C'est bon à quatre
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-07-2012 dans la catégorie Plus on est
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C'est bon à quatre
Mon époux Alain a une baisse de désir, je ne sais pourquoi, ou je le crains, je pense
que comme nous baisons souvent, plusieurs fois par jour, il doit se lasser un peu.
J’ai essayé tous les moyens pour réveiller son désir: je me masturbe devant lui. Je
lui raconte mes aventures d’avant notre connaissance, aventures avec ma cousine Lydie.
Nous étions toutes les deux de sacrés numéros.
Vers nos quinze ans, un jour elle m’a montré ce qu’elle se faisait: elle se met nue
devant moi, ouvre son sexe pour bien me montrer les détails d’une fille. Elle me donne
un miroir pour que je regarde aussi entre mes jambes. Nous avons une chatte: ça je le
savais déjà. Elle me touche la chatte en me demandant de lui en faire autant. Je sens
l’excitation monter quand elle me caresse le clitoris. Je rend la caresse quand elle
se couche sur un vieux matelas du grenier où nous étions. Elle écarte ses jambes sans
pudeur, je vois tout son sexe qui se mouille de cyprine. Et encore je sais ce que
c’est parce qu’elle me le dit. Je vois une légère protubérance en haut de son sexe:
c’est là qu’elle me demande de passer deux doigts joints. Dès que je la touche, elle
ferme les yeux:
- Continues comme ça, tu vas me faire jouir. N’arrête surtout pas avant que je te le
demande. Mon dieu que c’est bon. Tu verra tout à l’heure quand je te toucherai.
C’est sans doute bon, en attendant je caresse sans rien sentir. Si, je sens que j’ai
l’entrejambe qui se mouille et une légère envie de je e sais pas encore quoi.
Lydie se crispe, se tend comme un arc en gémissant comme si je lui faisait mal.
- Merci, je jouis.
C’est vrai que je regarde toute sa chatte, particulièrement l’entrée de son trou qui a
plein de spasmes. C’est sans doute à la jouissance.
C’est maintenant à mon tour d’y passer. Elle me déshabille, quand je suis nue, elle
me fait écarter les jambes. Je me penche pour voir ce qu’elle me fait. Elle caresse
entre mes cuisses, monte juste sur le clitoris. Je sens ses doigts sur ma chatte, je
sens monter un plaisir inconnu qui augmente toujours. Je fais comme Lydie, je me tends
quand je sens le vrai plaisir envahir mon ventre.
Nous sommes maintenant couchées l’une contre l’autre. Je ne sais trop pourquoi je
prend son sein dans une main pour le caresser gentiment. Je le sens se gonfler un peu,
je sens son téton jaillir, j’ai envie de le sucer. Je viens d’inventer à notre niveau
l’érotisme. Elle veut me faire pareil alors que je veut continuer. Nous nous
retrouvons à nous peloter les poitrines quand je suis presque à l’envers. Je me laisse
guider par mes envies. Quelque chose me demande d’aller toujours plus bas. Mon plus
bas, s’arrête quand ma bouche trouve sa fourrure sur le pubis. Mon nez sens le sexe de
Lydie, drôle d’odeur excitante. Je continue, elle écarte bien les jambes. Ma bouche
est sur sa chatte. Je sors la langue pour lécher son bouton qui me nargue. Le gout est
à me faire mouiller encore plus. Je le lèche lentement quand je le sens jouir encore.
J’en ai moi aussi envie. J’enjambe son visage et colle ma chatte sur la figure de ma
cousine. Je reçois le même traitement. Je recommence mes léchages: nous jouissons
ensemble.
