C'est mieux entre rebeux

- Par l'auteur HDS Nico T -
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : C'est mieux entre rebeux Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-10-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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C'est mieux entre rebeux
Aladin est un jeune rebeu d'une vingtaine d'années qui habite dans une grande cité du 9-3. Beau gosse, genre crevette, sous son apparence fluette, son corps mince, svelte est musclé, son petit cul serré dans son survêt collant donne des envies de viol et quand on voit la bosse de son sexe dessinée, on tombe en arrêt et on a envie de se la prendre sans l'avoir vue.

Mais ce que ses potes de la téci ne savent pas, c'est qu'Aladin bien qu'il ne rechigne pas à donner quelques coups de bites dans les petits culs accueillants qui le désirent, ce qu'il préfère en fait, c'est sucer une belle queue de céfran. Une queue non circoncise qu'il peut bouffer à son aise en jouant avec le prépuce, la faire jouir dans sa bouche et avaler tout le bon jus céfran, voir même se la prendre dans son petit cul qui n'est pas serré du tout.

Aladin aime se goder tous les soirs, chez lui dans sa piaule, lorsqu'il se branle pour évacuer le trop plein de la journée. Mais ce n'est pas facile de sucer et de se faire niquer par des céfrans dans la cité où il crèche. Il ne faudrait pas que ses potes s'en rendent compte sinon il servirait de paillasson à tous et son cul deviendrait une entrée de métro. Alors il faut être discret.
Ce qu'il a été jusqu'à ce soir là.

Cela faisait plusieurs soirs qu'il n'avait rien touché, rien mis en bouche ou dans son petit cul, alors en dépit de sa discrétion habituelle, il va trainer dans la téci , vers l'endroit où les céfrans viennent se prendre les zobs de rebeu ou de blacks de la cité. Il y a participé à de vraies tournantes et les petits mecs sont repartis en marchant comme des cow-boys. Mais là, ce soir là… c'est lui qui en veut.

Cet endroit est un tunnel qui relie différents immeubles, avec plein de ramifications où l'on peut se planquer pour niquer. Il en bande d'avance et son petit cul réclame.

Lorsqu'il arrive près du tunnel… personne aux alentours. Il s'engouffre doucement, sans faire de bruit avec ses TN, écoutant les sons. C'est un lourd silence. Il avance tranquillement, les mains dans son sweat à capuche. Il connait les recoins et fonce. Il est très tard et, personne ne se trouve aux endroits habituels même pas un black ou un rebeu.

Il bifurque dans le tunnel et entend toussoter dans un recoin. Sans aucune peur, il est chez lui Aladin, il s'approche. Il faut dire que la lumière dans le tunnel est très tamisée par l'absence d'une ampoule sur deux et, celles qui restent éclairent faiblement. Il aperçoit une silhouette dans la pénombre, dans le recoin ça sent un peu la pisse mais il s'en fout. Il s'approche pour distinguer un jeune mec qui a tout du jeune céfran. Son sourire éclaire son visage, le prédateur est en route. Il arrive près du mec qui n'a pas bougé et essaie de distinguer son visage sous la capuche.

Le mec est appuyé contre le mur, une jambe repliée son genou en avant. Aladin vient et pose sa queue sur le genou.
-ça va mec ?
-ouais et toi?
-ouais tu cherches quoi ici ? t'es pas du coin.
-une bonne queue de rebeu à câliner dit le jeune mec en avançant sa main pour la poser direct sur le zob d'Aladin qui bande déjà.
Le mec tâte la queue, la parcourant avec sa main, la serrant, la caressant.

Aladin approche son corps et sa main vient se poser sur la queue du mec.
-j'ai envie de ta queue mec dit Aladin en approchant son visage de celui du mec.

Le mec, étonné, relève la tête. Ils sont yeux dans yeux et Aladin voit un jeune céfran, les cheveux clairs, mi longs, un beau visage aux lèvres appétissantes. Il approche sa tête et leurs lèvres se rencontrent.

