Call girl 3
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-03-2014 dans la catégorie Plus on est
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Call girl 3
J’ai eu une excellente idée de quitter Mende pour Montpellier : mon affaire de call girl marche du feu de Dieu. J’ai fidélisé quelques clients triés sur le volet, j’en ai de nouveau. Mes journées sont bien remplies, mais fatigantes : pensez trois amants par jour, des fois quatre. Je ne m’en plains pas du tout, je fais du pèze, mon seul objectif. Certains gagne peu en étant vendeuse, d’autres secrétaires, moi je fais travaille mes fesses. Je gagne plus que les autres. Mon rêve : trouver un beau mec qui vivent de ses rentes pour me promener sur la Costa Brava, les Antilles, le Brésil….J’ai pu louer un bel appartement donnant sur la Place de la Comédie. Le numéro du portable commence à circuler. Il m’est arrivé de me tromper dans mes RDV. Je fini toujours par arranger les donnes.
J’étais couchée avec, je crois Frank. Nous nous amusions à nous rendre les caresses. Il me touchait le dos, je le lui rendais, il me tripotait la rosace, je lui prenais la queue. Nous en étions à nous sucer. J’adore me faire lécher entre jambes. Quand une langue est sur mon pistil, je gémis pour jouir trop vite à mon gré. J’en étais justement là quand la sonnette interrompt mon début d’orgasme. Vous je ne sais pas, moi, ça m’énerve au possible, juste au moment de ce grand départ vers la petite mort. Mon amant me demandait de ne pas réponde, j’aurais mieux fait de l’écouter : lui aussi allait jouir en plus dans ma bouche, l’extase pour moi. Tant pis, je reste nue pour ouvrir.
Un homme est là, un type que je ne connais pas du tout. Même pas un client, un rien du tout. Comme une idiote j’ouvre la porte pour le faire entrer. Il me suit dans la chambre où mon amant du moment attend, même s’il a un peu débandé, il montre quand même sa virilité grandissante. Le nouveau venu voit l’autre couché. Il me semble qu’il se réveille en voyant une queue, une grosse queue. Il va directement vers le lit, s’assoit, prend la bite de mon amant de l’instant.
Je proteste un peu, il s’en fiche, il commence à branler mon type. Si en plus il fait mon boulot, je ne suis pas d’accord du tout. J’allais protester quand celui qui m’a payer pour tirer un coup me fait signe de me calmer. Il pense que ça fait parti de mes prestations. Après tout c’est lui le payeur.
Spectacle bizarre pour moi ; un homme qui en branle un autre. Il le fait, il me semble mieux que moi. Et l’autre qui se laisse masturber devant moi en plus. Il tient la queue dans les règles de l’art, à pleine main. Il monte et descend régulièrement. On sent qu’il sait ce qu’il fait que ce n’est pas sa première bite. Il fait durer le plaisir longtemps, plus que moi en tout cas. Je prends même une certaine leçon.
Je repense à la première bite mendoise que j’ai eue dans ma main. J’étais gênée, inexpérimentée. Mes va-et-vient étaient irréguliers, je le faisais pour faire plaisir à mon premier homme qui sentait un peu la vinasse. Il avait sorti sa queue de son pantalon en velours côtelé, devant moi, il me l’avait donné à traire, il n’y a pas d’autres mots. Ses copains de la foire attendaient tranquillement que l’ai fini. A un moment j’ai dérapé sur la queue. Je ratais son gland complètement : il râlait en murmurant que j’étais une incapable. Je le reprennant normalement : en deux coup il a giclé sur son pantalon. Il protestait à cause de son sperme égaré sur son beau froc !
L’autre continuait la masturbation. C’est qu’à force ça m’excitait. Nue, il m’était facile de me caresser.
J’étais assise sur le lit, près de mon amant, je frottai lentement mon clitoris. Je sentais les odeurs particulières de la bite branlée et de mon con excité. J’aurais voulu prendre mon amant de rechange, un beau gode acheté la veille, servi deux fois seulement.
Mon client se laissait allait complètement vers l’orgasme. Je ne servais plus à rien. Les femmes passent au second rang. Moi, je tiens à rester en tête. Il y a une autre bite, je vais m’en servir. Je m’oublie un moment, j’arrive difficilement à sortir la queue du visiteur, en pensant « toi mon vieux tu va y avoir droit ». Personne n’a jamais résisté à ma main redoutable sur un sexe, même pas une fille, puisque je suis une call girl disons mixte.
Donc il branle mon client je le branle aussi, il n’y a pas de raison. Il tente bien de me repousser. Mais dès que je lui touche le gland, il me laisse faire. Je ne lui descends la peau qu’avec deux doigts légers. Légers, mais redoutable. Le prépuce ne fait pas de résistance. Il va jusqu’en bas, au niveau des couilles pas encore remontées. Il monte avec mes doigts. Je recommence deux ou trois fois : la queue est bien raide. Son odeur d’urine m’attire de plus en plus. Je ne résiste pas à ‘appel du mâle. Je suis totalement penchée sur lui, je prends sa queue dans la bouche. Je peux la tenir à la base avec une main. Je la serre un peu avant de l’avaler en partie. Son gland est doux entre mes lèvres. Ma bouche va et vient sur la bite. Je la sens vivre sous ma langue. Je sais qu’il ne va pas tarder à me donner sa semence. Je vais m’en régaler.
Il s’est arrêter de branler son copain, il s’intéresse à ce que le lui fait. Il tend sa queue vers moi : je suis obligée de me retirer un peu sinon j’allais vomir. Et enfin il jouit. Il me tardait à cause de ma position inconfortable. J’avale son jus totalement : il commence à débander.