Pendant toute la durée de vacances nous nous sommes livrées l’une à l’autre dès que
nous pouvions: c’était trop bon pour abandonner. Ce grenier devenait notre hôtel
préféré. C’est là qu’un jour de folie nous avons fait venir Christian. Il avait 18
ans. Il sait ce que nous attendons de lui. Sans trop de tralala il est vite nu. Nous
nous précipitons pour prendre sa queue, la première grosse que nous voyons. Il bande
bien. Normalement les hommes nous caressent avant de faire une pénétration. Là c’est
nous qui le caressons partout: le cou, les seins, les fesses, la queue en y faisant
bien attention, les couilles, l’anus. Il a droit à tout. Autant Lydie que moi sommes
mouillées: il nous tarde qu’il nous dépucèle. Le même amant avec ses deux futures
amantes, doit bien plaire à Christian. Sa bite grossit sans cesse. J’ai envie de la
gouter; je ne demande rien à personne, je descend son prépuce, prends son gland dans
la bouche, ma langue y tourne autour. J’ai son odeur dans le nez et son gout. Elle me
plait bien: je la donne à Lydie qui s’impatientait. Lui n’a rien à dire: il doit
faire. Il doit en avoir assez d’attendre notre bon vouloir, aussi il couche Lydie sur
le dos, lui fait écarter les jambes. Pour elle maintenant ce n’est pas une fille,
c’est un homme qui pose sa pine sur son puits. Je regarde avec intérêt ce qu’il lui
fait. Je suis surexcitée, je suis obligée de me branler devant le couple. Je trouve
beau un couple qui baise comme eux: elle perd sa fleur sans cri, avec un certain
plaisir c’est évident. Il commence à aller et venir dans son ventre, elle gémit comme
quand je la branle.
- Oui, Oui, n’arrête pas, je vais jouir. Je Jouiiiiiis.
Il sort de son ventre: je vois que sa bite est pleine de sécrétions du con de Lydie.
Je le suce encore en sentant bien le gout du vagin, mélé à celui du sperme.
Je n’attends pas qu’il me demande de me mettre sur le dos, j’y suis déjà. Je sens sa
queue sur moi, il l’enfonce complètement trop vite. Il me fait mal, pas beaucoup au
point d’en crier de douleur. Ce n’est que quand il baise que je sens sa queue qui va
et vient. Je sens un autre plaisir qu’avec Lydie. Je suis comme elle en arc tendu. Je
jouis pour la première fois en étant baisée.
Il n’a pas encore jouit. Je le provoque en lui demande de me la mettre au cul. Il
n’hésite pas: il me tourne sur le ventre, entre sa bite dans mon con, la ressort bien
mouillée. Cette fois il est sur l’anus. Je n’y ai reçu que les doigts de Lydie. Elle
voudrait me caresser les fesses juste avant. Christian fait de moi ce qu’il veut: je
suis sa chose.
J’ai peur quand il entre lentement sa queue dans le cul. Je sens l’anus écartelé par
un gros morceau. Je serre mes dents pour ne pas hurler. Il est maintenant en entier
dans mes fesse: je sens ses poils; Il reste immobile un moment puis commence comme
dans mon vagin; il va et vient. C’est moins rapide, ça devient meilleur. Je sens mon
sphincter avoir des spasmes quand je jouis autrement plus fort que tout à l’heure. Je
jouis encore plus quand il décharge son sperme dans le fond de mes boyaux.
Il lui faut un temps fou pour recharger ses batteries. Quand il est à nouveau bien
dressé et bandant il répond à la demande de Lydie: elle aussi veut l’avoir dans le
cul. Elle est en levrette, position que nous adoptons souvent pour nos 69. J’en
profite justement pour me mettre sous elle. Je lui donne ma chatte, pour prendre la
sienne. Je suis aux première loges pour voir l’enculage. Il commence par lui cracher
sur le cul qu’elle ouvre au maximum aidée par mes mains. C’est moi qui prenant la bite
la guide sur l’anus. Je me régale de vois comment une bite entre dans un rectum. Ma
langue aide Lydie à jouir plus vite sans plus. Je vois comment la bite fait au moment
de l’orgasme. Elle gonfle pour expulser le sperme et recommence deux secondes plus
tard.
Nous sommes heureuses d’avoir perdu nos « vertus ». Nous en profitons longtemps avant
de nous marier presque sous la pression de la famille, sinon nous étions bien toutes
les deux à baiser comme des lesbiennes que nous étions devenues.
Lydie s’est marié avec Michel, un garçon que je connaissait pour avoir baisé avec lui
deux ou trois fois, un bon baiseur. Moi c’était avec Alain, bon baiseur aussi en temps
normal.
