Bouffeur de cul
Récit érotique écrit par Marouflette [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-08-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Bouffeur de cul
Préambule: vous trouverez ici le premier texte que je publie sur ce site. Je suis depuis quelques temps un grand lecteur, et amateur de tout cet érotisme.
L'idée de partager mes expériences ici n'est pas nouvelle, pourtant je n'avais jamais franchi le pas. J'aurais voulu vous faire part de mes souvenirs dans une suite chronologique mais l'envie de revivre ma journée d'hier est bien trop forte pour ne pas commencer par cela. Et je vous avoue que je penses tellement souvent à publier ici que cette fois, j'ai essayé de fixer mon attention sur un maximum de détails pour pouvoir vous les retransmettre. Pour mon plus grand plaisir puisque j'ai vécu et enregistré chaque seconde avec une attention toute particulière.
Ce récit qui est le premier, est donc celui de ma dernière expérience en date...
Commencement: Je suis seul en vacances en Auvergne, en effet je suis parti sans ma compagne avec qui je partage ma vie depuis 10 ans. Entre nous, dire que la période est incertaine, est un euphémisme... Nous avons donc choisi de ne pas partager ces vacances, de se donner de l'air, en espérant retrouver un nouvel élan dans notre relation.
Je suis donc en voyage avec ma mère, mes soeurs, mes neveux et nièces, mais au bout de quelques jours, le rythme des vacances, la vie avec tout ce groupe, ne me conviennent plus. Je me prépare donc à m'isoler quelques jours. Pour cela je réserve un emplacement dans un camping naturiste que j'ai déjà visité. Cet endroit est empli de bienveillance, de calme, et de bonne humeur. Je ne peux rêver mieux pour me ressourcer.
Étant seul et ne souhaitant pas me lier plus que ça aux autres naturistes, je me fais un petit programme de visites. Pour chasser le doute et la tristesse rien de mieux que d'être bien occupé.
Je passe donc mes journées entre baignades, apéros et lecture au camping, et de nombreux vagabondages pour découvrir la région.
Ce récit débute donc dans un restaurant où j'ai fait une halte. Enfin, c'est plutôt un boui-boui attenant à un camping, avec une carte très réduite, mais l'important pour moi à ce moment est juste de trouver de quoi me nourrir, et certains de ces établissements proposent des choses qui bien que très simples, sont très bien réalisées. C'est le cas ici. Étant seul à ma table en terrasse mon attention se porte sur les conversations de mes voisins... Une famille de cinq campeurs dont la fille ainée semble particulièrement en colère.
Je ne peux que la comprendre. A son âge (j'apprendrai plus tard qu'elle va sur ses 19 ans) suivre ses deux petits frères et soeurs issus d'un second mariage, et bien plus jeunes qu'elle, peut être lassant. J'entends que leurs vacances leurs sont entièrement dédiées. Elle ne trouve pas sa place, s'ennuie, mais surtout n'a aucune intention de se laisser faire plus longtemps. Elle devient vite irrespectueuse et le ton monte entre elle et sa belle mère.
Natacha, puisque c'est son prénom, hurle sa colère, les.insultes fusent en quelques secondes. Son père tranche. Puisqu'elle n'est pas capable de se plier aux règles de vie de cette famille recomposée, il partira avec sa nouvelle femme, et ses deux plus jeunes enfants pour une activité et Natacha n'aura qu'à méditer sur son comportement.
Le dessert avalé dans le silence et la note réglée, la voilà seule à table. Je la regarde passer sa colère sur son chewing-gum. Elle porte un jean taille haute et un débardeur noir très décolleté qui laisse voir une bonne partie de son ventre. Une tenue typique des filles de son âge. Sans être en surpoids, ses cuisses remplissent bien son pantalon,ses bras sont solides, et sa poitrine est très développée. Son visage fermé est tout simplement adorable. La colère lui va à merveille. Son nez fin et sa bouche pincée, ses yeux bruns, maquillés de noir, son teint mat et sa chevelure noire. Tout dans son attitude renvoi à la fierté d'une princesse orientale. Elle est hautaine mais, magnifiquement hautaine.