Immédiatement les bras du céfran l'entourent pendant que les langues se caressent, jouent ensemble. Aladin cherche à passer sa main dans le survêt du céfran qui se laisse faire et quand la main d'Aladin rencontre la belle queue chaude et bien raide, la saisissant à pleine main, la serre, la caresse. Le céfran gémit comme une salope en enfonçant sa langue dans la bouche d'Aladin.

Aladin baisse le survêt, le boxer et, directement se met à genoux devant le céfran regardant dans la pénombre cette belle queue qu'il va déguster. Il la caresse, la déguste, joue avec le prépuce qui découvre un beau gland qui luit dans la pénombre qu'il porte immédiatement à ses lèvres.

Les mains du céfran se sont posées sur sa tête au moment où Aladin entoure le gland décalotté avec ses belles lèvres humides, léchant ce gland plein de mouille qu'il adore. Il tient bien la hampe d'une main et caresse les belles couilles pendantes. Le mec ne fait pas le discret, il gémit de plus en plus fort et Aladin avale sa queue l'enserrant dans ses lèvres, sentant cette bonne queue d'un beau céfran coulisser sur sa langue, elle est grosse, longue et a un goût sucré.

Il la pipe de plus en plus vite. Sa main caresse les cuisses, remonte sur le pubis, passe ses doigts dans les poils, remonte sur le ventre dur et ferme dessinant bien les abdos qu'il ne voit pas. Sa main remonte jusqu'aux tétons. Il en prend un entre ses doigts, le serre, le caresse, le pince en avalant au plus profond la queue du mec.

Le gland bouscule sa luette, rempli son fond de gorge. Il sent les larmes couler sur ses joues mais il force encore et ses lèvres sont noyées dans les poils de son céfran. Il continue sa pipe, en triturant le téton, il la sent durcir, s'allonger. Les mains du céfran appuient sur sa tête. La mouille sort en abondance. Il se bloque, serre bien ses lèvres autour de la hampe et le premier jet est expédié directement sur sa luette.

Du bon jus céfran comme il aime coule dans sa gorge en abondance. Pour ne pas s'étouffer il recule et le bon jus continue de couler dans sa bouche. Il a juste à déglutir pour tout avaler. Il lèche avec application cette bonne queue.
Le céfran n'a pas arrêté de gémir.

Juste au moment où Aladin se relève pour prendre le céfran dans ses bras ils entendent des pas arriver et le bruit d'un mec qui se racle la gorge.
C'est le céfran le plus rapide, il remonte son survêt et se casse en courant dans les couloirs, laissant Aladin comme un con dans le noir.

Les pas se rapprochent. Ils sont tout près. Aladin se retourne et voit un mec à deux pas. Comme lui, capuche sur la tête qui vient vers lui… et au fur et à mesure qu'il arrive, il se sent défaillir. Il reconnait sans peine Kad, le boss de la cité.


Kad est rebeu bien sûr, une trentaine d'années, il règne en maitre sur la téci. C'est un beau mec, visage couvert par une barbe taillée qui parait dure, des yeux qui ne sourient jamais. Il ne l'a jamais vu à poils mais il sait qu'il s'entraine tous les jours à la salle et qu'il a un corps parfait.

Toujours les mains dans son sweat, Kad vient presque se coller à Aladin, penche son visage vers lui, ses yeux qu'il sait noirs, le fixent.
-tu fais quoi ici Aladin ? dit Kad d'une voix rocailleuse.
-je rentrais à la maison dit Aladin en regardant Kad.
-putain mec! mais tu pues le sperme, c'est toi qui suçait la pute dans le coin ?