J’ai invité donc Lydie et Michel pour le weekend. Alain est étonné de les vois
arriver. Ils vont se changer dans leur chambre d’amis. Quand ils ressortent je suis
étonnée: Lydie ressemble plus à une pute sexy qu’à ma cousine: jupe de tennis, tricot
à même ma peau qui ne cache qu’à, peine les pointes de ses seins. Michel est plus
convenable, disons qu’on voit bien ses bijoux de famille qui ne demandent qu’une
occasion pour sortir. Alain semble avoir retrouvé ses moyens. Le contraire m’aurait
étonné.
Pour poivrer un peu la situation, Lydie m’embrasse sur la bouche; nos langues refont
connaissance. Michel vient me caresser en se mettant derrière moi. Je sens sa bite
entre mes fesses. Je suis prête à me donner à l’un ou l’autre. Je remue mon popotin
pour exciter complètement Michel. Je le sens bien bander. Je me tourne pour sortir sa
queue. Il y a longtemps que je ne l’ai pas vue, elle est toujours aussi délectable il
me semble. Je ne peux me retenir ,je le prend un instant en bouche. J’y sens la
cyprine: les salauds, ils ont tiré un coup avant d’arriver. Je le lâche quand je sens
sur mon ventre une main venir s’infiltrer vers la chatte.
Enfin depuis le temps Lydie veut me branler. Elle fait tomber mon string. Son doigt
vient en terrain bien connu. Elle sait me faire jouir. Pour compléter la caresse elle
entre deux doigts dans le puits qu’elle connait aussi bien que je connais le sien.
Enfin un geste d’Alain, il passe une main sous la jupe de Lydie. Je ne sais pas où il
veut aller. Lydie me sourit quand il lui met la main sur la chatte. Elle écarte bien
les cuisses, elle se trémousse quand les doigts la pénètre. Pour elle ce n’est pas
suffisant: elle se dirige vers le divan, s’y assoit en montrant toute sa chatte, y
compris le petit trou. Mon mari enfin la suit, il la précède même quand elle s’assoit.
Elle est sur sa bite. Il la lui met dans le premier trou venu. Heureusement pour lui
c’est le cul. Elle se laisse aller en me faisant un clin d’œil. Mon mari la lime un
bon moment avant de jouir. Je crois que c’est son premier vrai orgasme depuis
longtemps. J’espère qu’il est débloqué.
Ils me donnent envie d’être baisée moi aussi. J’ai une bonne bite à ma disposition.
Michel est très résistant. Il me le montre en me prenant debout devant les autres,
d‘abord par devant deux fois et ensuite par derrière une fois. Il bande encore, je
dois le branler pour le faire jour longuement..
Les hommes se remettent doucement pendant qu’avec Lydie nous nous livrons à notre
passe temps favori. C’est sacrément bon de baiser toutes les deux; Nous nous branlons,
nous suçons nous caressons partout avant de recommencer. Qu and les hommes sont à
nouveau en forme nous tirons presque à pile ou face laquelle va se faire mettre en
double. Ca tombe sur moi. C’est Lydie qui mènera le jeu. Je demande à Michel de me
baiser dans le con. Il vient, guidé par sa femme, il entre dans mon ventre par le bon
trou. Il me donne du plaisir, beaucoup de plaisir , à me faire encore jouir. J’ai donc
Michel devant quand mon mari peux venir me la mettre là où il y a de la place;: chez
les filles c’est vite trouvé. Je sens enfin sa bite venir doucement dans l’anus. Je
savoure cet instant; il y a si longtemps qu’il ne me la pas mise au cul. Je cherche à
ne sentir que sa bite pendant qu’il m’encule. Finalement je ne peux retenir que les
deux bites me font du bien, surtout quand les glands se croisent.
Je suis partie dans une série d’orgasmes comme je les aime: presque sans arrêt des
spasmes dans mes sphincters. Lydie m’embrasse en se branlant. Le plus fort spasme est
quand les deux jouissent ensemble dans mon vagin et mes boyaux. J’ai envie la
prochaine fois de me faire mettre dans le même trou pour voir, simplement par
curiosité, même si j’y prends gout. Certaines de mes amies adorent.
que comme nous baisons souvent, plusieurs fois par jour, il doit se lasser un peu.