Bref cette jeune femme n'a rien pour me plaire. Ni par son attitude qui dénote avec mon éducation, ni par son physique, qui n'a rien à voir avec mes goûts et fantasmes en matière de femmes. En effet mon idéal, vous le trouverez plutôt dans la catégorie "skinny". C'est à dire des femmes très fines, presque sans poitrine, avec des fesses toutes petites.
Pourtant en la détaillant ainsi je ne me sens pas insensible à son charme. Seulement voilà, mon analyse a dû durer trop longtemps. La voilà qui me fixe d'un regard noir avant de me lancer:
" Qu'est-ce que tu veux vieux bouffon ? Qu'est-ce que t'as à me regarder comme ça? Tu veux me baiser ? Ben vas-y vient me baiser sale tocard !!!" Elle termine sa phrase en tirant son débardeur vers le bas, découvrant ses seins presque entièrement.
Instinctivement je répond:
" Jeune femme, vous ne devriez pas lancer de telles invitations si vous n'avez pas l'intention de les honorer".
Un long silence s'en suit. Je pense que personne n'a jamais répondu ainsi à ses provocations, et moi je ne me reconnais pas dans cette réponse. Ces mots ne sont pas les miens, pendant un instant je me demande si je les ai vraiment prononcés.
Le temps s'est arrêté. Un serveur passe, elle l'arrête et commande quatre daikiri fraise pour ma table. Le serveur me regarde, j'acquiesce.
Elle me rejoint et me fait face. Aucun mot n'est prononcé avant que les deux premiers verres n'arrivent. Nous les buvons en quelques gorgées. En attendant les suivants elle me regarde droit dans les yeux et me dit:
" Tu veux me baiser ? Tu va devoir assurer ça fait dix jours que ma chatte est au repos forcé. J'en peux plus. Si tu te sens pas à la hauteur barre toi j'ai pas besoin d'une petite bite. J'ai besoin de me faire éclater. Si je jouis pas bientôt je vais devenir folle et tuer quelqu'un. Genre mon père, ou sa pute,..., Ouais sa pute en premier."
Les deux verres suivants arrivent, je prends le temps de bien formuler ma réponse. Je ne suis ni son chien ni un pervers. Il faut bien qu'elle le comprenne.
"Natacha, puisque c'est ton prénom, tu es très belle mais tu n'es pas du tout mon type de femmes..." Je sens son regard se remplir à nouveau de colère.
" Mais tu dégage quelque chose que je crois n'avoir jamais vu avant. Baisse toi sous la table et observe. Dis moi si la bosse dans mon short, dis moi si cette petite bite pourrais te satisfaire"
Elle répond à mon invitation, se penche. Quand elle se relève son regard est illuminé d'un désir fou. Mon sexe est d'une taille assez normale, je pense que ce qui lui a fait cet effet, c'est de découvrir mon érection. Je bandais à mon maximum. Cette jeune chienne insolente et entreprenante réveillait en moi un désir fou.
"Paie les verres et suis moi" Voilà sa seule réponse. Elle me guide à la sortie du restaurant. Nous nous enfonçons de quelques dizaines de mètres dans les bois. Pas de caresses, pas d'embrassades, elle retire son haut dès que nous sommes assez loin de tout regard étranger.
Elle ne porte pas de soutien-gorge, mais ça je l'avais deviné. Deux beaux seins, pleins et fermes, ornés de tétons foncés me font face. Ils sont parfaits. Lourds mais fiers.
Mais elle ne s'arrête pas là, dans la même seconde elle retire ses chaussures, pendant qu'elle déboutonne son jeans, en le tirant vers le bas, emmenant sa culotte au passage. Je n'ai pas le temps de reagir, pas le temps de penser, qu'elle est nue face à moi.
" Bouffes moi la chatte tocard il faut que je jouisse". En prononçant ses mots elle se positionne les bras en appuis sur une roche derrière elle. Elle écarte les jambes et avance son bassin au maximum.
Je ne peux résister à son pubis épilé, ses lèvres foncées, sa façon de lancer sa tête en arrière, les yeux fermés, avide de plaisirs.
