passer la nuit avec lui si je le souhaitais, mais je refusais, sans y être totalement opposé après ce qui s’était passé, mais c’est à lui que je voulait m’offrir pour mon anniversaire, surtout après ce que cet homme venait de réveillé en moi.
Heureux de m'avoir saillie, l’inconnu déposa un tendre baiser sur ma chatte, sur mes lèvres.
- Bon anniversaire Madame, dit-il en s'éclipsant.
Je me retrouve seule avec Ethan, l’amour de ma vie. Ce sont ses mains qui m’enveloppent désormais. Je le regarde, souriante, émue, épuisée. Ses lèvres prennent à nouveau possession de mon corps, là ou d’autres m’ont léchées. Il glisse à mon oreille.
- Ma chérie, tu m’appartiens, je veux maintenant te faire jouir comme jamais tu n’as joui, parce que c’est moi et moi seul qui te ferais l’amour.
Je n’ose lui avouer qu’il faudra être créatif pour atteindre son but, me satisfaire, rivaliser avec ce que cet inconnu m’a fait va pas être chose facile. Il m’a aimée, je l’ai aimé, il m’a possédée. Sa façon de me baiser, de me bouffer, sa façon dont sa queue m’a pénétrée, m’a apporté un plaisir et des orgasmes dont j’ignorais l’existence, et que je n’avais jamais connu à ce jour.
Un besoin effréné de dire « je t’aime » à mon mari me vint, comme pour le remercier de m’avoir offert ce plaisir insolite, et nôtre nuit d’amour a pris ce soir là, une nuance différente. Nos corps se sont donnés, possédés, puis reposés jusqu’au petit matin, ou nôtre envie est repartie, plus intense.
Mais mon esprit ne pouvait évacuer la relation que j’ai eu avec ce bel inconnu noir. Avec lui, le désir était plus fort, la jouissance plus torride, plus intense.
Ce soir là, Ethan était venu me récupérer à la sortie du bureau. Son regard coquin laissait deviner une espièglerie dont lui seul à le secret. Il m’embrassa, et je fus surprise qu’il ne me souhaite pas mon anniversaire, se contentant du baiser habituel.
- Bonsoir ma chérie, tu n’es pas trop fatiguée ?
Ces mots fleuraient bon à mon oreille, tandis qu’il m’enlaçait tendrement.
- Ou veux-tu aller ? Dîner quelque part, se caler à la maison ?
Après une journée éprouvante, j’étais heureuse de le retrouver. Alors je lui dis simplement que je lui faisais confiance, qu’il m’emmène là ou il voulait. Et tel l’éclair qui fend le ciel, je vois son visage s’illuminer, ses yeux pétiller, un sourire jusqu’au oreilles. Satisfait, il rétorqua.
- Parfait ma chérie J’aime quand tu me laisses prendre les initiatives, et t’amener ou je veux.
Je sentais une pointe de provocation, de jouissance, une sorte « Hum » étouffé. Il me serre dans se bras, approche ses lèvres de mon oreille, me murmure doucement.
- Ma chérie, tu es si belle, ce soir, laisses-toi aller...je veux que tu détendes, je veux ton plaisir...
j’ai le droit d’obtenir ce que je veux de toi, d’accord ?
L’espace d’un instant, je fus prise d’inquiétude, je sentais mon cœur battre plus fort dans ma poitrine. Je m’éloigne un peu de lui pour le regarder fixement
- Mais, de quoi parles-tu ? Demandais-je l’air inquiet, pas vraiment approbateur.
Son sourire redoublait de tendresse, d’amour inconditionnel, effaçait rapidement ma question, restée sans réponse. Je n’avais pas envie de l’entendre d’ailleurs.
- Viens mon amour, susurra-t-il.
Il m’accompagne, ouvre la portière de la voiture, s’installe au volant. Il n’était pas rare quand nous rentrions, de nous arrêter dans un coin discret pour faire un câlin. Il caressait ma chatte, doigtait mon clitoris, tandis que je lui taillait une pipe. Afin de ne pas souiller les sièges, j’avalais tout, pour son plus grand plaisir, mais aussi pour le sien. Ce soir là, pas d’arrêt, nous avons rejoint la maison trente minutes plus tard.
