Cadeau de naissance 4

- Par l'auteur HDS Honey62 -
Récit érotique écrit par Honey62 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Cadeau de naissance 4 Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-02-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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Cadeau de naissance 4
Me voilà de retour pour vous raconter la suite de mes aventures avec Caro la cousine de ma femme.

Pour rappel, j’ai couché avec Caro le temps que ma femme était à la maternité. Je sais, cela n’a rien d’honorable, je culpabilise parfois, mais les tensions sexuelles sont parfois si intenses qu’il est difficile d’y renoncer.

Depuis sa sortie, j’ai été sage, je me suis occupé de ma femme, de mon bébé et je suis un père de famille très heureux. Avec Caro je n’ai plus eu de relation si ce n’est des échanges par sms qui parfois étaient torrides. Jusqu’au soir où elle est venue offrir le doudou géant et voir mon fils à la maison…


Un samedi, ma femme a invité sa cousine à venir voir notre enfant dans les environs de 16h.

Caro arrive, je lui ouvre la porte, elle tient dans sa main le doudou géant que je feins ne jamais l’avoir vu. On se fait la bise, elle profite pour poser un baiser à l’extrémité de mes lèvres… puis rentre voir le bébé. Elle est habillée d’un legging en vinyle noir, moulant parfaitement ses fesses, d’un pull en laine assez court, laissant entrevoir ses fines hanches et porte des sneakers à talon. Très fashion la fille !

Je ne peux m’empêcher de la taquiner :
- Dis-moi, tu t’es prise pour une jeunette de vingt ans ? cette tenue n’est plus de ton age, il faut vivre avec son temps...
- Comment ça, ma tenue ne te plait pas ? me répond-elle en tournant sur elle-même. Je ne travaille pas aujourd’hui j’avais envie d’être plus relax, et, mon pantalon est super pratique, je peux facilement le retirer en cas d’envie pressante, enchérit-elle avec un sourire en coin.
- Laisse ma cousine tranquille dit ma femme, en tout cas, je te jalouse, j’ai hâte de retrouver un corps aussi svelte que le tien !

Nous nous approchons du bébé, j’ai l’impression que Caro se penche plus que de raison, je ne peux m’empêcher de poser mes yeux sur ce cul parfait.

Je me ressaisis, je sers le café, sors les mignardises et passons un très bon moment.

Le temps passe vite, il arrive l’heure de diner et Caro ne part pas, ma femme me propose alors d’aller chercher des pizzas.

Caro nous dit :
- Ok mais alors c’est moi qui régale, les pizzas sont pour moi, elle saisit sont sac et me dit aller viens je t’emmène. Je fais un bisou à ma chérie et nous partons.

Assis coté passager, je ne peux m’empêcher de regarder ses longues jambes habillées de vinyle, je ne sais pas vous, mais je trouve cela très sexy. Je pose ma main sur sa jambe :
- tu es vraiment attirante aujourd’hui…
- Pas touche pervers, elle me repousse la main, on ne touche pas une jeune midinette, ce n’est plus de ton age…
- Mince, j’avais cru que tu t’etais habillée comme ça pour m’allumer une fois de plus…
- Cesse donc de fabuler vieux cochon.

Je repose ma main sur sa jambe, et lui demande :
- Qu’entendais tu tout à l’heure lorsque tu disais que ton pantalon était très pratique en cas d’envie pressante ?
- A ton avis bello ?

Je l’invite à tourner dans une rue sombre menant à une entre de bois.

- Ce n’est pas la route de la pizzeria ça… non mais j’ai très envie de voir comment tu retires ton pantalon en cas d’envie pressante…
Caro fait encore quelques mètres et se gare sur le bas coté. Nos bouches se collent, sa langue envahit ma bouche, notre baiser est passionné.

- J’ai très envie de toi la mainetnant…- Hummm oui moi aussi dit elle.
- Sors !
Nous sortons, on se retrouve devant le capot de la voiture et nous reprenons nos baisers.
Puis elle s’agenouille, défait ma braguette et entame une fellation dont elle a le secret.
- Putain que c’est bon, j’en avait trop envie.
- Je parie, que ta queue n’a pas servi depuis notre dernière partie de baise ?
- Tu as raison cochone, mais tais toi, prends moi en bouche !!!

Elle s’active, et je crois que je ne vais plus tarder. Alors je la relève, la plaque en avant sur le capot, je m’agenouille derrière elle et lui descend son pantalon avec force, J’en fais de même avec son string. Humm quel cul, je le saisis, lui masse les fesses, les écarte et plonge ma langue directement sur son petit œillet.

- Humm ton cul est délicieux, je le veux…- Pas ici, pas maintenant, mais prends-la-moi de suite, prends moi la chatte !