J’ai essayé tous les moyens pour réveiller son désir: je me masturbe devant lui. Je
lui raconte mes aventures d’avant notre connaissance, aventures avec ma cousine Lydie.
Nous étions toutes les deux de sacrés numéros.
Vers nos quinze ans, un jour elle m’a montré ce qu’elle se faisait: elle se met nue
devant moi, ouvre son sexe pour bien me montrer les détails d’une fille. Elle me donne
un miroir pour que je regarde aussi entre mes jambes. Nous avons une chatte: ça je le
savais déjà. Elle me touche la chatte en me demandant de lui en faire autant. Je sens
l’excitation monter quand elle me caresse le clitoris. Je rend la caresse quand elle
se couche sur un vieux matelas du grenier où nous étions. Elle écarte ses jambes sans
pudeur, je vois tout son sexe qui se mouille de cyprine. Et encore je sais ce que
c’est parce qu’elle me le dit. Je vois une légère protubérance en haut de son sexe:
c’est là qu’elle me demande de passer deux doigts joints. Dès que je la touche, elle
ferme les yeux:
- Continues comme ça, tu vas me faire jouir. N’arrête surtout pas avant que je te le
demande. Mon dieu que c’est bon. Tu verra tout à l’heure quand je te toucherai.
C’est sans doute bon, en attendant je caresse sans rien sentir. Si, je sens que j’ai
l’entrejambe qui se mouille et une légère envie de je e sais pas encore quoi.
Lydie se crispe, se tend comme un arc en gémissant comme si je lui faisait mal.
- Merci, je jouis.
C’est vrai que je regarde toute sa chatte, particulièrement l’entrée de son trou qui a
plein de spasmes. C’est sans doute à la jouissance.
C’est maintenant à mon tour d’y passer. Elle me déshabille, quand je suis nue, elle
me fait écarter les jambes. Je me penche pour voir ce qu’elle me fait. Elle caresse
entre mes cuisses, monte juste sur le clitoris. Je sens ses doigts sur ma chatte, je
sens monter un plaisir inconnu qui augmente toujours. Je fais comme Lydie, je me tends
quand je sens le vrai plaisir envahir mon ventre.
Nous sommes maintenant couchées l’une contre l’autre. Je ne sais trop pourquoi je
prend son sein dans une main pour le caresser gentiment. Je le sens se gonfler un peu,
je sens son téton jaillir, j’ai envie de le sucer. Je viens d’inventer à notre niveau
l’érotisme. Elle veut me faire pareil alors que je veut continuer. Nous nous
retrouvons à nous peloter les poitrines quand je suis presque à l’envers. Je me laisse
guider par mes envies. Quelque chose me demande d’aller toujours plus bas. Mon plus
bas, s’arrête quand ma bouche trouve sa fourrure sur le pubis. Mon nez sens le sexe de
Lydie, drôle d’odeur excitante. Je continue, elle écarte bien les jambes. Ma bouche
est sur sa chatte. Je sors la langue pour lécher son bouton qui me nargue. Le gout est
à me faire mouiller encore plus. Je le lèche lentement quand je le sens jouir encore.
J’en ai moi aussi envie. J’enjambe son visage et colle ma chatte sur la figure de ma
cousine. Je reçois le même traitement. Je recommence mes léchages: nous jouissons
ensemble.
