Cap sur le septième ciel (suite et fin)
Récit érotique écrit par Vidi [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-07-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Cap sur le septième ciel (suite et fin)
Il sert le champagne et ils trinquent à eux. Elle prend une fraise et joue avec sa langue autour de la pointe du fruit avant de la gober. Son érection se réveille cette vue et il l’attire à lui. Le gout sucré du fruit se répand dans sa bouche quand il l’embrasse. L’odeur du chocolat le rappelle à la cuisine :
-Ne mange pas toutes les fraises, je reviens.
-Donne-moi autre chose à manger alors.
Son sourire se veut angélique, mais sa brésilienne sait qu’elle aura ce qu’elle veut. Dans la cuisine, il coupe un ananas en morceau et verse le chocolat dans un bol. Quand il revient dans la chambre, il la trouve allongé sur le dos.
-Enlève le drap sur toi.
Il admire ce corps parfaitement dessiné, le creux de sa gorge, sa poitrine, son ventre, ses hanches et des jambes fines et longues. S’approchant, il lui dresse une mosaïque de fruit sur le torse, laissant un peu d’espace entre chaque morceau d’ananas ou chaque fraise. La fraicheur de ces derniers la fait frissonner. Sirotant son champagne, il admire son œuvre. Et lui en verse un peu au nombril. Ses mains agrippent le drap sous l’effet du plaisir qui commence à lui monter à la tête. Le contraste chaud/froid ne la laisse pas insensible et il fait durer le plaisir au maximum.
Il prend une cuillère de chocolat et le laisse réchauffer sa langue. Se mettant au-dessus d’elle, il déguste un à un les morceaux de fruit prenant bien soin de passer sa langue là où la peau s’était refroidie. Lentement, il descend de plus en plus bas, en maintenant fermement ses mains sur le lit. Arrivé à son pubis, il remonte et prend le bol de chocolat. Sa température est parfaite, brulant mais pas trop. Et puis, c’est nettement plus comestible que la cire des bougies…
Ses cuisses se frottent l’une contre l’autre et elle meurt d’envie de le sentir en elle. C’est pourquoi il lui tient les mains, mais elle sait que quand elle lui sautera dessus, l’orgasme sera fulgurant et divinement bon. Quand les gouttes de chocolat brulant tombent sur ses tétons, elle soupire de plaisir. Sa langue vient le nettoyer et s’enroule autour. Il suce et les aspire pour bien les faire dresser, puis laisse quelques gouttes retomber dessus.
-Prends-moi…
-Oh non ! J’ai encore ton ventre…
-Fais vite alors… sinon les draps seront bons pour le pressing.
L’instant est proche, où elle lui sautera dessus et lui demandera de la baiser le plus rapidement possible pour qu’elle jouisse. Il dessine un pointillé droit de chocolat jusqu’à son pubis et ramasse chaque goutte une à une. Lui écartant les jambes, il laisse tomber un filet de chocolat juste sur son clitoris. La pointe de sa langue vient ramasser son dessert préféré puis il aspire son clitoris. Elle feule de plaisir et libérant ses mains, elle attire sa bouche à la sienne et se contorsionne pour positionner l’entrée de son vagin devant son pénis en érection.
Doucement il s’y glisse, ondulant du bassin et accélère son rythme. Les jambes de sa femme lui entourent les hanches et l’empêche de sortir trop loin. Rapidement, elle jouit en portugais. Son plaisir monte vite, ses ongles s’enfoncent dans son dos. L’orgasme est d’une telle intensité qu’elle se tient les cheveux en criant. Ses jambes sont parcourues de spasmes et son mari s’arrête au fond d’elle pour la regarder.
-J’adore te voir jouir, Chérie.
-Hmm, cap sur le septième ciel hein…
-Oui. Viens, on va à la douche.
La portant dans ses bras, il l’emmène jusqu’à la salle de bain. Il ouvre le robinet, prend du gel douche et la nettoie tendrement. La main de sa femme caresse doucement son sexe, puis elle s’agenouille et le prend en bouche. D’abord le gland, en appuyant avec sa langue, puis presque entièrement. Elle s’occupe de ses testicules, les pressant fermement de l’autre main, et imprime un va et vient régulier sur la longueur de son sexe. Appuyé sur le mur, il se laisse aller en gémissant de plaisir.
-Regarde-moi, dans les yeux.
La pointe de sa langue le lèche depuis la base et s’arrête sur le frein. D’une main elle le branle en le suçant, l’autre est descendu vers son anus. Elle le veut là aussi. Un doigt, puis deux pour se préparer à l’accueillir, et elle se relève. Se retournant, elle le guide et recule contre lui. Tout entier, elle le veut, et vite.
Les mains sur ses hanches, il la prend doucement. Faire durer le plaisir, il adore ça. Il enroule les cheveux de sa femme autour d’une main tandis que l’autre lui serre légèrement le cou. L’appuyant sur le mur, il la baise vite et sans interruption. Au moment de jouir, il lui ramène la tête en arrière, puis mord son cou. Il se répand en elle sans bouger, puis ses mains descendent : une vers un sein, l’autre vers le clitoris. Il la branle, sans sortir en elle, deux doigts dans le vagin, sa paume frottant son bouton. Ses gémissements de plaisir ne tardent pas à se transformer en halètement quand l’orgasme est proche. Elle se laisse aller contre son torse, laissant des vagues de plaisir la submerger.
-C’est bon que tu sois rentré Chéri.
