Carmen - histoire érotique

J’ai enfin gagné. Depuis que nous sommes mariés Pierre n’a jamais pratiquement voulu sortir. Ce soir
je me fait belle, j’ai envie de me montrer. Nous n’allons pas très loin juste à une soirée de
charité. J’y retrouve des copines, comme lui des copains. Tout est parfait, surtout pour moi qui me
sentais devenir comme un crouton derrière une malle. Si je suis heureuse, je vois que lui aussi est
content: il rit et plaisante avec ses amis et copains
Parmi mes copines il y a Lucie, une chère amie avec qui dans le temps nous avons fait des bêtises:
nous avons fait l’amour toutes les deux devant les autres filles qui nous encourageaient à jouir, ce
que nous avons pu faire. Nous étions folles. Lucie raconte notre histoire assez fort pour que tout
le monde l’entende. Pierre écoute l’air effaré: je ne lui en avait jamais parlé par honte surtout.
Maintenant qu’il sait, il ne va pas me jeter dehors. Je pense qu’il a une autre opinion sur moi
qu’il pensait très prude.
Je m’en aperçois en rentrant chez nous: il ne se jette pas sur moi, mais pas loin. Dès que nous
sommes couchés il a envie de moi. Il me fait l’amour comme rarement. Il me fait surtout une chose
qu’il s’interdisait: il tient à me faire jouir avec sa langue. Je ne demande pas mieux et me laisse
aller dans un orgasme rare. Pour ma part, pour la première fois je le prends dans la bouche, je le
lèche lentement, prend son gland dans le bouche. Bref je fais tout ce qu’il me demande depuis
longtemps et que je refusais.
Pour ma part, je n’avais jamais fait une telle chose à un homme. Je savais bien qu’il en avait
envie. Ce qui m’a étonné, c’est la quantité de sperme qu’il jetait dans ma bouche avant que le
l’avale.
Quelque chose s’est détraqué dans nos relations de couples: nous nous aimions sans doute d’avantage
et nous étions maintenant prêts à nous encanailler. Un jour il me demande si Lucie accepterai de
venir me faire l’amour devant lui. Il pourrait en profiter pour se la taper. J’avais des doutes. Par
acquis de conscience un jour que je voyais Lucie je le lui demandais: elle en riait. Encore toutes
les deux pourquoi pas, mais certainement pas à trois. Par contre elle connaissait une autre femme
qui certainement accepterai.
Quelques jours après je reçoit un coup de fil: une certaine Carmen se recommandant de Lucie me dit
qu’elle est d’accord, à condition de me baiser seule avant. Elle me laisse ses coordonnées.
J’en parle à Pierre qui tique un peu sur le fait que je vais passer du bon temps sans lui, mais il
est d’accord.
Nous nous rencontrons enfin avec Carmen. Comme son nom ne l’indique pas, elle est blonde aux yeux
verts, une beauté. Je l’imagine dans les bras de Pierre qui devrait en jouir rien qu’en la voyant.
Son logement est vaste, lumineux. Elle me fait entrer: je lui explique ce que j’attends d’elle. Elle
me regarde en souriant.
- Bien sur je suis d’accord pour une baise en trio. A une condition: je préfère baiser la femme
d’abord, ainsi je connais les gouts du couple.
- Moi je veux bien baiser avec vous si vous le désirai. Pourquoi pas ? Je suis prête à m’offrir.
- C’est bien. Je te trouve jolie, bien faite sensuelle et sexy, j’ai envie de toi.
Elle me fait lever pour m’embrasser. Depuis le lycée et Lucie je n’ai pas embrasser de fille sur la
bouche. Pourtant avec elle c’est facile. Ses lèvres me semblent douces et sa langue me fait du bien
en me donnant déjà des frissons dès qu’elle la met dans ma bouche. C’est autre chose qu’avec Lucie.
Je pense que si elle embrasse ainsi Pierre, il va bander aussitôt. Elle ne me serre pas tellement
contre elle: il lui faut la place pour aller sur ma poitrine. Elle caresse déjà mes seins qui du
coup doublent de volume. En tout cas c’est-ce qu’il me semble. Elle ne s’y attarde pas trop. Elle
comprend qu’elle m’a excitée en parlant: elle commence le déshabillage. Je me retrouve nue devant
une femme que je ne connait que depuis un quart d’heure. Je n’en ai même pas honte; Elle se
découvre: c’est vite fait d’enlever une simple robe. Quel physique sexy elle possède. Elle me fait
envie, alors je pense à l’effet qu’elle fera sur Pierre: il me semble voir sa bite bien droite.
Cette fois elle me serre contre elle: je sens ses seins contre les miens. Je ne dis rien, surprise
de l’effet sur mon sexe: je mouille terriblement. Une main sur mes fesses, l’autre qui va vers ma
chatte: je suis plus que comblée. Je me retrouve avec un doigt qui va et vient dans mon cul et un
autre qui s’agite sur le clitoris.
