BORDEAUX, LA VILLE DE MES PREMIÈRES FOIS (HISTOIRE VÉCUE)
Récit érotique écrit par Pascmich [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-08-2023 dans la catégorie Pour la première fois
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BORDEAUX, LA VILLE DE MES PREMIÈRES FOIS (HISTOIRE VÉCUE)
En 85, j’étais en stage à Bordeaux pour une semaine. J’avais pris une chambre pour 5 jours dans un petit hôtel près de la gare. Je connaissais déjà le quartier pour m'y être arrêté plusieurs fois, profitant des correspondances de mes trains lorsque j'étais encore un jeune militaire et que je partais en permission. J'y avais découvert pour la première fois, le sexe shop. Au début des années 80, profitant d'une heure d'attente, je m'étais promené dans cette gare et y avait découvert un étrange ballet vers le fond de cette dernière :
Là étaient situés des WC publiques, plutôt sales. Un homme y était entré et ressorti plusieurs fois, passant près de moi avec un regard insistant, troublant. Je me décidais alors à y aller, feignant une envie naturelle. Arrivé dans la place, des urinoirs malodorants juxaient deux portes de bois dont la peinture défraîchie et les graffitis indiquait l'endroit où ces messieurs pouvaient venir pour des envies plus "conséquentes". J'entreprenais alors un simulacre… Face au mur, ma braguette ouverte et le sexe à la main, je fis semblant d'uriner. L'homme entra. Il vint se placer non loin de moi et m'imita. Pendant les quelques minutes suivantes, je soupçonnais son regard et me reculais doucement pour qu'il puisse mieux voir. Il était tard, je savais que la gare était vide de monde et que l'on ne risquait guère d'être surpris. L'instant suivant, il entra dans le WC turque, la porte ne se referma pas complètement sur lui. Dans l'interstice, il pouvait voir mes nombreux coups d'œil. Me reprenant, je remontais ma braguette et décidais de sortir mais aussitôt revenu sur le quai, je regrettais et faisais demi tour pour revenir aux urinoirs. La porte de l'homme s'était fermée en entendant l'arrivé de quelqu'un! J'étais revenu au point de départ, face à ce mur que tant avaient arrosé, le sexe à nouveau entre les doigts. J'avais senti le porte s'ouvrir discrètement; je savais l'homme me surveiller; prenant mon courage à deux mains, j'entrais dans le cabinet qui était à coté du sien et commençais à me caresser doucement. Il y avait un trou dans la porte, sorte de Juda, par lequel je ne tardais pas à apercevoir un œil avide. Je me suis mis face à la porte... Il est entré refermant derrière lui. Il n'a pas parlé, s'est accroupi et m'a pris dans sa bouche. Il me suçais avidement pendant que je m'appuyais les deux mains sur le mur derrière lui, là où tant de rendez vous sont inscrits. Je me souviens encore de la panique, lorsqu'un autre homme est entré dans les toilettes et essayé d'ouvrir la porte que je bloquais avec mes fesses. Mon compagnon a, d'une voix grave, annoncé "Occupé!" On nous a répondu "désolé" mais un instant plus tard, on pouvait deviner l'œil de l'homme par le trou fait dans la porte. Je ne tardais pas à jouir, arrosant mon compagnon. Le plus discrètement possible, nous nous sommes rajusté dans cet espace exigu. Il essuyait encore les traces de mon jus sur lui, quand je sorti. Dans les urinoirs, à la place que j'occupais quelques minutes auparavant, un homme nous tournait le dos! Il savait pertinemment ce qui venait de se passer j'en suis sur et était probablement notre spectateur. Je me suis rapidement esquivé mais ai pu constater que le "suceur" était resté à l'intérieur. Plus tard je les ai vus ressortir comprenant ce qui s'était déroulé après mon départ.
Je me souviens encore de cette première pipe comme si c'était hier et bien plus que les suivantes, j'avais tellement honte mais en ai rêvé longtemps et j'avoue que cela ne m'a pas empêché ensuite, à chaque arrêt dans cette gare, de retourner sur les lieux même pour revivre ce moment.