À genoux devant elle je la lèche. Je découvre chaque millimètre de son sexe. Chaque pli, est exploré. Au fur et à mesure que son plaisir augmente, elle me frotte son sexe sur le visage dans de larges mouvements de bassin. Son souffle devient plus court. Elle avance dans son plaisir. Elle avance de plus en plus et moi je me laisse emporter par ma tâche. Je ne suis là que pour l'emmener de plus en plus moins. Elle va venir, elle m'attrape la tête et maintien ma langue sur le haut de son sexe. Elle augmente encore la cadence. Elle est délicieuse. Son souffle est le plus excitant que j'ai jamais entendu, même quand elle baise elle se bat, elle est en colère. Elle se donne sans réfléchir, ses émotions sont trop fortes pour être maîtrisées.
Mais je ne suis pas son chien, je ne suis pas son "tocard". Je n'ai pas envie d'offrir à cette petite mal élevée un plaisir à sens unique. Je m'arrête donc et je vois son regard de haine, elle était si proche de son plaisir. Mais elle ne sait pas sur qui elle est tombée. Moi aussi je peux en dire long avec un simple regard. En une seconde, elle voit, elle s'éteint, elle accepte. Je ne lui appartient pas.
Je la retourne assez fermement. Elle est toujours debout et moi toujours à quatres pattes. Elle se penche m'offrant une vue sur son cul qui est bien plus imposant que ceux que j'ai l'habitude de regarder en face. Mais ce cul est parfait. Il est rond, deux globes de chair, que je saisi à pleines mains. Je les écarte et enfonce ma langue dans cette raie dénuée de poils. Je débute sous son anus, le lèche doucement et remonte jusqu'en haut de sa raie. Je perçois un mélange de vanille, certainement son gel douche, de sueur, il fait chaud, et de liquide salé qui remonte de sa chatte. Elle est parfaite.
Je joue avec son cul. Je descend et remonte à mon rythme. Parfois jusqu'à sa chatte, parfois en écartant bien ses fesses pour pouvoir insérer ma langue dans son petit anneau ridé de quelques millimètres. Parfois quand je bouffe littéralement son anus je resserre ses fesses sur mon visage. Je me sens étouffer dans cette prison de chair. Mon excitation est à son comble. Elle gémit pendant ce traitement.
Je suis au summum de l'excitation en parcourant sa raie de haut en bas. Sa mouille me recouvre le menton alors sans changer de position je lui enfonce deux doigts dans le vagin.
Je ne m'enfonce que de quelques centimètres avant de faire un crochet avec mes doigts. Elle gémit plus fort, prise de spasmes. J'accélère le mouvement de mes doigts. Elle suit le mouvement et d'un coup son anus s'ouvre. Ma langue pénètre instantanément ce puit. Je suis son chien. Je ne suis bon qu'à bouffer son cul. Je me sens bien, prisonnier de ses deux fesses, qu'elle écrase sur mon visage. Une de ses mains vient saisir ma nuque pour me bloquer dans sa raie.
Elle ondule avec son bassin. Elle ne relâche pas son étreinte et je ne cherche pas à m'échapper. Ma langue s'enfonce au plus profond dans son anus, ses fesses resserrées pincent mon nez et m'empêchent de respirer. Sa main empêche toute retraite. Je lui bouffe le cul comme un mort de faim. Sa chair est parfaite, tout comme son emprise sur moi. Je la sens resserrer sa chatte sur mes doigts. Et enfin elle jouit. Mes doigts sont éjectés de son vagin et sa mouille arrive. Elle me maintient encore le visage et frotte sa mouille sur moi dans des soubresauts de plus en plus faibles. Ses gémissements s'éteignent alors que j'ai encore mon nez dans son cul.
C'est alors que je me rends compte que je viens d'éjaculer moi aussi. Ni elle ni moi n'avons touché mon sexe. Je ne suis que son esclave qui a jouit d'être prisonnier, étouffé entre ces deux fesses merveilleuses. Je n'avais jamais bouffé un cul avec tant de passion. Elle se retourne et me sourit. Sur mon visage un sourire se dessine aussi. Nous avons atteint l'extase.
