Bonnes intentions
Récit érotique écrit par Helene2010 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-10-2013 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Bonnes intentions
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
J'avais profité d'avoir un moment de libre cet après-midi là pour rapporter un livre que m'avait prêté depuis bien trop longtemps, Anne, ma meilleure amie. J'ai sonné à sa porte mais c'est sa mère qui m'a ouvert après un moment d'attente. Je ne la connaissais pas vraiment parce qu'elle n'était jamais là quand je venais avec mon amie. On était au milieu de l'après-midi et j'ai eu l'impression qu'elle venait de se réveiller et ce qui me confortait dans cette idée, c'est qu'elle avait enfilé un peignoir et qu'elle n'avait rien dessous. Je lui ai expliqué que je venais rapporter un livre à sa fille et je lui ai tendu mais sa mère m'a dit d'entrer, puis elle a ajouté qu'Anne n'allait pas tarder à rentrer. Elle m'a fait entrer dans le salon et je me suis assise sur la banquette et elle s'est assise à côté de moi puis elle a croisé les jambes et le bas du peignoir a découvert ses cuisses.
- Je suis contente que tu sois l'amie de ma fille, m'a-t-elle dit tout de suite ! Depuis que son père nous a quittées, nous vivons toutes les deux !
Jusque là, Anne m'avait expliqué que son père était souvent en voyage à cause de sa profession et je n'ai pas compris pourquoi elle m'avait menti. J'avais déjà de gros seins même si j'étais mince, et quand j'ai regardé la mère d'Anne, le haut de son peignoir s'était ouvert et j'ai vu ses seins lourds presque entièrement et son mamelon gauche était aussi découvert.
- Tu es bien plus jolie qu'elle, a poursuivi sa mère ! Tu dois avoir un copain ?
Je n'avais pas de raison de lui mentir et je lui ai dit la vérité, c'est à dire qu'en ce moment je n'avais personne.
- Je suis sûre que tu as déjà rêvé que tu faisais l'amour avec Anne, a poursuivi sa mère !
Je devais être rouge comme une tomate. Je lui ai balbutié que je ne suis pas comme ça mais elle a ajouté qu'entre fille ce n'était pas comme avec un garçon et que ça n'avait pas vraiment d'importance et j'ai rougi encore plus.
- Tu veux que je t'apprenne pour quand ça t'arrivera, a insisté la mère d'Anne ?
- Quand il m'arrivera quoi, lui ai-je demandé ?
- De faire l'amour avec une femme, a rajouté la mère d'Anne, parce que je suis sûre que ça t'arrivera ! Tu plais aux femmes ! Embrasse-moi !
Elle a refermé son peignoir sur sa poitrine puis elle a avancé la tête vers moi avant de me tendre ses lèvres. Elle m'a encouragée en me disant qu'elle n'allait pas me manger et je me suis laissée faire. La mère d'Anne s'est assise tout contre moi et elle a cherché mes lèvres et elle m'a embrassée puis elle a enfoncé sa langue dans ma bouche. Ça me dégoûtait mais c'était quand même agréable.
- Touche-moi les seins, m'a dit la mère d'Anne quand elle m'a laissée respirer !
Elle n'a pas attendu que j'obéisse parce qu'elle a pris ma main et elle l'a guidée sur sa poitrine. Ses seins étaient tout chauds et ses mamelons rigides.
- Tu me montres les tiens, a-t-elle ajouté ?
Là encore, elle n'a pas attendu ma réponse et elle a soulevé mon pull puis elle a sorti mes seins des bonnets avant de détacher le soutien-gorge et de me le retirer puis elle a collé sa bouche sur mes mamelons et la femme m'a tétée comme si j'avais eu du lait. Elle aspirait mes mamelons et j'ai eu l'impression qu'elle voulait avaler mes seins et les faire disparaître dans sa bouche comme s'ils n'avaient pas été bien trop gros pour ça.
- Oh, excuse-moi, m'a-t-elle dit ensuite ! Tu voulais peut-être me téter toi aussi ?
Elle a soulevé ses seins dans ses mains et elle me les a tendus comme une offrande sur un plateau et je n'ai plus eu qu'à prendre un mamelon dans la bouche.