Aladin sent son sang se retirer de lui, de partout. Il ne sait plus quoi dire, il baisse la tête devant le caïd.
Une main vient lui relever la tête, le tenant par le menton.
-alors Aladin est un pédé, le tounsi suce les céfrans… et tu te te fais ken aussi ?
Aladin ne répond pas, baisse les yeux. Il ne va pas tout raconter au boss quand même.
-répond ma belle salope dit Kad en serrant son menton.
-je préfère les ken dit Aladin.
-et toi ? j'ai demandé! tu donnes ton petit cul de salope aux céfrans ?
-ça m'arrive dit Aladin.
Il sentait la chaleur l'envahir, son cul ne mouillait plus et son beau zob semblait vouloir rentrer dans sa coquille..
-à ton âge, tu sais pas encore que c'est mieux entre rebeu ? dit Kad.

Aladin ne répond pas. Sûr pense t-il mais moi j'aime mieux les bites des céfrans.
-et moi j'ai toujours eu envie de ton petit cul tounsi! alors tu vas faire plaise au boss. Tu vas me sucer comme un chef et après je te ken bien profond! tu vas voir qu'un zob de rebeu s'est bien meilleur.
Aladin sait qu'il ne peut refuser, alors il va pour se mettre à genoux devant le boss.
-oh mais t'es ouf! pas ici ma pute, suis moi on va se faire plaise chez moi.

Il n'y avait rien à ajouter. Aladin marchait à côté du boss, pas derrière a dit Kad, sinon on va vraiment croire que t'es ma pute et après tu vas déguster avec les autres et je ne pourrais rien pour toi.
Alors Aladin a veillé à se trouver toujours à la même hauteur que le boss car ils ont rencontré deux ou trois mecs, blacks et rebeu qui partaient en direction du tunnel. Ils ont tous salué le boss avec respect, tapé dans la main d'Aladin, le respectant car il était avec le boss alors que d'habitude on le charriait car il ne voulait pas faire de conneries avec eux.

Sans beaucoup de discours, ils sont arrivés dans l'appart du boss.
-tu veux une bière ? demande Kad.
-si tu veux boss.
Kad décapsule deux bières. Ils s'assoient dans le canapé, l'un à côté de l'autre, sirotant en silence leur bière.

La main du boss vient se poser sur la cuisse d'Aladin.
-alors comme ça t'aime sucer les queues mecs ?
-ben oui dit Aladin.
Le boss prend la main d'Aladin et vient la poser sur son sexe. Ses doigts directement sur un gros mandrin bien raide coincé dans le jean.
-alors tu vas t'occuper de moi ma salope. J'ai pas tiré mon coup depuis deux jours alors y'a du jus là dedans et il est pour toi! met toi entre mes jambes tounsi!

Aladin se met à genoux devant le boss qui écarte bien les jambes. Les mains d'Aladin entrent déjà en action, quand le boss le prend par le menton, l'attirant à lui.
-ah! un truc mec! si jamais dans la téci on sait qu'on a baisé ensemble je t'enverrais visiter le fond du canal… compris mec ?
-j'ai pas envie qu'on le sache dit Aladin, tu sais que j'aime être dans mon coin.
-allez montre moi ce que tu sais faire avec tes mains, ta bouche et ton cul ! y'a du boulot!

Alors Aladin a fait la pute, caressant les cuisses du boss, remontant vers son sgeg enfermé dans le jean. On voyait bien la forme des grosses couilles, mais ce qui impressionnait le plus Aladin c'était la barre, la grosse barre qui remontait dans l'aine du boss. Il la caressé, touché… c'était très dur!

Défaisant le jean, il essaie de l'enlever. Le boss soulève ses fesses et Aladin fait glisser le jean jusqu'à ses chevilles. Il revient pour en faire autant avec le boxer blanc plein de tâches suspectes.
Quand le monstre apparait, appuyé nonchalamment sur sa cuisse, une paire couilles monstrueuses bien poilues. Il caresse le tout avec sa main et penche de suite la tête sur ce beau service trois pièces.

L'odeur de rebeu se fait bien sentir. Il renifle les couilles, passe sa langue dessus, les lèche avec application, en gobe une, elle roule dans sa bouche, sa langue l'enveloppe, il passe à l'autre. Le boss s'est bien installé dans le divan écartant bien les jambes, ses couilles pendent maintenant dans le vide.

