Call Girl, suite et fin
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-10-2014 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Call Girl, suite et fin
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Mes premières rencontres se déroulent normalement. J’ai eu raison de quitter Mende. A Montpellier je fais un malheur. J’ai même trop de fidèles. Dans une boite un soir je rencontre Sabrina, un nom d’emprunt pour faire dans le genre je suis une pute, mais vous n’en savait rien. Je m’efforce de la draguer. Elle croit qu’elle va se faire un paquet de pèze. Nous sommes chez moi, à son grand étonnement. Je vais lui faire l’amour, autant que j’en profite. Dès le premier baiser elle se donne totalement. J’en suis satisfaite. Nos langues jouent, mes mains la caressnt. Je joue à la meneuse de jeu, je l’ai fait déjà avec les femmes de certains clients. Elle est réceptive, elle rend bien ce que je fais.
Nous sommes vite nues, trop vite à mon gré. Je la pensais ignorante des meurs lesbiens : elle y répond fort bien. Nous en profitons pour nous caresser lentement, nous embrasser presque partout. Notre 69 dure je ne sais combiens de temps. Nous jouissons longuement. Sa langue est agile sur ma chatte. Je pose ma langue sans rien lui demander sur son petit trou. Une trouvaille pour elle. Je lèche cette sortie, j’en extrais le plus possible d’arome.
Elle en voudrait d’avantage. Je sors mes godes, je lui en donne un. Sans pudeur elle le met dans le vagin pour se baiser seule. Elle réagit comme si elle avait vraiment une bite dans le con. Je me remets sur elle en 69. J’ai le gode dans la main, je la baise moi-même. Je suis excitée en voyant l’engin la pénétrer comme si je ne savais pas que c’est moi qui la baisais. Heureusement qu’elle me prend le clitoris sous sa langue : je ne tenais plus d’excitation. Elle jouit un peu avant moi. Je sens le plaisir monter dans mon corps. Ce doit être pareil pour elle. Après ses soupirs, elle reprend son souffle. Je la garde contre moi, je la caresse à peine, comme je devrais faire pour toutes les femmes en couple, qui viennent avec leur mari, qui me payent pour ce que je viens de réaliser.
C’est là que je sens qu’il faut que j’élargisse mes connaissances, particulièrement vers les femmes seules ou à la recherche de nouveaux plaisirs.
Trois annonces dans un journal et sur internet, plus tard, enfin un coup de fil. J’ai mis la barre très haute. Mes services facturés à 1.500 euros ne sont pas à la portée de n’importe qui, au moins j’évite les despérados de la baise crapuleuse. J’ai changé de lieu : un hôtel dans la banlieue pas très cher, abordable. J’ai mis le propriétaire dans le coup : je l’ai passé une nuit entière avec lui. Je l’ai presque vidé de son sperme : soit dans mon vagin ou mon cul, et surtout dans la bouche.
Martine, elle s’appelait Martine, la première à inaugurer mon service féminin. J’avais dans mon sac tout ce qu’il falais. Martine est une blonde réelle, j’ai pu bien voir sa toison quand nous nous aimions. Pendant que nous préparions elle me racontait tous ses échecs avec les hommes. Je ne l’écoutais pas, je m’en fichais. Par contre je la prenais contre moi, je l’embrassais sur les lèvres, ma langue faisait sa fonction de nettoyage buccal. Mes mains la pelotaient partout, surtout sur les fesses. Je remarquais que presque toutes mes clientes aiment ce genre de caresses très intimes quand même. Cette Martine voulait que je passe un doigt sur son petit trou pour commencer. Moi, je m’en fiche, je ne fais pas ce que je fais par amour, alors un peu plus un peu moins.
Mon doigt donc part vers son petit trou. Elle ne voulait pas que je le lui mette. Mais entre ce qu’elle voulait au départ et à suite…Je caresser son cul quand elle m’a demande de le lui mettre. J’ai attendu, je l’ai mise en 69, ma langue en a profité pour lui gouter le con, excellent par ailleurs. Mes mains autour des cuisses je mettais enfin mon doigt. Je l’enfonçais doucement. Elle me léchait le clitoris comme si elle avait fait ça toute sa vie. Elle jouissait d’un trou, moi de l’autre.
C’est l’avantage de mon job, je jouis souvent en recevant des sous.
Ma double activité était rentable, certes, mais je n’assurais plus seule toute ma mission. Je mettais Sabrina dans le coup. Je montais une PME du sexe. Nous pouvions satisfaire plus de personne des deux sexes, ensemble en couple, même pour les couples lesbiens en quête de nouvelles sensations.
Une de mes nuits préférées était justement avec deux autres filles. Elles voulaient jouer à l’échangisme. Elles avaient au environ de la quarantaine, bien fichues une et l’autre, pas très sages, du genre je baise et j’aime ça….Sabrina aimait se donner ainsi à une femme plus exigeante encore qu’elle. Je les regardais quand elles étaient presque couchées, les jambes très écartées, les sexes qui se touchaient complètement. Elles se baisaient réellement. Je l’avais essayé deux ou trois fois sans arriver à ce même résultat. Elles gémissaient sur le même rythme, elles jouissaient pratiquement ensemble. Avec l’autre femme nous nus masturbions en les regardant s’aimer.
C’est Sabrina le lendemain qui m’apprenait comment faire. Ils nous arrivent des fois de nous aimer ainsi.
Nous gagnons bien notre vie, en plus nous vivons ensemble, pas encore en lesbiennes.