- Ça te plaît, m'a encore demandé la mère d'Anne ?
Elle m'a complètement déshabillée puis elle a retiré son peignoir et j'ai vu qu'elle était entièrement épilée, les petites lèvres qui pendaient et percées comme de la dentelle puis elle a enfoncé deux doigts dans mon vagin et elle s'est mise à me limer tout en fixante mon regard. Je n'ai pas mis longtemps à retrouver la sensation que j'ai à chaque fois en me masturbant quand je ne veux plus que ça s'arrête et j'ai eu un orgasme puis la mère d'Anne s'est mise à lécher mon plaisir jusqu'à nouveau, j'ai un orgasme. Ce n'était pas fini. Elle m'a encore embrassée sur la bouche pendant qu'elle me masturbait avec mes doigts. Je n'en pouvais plus mais la mère d'Anne a insisté pour que je la suive dans sa chambre et là, elle s'est harnachée avec un gode ceinture et elle m'a fait l'amour comme l'aurait fait un homme. Nous étions à quatre devant le lit, comme un couple de chien qui s'accouple mais ça n'a pas duré. La mère d'Anne m'a dit que je savais maintenant comment faire et elle a attaché le gode ceinture autour de mes hanches puis elle s'est offerte à moi et à mon tour, je me suis enfoncée dans son vagin puis nous avons fait l'amour comme les chiens et à peine venait-elle de gémir que j'allais la faire jouir qu'Anne a fait irruption à l'entrée de la chambre. Elle a poussé un cri. Je me suis redressée puis j'ai couru dans le couloir jusqu'au salon et j'ai arraché le gode ceinture pour pouvoir me rhabiller et je me suis sauvée.
Je n'ai pas cherché à retrouver Anne pendant plusieurs semaines et c'est elle qui est venue me trouver.
- Je ne veux pas me fâcher avec toi, ma meilleure amie, m'a-t-elle dit tout de suite ! Je ne veux pas gâcher notre amitié même si c'est la faute à ma mère !
Je lui ai répondu que j'aurais dû résister et me sauver tout de suite.
- Ça ne fait rien, m'a répondu Anne !
Je l'ai serrée dans mes bras car en effet, ça ne valait pas la peine de gâcher une si belle amitiée mais tout à coup, elle s'est mise à trembler et elle est devenue rouge comme une tomate.
- Qu'est-ce qui t'arrive, lui ai-je demandé ?
- Tu n'as jamais rien vu, m'a alors reproché mon amie ! Tu n'as jamais compris que je suis amoureuse de toi !
- Tu es lesbienne, lui ai-je répondu !
- Mais, toi aussi et tu ne veux pas le reconnaître, m'a répondu Anne !
Elle disait vrai car j'avais eu du plaisir avec sa mère et je n'en avais jamais eu autant même en me masturbant.
- Tu es amoureuse de moi, lui ai-je balbutié ?
- On n'est pas très loin, m'a répondu Anne ! Viens à la maison !
J'ai enfilé mon manteau et je l'ai suivie. Sa mère était présente et elle m'a tout de suite dit qu'elle était contente que je sois revenue puis elle a ajouté qu'Anne lui avait parlé et qu'on allait être heureuses toutes les trois. Elles m'ont déshabillée puis elles se sont déshabillées elles aussi et si au début la mère d'Anne nous aidées toutes les deux, elle n'a pas tardé à nous rejoindre sur le lit et depuis, nous vivons ensemble et nous faisons l'amour même si je suis encore un peu attirée par les hommes. Quand je me promène avec Anne et que l'un deux nous drague, c'est très amusant de leur dire que nous sommes des lesbiennes et que nous n'avons pas besoin d'eux. Je me demande aussi si mon amie avait déjà fait l'amour avec sa mère. En tout cas, quand je la regarde, je vois bien qu'Anne l'aime autant que moi mais pour les gens, sa mère n'est que ma belle-mère. Et maintenant, il faut décider qui nous fera un enfant et j'ai tranché en disant qu'il n'y avait aucune raison pour qu'on n'en fasse pas un toutes les deux. Reste à trouver un géniteur ou à aller nous faire féconder dans un pays qui accepte de le faire avec des lesbiennes.