Il n’en faut pas plus pour apaiser ma déception. Ni une ni deux, je me relève et enfonce ma queue tout au fond d’elle. Elle est trempée, chaude, c’est divin, je la saisis par les cheveux et la baise sauvagement, je me défoule, je lui donne sans vraiment penser à son plaisir je l’avoue.

Je suis violent, le claque les fesses, mes coups sont violents, rapides, elle crie, je luis mets une main sur la bouche… Je lui glisse à l’oreille qu’elle est la femme avec qui je prends le plus de plaisir, que c’est une vraie cochonne je sens que mes mots font mouche. Je suis alors plus doux, je suis à l’écoute de son corps, je la vois onduler et la laisse faire, je continue à lui dire que je veux encore la baiser que je n’avais envie que de ça depuis des jours, qu’elle est ma chienne. Je continue de lui dire des mots doux et obscènes à l’oreille. Elle jouit, elle se laisse aller et je suis aux anges. Je veux encore la baiser mais elle veut s’arreter :
- Stop j’en peux plus, ne jouis pas dans ma chatte, viens dans bouche.

Elle s’agenouille de nouveau et je jouis presqu’immédiatement.

Nous nous rhabillons, prenons les pizzas et rentrons.

Nous prétextons qu’il y avait du monde et que ça a pris plus te temps que prévu. J’ai honte de mentir à ma femme mais je ne peux faire autrement.

Je sors du bon vin, nous passons une bonne soirée, ma femme couche le petit, je ressors une autre bouteille de vin et continuons la soirée. Je remarque que les deux bouteilles sont presque vides et que ma femme n’a rien bu étant donné qu’elle allaite encore.

- J’en connais une qui va avoir du mal à repartir… dis-je- Oula oui, espérons qu’il n’y aura pas la police sur la route.
- Tu ne vas pas repartir dans cet état, reste dormir cette nuit dit ma femme.

Nous lui préparons la chambre d’amis et partons nous coucher…
Ma femme dort, le bébé aussi, et moi je ne trouve pas sommeil, je suis rongé par la culpabilité et par le désir.

Ma gorge est sèche, je descends chercher de l’eau dans la cuisine.

Alors que je me sers un verre d’eau, je vois Caro apparaitre, en débardeur pour lui cacher ses seins et en string. Il ne m’en faut pas d’avantage pour fondre.

Elle s’approche, je repose mon verre et nous nous embrassons. Le risque de se faire surprendre me fait bander plus vite que d’habitude. Je la veux encore une fois…
- Prends-moi, prends-moi encore une fois, j’aime trop ta queue…- C’est un peu risqué tu ne crois pas ?

Elle me caresse la queue à travers mon boxer :
- En tout cas, le risque t’excite j’ai l’impression….

Je la soulève, la pose et l’alonge sur le plan de travail, exactement au même endroit que la dernière fois. Je déplace son string sur le coté et commence à la lécher.

Caro gémit, je lui dis de faire moins de bruit… elle mord alors son poin.

J’en profite pour humidifier mes doigts et je les glisse dans son petit trou. D’abord un puis deux…
Elle me demande d’arrêter mais je profite qu’elle ne puisse pas faire de bruit pour continuer. Elle se crispe encore quelques secondes et finit par se laisser aller.

La je sais que j’ai gagné. Je me relève, baisse mon boxer, m’approche de sa chate et la pénètre.

Je lui glisse à l’oreille : - Tout à l’heure on ne pouvait pas mais cette nuit ton cul est à moi…
Elle a glissé ses doigts sur son clito : - viens, prends-le tout de suite alors...

Je sors de sa chatte, crache sur mon gland, et je m’insère en elle. C’est serré, elle gémit elle a mal, je m’enfonce à fond et reste immobile, je lui caresse les seins. Elle continue de se masturber et je la vois commencer à se déhancher, d’abord timidement puis de plus en plus vite.

Ses crispations sur son visage laissent place à la jouissance, elle aime ça, moi aussi… nous devons faire vite, elle le sait, elle s’active sur son clito et jouit quelques minutes plus tard. Je profite de sa jouissance pour accélérer la cadence et je jouis en elle…
Je l’aide à se redresser, elle m’embrasse, me souhaite bonne nuit et part dans sa chambre.

Elle se retourne pour voir si je mate son cul, je suis comme un enfant pris en flagrant délit.

Je me nettoie dans la cuisine, termine mon verre et file me coucher.

Le lendemain, tout le monde se réveille en même temps, nous prenons le petit déjeuner ensemble et Caro finit par partir.

Je finis cet épisode ici. Il y a eu d’autres aventure que je vous raconterai prochainement.

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