Mes premières rencontres se déroulent normalement. J’ai eu raison de quitter Mende. A Montpellier je fais un malheur. J’ai même trop de fidèles. Dans une boite un soir je rencontre Sabrina, un nom d’emprunt pour faire dans le genre je suis une pute, mais vous n’en savait rien. Je m’efforce de la draguer. Elle croit qu’elle va se faire un paquet de pèze. Nous sommes chez moi, à son grand étonnement. Je vais lui faire l’amour, autant que j’en profite. Dès le premier baiser elle se donne totalement. J’en suis satisfaite. Nos langues jouent, mes mains la caressnt. Je joue à la meneuse de jeu, je l’ai fait déjà avec les femmes de certains clients. Elle est réceptive, elle rend bien ce que je fais.
Nous sommes vite nues, trop vite à mon gré. Je la pensais ignorante des meurs lesbiens : elle y répond fort bien. Nous en profitons pour nous caresser lentement, nous embrasser presque partout. Notre 69 dure je ne sais combiens de temps. Nous jouissons longuement. Sa langue est agile sur ma chatte. Je pose ma langue sans rien lui demander sur son petit trou. Une trouvaille pour elle. Je lèche cette sortie, j’en extrais le plus possible d’arome.
Elle en voudrait d’avantage. Je sors mes godes, je lui en donne un. Sans pudeur elle le met dans le vagin pour se baiser seule. Elle réagit comme si elle avait vraiment une bite dans le con. Je me remets sur elle en 69. J’ai le gode dans la main, je la baise moi-même. Je suis excitée en voyant l’engin la pénétrer comme si je ne savais pas que c’est moi qui la baisais. Heureusement qu’elle me prend le clitoris sous sa langue : je ne tenais plus d’excitation. Elle jouit un peu avant moi. Je sens le plaisir monter dans mon corps. Ce doit être pareil pour elle. Après ses soupirs, elle reprend son souffle. Je la garde contre moi, je la caresse à peine, comme je devrais faire pour toutes les femmes en couple, qui viennent avec leur mari, qui me payent pour ce que je viens de réaliser.
C’est là que je sens qu’il faut que j’élargisse mes connaissances, particulièrement vers les femmes seules ou à la recherche de nouveaux plaisirs.
Trois annonces dans un journal et sur internet, plus tard, enfin un coup de fil. J’ai mis la barre très haute. Mes services facturés à 1.500 euros ne sont pas à la portée de n’importe qui, au moins j’évite les despérados de la baise crapuleuse. J’ai changé de lieu : un hôtel dans la banlieue pas très cher, abordable. J’ai mis le propriétaire dans le coup : je l’ai passé une nuit entière avec lui. Je l’ai presque vidé de son sperme : soit dans mon vagin ou mon cul, et surtout dans la bouche.
Martine, elle s’appelait Martine, la première à inaugurer mon service féminin. J’avais dans mon sac tout ce qu’il falais. Martine est une blonde réelle, j’ai pu bien voir sa toison quand nous nous aimions. Pendant que nous préparions elle me racontait tous ses échecs avec les hommes. Je ne l’écoutais pas, je m’en fichais. Par contre je la prenais contre moi, je l’embrassais sur les lèvres, ma langue faisait sa fonction de nettoyage buccal. Mes mains la pelotaient partout, surtout sur les fesses. Je remarquais que presque toutes mes clientes aiment ce genre de caresses très intimes quand même. Cette Martine voulait que je passe un doigt sur son petit trou pour commencer. Moi, je m’en fiche, je ne fais pas ce que je fais par amour, alors un peu plus un peu moins.
Mon doigt donc part vers son petit trou. Elle ne voulait pas que je le lui mette. Mais entre ce qu’elle voulait au départ et à suite…Je caresser son cul quand elle m’a demande de le lui mettre. J’ai attendu, je l’ai mise en 69, ma langue en a profité pour lui gouter le con, excellent par ailleurs. Mes mains autour des cuisses je mettais enfin mon doigt. Je l’enfonçais doucement. Elle me léchait le clitoris comme si elle avait fait ça toute sa vie. Elle jouissait d’un trou, moi de l’autre.
C’est l’avantage de mon job, je jouis souvent en recevant des sous.
Ma double activité était rentable, certes, mais je n’assurais plus seule toute ma mission. Je mettais Sabrina dans le coup. Je montais une PME du sexe. Nous pouvions satisfaire plus de personne des deux sexes, ensemble en couple, même pour les couples lesbiens en quête de nouvelles sensations.
Une de mes nuits préférées était justement avec deux autres filles. Elles voulaient jouer à l’échangisme. Elles avaient au environ de la quarantaine, bien fichues une et l’autre, pas très sages, du genre je baise et j’aime ça….Sabrina aimait se donner ainsi à une femme plus exigeante encore qu’elle. Je les regardais quand elles étaient presque couchées, les jambes très écartées, les sexes qui se touchaient complètement. Elles se baisaient réellement. Je l’avais essayé deux ou trois fois sans arriver à ce même résultat. Elles gémissaient sur le même rythme, elles jouissaient pratiquement ensemble. Avec l’autre femme nous nus masturbions en les regardant s’aimer.
C’est Sabrina le lendemain qui m’apprenait comment faire. Ils nous arrivent des fois de nous aimer ainsi.
Nous gagnons bien notre vie, en plus nous vivons ensemble, pas encore en lesbiennes.
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