Aladin en prend une en bouche et fait entrer l'autre avec la main. Elles sont à l'étroit dans sa bouche et roulent l'une sur l'autre. Aladin les inonde de salive, les lèche, les aspire, arrachant enfin un gémissement au boss. Aladin n'ose pas le regarder. Il lâche les couilles et de la pointe de la langue, remonte sur l'arrière du sgeg. Quel beau morceau de viande! il suit la grosse veine jusqu'au gros gland, un vrai cèpe bien dessiné, il passe la pointe de sa langue sous le renflement et fait le tour du gland, titillant l'endroit du frein. La mouille coule du méat. Il prend la queue en main, pose le gland sur sa langue et lèche le dessous du gland, l'excitant, faisant couler encore plus la mouille. Il voit le boss le regarder sourire aux lèvres et il ferme les yeux.

Aladin aspire toute la mouille, entoure le gland circoncis avec ses lèvres et s'enfonce sur ce gros sgeg. Le morceau glisse sur sa langue touchant rapidement sa luette, les larmes arrivent comme la main du boss qui appuie sur sa tête. Il doit continuer et le gros zob bouscule la luette et passe dans sa gorge, l'étouffant à moitié. La main appuyant encore, maintenant sa tête. Il sent le gland palpiter dans sa bouche, il essaie de jouer avec sa langue, ses lèvres entourent bien le zob mais il ne peut rien faire de plus, sa bouche est vraiment bien remplie et ses lèvres touchent à peine les poils du pubis.

Il sent les mains du boss le prendre au niveau des oreilles et se servir de sa tête comme d'un jouet sexuel. Sa tête, telle un métronome monte et descend, toujours au plus profond sur ce bon gros sgeg imposant. Il joue le boss, varie les vitesses, faisant durer son plaisir et cela dure.
Aladin sent ses mâchoires s'ankyloser. Sa langue ne sait plus quoi faire et, quand enfin, le boss bloque sa tête bien enfoncée sur son sgeg Aladin qui comprend vite, sait que sa récompense arrive mais il ne pensait pas que la source serait si abondante.

Lorsque le boss a gueulé au moment de sa première giclée, elle a tapé le fond de sa gorge, l'inondant, l'asphyxiant complètement, mais la main du boss le maintenait bien fermement. Alors il s'est résolu et a commencé à compter les salves qui arrivaient et ce n'était pas la première la plus abondante. Quand la dixième s'écoulait dans sa gorge il a arrêté de compter. Il n'était plus qu'un pantin tenu par le boss qui râlait semblant heureux de cette situation. Quand la source fut tarie, il a relevé la tête d'Aladin, la salive mêlée au sperme coulait de sa bouche, sa mâchoire semblait bloquée. Il fait quelques mouvements, tout revient comme il faut. Ses yeux pleurent, des filets de bave vont du zob à sa bouche. Le boss caresse sa joue comme pour le complimenter et sa queue est toujours raide!!

Il la regarde et, comme attiré par un aimant il vient la lécher, enlever toute trace et la rendre impec!

Le boss lui tapote la joue, lui tend sa bière.
-tiens bois un coup mec!
Aladin ne se fait pas prier. Il voit la queue bandée se reposer sur la belle cuisse imposante, la regarde avec encore de l'envie. C'est un gourmand Aladin.
-fous toi à poils dit la voix du boss qui le ramène à la réalité.

Aladin ne se fait pas prier plus longtemps et, en rien de temps il se retrouve à loilpé devant son boss, faisant sa pute, tournant sur lui même, lui laissant le temps d'admirer son beau petit corps de crevette musclée, son petit cul ferme à la fente entrouverte et son sgeg bien bandé qui regarde avec attention le boss. Il a un beau zob Aladin, d'une bonne longueur, d'une dureté de la jeunesse, et d'une grosseur et épaisseur qui font qu'elle peut se glisser dans n'importe quelle fente. Il est fier de sa queue et le montre bien, mais le boss semble plus intéressé par son petit cul. Il lui fait signe d'approcher de lui.