FIN
J'avais profité d'avoir un moment de libre cet après-midi là pour rapporter un livre que m'avait prêté depuis bien trop longtemps, Anne, ma meilleure amie. J'ai sonné à sa porte mais c'est sa mère qui m'a ouvert après un moment d'attente. Je ne la connaissais pas vraiment parce qu'elle n'était jamais là quand je venais avec mon amie. On était au milieu de l'après-midi et j'ai eu l'impression qu'elle venait de se réveiller et ce qui me confortait dans cette idée, c'est qu'elle avait enfilé un peignoir et qu'elle n'avait rien dessous. Je lui ai expliqué que je venais rapporter un livre à sa fille et je lui ai tendu mais sa mère m'a dit d'entrer, puis elle a ajouté qu'Anne n'allait pas tarder à rentrer. Elle m'a fait entrer dans le salon et je me suis assise sur la banquette et elle s'est assise à côté de moi puis elle a croisé les jambes et le bas du peignoir a découvert ses cuisses.
- Je suis contente que tu sois l'amie de ma fille, m'a-t-elle dit tout de suite ! Depuis que son père nous a quittées, nous vivons toutes les deux !
Jusque là, Anne m'avait expliqué que son père était souvent en voyage à cause de sa profession et je n'ai pas compris pourquoi elle m'avait menti. J'avais déjà de gros seins même si j'étais mince, et quand j'ai regardé la mère d'Anne, le haut de son peignoir s'était ouvert et j'ai vu ses seins lourds presque entièrement et son mamelon gauche était aussi découvert.
- Tu es bien plus jolie qu'elle, a poursuivi sa mère ! Tu dois avoir un copain ?
Je n'avais pas de raison de lui mentir et je lui ai dit la vérité, c'est à dire qu'en ce moment je n'avais personne.
- Je suis sûre que tu as déjà rêvé que tu faisais l'amour avec Anne, a poursuivi sa mère !
Je devais être rouge comme une tomate. Je lui ai balbutié que je ne suis pas comme ça mais elle a ajouté qu'entre fille ce n'était pas comme avec un garçon et que ça n'avait pas vraiment d'importance et j'ai rougi encore plus.
- Tu veux que je t'apprenne pour quand ça t'arrivera, a insisté la mère d'Anne ?
- Quand il m'arrivera quoi, lui ai-je demandé ?
- De faire l'amour avec une femme, a rajouté la mère d'Anne, parce que je suis sûre que ça t'arrivera ! Tu plais aux femmes ! Embrasse-moi !
Elle a refermé son peignoir sur sa poitrine puis elle a avancé la tête vers moi avant de me tendre ses lèvres. Elle m'a encouragée en me disant qu'elle n'allait pas me manger et je me suis laissée faire. La mère d'Anne s'est assise tout contre moi et elle a cherché mes lèvres et elle m'a embrassée puis elle a enfoncé sa langue dans ma bouche. Ça me dégoûtait mais c'était quand même agréable.
- Touche-moi les seins, m'a dit la mère d'Anne quand elle m'a laissée respirer !
Elle n'a pas attendu que j'obéisse parce qu'elle a pris ma main et elle l'a guidée sur sa poitrine. Ses seins étaient tout chauds et ses mamelons rigides.
- Tu me montres les tiens, a-t-elle ajouté ?
Là encore, elle n'a pas attendu ma réponse et elle a soulevé mon pull puis elle a sorti mes seins des bonnets avant de détacher le soutien-gorge et de me le retirer puis elle a collé sa bouche sur mes mamelons et la femme m'a tétée comme si j'avais eu du lait. Elle aspirait mes mamelons et j'ai eu l'impression qu'elle voulait avaler mes seins et les faire disparaître dans sa bouche comme s'ils n'avaient pas été bien trop gros pour ça.
- Oh, excuse-moi, m'a-t-elle dit ensuite ! Tu voulais peut-être me téter toi aussi ?
Elle a soulevé ses seins dans ses mains et elle me les a tendus comme une offrande sur un plateau et je n'ai plus eu qu'à prendre un mamelon dans la bouche.
