Brigitte ou l’éducation SM d’une bourgeoise 2
Récit érotique écrit par CHATOUILLE [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-10-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
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Brigitte ou l’éducation SM d’une bourgeoise 2
Va te mettre contre le poteau en attendant, bras en arrière, interdit de te frotter les fesses.
Je reviens chargé de tout les accessoires que j’avais acheté : menottes pinces à seins, martinet, cravache
Tourne toi petite vicieuse, montre moi ton culNon mieux que cela, cambre toi comme si tu voulais qu’on te prenne d’ailleurs c’est ce qui va t’arriver mais avant tu mérites une petite correctionTu n’es pas sage pour une belle bourgeoise, tu caches bien ton jeu, en fait tu aimes être baisée heinAvoue !
Oui murmure t elleJe n’ai pas entendu, plus fort « j’aime quand tu me baises» allez répète plus fort« J’aime quand tu me baises » dit-elle distinctementEt à ce moment le premier coup de martinet s’abat sur ses fessesElle sursaute mais aucun son de sort de sa boucheRépète, lui ordonne ais je : j’aime quand tu me baises et que tu m’encules« J’aime quand tu me baises et que tu m’encules » répète elle docilement.
Clac !!! le martinet s’abat un peu plus fortPetite vicieuse tu mérites de te faire baiser et enculer Clac, Clac : ses fesses rosissent, elle reçoit les coups de martinet sans manifester une quelconque douleurCompte lui dis je Quatre clac Cinq murmure t-elleEncore lui demandais je ?
Oui dit elle……..
C’est bien lui répondis je tout en la cinglant de plus en plus fort cherchant la limite entre le plaisir et la douleurLes marques des lanières étaient maintenant bien visibles sur son postérieur rebondi ; je bandait dur.
Tend bien ton cul continuais je, écarte tes jambes que je puisse te fouetter ta chatte de petite bourgeoise vicieuse.
Les coups se firent plus doux sur cette région si sensible, le martinet, peu pratique pour atteindre son but fut remplacé avantageusement par la cravache qui alternait des petits coups sur le sexe et l’extérieur des fesses, le postérieur étant déjà bien rougeElle recevait sa correction sans broncher, j’imaginais qu’elle y prenait du plaisirLa savoir soumise, attachée fouettée ainsi me procurait un plaisir immense et j’imaginais déjà plus
Je saisis le vibro qui lui procurait tant de jouissance et lui appliquais sur le clitorisEn peu de temps, elle se mis à se tordre de plaisirJ’arrêtais à chaque fois que je sentais sa jouissance arriver puis je reprenais soit en la doigtant soit avec le vibro.
Je lui mis les pinces à seins sans qu’elle émette le moindre refus malgré sa grande sensibilité à ce niveauElle était dans un état d’orgasme quasi permanent ; c’était le moment de lui faire passer une marche de plus Je la détachais, attrapait la guêpière , le la lui mis tout en continuant de la doigter pour ne pas faire redescendre la tension sexuelle qui l’animaitSa chatte était liquide, je pouvais enfoncer un gros god à fond sans aucune difficulté ; ce que je fis après l’avoir mis en routeJ’en profitais pour palper son cul et enfoncer un doigt…. En attendant plus
Elle avait avoué lors du questionnaire son penchant exibitioniste ; et bien c’était le bon moment d’aller faire un petit tour en voiture… uniquement vêtue de la quépière.
Viens on va faire un tour lui dis je....
Aucune protestationJe me remémore sa réponse au questionnaire du jeu des vacances« Bien chauffée, je suis prête à faire tout ce que tu me demandes »Sa réponse était oui mais je pensais qu’elle s’était un peu trop avancée; c'était le moment de voir......
Je reviens chargé de tout les accessoires que j’avais acheté : menottes pinces à seins, martinet, cravache
Tourne toi petite vicieuse, montre moi ton culNon mieux que cela, cambre toi comme si tu voulais qu’on te prenne d’ailleurs c’est ce qui va t’arriver mais avant tu mérites une petite correctionTu n’es pas sage pour une belle bourgeoise, tu caches bien ton jeu, en fait tu aimes être baisée heinAvoue !
Oui murmure t elleJe n’ai pas entendu, plus fort « j’aime quand tu me baises» allez répète plus fort« J’aime quand tu me baises » dit-elle distinctementEt à ce moment le premier coup de martinet s’abat sur ses fessesElle sursaute mais aucun son de sort de sa boucheRépète, lui ordonne ais je : j’aime quand tu me baises et que tu m’encules« J’aime quand tu me baises et que tu m’encules » répète elle docilement.
Clac !!! le martinet s’abat un peu plus fortPetite vicieuse tu mérites de te faire baiser et enculer Clac, Clac : ses fesses rosissent, elle reçoit les coups de martinet sans manifester une quelconque douleurCompte lui dis je Quatre clac Cinq murmure t-elleEncore lui demandais je ?
Oui dit elle……..
C’est bien lui répondis je tout en la cinglant de plus en plus fort cherchant la limite entre le plaisir et la douleurLes marques des lanières étaient maintenant bien visibles sur son postérieur rebondi ; je bandait dur.
Tend bien ton cul continuais je, écarte tes jambes que je puisse te fouetter ta chatte de petite bourgeoise vicieuse.
Les coups se firent plus doux sur cette région si sensible, le martinet, peu pratique pour atteindre son but fut remplacé avantageusement par la cravache qui alternait des petits coups sur le sexe et l’extérieur des fesses, le postérieur étant déjà bien rougeElle recevait sa correction sans broncher, j’imaginais qu’elle y prenait du plaisirLa savoir soumise, attachée fouettée ainsi me procurait un plaisir immense et j’imaginais déjà plus
Je saisis le vibro qui lui procurait tant de jouissance et lui appliquais sur le clitorisEn peu de temps, elle se mis à se tordre de plaisirJ’arrêtais à chaque fois que je sentais sa jouissance arriver puis je reprenais soit en la doigtant soit avec le vibro.
Je lui mis les pinces à seins sans qu’elle émette le moindre refus malgré sa grande sensibilité à ce niveauElle était dans un état d’orgasme quasi permanent ; c’était le moment de lui faire passer une marche de plus Je la détachais, attrapait la guêpière , le la lui mis tout en continuant de la doigter pour ne pas faire redescendre la tension sexuelle qui l’animaitSa chatte était liquide, je pouvais enfoncer un gros god à fond sans aucune difficulté ; ce que je fis après l’avoir mis en routeJ’en profitais pour palper son cul et enfoncer un doigt…. En attendant plus
Elle avait avoué lors du questionnaire son penchant exibitioniste ; et bien c’était le bon moment d’aller faire un petit tour en voiture… uniquement vêtue de la quépière.
Viens on va faire un tour lui dis je....
Aucune protestationJe me remémore sa réponse au questionnaire du jeu des vacances« Bien chauffée, je suis prête à faire tout ce que tu me demandes »Sa réponse était oui mais je pensais qu’elle s’était un peu trop avancée; c'était le moment de voir......
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