Pendant toute la durée de vacances nous nous sommes livrées l’une à l’autre dès que
nous pouvions: c’était trop bon pour abandonner. Ce grenier devenait notre hôtel
préféré. C’est là qu’un jour de folie nous avons fait venir Christian. Il avait 18
ans. Il sait ce que nous attendons de lui. Sans trop de tralala il est vite nu. Nous
nous précipitons pour prendre sa queue, la première grosse que nous voyons. Il bande
bien. Normalement les hommes nous caressent avant de faire une pénétration. Là c’est
nous qui le caressons partout: le cou, les seins, les fesses, la queue en y faisant
bien attention, les couilles, l’anus. Il a droit à tout. Autant Lydie que moi sommes
mouillées: il nous tarde qu’il nous dépucèle. Le même amant avec ses deux futures
amantes, doit bien plaire à Christian. Sa bite grossit sans cesse. J’ai envie de la
gouter; je ne demande rien à personne, je descend son prépuce, prends son gland dans
la bouche, ma langue y tourne autour. J’ai son odeur dans le nez et son gout. Elle me
plait bien: je la donne à Lydie qui s’impatientait. Lui n’a rien à dire: il doit
faire. Il doit en avoir assez d’attendre notre bon vouloir, aussi il couche Lydie sur
le dos, lui fait écarter les jambes. Pour elle maintenant ce n’est pas une fille,
c’est un homme qui pose sa pine sur son puits. Je regarde avec intérêt ce qu’il lui
fait. Je suis surexcitée, je suis obligée de me branler devant le couple. Je trouve
beau un couple qui baise comme eux: elle perd sa fleur sans cri, avec un certain
plaisir c’est évident. Il commence à aller et venir dans son ventre, elle gémit comme
quand je la branle.
- Oui, Oui, n’arrête pas, je vais jouir. Je Jouiiiiiis.
Il sort de son ventre: je vois que sa bite est pleine de sécrétions du con de Lydie.
Je le suce encore en sentant bien le gout du vagin, mélé à celui du sperme.
Je n’attends pas qu’il me demande de me mettre sur le dos, j’y suis déjà. Je sens sa
queue sur moi, il l’enfonce complètement trop vite. Il me fait mal, pas beaucoup au
point d’en crier de douleur. Ce n’est que quand il baise que je sens sa queue qui va
et vient. Je sens un autre plaisir qu’avec Lydie. Je suis comme elle en arc tendu. Je
jouis pour la première fois en étant baisée.
Il n’a pas encore jouit. Je le provoque en lui demande de me la mettre au cul. Il
n’hésite pas: il me tourne sur le ventre, entre sa bite dans mon con, la ressort bien
mouillée. Cette fois il est sur l’anus. Je n’y ai reçu que les doigts de Lydie. Elle
voudrait me caresser les fesses juste avant. Christian fait de moi ce qu’il veut: je
suis sa chose.
J’ai peur quand il entre lentement sa queue dans le cul. Je sens l’anus écartelé par
un gros morceau. Je serre mes dents pour ne pas hurler. Il est maintenant en entier
dans mes fesse: je sens ses poils; Il reste immobile un moment puis commence comme
dans mon vagin; il va et vient. C’est moins rapide, ça devient meilleur. Je sens mon
sphincter avoir des spasmes quand je jouis autrement plus fort que tout à l’heure. Je
jouis encore plus quand il décharge son sperme dans le fond de mes boyaux.
Il lui faut un temps fou pour recharger ses batteries. Quand il est à nouveau bien
dressé et bandant il répond à la demande de Lydie: elle aussi veut l’avoir dans le
cul. Elle est en levrette, position que nous adoptons souvent pour nos 69. J’en
profite justement pour me mettre sous elle. Je lui donne ma chatte, pour prendre la
sienne. Je suis aux première loges pour voir l’enculage. Il commence par lui cracher
sur le cul qu’elle ouvre au maximum aidée par mes mains. C’est moi qui prenant la bite
la guide sur l’anus. Je me régale de vois comment une bite entre dans un rectum. Ma
langue aide Lydie à jouir plus vite sans plus. Je vois comment la bite fait au moment
de l’orgasme. Elle gonfle pour expulser le sperme et recommence deux secondes plus
tard.
Nous sommes heureuses d’avoir perdu nos « vertus ». Nous en profitons longtemps avant
de nous marier presque sous la pression de la famille, sinon nous étions bien toutes
les deux à baiser comme des lesbiennes que nous étions devenues.
Lydie s’est marié avec Michel, un garçon que je connaissait pour avoir baisé avec lui
deux ou trois fois, un bon baiseur. Moi c’était avec Alain, bon baiseur aussi en temps
normal.