- Ça te plaît, m'a encore demandé la mère d'Anne ?
Elle m'a complètement déshabillée puis elle a retiré son peignoir et j'ai vu qu'elle était entièrement épilée, les petites lèvres qui pendaient et percées comme de la dentelle puis elle a enfoncé deux doigts dans mon vagin et elle s'est mise à me limer tout en fixante mon regard. Je n'ai pas mis longtemps à retrouver la sensation que j'ai à chaque fois en me masturbant quand je ne veux plus que ça s'arrête et j'ai eu un orgasme puis la mère d'Anne s'est mise à lécher mon plaisir jusqu'à nouveau, j'ai un orgasme. Ce n'était pas fini. Elle m'a encore embrassée sur la bouche pendant qu'elle me masturbait avec mes doigts. Je n'en pouvais plus mais la mère d'Anne a insisté pour que je la suive dans sa chambre et là, elle s'est harnachée avec un gode ceinture et elle m'a fait l'amour comme l'aurait fait un homme. Nous étions à quatre devant le lit, comme un couple de chien qui s'accouple mais ça n'a pas duré. La mère d'Anne m'a dit que je savais maintenant comment faire et elle a attaché le gode ceinture autour de mes hanches puis elle s'est offerte à moi et à mon tour, je me suis enfoncée dans son vagin puis nous avons fait l'amour comme les chiens et à peine venait-elle de gémir que j'allais la faire jouir qu'Anne a fait irruption à l'entrée de la chambre. Elle a poussé un cri. Je me suis redressée puis j'ai couru dans le couloir jusqu'au salon et j'ai arraché le gode ceinture pour pouvoir me rhabiller et je me suis sauvée.
Je n'ai pas cherché à retrouver Anne pendant plusieurs semaines et c'est elle qui est venue me trouver.
- Je ne veux pas me fâcher avec toi, ma meilleure amie, m'a-t-elle dit tout de suite ! Je ne veux pas gâcher notre amitié même si c'est la faute à ma mère !
Je lui ai répondu que j'aurais dû résister et me sauver tout de suite.
- Ça ne fait rien, m'a répondu Anne !
Je l'ai serrée dans mes bras car en effet, ça ne valait pas la peine de gâcher une si belle amitiée mais tout à coup, elle s'est mise à trembler et elle est devenue rouge comme une tomate.
- Qu'est-ce qui t'arrive, lui ai-je demandé ?
- Tu n'as jamais rien vu, m'a alors reproché mon amie ! Tu n'as jamais compris que je suis amoureuse de toi !
- Tu es lesbienne, lui ai-je répondu !
- Mais, toi aussi et tu ne veux pas le reconnaître, m'a répondu Anne !
Elle disait vrai car j'avais eu du plaisir avec sa mère et je n'en avais jamais eu autant même en me masturbant.
- Tu es amoureuse de moi, lui ai-je balbutié ?
- On n'est pas très loin, m'a répondu Anne ! Viens à la maison !
J'ai enfilé mon manteau et je l'ai suivie. Sa mère était présente et elle m'a tout de suite dit qu'elle était contente que je sois revenue puis elle a ajouté qu'Anne lui avait parlé et qu'on allait être heureuses toutes les trois. Elles m'ont déshabillée puis elles se sont déshabillées elles aussi et si au début la mère d'Anne nous aidées toutes les deux, elle n'a pas tardé à nous rejoindre sur le lit et depuis, nous vivons ensemble et nous faisons l'amour même si je suis encore un peu attirée par les hommes. Quand je me promène avec Anne et que l'un deux nous drague, c'est très amusant de leur dire que nous sommes des lesbiennes et que nous n'avons pas besoin d'eux. Je me demande aussi si mon amie avait déjà fait l'amour avec sa mère. En tout cas, quand je la regarde, je vois bien qu'Anne l'aime autant que moi mais pour les gens, sa mère n'est que ma belle-mère. Et maintenant, il faut décider qui nous fera un enfant et j'ai tranché en disant qu'il n'y avait aucune raison pour qu'on n'en fasse pas un toutes les deux. Reste à trouver un géniteur ou à aller nous faire féconder dans un pays qui accepte de le faire avec des lesbiennes.
FIN
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