Et bien sur, quelques années plus tard, je revenais sur ces lieus. En déplacement professionnel, j’allais passer une semaine, seul, près de cet endroit si riche en événements pour moi. Evidemment, dès le premier soir, je n’ai pu m’empêcher d’aller vers la gare. Je ne me souviens plus vraiment si les WC étaient fermés ni la raison qui m’a fait me promener autour de la gare, espérant rencontrer un homme entreprenant. Si mes souvenirs sont bons, cette première nuit, je me contentais d’une relation rapide dans une voiture garée dans une rue de l’autre coté des quais avec un homme dont je ne me souviens même plus.
En réalité, ça ne me suffisait pas ! Je cherchais plus…
Le lendemain, plus tard dans la soirée, après un repas passé seul dans la salle de restaurant de l'hôtel, je n'avais rien d'autre à faire que d'aller me promener dans la cité. J’entrepris de tourner au volant de ma voiture, passant de la gare, aux quais de la Garonne. Je ne tardais pas à m’apercevoir du ballet de certaines voitures, non sans comprendre la raison de leur présence sur ce parking sous le pont. Hésitant mais décidé, trop timide pour faire le premier pas, je me laissais aborder par un assez bel homme en voiture. Il me proposait de le suivre, habitant dans le quartier un peu plus loin. Dans la petite ruelle où nous nous sommes garés, je le rattrapais rapidement, pour ne pas être vu et nous sommes rentrés dans un petit immeuble. Arrivé dans l’appartement, il m’a offert un verre pour détendre l’atmosphère, m’expliquant qu’il venait de divorcer et n’était pas non plus un habitué de ces lieus de rencontres. Puis il est devenu entreprenant, posant sa main sur ma cuisse. Je tremblais ! Au bout d'un moment, il m'a dit que la douche était au fond du couloir et m'y a accompagné… je me suis déshabillé pendant qu'il allait chercher une serviette, et me suis douché, dos tourné à la porte restée ouverte. Il était revenu, je sentais son regard posé sur moi ; c’était excitant ! Je m’appliquais à me laver entre les jambes, presque accroupi et écartant les fesses pour bien nettoyer mon endroit le plus intime. Après mettre soigneusement rincé avec la pomme de douche, je suis sorti, me suis ressuyé et me suis entouré de la serviette, la fermant sur ma poitrine, le bas des fesses visibles. Je retournais dans le salon pour l’attendre pendant qu’il se douchait à son tour.
Il m’a rejoint peu de temps après, admirant mon corps à peine caché par la serviette qui s’entrouvrait. Assis à mes cotés, il me caressait me prenant la main pour que je lui rende ses caresses. M’ouvrant la serviette, il appuya sur mes épaules pour me diriger vers son sexe. J’avais compris qu’il voulait que je le suce ! Je lui avouais n’avoir jamais sucer un homme mais en avais tellement envie que bien vite, j’avalais son membre sur lequel je me suis mis à aller et venir, mais voulant aller plus loin, ai faillit vomir. Les larmes me montaient aux yeux, déçu de ne pas pouvoir l’avaler plus. Il s’excusait et restait délicat, n’essayant pas de s’enfoncer plus profond, me laissant arrêter par moment pour le lécher. Son érection était effrayante ; ses mains posées sur ma tête m’imprimaient le rythme. Je me souviens du paradoxe de la dureté de sa queue dans ma bouche et du soyeux de son gland sur mes lèvres. J’aimais passer ma langue sur sa hampe alors qu’il me fixait tout en me caressant. Nous sommes resté un instant dans le divan, ma serviette était tombée et sous ses mains mon corps s’offrait, avide de caresses interdites.
Il me proposait alors d’aller dans la chambre… Repassant devant la douche, nous traversions l’étroit couloir pour aboutir à la chambre. Devant lui, nu, je ne pu m’empêcher de marcher d’un pas… Sensuel. Dans la pièce trônait fièrement, en son milieu, un lit en fer forgé blanc, digne des films érotiques des années 70. Nous nous y sommes allongés… Intérieurement, je me sentais devenir sa « femelle » en m’imaginant soumise. Il me caressait, insistant derrière, me relevant les jambes sur les épaules dans une position sans équivoque. Sa langue ne tardait pas à venir explorer l’endroit qu’il lui savait acquis. Je me sentais m’ouvrir, presque honteux de venir à sa rencontre. Mais que j’aimais cet instant !