Alors que je rentre au salon, il se place derrière moi, couvre mes yeux de ses mains, me conduit à travers la pièce. J'entends une porte grincer, puis me demande d’ouvrir les yeux.
Je la vois là, devant moi, un magnifique Golf cabriolet jaune, assorti de cuir noir.
- Bon anniversaire ma chérie, c’est ce que tu voulais, n’est-ce pas ?
Je restais sans voix, et moi qui croyais qu’il avait oublier mon anniversaire.
- Mon Dieu mon amour, quelle folie as-tu fais là, dis-je les larmes aux yeux.c’est exactement ce que je voulais. Moi qui pensais que tu avais oublié.
Je m’installais au volant, touchais le cuir des sièges, le tableau de bord. Je passais mes bras autour du cou d’Ethan, lui donnait un tendre baiser.
- Chut...allez, file à la douche pendant que je prépare le dîner.
De la salle de bains, je l’écoutais cuisiner, préparer le repas. Je souriais, l’imaginais être aux petits soins pour moi. Je filais dans ma chambre choisir une tenue adaptais à la soirée. Je m'habillais simplement, pantalon de toile, tee-shirt jaune, la couleur de la "Golf". Je brossais mes cheveux et le rejoignais.
Ethan est allé même jusqu’à dresser une jolie table, m’installe en face de lui...il fait même le service. Son sourire est radieux, ses yeux pétillants, son regard caressant le mien. Il me tend un verre, et trinquons.
- Bon anniversaire ma chérie, que cette soirée soit inoubliable.
Ma curiosité est à son comble.
- Mais dis-moi, as-tu prévu quelque chose d’autre ?
- Hum...je vais simplement te donner un indice. Je vais assouvir un de tes fantasmes.
Il se lève, prend ma main, s’arrête sous le porche d’entrée. Un foulard de soie de sa poche, qu’il me montre. Sans un mot, il le place sur mes yeux. Je n’ai pas le temps de lui poser la moindre question, qu’il pose à nouveau son index sur mes lèvres.
- Chut...ce moment est à toi, laisses-toi aller.
Ses mains dans les miennes, il me conduit près du canapé. Il m’enlace tendrement, dépose un baiser sur mes lèvres et me chuchote.
- Viens ma chérie.
Des frissons envahissent mon corps, de mes épaules jusqu'à mes longues jambes. Je sais ses caresses, il connaît les moindre courbes sur le bout des doigts. Je ne sais pas vers ou il m’emmène, mais le suis avec confiance. Il m’invite à m’asseoir sur la banquette, puis d’un geste délicat, m’allonge sur lui. Il sais que c’est ma position préféré.
J’ai l’impression d’être sur une rivière, il est la barque qui m’entraîne au fil de l’eau. Déjà, ses mains enlacent ma taille, passent sous le petit haut, en effleurant mon nombril, carrefour de toutes mes émotions. J’apprécie ses geste, j'aime sa présence aimante, rassurante; Puis, délicatement, il soulève mon tee-shirt, le remonte juste au dessus de mes seins qu’il caresse de l’index, qu'il contourne, qu'il apprivoise. Il sait que les bouts sont sensible à ces caresses, il s’en amuse, s’en délecte. Mon corps se cambre, ma tête en arrière sur son épaule, ses lèvres près de mon oreille.
- Tu es belle...tu es à moi Audrey, mon amour.
Ses mains se font plus espiègle, déboutonnent mon pantalon, descendent la fermeture éclair. Je devine son regard diriger sur ma poitrine, sur mon ventre. Sa main droite longe l’une de mes jambes, caresse mon genoux et descend à l’intérieur de ma cuisse, sur mon intimité. Elle reste là, douce et ferme à la fois. Elle s’impose.