Je me laisse faire sans réagit, si je jouis. Elle le sait bien la garce, elle me fait assoir les
jambes bien ouvertes, ma chatte à sa disposition pour la suite de son plaisir: je suis certaine
qu’elle prend autant de plaisir à en donner qu’à en prendre. Je sens sa langue lécher toute ma
chatte: ça fait un bien fou, surtout quand elle la rentre dans le cul.
Après cette jouissance je veux la lui rendre, elle prend ma place, ouvre ses cuisses. Je vois le
deuxième sexe féminin de ma vie: il me semble qu’elle est plus, enfin moins, je ne sais plus, elle
m’attire. Je pose ma langue sur ses lèvres que je lèche longuement avant de la mettre dans son
vagin. Il me semble que je trouve la bonne cadence puisque je la sens jouir. Je me régale de son
gout.
Nous nous séparons par un baiser sur la bouche: elle vient chez moi samedi soir.
Le soir quand Pierre entre du travail je lui raconte ce que j’ai fait en détail. Il m’emmène au lit
illico: il est excité par mon récit. Il me lèche partout ou Carmen l’a fait. Il me la met devant
d’abord et enfin il m’encule. J’ai jouis à chaque fois. Il lui tarde d’être à samedi soir, il n’est
pas le seul.
Enfin arrive le soir fatidique. J’ai décidé de ne porter que le peignoir de bain, sans ceinture pour
être la moins présentable possible et surtout la plus accessible. Pierre n’a pas changé, il reste
avec son pyjama. Je ne peux m’empêcher d’aller le taquiner en sortant sa bite déjà prête au grand
assaut. Je l’embrasse juste sur le bout:
- Tu va te régaler mon salaud.
- Et toi tu ne va pas de régaler à te faire lécher partout ?
- Toi aussi tu vas être léché.
A ce moment la porte s’ouvre; je l’avais laissé entrouverte. Carmen fait son entrée. Elle s’est
vêtue en conséquence: une mini jupe plissée qui fait ressortir toute son intimité dès qu’elle se
baisse en avant. Sous son blouson en cuir, elle ne doit pas porter grand-chose.
Elle vient m’embrasser sur la bouche: nos langues se reconnaissent. Elle va ensuite embrasser Pierre
qui du coup commence à bien bander: sa bite sort à moitié du pyjama.
Carmen semble m’abandonner. Elle s’intéresse à la bite de Pierre. Il faut dire qu’il possède un bel
organe gros et long. Elle ne se penche pas pour le sucer, elle le branle pour le faire grossir
encore. Demande où nous baisons et va vers la chambre. Elle n’a pas le temps de se débarrasser de sa
jupe et son blouson. Pierre lui prend les seins dans sa bouche, lui caresse la chatte. Il bande
comme un pendu. Carmen n’en peu plus, elle se couche, tend ses bras pour que Pierre vienne la
baiser. Il n’a pas besoin d’un dessin. Il est sur elle rapidement.
Je le vois pour la première fois dans les bras d’une autre femme. Je sens un brin de jalousie et
surtout une excitation qui me fait me branler pendant qu’il la pénètre. Je vois tous les vas et
vient en commun qu’ils font. J’entend les soupirs de Carmen. Je vois bien la bite qui entre et sort
de la moule. Je deviens réellement folle d’envie: il faut que je jouisse. Je reste en vue du couple
et sans pudeur, avec un certain exhibitionnisme je me branle le clitoris.
Enfin Carmen sortant son visage de ses cheveux éparts me demande de venir lui caresser les seins
pendant que Pierre l’encule. Je me demande si j’arriverai au résultat qu’elle demande. J’arrive
quand même à lui caresser un sein, pendant que Pierre prend son pied dans son cul. Je n’ai pas
enlevé la main de mon sexe. Je peux quand même me faire plaisir en l’embrassant: ma langue va
directement dans la bouche de Carmen.
Pierre prend son plaisir maintenant dans le cul de Carmen. Il sort de l’anus, la bite flasque. Elle
ne demande qu’une seule chose: jouir encore. Je suis là pour ça. Je m’installe entre ses cuisses
pour aller la sucer. Je lèche d’abord les cuisses en montant lentement vers sa chatte. Que de
bonheur je trouve à la lécher. Je trouve, mélangés son gout de cyprine et celui du sperme de Pierre.
C’est extrêmement excitant. Ma langue nettoie tous les recoins du sexe. Je me tourne pour qu’elle
aussi me lèche. Nous sommes en 69, bonne position que j’aime bien faire avec Pierre sauf que là je
n’ai pas de bite dans la bouche.
Je prend mon pied plusieurs fois. Je suis étonné de recevoir sur mon cul la visite de la bite de
Pierre. Il me la met à fond. Je n’ai rien demandé et je suis servie. Bonne pioche.
Nous cessons au moment où nous ne pouvons plus baiser ni elle ni nous.
Pour elle ce n’est pas grave, elle peut rester le lendemain pour continuer à nous baiser.
Maintenant il nous arrive de faire venir Carmen à la maison. Quelques fois je vais chez elle; j’en
parle toujours à Pierre qui profite de ma confession pour me faire subir les derniers outrages comme
il dit. J’adore ses outrages.