L'idée de partager mes expériences ici n'est pas nouvelle, pourtant je n'avais jamais franchi le pas. J'aurais voulu vous faire part de mes souvenirs dans une suite chronologique mais l'envie de revivre ma journée d'hier est bien trop forte pour ne pas commencer par cela. Et je vous avoue que je penses tellement souvent à publier ici que cette fois, j'ai essayé de fixer mon attention sur un maximum de détails pour pouvoir vous les retransmettre. Pour mon plus grand plaisir puisque j'ai vécu et enregistré chaque seconde avec une attention toute particulière.
Ce récit qui est le premier, est donc celui de ma dernière expérience en date...
Commencement: Je suis seul en vacances en Auvergne, en effet je suis parti sans ma compagne avec qui je partage ma vie depuis 10 ans. Entre nous, dire que la période est incertaine, est un euphémisme... Nous avons donc choisi de ne pas partager ces vacances, de se donner de l'air, en espérant retrouver un nouvel élan dans notre relation.
Je suis donc en voyage avec ma mère, mes soeurs, mes neveux et nièces, mais au bout de quelques jours, le rythme des vacances, la vie avec tout ce groupe, ne me conviennent plus. Je me prépare donc à m'isoler quelques jours. Pour cela je réserve un emplacement dans un camping naturiste que j'ai déjà visité. Cet endroit est empli de bienveillance, de calme, et de bonne humeur. Je ne peux rêver mieux pour me ressourcer.
Étant seul et ne souhaitant pas me lier plus que ça aux autres naturistes, je me fais un petit programme de visites. Pour chasser le doute et la tristesse rien de mieux que d'être bien occupé.
Je passe donc mes journées entre baignades, apéros et lecture au camping, et de nombreux vagabondages pour découvrir la région.
Ce récit débute donc dans un restaurant où j'ai fait une halte. Enfin, c'est plutôt un boui-boui attenant à un camping, avec une carte très réduite, mais l'important pour moi à ce moment est juste de trouver de quoi me nourrir, et certains de ces établissements proposent des choses qui bien que très simples, sont très bien réalisées. C'est le cas ici. Étant seul à ma table en terrasse mon attention se porte sur les conversations de mes voisins... Une famille de cinq campeurs dont la fille ainée semble particulièrement en colère.
Je ne peux que la comprendre. A son âge (j'apprendrai plus tard qu'elle va sur ses 19 ans) suivre ses deux petits frères et soeurs issus d'un second mariage, et bien plus jeunes qu'elle, peut être lassant. J'entends que leurs vacances leurs sont entièrement dédiées. Elle ne trouve pas sa place, s'ennuie, mais surtout n'a aucune intention de se laisser faire plus longtemps. Elle devient vite irrespectueuse et le ton monte entre elle et sa belle mère.
Natacha, puisque c'est son prénom, hurle sa colère, les.insultes fusent en quelques secondes. Son père tranche. Puisqu'elle n'est pas capable de se plier aux règles de vie de cette famille recomposée, il partira avec sa nouvelle femme, et ses deux plus jeunes enfants pour une activité et Natacha n'aura qu'à méditer sur son comportement.
Le dessert avalé dans le silence et la note réglée, la voilà seule à table. Je la regarde passer sa colère sur son chewing-gum. Elle porte un jean taille haute et un débardeur noir très décolleté qui laisse voir une bonne partie de son ventre. Une tenue typique des filles de son âge. Sans être en surpoids, ses cuisses remplissent bien son pantalon,ses bras sont solides, et sa poitrine est très développée. Son visage fermé est tout simplement adorable. La colère lui va à merveille. Son nez fin et sa bouche pincée, ses yeux bruns, maquillés de noir, son teint mat et sa chevelure noire. Tout dans son attitude renvoi à la fierté d'une princesse orientale. Elle est hautaine mais, magnifiquement hautaine.