De l’autre main, il écarte mes cuisses afin que sa jambe se faufile entre les miennes. Mon bassin ondule sur sa cuisse musclée qui me retient ainsi. Ses mains se rejoignent sur mon nombril, remontent sur mes seins qu’elles enveloppent entièrement, puis descendent encore jusqu’à parvenir à mon string. Ses mains, bien à plat sur mon ventre se frayent un passage, je les sens, elles me troublent. Une caresses succède à une autre, inlassablement. Mon corps fébrile se détend, s’apprête à s’offrir à lui, à son désir, il le sait, il le sent. Il me le montre par une caresse appuyée sur ma chatte, alors que sa jambe me retient. On dirait que ses mains déposent un voile de couleurs, caresses de plumes pour dessiner mes soupirs. Elles deviennent étoiles au milieu de mon arc en ciel.
Curieusement, je le sens partout presque en même temps, sur mes seins, mes jambes, mes hanches, comme si plusieurs mains effleuraient ma peau. Une onde venant du creux de mes reins soulèvent mon corps qui ondule, mon bassin s’écrase sur le sien, seins tendus, gorgés de désir. Son autre main, posée sur mes lèvres intimes, me rappelle que je lui appartiens, qu'il me veut à lui, tout à lui. Cette idée me plaît.
Mon visage tourné vers le sien, je lui réclame encore ses caresses. Il prend mes lèvres entre les siennes, cherche ma langue, la veut, la suce, l’aspire. Je sens son désir dans le creux de mes reins, ses mains qui me plaquent à lui; Elles voyagent de mes seins, à mon ventre, mes cuisses, ma chatte. L’un des doigts écarte ma culotte, caresse mes lèvres intimes, mon clitoris. Je ne sais ou sont ses mains, ses lèvres, mais mon corps s’éveille de plus en plus.
Soudain, il soulève légèrement ma tête, décide d’enlever le petit foulard. Mes yeux restent fermés encore un instant, puis s'ouvrent doucement, se referment, s'ouvrent, et d'un coup, restent grand ouvert. Mon corps observe un élan de recul. Ma tête se cale à celle d'Ethan, mes mains pétrisent les siennes. J’ai compris.
A quelques mètres de moi, se tient un homme, un inconnu. Il me sourit, s’approche un peu plus, perçoit ma gêne, mes craintes. Je le dévisage. Il porte un pantalon noir, une chemise blanche, il est grand, cheveux courts, très séduisant, c’est un beau black. Mon cœur bat la chamade. Je regarde Ethan sur lequel je suis allongée, l’interrogeant du regard. Il me sourit lui aussi et me dit doucement.
« Ma chérie, ce soir, nous allons vivre ton fantasme ensemble, je suis là, près de toi, je veux être là pour ressentir tes émotions, tes frissons, ton plaisir…»
Mon regard ne peut se détacher de cet homme devant moi, son sourire, ses mains, ses dents blanches, sa peau d’ébène. Doucement, il s’approche en me souriant. Je me demande depuis quand il est là. C’est alors qu’il pose ses mains sur mes jambes, ses longs doigts effilés sur ma peau blanche. Elles sont douces. Il approche l’une de mes jambes près de sa bouche, ses mains ne cessent de prodiguer des divines caresses. Ses lèvres généreuses déposent un long baiser.sur la plante des pieds, Il observe mes réactions, le moindre de mes frissons. Il me lèche le pied qu’il a posé sur son épaule, ma cheville, mes orteils. Ses mains remontent lentement jusqu’à ma cuisse. Une jambe, l’autre jambe. Ses gestes sont doux, précis.
Il s’agenouille devant moi, replace mes jambes sur les cuisses d’Ethan sur qui je suis allongée. Il joue avec ses lèvres qui montent et descendent le long de mes jambes, mes cuisses, mes chevilles jusqu’à se poser délicatement sur mon intimité.
Ses baisers deviennent plus insistants, ils virevoltent, mordillant le tissu de ma culotte qu’il étire avec ses dents. Pas un centimètre de ma peau n’est oublié. Ses mains noires remontent sur mon ventre, ma poitrine qu’il effleure pour la première fois. Un premier soupir, mon corps s’allonge, il ouvre les yeux, me sourit.
Il me respire, je sens son souffle, sa langue écarte ma culotte accompagnée de l’un de ses doigts. Il pose ses mains tout en haut de mes cuisses en les ouvrant encore un peu. Sa bouche vient se poser sur ma fente, ses lèvres entrouvertes, sans bouger. Quelques secondes s’écoulent, puis sa langue commence alors des doux va et vient, cherchant à remonter lentement le long de mes lèvres intimes, jusqu’à mon clitoris qu’elle contourne jusqu’à déposer à nouveau mille baisers sur cette petite perle de plaisir.