Il m’ordonnait alors de me mettre sur le ventre. J’obéi avec plaisir. De ses genoux, il m’écartait les jambes. Ses mains jouaient sur mes fesses, les malaxant, les écartant… Un doigt plus entreprenant s’immisçait alors dans mon fondement ; Je creusais les reins. Ma tête tournait tant j’avais envie de lui. Il paru surpris de mes réactions, me dit que j’étais une chaude, me demandant si c’était vraiment la première fois ce que je lui confirmais lui précisant que j’en avais tellement envie! Tenant les barreaux du lit, comme si j’y étais attaché, fesses cambrées, j’écartais les cuisses, conscient que dans cette position, je lui faisais comprendre que je devenais sa chose.
J’aurais voulu me caresser, mais il me l’interdit, me remontant les mains vers les barreaux du lit. Il me referma les jambes pour venir s’allonger sur moi. Son corps épousait maintenant le mien. Je pouvais sentir son souffle dans ma nuque. Par mouvements délicats, sa queue caressait mes cuisses. Il posait ses mains sur mes reins pour m’empêcher de me relever. Je sentais alors la chaleur de son gland soyeux entre mes fesses et aurais voulu ouvrir mes jambes mais, des siennes, il me bloquait, presque autoritaire. La douce pression qu’il exerçait alors sur mon anneau encore tout mouillé de sa salive eu raison de cette toute dernière barrière qu’il ne tarda pas à franchir. La citadelle tombait aux mains de l’envahisseur. C’était fait, je n’étais plus vierge ! Il n’eu pas vraiment de mal à me pénétrer. Mon cœur battait à tout rompre. Je me surpris à gémir… De plaisir ! Ressortant pour mieux se renfoncer, d’abord lentement, il me pilonnait de plus en plus profond. Le bruit d’une claque se faisait entendre à chaque fois qu’il revenait d’un coup en moi. Je m’abandonnais entièrement, sans restrictions aux assauts répétés de cet amant providentiel. Sous ses coups de boutoir, je me suis surpris plusieurs fois à la limite de la jouissance ; j’étais loin de m’imaginer que j’en tirerais autant de plaisir. Tout au fond de moi, je sentais son membre me frapper avec un indescriptible délice qui faisait monter des gémissements, à peine étouffés, dans ma gorge espérant que cet instant soit éternel. Il était la lame, moi le fourreau.
Si on ne peut jouir sans orgasme, on peut avoir des orgasmes sans jouir ; je le découvrais, traversé par plusieurs vagues consécutives de plaisir, celui qui fait qu’on s’abandonne totalement. J’appréciais les chocs à répétition tout au fond de mon corps, conscient qu’il provenait du même sexe dont j’avais été pourvu à la naissance. Lui, toujours allongé sur moi, appuyé sur ses mains, accélérait la cadence comme pour mieux me défoncer, plus fort, plus loin… Ce sont ces quelques coups presque violents qui ont précédé son explosion. Un flot saccadé me submergea… Son sperme chaud me remplissait les entrailles. Quelques mouvements désordonnés plus tard, il se figeait. J’essayais de tendre désespérément les fesses vers lui, espérant encore plus.
Nous sommes resté un instant emboîtés ainsi avant qu’il ne se retire à mon plus grand désespoir. De sentir son jus suinter entre mes fesses m’excitait. Je me caressais avec, dans la tête, le souvenir du moment passé. Il s’était mis sur le coté ; je venais me mettre en chien de fusil contre lui espérant désespérément qu’il me refasse l’amour mais ne devais plus me contenter que de ma propre main. J’arrivais rapidement à mes fins, et recueillais mon propre jus dans mes mains tandis que coulait encore le sien le long de mes cuisses.
Je me sentais si bien, heureux d’avoir été ainsi possédé sans ressentir la honte légitime de cet acte que certains qualifient de « contre nature ». Le fantasme d’être un instant dans la peau d’une femme venait de se réaliser… Le tabou de la sodomie venait d’exploser en même temps que ma virginité anale. Je le quittais un peu plus tard et ne l’ai jamais revu…
Je suis resté plusieurs jours sans pouvoir vraiment m’asseoir correctement ce qui me rappelait à chaque instant l’aventure que je venais de vivre.
Aujourd’hui encore, je rêve de refaire l’amour avec un homme dans les mêmes conditions. Plutôt actif au début, j’étais devenu exclusivement passif. Il m’arrive maintenant de porter des dessous sexy dans le seul but d’être à nouveau dominé. Je n’hésite plus à afficher fièrement mes fesses et me rase pour que ce soit plus attirant, plus doux. Je recherche principalement la compagnie d’hommes murs et évidemment discrets et espère connaître bientôt une séance avec un couple.