J’ai invité donc Lydie et Michel pour le weekend. Alain est étonné de les vois
arriver. Ils vont se changer dans leur chambre d’amis. Quand ils ressortent je suis
étonnée: Lydie ressemble plus à une pute sexy qu’à ma cousine: jupe de tennis, tricot
à même ma peau qui ne cache qu’à, peine les pointes de ses seins. Michel est plus
convenable, disons qu’on voit bien ses bijoux de famille qui ne demandent qu’une
occasion pour sortir. Alain semble avoir retrouvé ses moyens. Le contraire m’aurait
étonné.
Pour poivrer un peu la situation, Lydie m’embrasse sur la bouche; nos langues refont
connaissance. Michel vient me caresser en se mettant derrière moi. Je sens sa bite
entre mes fesses. Je suis prête à me donner à l’un ou l’autre. Je remue mon popotin
pour exciter complètement Michel. Je le sens bien bander. Je me tourne pour sortir sa
queue. Il y a longtemps que je ne l’ai pas vue, elle est toujours aussi délectable il
me semble. Je ne peux me retenir ,je le prend un instant en bouche. J’y sens la
cyprine: les salauds, ils ont tiré un coup avant d’arriver. Je le lâche quand je sens
sur mon ventre une main venir s’infiltrer vers la chatte.
Enfin depuis le temps Lydie veut me branler. Elle fait tomber mon string. Son doigt
vient en terrain bien connu. Elle sait me faire jouir. Pour compléter la caresse elle
entre deux doigts dans le puits qu’elle connait aussi bien que je connais le sien.
Enfin un geste d’Alain, il passe une main sous la jupe de Lydie. Je ne sais pas où il
veut aller. Lydie me sourit quand il lui met la main sur la chatte. Elle écarte bien
les cuisses, elle se trémousse quand les doigts la pénètre. Pour elle ce n’est pas
suffisant: elle se dirige vers le divan, s’y assoit en montrant toute sa chatte, y
compris le petit trou. Mon mari enfin la suit, il la précède même quand elle s’assoit.
Elle est sur sa bite. Il la lui met dans le premier trou venu. Heureusement pour lui
c’est le cul. Elle se laisse aller en me faisant un clin d’œil. Mon mari la lime un
bon moment avant de jouir. Je crois que c’est son premier vrai orgasme depuis
longtemps. J’espère qu’il est débloqué.
Ils me donnent envie d’être baisée moi aussi. J’ai une bonne bite à ma disposition.
Michel est très résistant. Il me le montre en me prenant debout devant les autres,
d‘abord par devant deux fois et ensuite par derrière une fois. Il bande encore, je
dois le branler pour le faire jour longuement..
Les hommes se remettent doucement pendant qu’avec Lydie nous nous livrons à notre
passe temps favori. C’est sacrément bon de baiser toutes les deux; Nous nous branlons,
nous suçons nous caressons partout avant de recommencer. Qu and les hommes sont à
nouveau en forme nous tirons presque à pile ou face laquelle va se faire mettre en
double. Ca tombe sur moi. C’est Lydie qui mènera le jeu. Je demande à Michel de me
baiser dans le con. Il vient, guidé par sa femme, il entre dans mon ventre par le bon
trou. Il me donne du plaisir, beaucoup de plaisir , à me faire encore jouir. J’ai donc
Michel devant quand mon mari peux venir me la mettre là où il y a de la place;: chez
les filles c’est vite trouvé. Je sens enfin sa bite venir doucement dans l’anus. Je
savoure cet instant; il y a si longtemps qu’il ne me la pas mise au cul. Je cherche à
ne sentir que sa bite pendant qu’il m’encule. Finalement je ne peux retenir que les
deux bites me font du bien, surtout quand les glands se croisent.
Je suis partie dans une série d’orgasmes comme je les aime: presque sans arrêt des
spasmes dans mes sphincters. Lydie m’embrasse en se branlant. Le plus fort spasme est
quand les deux jouissent ensemble dans mon vagin et mes boyaux. J’ai envie la
prochaine fois de me faire mettre dans le même trou pour voir, simplement par
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