Il cherche encore ce petit bouton du bout de sa langue, le titille en faisant le tour, l’aspire délicatement, le mordille presque, sa langue tantôt insistante ou légère, puis s’éloigne un instant. Je donne des à coups, mes reins se creusent, mes mains serrent fort celles de ce bel inconnu que j'aime. Pourtant, à cet instant précis, il lâche mes mains, caresse mes seins, mon ventre, mes cuisses, mes hanches. Ses doigts se faufilent de part et d'autre de mon bassin. Je le regarde, il me regarde, ses yeux fixés dans les miens. Il passe ses mains sous mon bassin, elles glissent sous mes fesses, en même temps qu'il retire doucement ma culotte, ce dernier rempart qui protégeait mon intimité.
Je suis entièrement nue, offerte. Ma sensualité est en éveil. Je suis impatiente. Je devrais trouver cette situation gênante, indécente. Mon corps se heurte à mon esprit, mais il veut plus. Ethan, l'homme de ma vie, me permet de vivre cet instant. Il est attentif, ses mains sont là, toujours à apaiser mes craintes ou accompagner mes frissons.
Mon regard est rivé sur cet inconnu qui se met debout devant moi. Il ôte sa chemise blanche, enlève la ceinture de son pantalon. Le boxer blanc qui contraste avec sa peau me trouble. Son visage est souriant, et tout en me regardant fixement, il se met nu. Mes yeux s’écarquillent en voyant l’énormité de sa queue. Il revient s’accroupir devant moi, désireux de s’occuper encore de ce délicat bouton qui provoque aussi chez lui une érection non dissimulée. Ses mains caressent mes cuisses, remontent vers ma chatte, un doigt, puis deux en forcent l’accès. Je frémis. Ses doigts légèrement tournés vers le haut à la recherche du point mystérieux du plaisir, ses lèvres emprisonnent mon clitoris. Ma respiration est de plus en plus courte, mon corps s’ouvre à cet inconnu, il le sait, il le sent. Alors il se redresse, approche son énorme queue de ma fente humide. Je regarde sa taille imposante et doute qu’il puisse me pénétrer. Il essaie. Mes lèvres s’ouvrent, mais pas suffisamment. Il n’insiste pas, revient à mes genoux, et comme un fou, avec une fougue inouïe, ses lèvres me dévorent. Sa langue s’active à me donner du plaisir. Son regard tourné vers moi me dit qu’il n’arrêtera pas. Mes mains cramponnent celles d'Ethan, l’homme que j'aime, tandis que j’atteins l’orgasme, même si c’est un autre qui me donne ce plaisir.
Ses dents provoquent mon clitoris, impudiquement décalotté. Je ne sais plus. Je sens ma chatte s’ouvrir, et en profite pour l'ouvrir davantage avec ses doigts. Le plaisir monte en moi, au creux de mes reins, couvert par de sourds gémissements. Ma respiration s'est accélérée, je ne contrôle plus rien. Il remonte sur mon corps, glisse sa queue entre mes seins; fait de lents va et vient, incessant. Selon le mouvement, le gland est tout près de me bouche, je le fixe, n’en peux plus et l’engloutis. J’entame alors une douce fellation, qui ne va pas à son terme. Il se retire, se positionne entre mes cuisses. Je suis déçu, j’aurai tant aimé goûter sa semence.
Il me pénètre doucement, profondément, son énorme bite envahit mon ventre, jusqu’à m’empêcher de bouger. Les mains de mon mari tiennent les miennes. Cet inconnu me fait l’amour lentement, de va et vient incessant. Je ne peux m’empêcher de pousser un profond gémissement de plaisir. Puis il accélère le rythme, son pouce doigtant mon petit bouton. Une nouvelle vague de plaisir m’envahit, tous les muscles de mon corps sont soudainement engourdis. Ma respiration se fait haletante, mes seins dressés au plafond, ma chatte se contracte, je sens des fourmillements dans tout le corps.