Là étaient situés des WC publiques, plutôt sales. Un homme y était entré et ressorti plusieurs fois, passant près de moi avec un regard insistant, troublant. Je me décidais alors à y aller, feignant une envie naturelle. Arrivé dans la place, des urinoirs malodorants juxaient deux portes de bois dont la peinture défraîchie et les graffitis indiquait l'endroit où ces messieurs pouvaient venir pour des envies plus "conséquentes". J'entreprenais alors un simulacre… Face au mur, ma braguette ouverte et le sexe à la main, je fis semblant d'uriner. L'homme entra. Il vint se placer non loin de moi et m'imita. Pendant les quelques minutes suivantes, je soupçonnais son regard et me reculais doucement pour qu'il puisse mieux voir. Il était tard, je savais que la gare était vide de monde et que l'on ne risquait guère d'être surpris. L'instant suivant, il entra dans le WC turque, la porte ne se referma pas complètement sur lui. Dans l'interstice, il pouvait voir mes nombreux coups d'œil. Me reprenant, je remontais ma braguette et décidais de sortir mais aussitôt revenu sur le quai, je regrettais et faisais demi tour pour revenir aux urinoirs. La porte de l'homme s'était fermée en entendant l'arrivé de quelqu'un! J'étais revenu au point de départ, face à ce mur que tant avaient arrosé, le sexe à nouveau entre les doigts. J'avais senti le porte s'ouvrir discrètement; je savais l'homme me surveiller; prenant mon courage à deux mains, j'entrais dans le cabinet qui était à coté du sien et commençais à me caresser doucement. Il y avait un trou dans la porte, sorte de Juda, par lequel je ne tardais pas à apercevoir un œil avide. Je me suis mis face à la porte... Il est entré refermant derrière lui. Il n'a pas parlé, s'est accroupi et m'a pris dans sa bouche. Il me suçais avidement pendant que je m'appuyais les deux mains sur le mur derrière lui, là où tant de rendez vous sont inscrits. Je me souviens encore de la panique, lorsqu'un autre homme est entré dans les toilettes et essayé d'ouvrir la porte que je bloquais avec mes fesses. Mon compagnon a, d'une voix grave, annoncé "Occupé!" On nous a répondu "désolé" mais un instant plus tard, on pouvait deviner l'œil de l'homme par le trou fait dans la porte. Je ne tardais pas à jouir, arrosant mon compagnon. Le plus discrètement possible, nous nous sommes rajusté dans cet espace exigu. Il essuyait encore les traces de mon jus sur lui, quand je sorti. Dans les urinoirs, à la place que j'occupais quelques minutes auparavant, un homme nous tournait le dos! Il savait pertinemment ce qui venait de se passer j'en suis sur et était probablement notre spectateur. Je me suis rapidement esquivé mais ai pu constater que le "suceur" était resté à l'intérieur. Plus tard je les ai vus ressortir comprenant ce qui s'était déroulé après mon départ.
Je me souviens encore de cette première pipe comme si c'était hier et bien plus que les suivantes, j'avais tellement honte mais en ai rêvé longtemps et j'avoue que cela ne m'a pas empêché ensuite, à chaque arrêt dans cette gare, de retourner sur les lieux même pour revivre ce moment.
Et bien sur, quelques années plus tard, je revenais sur ces lieus. En déplacement professionnel, j’allais passer une semaine, seul, près de cet endroit si riche en événements pour moi. Evidemment, dès le premier soir, je n’ai pu m’empêcher d’aller vers la gare. Je ne me souviens plus vraiment si les WC étaient fermés ni la raison qui m’a fait me promener autour de la gare, espérant rencontrer un homme entreprenant. Si mes souvenirs sont bons, cette première nuit, je me contentais d’une relation rapide dans une voiture garée dans une rue de l’autre coté des quais avec un homme dont je ne me souviens même plus.