Je reviens vers mon client qui lui bande toujours. Même s’il se branle, je le veux. Ma bouche le prend, le lèche, le suce, l’aspire et enfin il décharge bien là où il faut. Il n’a pas le même gout, il est plus salé que l’autre, c’est meilleur. Je le déguste en entier pendant que lui aussi débande. Ah, si j’en avais eu un autre…..
J’étais couchée avec, je crois Frank. Nous nous amusions à nous rendre les caresses. Il me touchait le dos, je le lui rendais, il me tripotait la rosace, je lui prenais la queue. Nous en étions à nous sucer. J’adore me faire lécher entre jambes. Quand une langue est sur mon pistil, je gémis pour jouir trop vite à mon gré. J’en étais justement là quand la sonnette interrompt mon début d’orgasme. Vous je ne sais pas, moi, ça m’énerve au possible, juste au moment de ce grand départ vers la petite mort. Mon amant me demandait de ne pas réponde, j’aurais mieux fait de l’écouter : lui aussi allait jouir en plus dans ma bouche, l’extase pour moi. Tant pis, je reste nue pour ouvrir.
Un homme est là, un type que je ne connais pas du tout. Même pas un client, un rien du tout. Comme une idiote j’ouvre la porte pour le faire entrer. Il me suit dans la chambre où mon amant du moment attend, même s’il a un peu débandé, il montre quand même sa virilité grandissante. Le nouveau venu voit l’autre couché. Il me semble qu’il se réveille en voyant une queue, une grosse queue. Il va directement vers le lit, s’assoit, prend la bite de mon amant de l’instant.
Je proteste un peu, il s’en fiche, il commence à branler mon type. Si en plus il fait mon boulot, je ne suis pas d’accord du tout. J’allais protester quand celui qui m’a payer pour tirer un coup me fait signe de me calmer. Il pense que ça fait parti de mes prestations. Après tout c’est lui le payeur.
Spectacle bizarre pour moi ; un homme qui en branle un autre. Il le fait, il me semble mieux que moi. Et l’autre qui se laisse masturber devant moi en plus. Il tient la queue dans les règles de l’art, à pleine main. Il monte et descend régulièrement. On sent qu’il sait ce qu’il fait que ce n’est pas sa première bite. Il fait durer le plaisir longtemps, plus que moi en tout cas. Je prends même une certaine leçon.
Je repense à la première bite mendoise que j’ai eue dans ma main. J’étais gênée, inexpérimentée. Mes va-et-vient étaient irréguliers, je le faisais pour faire plaisir à mon premier homme qui sentait un peu la vinasse. Il avait sorti sa queue de son pantalon en velours côtelé, devant moi, il me l’avait donné à traire, il n’y a pas d’autres mots. Ses copains de la foire attendaient tranquillement que l’ai fini. A un moment j’ai dérapé sur la queue. Je ratais son gland complètement : il râlait en murmurant que j’étais une incapable. Je le reprennant normalement : en deux coup il a giclé sur son pantalon. Il protestait à cause de son sperme égaré sur son beau froc !
L’autre continuait la masturbation. C’est qu’à force ça m’excitait. Nue, il m’était facile de me caresser.
J’étais assise sur le lit, près de mon amant, je frottai lentement mon clitoris. Je sentais les odeurs particulières de la bite branlée et de mon con excité. J’aurais voulu prendre mon amant de rechange, un beau gode acheté la veille, servi deux fois seulement.
Mon client se laissait allait complètement vers l’orgasme. Je ne servais plus à rien. Les femmes passent au second rang. Moi, je tiens à rester en tête. Il y a une autre bite, je vais m’en servir. Je m’oublie un moment, j’arrive difficilement à sortir la queue du visiteur, en pensant « toi mon vieux tu va y avoir droit ». Personne n’a jamais résisté à ma main redoutable sur un sexe, même pas une fille, puisque je suis une call girl disons mixte.
Donc il branle mon client je le branle aussi, il n’y a pas de raison. Il tente bien de me repousser. Mais dès que je lui touche le gland, il me laisse faire. Je ne lui descends la peau qu’avec deux doigts légers. Légers, mais redoutable. Le prépuce ne fait pas de résistance. Il va jusqu’en bas, au niveau des couilles pas encore remontées. Il monte avec mes doigts. Je recommence deux ou trois fois : la queue est bien raide. Son odeur d’urine m’attire de plus en plus. Je ne résiste pas à ‘appel du mâle. Je suis totalement penchée sur lui, je prends sa queue dans la bouche. Je peux la tenir à la base avec une main. Je la serre un peu avant de l’avaler en partie. Son gland est doux entre mes lèvres. Ma bouche va et vient sur la bite. Je la sens vivre sous ma langue. Je sais qu’il ne va pas tarder à me donner sa semence. Je vais m’en régaler.
Il s’est arrêter de branler son copain, il s’intéresse à ce que le lui fait. Il tend sa queue vers moi : je suis obligée de me retirer un peu sinon j’allais vomir. Et enfin il jouit. Il me tardait à cause de ma position inconfortable. J’avale son jus totalement : il commence à débander.
Je reviens vers mon client qui lui bande toujours. Même s’il se branle, je le veux. Ma bouche le prend, le lèche, le suce, l’aspire et enfin il décharge bien là où il faut. Il n’a pas le même gout, il est plus salé que l’autre, c’est meilleur. Je le déguste en entier pendant que lui aussi débande. Ah, si j’en avais eu un autre…..
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
j'adore le style direct, sans fioritures, même si l'histoire peut être une fantaisie ou une réalité, peu importe. M
L'improviste a parfois ses effets. Pour moi les différences entre les types de bites m'attirent d'une façon indescriptive qui finit toujours à les mettre en bouche, quoique je ne suis nullement gay. Par ailleurs, la présence de ma femme dans ces circonsances définit la dureté de ma bite ! J