Mon plaisir est intense, prêt à exploser. Je flirte avec l’orgasme qui m’emporte dans un cri qui résonne à travers le salon. Je tremble, mon corps entier tremble. Je suis fébrile. Une vague de frissons plus doux provoquent de petits spasmes. J’ouvre les yeux, vois sa queue se retirer de moi. Après s’être copieusement vidé de sa semence. Il revient à nouveau, mais change de trajectoire.
Je regarde mon mari. A mon regard apeuré, il comprend mon désarroi, et d’un geste repousse l’homme afin d’éviter une sodomie certaine. Je ferme les yeux, et me dis que, seule avec l’inconnu, j’aurai consenti à ce qu’elle se produise.
J’ouvre les yeux. Mon bel étalon me sourit, tenant sa bite à deux centimètres de ma bouche.
J’écarte mes lèvres, tandis que mon mari fait pression sur mes joues pour que je m’ouvre davantage. Le gland se pose sur ma langue, et y dépose son plaisir. Je ferme la bouche et avale son abondante semence.
Voyant l'intensité de mon plaisir, Ethan me murmure que je pouvais passer la nuit avec lui si je le souhaitais, mais je refusais, sans y être totalement opposé après ce qui s’était passé, mais c’est à lui que je voulait m’offrir pour mon anniversaire, surtout après ce que cet homme venait de réveillé en moi.
Heureux de m'avoir saillie, l’inconnu déposa un tendre baiser sur ma chatte, sur mes lèvres.
- Bon anniversaire Madame, dit-il en s'éclipsant.
Je me retrouve seule avec Ethan, l’amour de ma vie. Ce sont ses mains qui m’enveloppent désormais. Je le regarde, souriante, émue, épuisée. Ses lèvres prennent à nouveau possession de mon corps, là ou d’autres m’ont léchées. Il glisse à mon oreille.
- Ma chérie, tu m’appartiens, je veux maintenant te faire jouir comme jamais tu n’as joui, parce que c’est moi et moi seul qui te ferais l’amour.
Je n’ose lui avouer qu’il faudra être créatif pour atteindre son but, me satisfaire, rivaliser avec ce que cet inconnu m’a fait va pas être chose facile. Il m’a aimée, je l’ai aimé, il m’a possédée. Sa façon de me baiser, de me bouffer, sa façon dont sa queue m’a pénétrée, m’a apporté un plaisir et des orgasmes dont j’ignorais l’existence, et que je n’avais jamais connu à ce jour.
Un besoin effréné de dire « je t’aime » à mon mari me vint, comme pour le remercier de m’avoir offert ce plaisir insolite, et nôtre nuit d’amour a pris ce soir là, une nuance différente. Nos corps se sont donnés, possédés, puis reposés jusqu’au petit matin, ou nôtre envie est repartie, plus intense.
Mais mon esprit ne pouvait évacuer la relation que j’ai eu avec ce bel inconnu noir. Avec lui, le désir était plus fort, la jouissance plus torride, plus intense.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Stoppez l’hémorragie sérieux. De suite le mari autorise la femme à niquer ailleurs et ça y est tous vous vous mêlez afin que le mari perde ses couilles en route. 😤🤷♀️🤦♀️
C’est 1 fiction déjà.
Ensuite ça vous plait à vous mais ce n’est pas obligé de faire comme vous !!!!
Ensuite ça vous plait à vous mais ce n’est pas obligé de faire comme vous !!!!
Tony Mari est candauliste.
Profite de tes amants.
Choisi les avec ton mari.
Il sera le spectateur de tes baises avec tes amants.
Il sera encore plus amoureux de toi en te partageant.
Crois moi, c'est ce que je vis avec ma femme.
Chaque relation avec d'autres hommes nous procure du plaisir à tous les 2.
Et nous nous aimons de plus en plus.
Tony L
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Choisi les avec ton mari.
Il sera le spectateur de tes baises avec tes amants.
Il sera encore plus amoureux de toi en te partageant.
Crois moi, c'est ce que je vis avec ma femme.
Chaque relation avec d'autres hommes nous procure du plaisir à tous les 2.
Et nous nous aimons de plus en plus.
Tony L