Aladin vient se mettre entre ses jambes, debout devant lui, face à lui, son sgeg juste à hauteur de sa tête. Aladin a envie que le boss touche sa queue voire le suce et la main du boss vient caresser sa poitrine, passant sur ses tétons qui pointent d'envie. La main chaude et rugueuse passe sur ses beaux abdos lui donnant des frissons. Il le fait tourner, et sa main reprend sa caresse sur son dos pour venir sur ses fesses. Les deux mains prennent chacune une fesse, les caresse en les écartant, les claque mais gentiment et appuie sur son dos.

Aladin se penche en avant, écarte un peu plus ses jambes. La raie s'ouvre devant les yeux de Kad le boss. L'anus imberbe, comme le reste du corps apparait. Un petit anus plissé, les plis vers l'intérieur et le petit trou est déjà entrouvert. Kad voit les mains d'Aladin venir prendre ses fesses et les écarter un max. Il doit forcer, le trou s'ouvre. Kad se caresse le sgeg qui a repris toutes ses forces. Il va être bien dans ce petit trou. Il va la baiser cette salope de tounsi…

Ah il aime se faire baiser, mais avant, il a envie de lui bouffer le cul, de l'entendre gémir. Il passe son menton barbu dans la raie, frottant contre l'anus et en se penchant sort sa langue et l'enfonce dans le petit trou, surprenant Aladin qui pousse son cul sur la langue. Il lèche, inonde ce bon petit trou de sa salive chaude et ses lèvres entrent en action, il mordille même ce qu'il peut, arrachant de petits cris à Aladin qui s'offre. Il est bon ce petit cul, il le doigte, un doigt est vite avalé et le sphincter l'accapare rapidement en se resserrant dessus. Deux doigts c'est pareil, vraiment un petit trou accueillant. Il s'amuse avec. Trois doigts entrent facilement. Il voit les couilles d'Aladin qui pendent. Il a envie de ses couilles, de sa belle queue… mais chaque chose en son temps… baiser Aladin, lui faire sentir la puissance du boss, de son sgeg!

Deux doigts toujours enfoncés dans le petit cul, Kad se relève et fait mettre Aladin à genoux sur le divan. Il le doigte fermement. Le petit trou reste ouvert. Un beau "O" majuscule le regarde. Il prend son sgeg en main, son gros sgeg qui coule de mouille, il vient frotter l'anus avec. Aladin gémit déjà. Il se cale bien devant l'ouverture, ses mains glissent sur les fesses, saisissent Aladin juste en haut de ses petites fesses et d'un coup de reins, un seul, lent, s'enfonce dans le petit cul d'Aladin offert.

Aladin se met à gémir, râler de sentir son sphincter s'ouvrir encore plus à la poussée lente de ce bon zob qu'il vient de gouter. Il s'enfonce inexorablement, le gland force et quand il entre et que le sphincter se referme sur la queue, elle s'arrête, laissant Aladin gémir, serrant fermement le dossier du divan. Ah il la sent passer cette belle queue et tout n'est pas arrivé au fond!

La queue continue son chemin, le gland l'ouvre bien, Aladin se sent écartelé mais il n'a même pas mal. Cette bonne queue de rebeu, de boss lui fait du bien et quand la toison du pubis lui caresse les fesses, que les mains descendent sur son corps les frissons reprennent. La queue bouge en lui, les mains s'affermissent. La queue se retire un peu et revient d'un coup sec, arrachant un cri à Aladin et le métronome se met en marche, changeant de vitesse. La queue, le gros zob du boss coulisse dans le beau petit cul comme une épée dans son étui. A croire que ce petit cul est juste à sa taille, juste pour lui et le boss doit se sentir bien. De voir sa queue faire des allers retours dans le cul bien ouvert, la paroi le réchauffe, ça surchauffe… il accélère… ça claque sur les fesses. Aladin râle sans discontinuer mais tend toujours son cul à son boss!