En réalité, ça ne me suffisait pas ! Je cherchais plus…
Le lendemain, plus tard dans la soirée, après un repas passé seul dans la salle de restaurant de l'hôtel, je n'avais rien d'autre à faire que d'aller me promener dans la cité. J’entrepris de tourner au volant de ma voiture, passant de la gare, aux quais de la Garonne. Je ne tardais pas à m’apercevoir du ballet de certaines voitures, non sans comprendre la raison de leur présence sur ce parking sous le pont. Hésitant mais décidé, trop timide pour faire le premier pas, je me laissais aborder par un assez bel homme en voiture. Il me proposait de le suivre, habitant dans le quartier un peu plus loin. Dans la petite ruelle où nous nous sommes garés, je le rattrapais rapidement, pour ne pas être vu et nous sommes rentrés dans un petit immeuble. Arrivé dans l’appartement, il m’a offert un verre pour détendre l’atmosphère, m’expliquant qu’il venait de divorcer et n’était pas non plus un habitué de ces lieus de rencontres. Puis il est devenu entreprenant, posant sa main sur ma cuisse. Je tremblais ! Au bout d'un moment, il m'a dit que la douche était au fond du couloir et m'y a accompagné… je me suis déshabillé pendant qu'il allait chercher une serviette, et me suis douché, dos tourné à la porte restée ouverte. Il était revenu, je sentais son regard posé sur moi ; c’était excitant ! Je m’appliquais à me laver entre les jambes, presque accroupi et écartant les fesses pour bien nettoyer mon endroit le plus intime. Après mettre soigneusement rincé avec la pomme de douche, je suis sorti, me suis ressuyé et me suis entouré de la serviette, la fermant sur ma poitrine, le bas des fesses visibles. Je retournais dans le salon pour l’attendre pendant qu’il se douchait à son tour.
Il m’a rejoint peu de temps après, admirant mon corps à peine caché par la serviette qui s’entrouvrait. Assis à mes cotés, il me caressait me prenant la main pour que je lui rende ses caresses. M’ouvrant la serviette, il appuya sur mes épaules pour me diriger vers son sexe. J’avais compris qu’il voulait que je le suce ! Je lui avouais n’avoir jamais sucer un homme mais en avais tellement envie que bien vite, j’avalais son membre sur lequel je me suis mis à aller et venir, mais voulant aller plus loin, ai faillit vomir. Les larmes me montaient aux yeux, déçu de ne pas pouvoir l’avaler plus. Il s’excusait et restait délicat, n’essayant pas de s’enfoncer plus profond, me laissant arrêter par moment pour le lécher. Son érection était effrayante ; ses mains posées sur ma tête m’imprimaient le rythme. Je me souviens du paradoxe de la dureté de sa queue dans ma bouche et du soyeux de son gland sur mes lèvres. J’aimais passer ma langue sur sa hampe alors qu’il me fixait tout en me caressant. Nous sommes resté un instant dans le divan, ma serviette était tombée et sous ses mains mon corps s’offrait, avide de caresses interdites.
Il me proposait alors d’aller dans la chambre… Repassant devant la douche, nous traversions l’étroit couloir pour aboutir à la chambre. Devant lui, nu, je ne pu m’empêcher de marcher d’un pas… Sensuel. Dans la pièce trônait fièrement, en son milieu, un lit en fer forgé blanc, digne des films érotiques des années 70. Nous nous y sommes allongés… Intérieurement, je me sentais devenir sa « femelle » en m’imaginant soumise. Il me caressait, insistant derrière, me relevant les jambes sur les épaules dans une position sans équivoque. Sa langue ne tardait pas à venir explorer l’endroit qu’il lui savait acquis. Je me sentais m’ouvrir, presque honteux de venir à sa rencontre. Mais que j’aimais cet instant !
Il m’ordonnait alors de me mettre sur le ventre. J’obéi avec plaisir. De ses genoux, il m’écartait les jambes. Ses mains jouaient sur mes fesses, les malaxant, les écartant… Un doigt plus entreprenant s’immisçait alors dans mon fondement ; Je creusais les reins. Ma tête tournait tant j’avais envie de lui. Il paru surpris de mes réactions, me dit que j’étais une chaude, me demandant si c’était vraiment la première fois ce que je lui confirmais lui précisant que j’en avais tellement envie! Tenant les barreaux du lit, comme si j’y étais attaché, fesses cambrées, j’écartais les cuisses, conscient que dans cette position, je lui faisais comprendre que je devenais sa chose.