-Moi aussi je suis content d’être là. Il faut que j’annule la réservation de la table au restaurant.
-On ne sort pas ?
-J’ai envie de me blottir dans tes bras pour le moment…
-Je te rejoins vite alors.
-Ne mange pas toutes les fraises, je reviens.
-Donne-moi autre chose à manger alors.
Son sourire se veut angélique, mais sa brésilienne sait qu’elle aura ce qu’elle veut. Dans la cuisine, il coupe un ananas en morceau et verse le chocolat dans un bol. Quand il revient dans la chambre, il la trouve allongé sur le dos.
-Enlève le drap sur toi.
Il admire ce corps parfaitement dessiné, le creux de sa gorge, sa poitrine, son ventre, ses hanches et des jambes fines et longues. S’approchant, il lui dresse une mosaïque de fruit sur le torse, laissant un peu d’espace entre chaque morceau d’ananas ou chaque fraise. La fraicheur de ces derniers la fait frissonner. Sirotant son champagne, il admire son œuvre. Et lui en verse un peu au nombril. Ses mains agrippent le drap sous l’effet du plaisir qui commence à lui monter à la tête. Le contraste chaud/froid ne la laisse pas insensible et il fait durer le plaisir au maximum.
Il prend une cuillère de chocolat et le laisse réchauffer sa langue. Se mettant au-dessus d’elle, il déguste un à un les morceaux de fruit prenant bien soin de passer sa langue là où la peau s’était refroidie. Lentement, il descend de plus en plus bas, en maintenant fermement ses mains sur le lit. Arrivé à son pubis, il remonte et prend le bol de chocolat. Sa température est parfaite, brulant mais pas trop. Et puis, c’est nettement plus comestible que la cire des bougies…
Ses cuisses se frottent l’une contre l’autre et elle meurt d’envie de le sentir en elle. C’est pourquoi il lui tient les mains, mais elle sait que quand elle lui sautera dessus, l’orgasme sera fulgurant et divinement bon. Quand les gouttes de chocolat brulant tombent sur ses tétons, elle soupire de plaisir. Sa langue vient le nettoyer et s’enroule autour. Il suce et les aspire pour bien les faire dresser, puis laisse quelques gouttes retomber dessus.
-Prends-moi…
-Oh non ! J’ai encore ton ventre…
-Fais vite alors… sinon les draps seront bons pour le pressing.
L’instant est proche, où elle lui sautera dessus et lui demandera de la baiser le plus rapidement possible pour qu’elle jouisse. Il dessine un pointillé droit de chocolat jusqu’à son pubis et ramasse chaque goutte une à une. Lui écartant les jambes, il laisse tomber un filet de chocolat juste sur son clitoris. La pointe de sa langue vient ramasser son dessert préféré puis il aspire son clitoris. Elle feule de plaisir et libérant ses mains, elle attire sa bouche à la sienne et se contorsionne pour positionner l’entrée de son vagin devant son pénis en érection.
Doucement il s’y glisse, ondulant du bassin et accélère son rythme. Les jambes de sa femme lui entourent les hanches et l’empêche de sortir trop loin. Rapidement, elle jouit en portugais. Son plaisir monte vite, ses ongles s’enfoncent dans son dos. L’orgasme est d’une telle intensité qu’elle se tient les cheveux en criant. Ses jambes sont parcourues de spasmes et son mari s’arrête au fond d’elle pour la regarder.
-J’adore te voir jouir, Chérie.
-Hmm, cap sur le septième ciel hein…
-Oui. Viens, on va à la douche.
La portant dans ses bras, il l’emmène jusqu’à la salle de bain. Il ouvre le robinet, prend du gel douche et la nettoie tendrement. La main de sa femme caresse doucement son sexe, puis elle s’agenouille et le prend en bouche. D’abord le gland, en appuyant avec sa langue, puis presque entièrement. Elle s’occupe de ses testicules, les pressant fermement de l’autre main, et imprime un va et vient régulier sur la longueur de son sexe. Appuyé sur le mur, il se laisse aller en gémissant de plaisir.
-Regarde-moi, dans les yeux.
La pointe de sa langue le lèche depuis la base et s’arrête sur le frein. D’une main elle le branle en le suçant, l’autre est descendu vers son anus. Elle le veut là aussi. Un doigt, puis deux pour se préparer à l’accueillir, et elle se relève. Se retournant, elle le guide et recule contre lui. Tout entier, elle le veut, et vite.
Les mains sur ses hanches, il la prend doucement. Faire durer le plaisir, il adore ça. Il enroule les cheveux de sa femme autour d’une main tandis que l’autre lui serre légèrement le cou. L’appuyant sur le mur, il la baise vite et sans interruption. Au moment de jouir, il lui ramène la tête en arrière, puis mord son cou. Il se répand en elle sans bouger, puis ses mains descendent : une vers un sein, l’autre vers le clitoris. Il la branle, sans sortir en elle, deux doigts dans le vagin, sa paume frottant son bouton. Ses gémissements de plaisir ne tardent pas à se transformer en halètement quand l’orgasme est proche. Elle se laisse aller contre son torse, laissant des vagues de plaisir la submerger.
-C’est bon que tu sois rentré Chéri.
-Moi aussi je suis content d’être là. Il faut que j’annule la réservation de la table au restaurant.
-On ne sort pas ?
-J’ai envie de me blottir dans tes bras pour le moment…
-Je te rejoins vite alors.
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