Bref cette jeune femme n'a rien pour me plaire. Ni par son attitude qui dénote avec mon éducation, ni par son physique, qui n'a rien à voir avec mes goûts et fantasmes en matière de femmes. En effet mon idéal, vous le trouverez plutôt dans la catégorie "skinny". C'est à dire des femmes très fines, presque sans poitrine, avec des fesses toutes petites.
Pourtant en la détaillant ainsi je ne me sens pas insensible à son charme. Seulement voilà, mon analyse a dû durer trop longtemps. La voilà qui me fixe d'un regard noir avant de me lancer:
" Qu'est-ce que tu veux vieux bouffon ? Qu'est-ce que t'as à me regarder comme ça? Tu veux me baiser ? Ben vas-y vient me baiser sale tocard !!!" Elle termine sa phrase en tirant son débardeur vers le bas, découvrant ses seins presque entièrement.
Instinctivement je répond:
" Jeune femme, vous ne devriez pas lancer de telles invitations si vous n'avez pas l'intention de les honorer".
Un long silence s'en suit. Je pense que personne n'a jamais répondu ainsi à ses provocations, et moi je ne me reconnais pas dans cette réponse. Ces mots ne sont pas les miens, pendant un instant je me demande si je les ai vraiment prononcés.
Le temps s'est arrêté. Un serveur passe, elle l'arrête et commande quatre daikiri fraise pour ma table. Le serveur me regarde, j'acquiesce.
Elle me rejoint et me fait face. Aucun mot n'est prononcé avant que les deux premiers verres n'arrivent. Nous les buvons en quelques gorgées. En attendant les suivants elle me regarde droit dans les yeux et me dit:
" Tu veux me baiser ? Tu va devoir assurer ça fait dix jours que ma chatte est au repos forcé. J'en peux plus. Si tu te sens pas à la hauteur barre toi j'ai pas besoin d'une petite bite. J'ai besoin de me faire éclater. Si je jouis pas bientôt je vais devenir folle et tuer quelqu'un. Genre mon père, ou sa pute,..., Ouais sa pute en premier."
Les deux verres suivants arrivent, je prends le temps de bien formuler ma réponse. Je ne suis ni son chien ni un pervers. Il faut bien qu'elle le comprenne.
"Natacha, puisque c'est ton prénom, tu es très belle mais tu n'es pas du tout mon type de femmes..." Je sens son regard se remplir à nouveau de colère.
" Mais tu dégage quelque chose que je crois n'avoir jamais vu avant. Baisse toi sous la table et observe. Dis moi si la bosse dans mon short, dis moi si cette petite bite pourrais te satisfaire"
Elle répond à mon invitation, se penche. Quand elle se relève son regard est illuminé d'un désir fou. Mon sexe est d'une taille assez normale, je pense que ce qui lui a fait cet effet, c'est de découvrir mon érection. Je bandais à mon maximum. Cette jeune chienne insolente et entreprenante réveillait en moi un désir fou.
"Paie les verres et suis moi" Voilà sa seule réponse. Elle me guide à la sortie du restaurant. Nous nous enfonçons de quelques dizaines de mètres dans les bois. Pas de caresses, pas d'embrassades, elle retire son haut dès que nous sommes assez loin de tout regard étranger.
Elle ne porte pas de soutien-gorge, mais ça je l'avais deviné. Deux beaux seins, pleins et fermes, ornés de tétons foncés me font face. Ils sont parfaits. Lourds mais fiers.
Mais elle ne s'arrête pas là, dans la même seconde elle retire ses chaussures, pendant qu'elle déboutonne son jeans, en le tirant vers le bas, emmenant sa culotte au passage. Je n'ai pas le temps de reagir, pas le temps de penser, qu'elle est nue face à moi.
" Bouffes moi la chatte tocard il faut que je jouisse". En prononçant ses mots elle se positionne les bras en appuis sur une roche derrière elle. Elle écarte les jambes et avance son bassin au maximum.
Je ne peux résister à son pubis épilé, ses lèvres foncées, sa façon de lancer sa tête en arrière, les yeux fermés, avide de plaisirs.