J’aurais voulu me caresser, mais il me l’interdit, me remontant les mains vers les barreaux du lit. Il me referma les jambes pour venir s’allonger sur moi. Son corps épousait maintenant le mien. Je pouvais sentir son souffle dans ma nuque. Par mouvements délicats, sa queue caressait mes cuisses. Il posait ses mains sur mes reins pour m’empêcher de me relever. Je sentais alors la chaleur de son gland soyeux entre mes fesses et aurais voulu ouvrir mes jambes mais, des siennes, il me bloquait, presque autoritaire. La douce pression qu’il exerçait alors sur mon anneau encore tout mouillé de sa salive eu raison de cette toute dernière barrière qu’il ne tarda pas à franchir. La citadelle tombait aux mains de l’envahisseur. C’était fait, je n’étais plus vierge ! Il n’eu pas vraiment de mal à me pénétrer. Mon cœur battait à tout rompre. Je me surpris à gémir… De plaisir ! Ressortant pour mieux se renfoncer, d’abord lentement, il me pilonnait de plus en plus profond. Le bruit d’une claque se faisait entendre à chaque fois qu’il revenait d’un coup en moi. Je m’abandonnais entièrement, sans restrictions aux assauts répétés de cet amant providentiel. Sous ses coups de boutoir, je me suis surpris plusieurs fois à la limite de la jouissance ; j’étais loin de m’imaginer que j’en tirerais autant de plaisir. Tout au fond de moi, je sentais son membre me frapper avec un indescriptible délice qui faisait monter des gémissements, à peine étouffés, dans ma gorge espérant que cet instant soit éternel. Il était la lame, moi le fourreau.
Si on ne peut jouir sans orgasme, on peut avoir des orgasmes sans jouir ; je le découvrais, traversé par plusieurs vagues consécutives de plaisir, celui qui fait qu’on s’abandonne totalement. J’appréciais les chocs à répétition tout au fond de mon corps, conscient qu’il provenait du même sexe dont j’avais été pourvu à la naissance. Lui, toujours allongé sur moi, appuyé sur ses mains, accélérait la cadence comme pour mieux me défoncer, plus fort, plus loin… Ce sont ces quelques coups presque violents qui ont précédé son explosion. Un flot saccadé me submergea… Son sperme chaud me remplissait les entrailles. Quelques mouvements désordonnés plus tard, il se figeait. J’essayais de tendre désespérément les fesses vers lui, espérant encore plus.
Nous sommes resté un instant emboîtés ainsi avant qu’il ne se retire à mon plus grand désespoir. De sentir son jus suinter entre mes fesses m’excitait. Je me caressais avec, dans la tête, le souvenir du moment passé. Il s’était mis sur le coté ; je venais me mettre en chien de fusil contre lui espérant désespérément qu’il me refasse l’amour mais ne devais plus me contenter que de ma propre main. J’arrivais rapidement à mes fins, et recueillais mon propre jus dans mes mains tandis que coulait encore le sien le long de mes cuisses.
Je me sentais si bien, heureux d’avoir été ainsi possédé sans ressentir la honte légitime de cet acte que certains qualifient de « contre nature ». Le fantasme d’être un instant dans la peau d’une femme venait de se réaliser… Le tabou de la sodomie venait d’exploser en même temps que ma virginité anale. Je le quittais un peu plus tard et ne l’ai jamais revu…
Je suis resté plusieurs jours sans pouvoir vraiment m’asseoir correctement ce qui me rappelait à chaque instant l’aventure que je venais de vivre.
Aujourd’hui encore, je rêve de refaire l’amour avec un homme dans les mêmes conditions. Plutôt actif au début, j’étais devenu exclusivement passif. Il m’arrive maintenant de porter des dessous sexy dans le seul but d’être à nouveau dominé. Je n’hésite plus à afficher fièrement mes fesses et me rase pour que ce soit plus attirant, plus doux. Je recherche principalement la compagnie d’hommes murs et évidemment discrets et espère connaître bientôt une séance avec un couple.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'adore ces histoires de sex shop. J'ai apprécié ton récit de la fellation et de ta jouissance. Cela me rappelle d'excellents souvenirs. Si tu veux échanger, tu peux me contacter sur mon mail perso. Bises
Quand un homme me possède je suis aux anges m'imaginant comme toi être dans la peau d'une femme que j'ai toujours rêvé d'être
Ah le sex-shop près de la Gare Saint-Jean, un lieu de passage avant de prendre mon train pour le Mont Valérien puis plus tard pour Limoges.
Je ne sais pas si il est toujours là.
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