Et le boss en profite comme Aladin apprécie cette baise. Pas comme celle des rebeu qu'il a déjà vu baiser des petits culs céfrans dans le couloir n'ayant aucune considération pour les culs. Là, le boss prend soin de lui, lui fait apprécier la longueur, la grosseur, la chaleur de son sgeg! ses mains le serrent ou le caressent selon les moments, quand le boss s'arrête au fond de lui Aladin attend le tsunami mais le boss le fait se retourner, sans sortir son sgeg.

Après un exercice de gymnastique, Aladin se retrouve sur le dos, sur le divan, la queue toujours en lui, les jambes bien écartées collées sur son torse et son beau boss Kad est au dessus de lui, ses yeux le fixent. Ses yeux semblent moins durs, son regard se fait tendre. Il a le temps de le détailler, ce beau visage barbu, de belles lèvres qu'il a envie de mordre et, comme si ses désirs devenaient des réalités…

Pendant que la queue du boss reprend ses vas et viens dans son petit cul en surchauffe, la tête de Kad se rapproche de la sienne. Aladin fait son regard de soumis, clignant de ses longs cils, entrouvrant ses lèvres, laissant apparaitre la pointe de sa belle langue. Il voit les yeux du boss la regarder, le regarder. Son regard s'est adouci. Il voit ses lèvres s'ouvrir, la tête se rapprocher encore et la queue qui le fouille encore et encore, lui semblant encore plus grosse et plus longue.

Quand les lèvres du boss se posent sur les siennes, Aladin se sent défaillir de bonheur, être maîtrisé ainsi par un beau mec le rend tout chose. Ses mains passent derrière la tête du boss le collant contre lui, la langue du boss entre dans sa bouche, se mélangeant tout de suite à la sienne, s'enroulant, l'inondant de sa salive qu'il avale en aspirant la bonne langue de son boss et la queue continue son chemin. Les coups de reins se font de plus en plus fermes, durs, secs. Le boss s'est redressé et regarde dans les yeux Aladin, le dominer! c'est lui le boss!

Quand le tsunami se répand dans le conduit d'Aladin il pousse des "Ohhh" à n'en plus finir, serre au maximum son sphincter sur la queue du boss qui n'arrête pas de se vider en lui.
Le boss retombe sur lui, ses lèvres cherchent les siennes, Aladin s'offre et le boss lui mange la bouche. Il sent son cœur battre en cadence avec celui du boss. Sa main le caresse. Il sent la queue sortir doucement de son cul, le laissant se refermer sur le gland, l'expulsant de son cul, le sphincter se referme lentement gardant tout le bon jus rebeu.

La tête du boss descend sur son corps, lui embrassant le torse, le léchant.
Son zob est dur comme du roc. Il sent la main du boss s'en emparé. Il va jouir de suite pense Aladin, il faut me retenir et, quand les lèvres du boss enveloppent son gland agaçant toutes les terminaisons nerveuses Aladin ne peut s'empêcher de gueuler, saisissant dans sa main les cheveux du boss qui fait des vas et viens sur sa queue. Oh les vas et viens n'ont pas duré aussi longtemps qu'Aladin aurait voulu. Quand le boss a serré ses couilles dans sa main à les écraser, aspirant sa queue il a joui, lâchant tout son bon jus dans la bouche du boss. Il a dégluti et tout avalé léchant bien le beau sgeg d'Aladin.

Il est revenu se coucher sur Aladin pour l'embrasser tendrement.

Il se redresse, le regarde, passe sa main sur son front.
-maintenant tu es à moi! tu es ma salope en titre mais on ne sera que deux à le savoir. Je veux te baiser le plus souvent possible et te goûter encore et encore.
-c'est vrai ? demande Aladin sentant ses yeux se remplir de larmes.
-oui, plus de céfrans à aller sucer ou se faire baiser. Tu es à moi comme moi je suis à toi, je suis ton boss! et on a encore plein de choses à découvrir tous les deux. Tu veux bien être ma petite salope adorée ?
-oui dit Aladin tout sourire… tu avais raison c'est mieux entre rebeu!

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