À genoux devant elle je la lèche. Je découvre chaque millimètre de son sexe. Chaque pli, est exploré. Au fur et à mesure que son plaisir augmente, elle me frotte son sexe sur le visage dans de larges mouvements de bassin. Son souffle devient plus court. Elle avance dans son plaisir. Elle avance de plus en plus et moi je me laisse emporter par ma tâche. Je ne suis là que pour l'emmener de plus en plus moins. Elle va venir, elle m'attrape la tête et maintien ma langue sur le haut de son sexe. Elle augmente encore la cadence. Elle est délicieuse. Son souffle est le plus excitant que j'ai jamais entendu, même quand elle baise elle se bat, elle est en colère. Elle se donne sans réfléchir, ses émotions sont trop fortes pour être maîtrisées.
Mais je ne suis pas son chien, je ne suis pas son "tocard". Je n'ai pas envie d'offrir à cette petite mal élevée un plaisir à sens unique. Je m'arrête donc et je vois son regard de haine, elle était si proche de son plaisir. Mais elle ne sait pas sur qui elle est tombée. Moi aussi je peux en dire long avec un simple regard. En une seconde, elle voit, elle s'éteint, elle accepte. Je ne lui appartient pas.
Je la retourne assez fermement. Elle est toujours debout et moi toujours à quatres pattes. Elle se penche m'offrant une vue sur son cul qui est bien plus imposant que ceux que j'ai l'habitude de regarder en face. Mais ce cul est parfait. Il est rond, deux globes de chair, que je saisi à pleines mains. Je les écarte et enfonce ma langue dans cette raie dénuée de poils. Je débute sous son anus, le lèche doucement et remonte jusqu'en haut de sa raie. Je perçois un mélange de vanille, certainement son gel douche, de sueur, il fait chaud, et de liquide salé qui remonte de sa chatte. Elle est parfaite.
Je joue avec son cul. Je descend et remonte à mon rythme. Parfois jusqu'à sa chatte, parfois en écartant bien ses fesses pour pouvoir insérer ma langue dans son petit anneau ridé de quelques millimètres. Parfois quand je bouffe littéralement son anus je resserre ses fesses sur mon visage. Je me sens étouffer dans cette prison de chair. Mon excitation est à son comble. Elle gémit pendant ce traitement.
Je suis au summum de l'excitation en parcourant sa raie de haut en bas. Sa mouille me recouvre le menton alors sans changer de position je lui enfonce deux doigts dans le vagin.
Je ne m'enfonce que de quelques centimètres avant de faire un crochet avec mes doigts. Elle gémit plus fort, prise de spasmes. J'accélère le mouvement de mes doigts. Elle suit le mouvement et d'un coup son anus s'ouvre. Ma langue pénètre instantanément ce puit. Je suis son chien. Je ne suis bon qu'à bouffer son cul. Je me sens bien, prisonnier de ses deux fesses, qu'elle écrase sur mon visage. Une de ses mains vient saisir ma nuque pour me bloquer dans sa raie.
Elle ondule avec son bassin. Elle ne relâche pas son étreinte et je ne cherche pas à m'échapper. Ma langue s'enfonce au plus profond dans son anus, ses fesses resserrées pincent mon nez et m'empêchent de respirer. Sa main empêche toute retraite. Je lui bouffe le cul comme un mort de faim. Sa chair est parfaite, tout comme son emprise sur moi. Je la sens resserrer sa chatte sur mes doigts. Et enfin elle jouit. Mes doigts sont éjectés de son vagin et sa mouille arrive. Elle me maintient encore le visage et frotte sa mouille sur moi dans des soubresauts de plus en plus faibles. Ses gémissements s'éteignent alors que j'ai encore mon nez dans son cul.
C'est alors que je me rends compte que je viens d'éjaculer moi aussi. Ni elle ni moi n'avons touché mon sexe. Je ne suis que son esclave qui a jouit d'être prisonnier, étouffé entre ces deux fesses merveilleuses. Je n'avais jamais bouffé un cul avec tant de passion. Elle se retourne et me sourit. Sur mon visage un sourire se dessine aussi. Nous avons atteint l'extase.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Pas mal, très bon début, continu