CARO s('exhibe - la préparation au sulky

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Récit libertin : CARO s('exhibe - la préparation au sulky Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-06-2025 dans la catégorie Fétichisme
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CARO s('exhibe - la préparation au sulky
Comme je l’avais annoncé à l’issue de mon deuxième récit, une nouvelle soirée avait été prévue .Cette soirée a eu lieu le 10 février et je vais maintenant vous la raconter le plus en détail possible.
Lors de notre première soirée nous avions convenu que c’était Jean qui devait organiser cette seconde soirée et nous proposer un scénario.
Comme CARO avait regretté la présence de préservatifs nous avions convenu que celui qui nous présenterait un résultat récent de test VIH se verrait alors dispensé de mettre une capote lors de notre soirée suivante.

Dès mi-décembre, Jean nous envoya par mail le scénario qu’il avait imaginé.
Il proposait de nous recevoir chez lui ou plutôt dans son garage (il est concessionnaire automobile)
Il me demandait d’abord de ne plus raser CARO jusqu’à notre prochaine soirée, préférant les toisons touffues et naturelles (c’est dans cet état qu’il avait vu ma femme lors de notre rencontre au camp de naturistes) , comme c’était lui l’organisateur nous avons accepté sa demande
Il me dit ensuite disposer d’un petit sulky, modèle réduit de celui utilisé lors de courses de trotteurs et qu’il avait imaginé y atteler CARO et organiser un genre de concours où chacun de nous conduirait le sulky dans le hall d’exposition de son garage. Il précisa que le scénario serait bien sûr affiné si nous répondions positivement à ce projet
Je me demandais bien d’où il tenait cet engin mais je trouvais surtout son scénario très intéressant et vraiment original.

Evidemment je fis lire ce scénario à CARO qui resta, un moment, silencieuse, s’imaginant surement déjà attelée à cette petite carriole et ce qui pourrait s’en suivre.
Après quelques instants de réflexion, ma chérie me dit qu’elle trouvait l’idée surprenante mais intéressante et accepta donc de jouer la pouliche au service de ses quatre futurs drivers.

Il faut dire que notre première soirée chaude avait laissé des traces dans nos relations sexuelles. La fréquence de nos rapports s’était accélérée et nous faisons l’amour pratiquement tous les soirs comme au meilleur temps du début de notre vie commune.
Nos pratiques anales sont devenues plus courantes et elle arrive souvent à l’orgasme dans ce type de relation

Pour autant, elle me parle souvent de la soirée ou elle s’est offerte à quatre males en rut et du plaisir qu’elle avait ressenti à se faire baiser, humilier et même brutaliser, réalisant largement ses fantasmes les plus fous. Elle attendait avec impatience de renouveler l’expérience.
C’est pour cela qu’elle n’a pas hésité longtemps avant d’accepter le scénario de Jean.

Sans attendre, je téléphonais à Jean pour lui faire part de notre accord. Il me dit alors qu’il allait contacter les deux autres complices pour se mettre d’accord sur la date qui pourrait être fixée si possible au 10 février au soir, cette date étant celle qui convenait le mieux à CARO, fonction de son cycle menstruel.

Jean me précisa qu’il allait s’occuper de tous les accessoires qui lui sembleraient nécessaires pour équiper l’attelage et qu’il allait murir le scénario pour nous le dévoiler à tous le jour même, y compris à CARO qui le découvrira donc en même temps que nous

Le jour venu, nous nous retrouvâmes tous vers 19h30 au garage de Jean. Celui-ci était fermé et toutes les portes et baies vitrées occultées par des rideaux métalliques qui rendaient le hall d’exposition parfaitement discret.
Nous étions tous en tenue décontractée et CARO avait revêtu une très légère robe portée sur des sous-vêtements noirs légers et sexy

Jean avait fait préparer un lunch de très bonne qualité que nous avons arrosé généreusement. CARO apprécia beaucoup le champagne, peut-être trop, en vue de se mettre en condition pour ce qui l’attendait.
Vers 21 heures, après avoir discuté de divers sujets comme peuvent en parler un groupe d’amis. CARO devint alors le sujet de conversation : il fallait passer aux choses sérieuses.

Jean amena le sulky, ce qui permit à chacun d’imaginer ce qui allait se passer. Il s’agissait effectivement d’un modèle réduit du sulky utilisé pour les courses de trotteurs, avec de petites roues, de longues branches incurvées et d’un siège posé sur l’axe des roues, à environ 50 cm du sol.

CARO avala une dernière gorgée de champagne et demanda à Jean de lui indiquer le cabinet de toilette. Elle avait compris que l’instant était arrivé de se préparer et de pratiquer une toilette intime en profondeur.
Le cabinet de toilette était destiné aux collaborateurs du garage et équipé d’un lavabo, cabine de douche et WC.
CARO s’y dirigea avec sa trousse de toilette dans laquelle je savais qu’elle avait glissé, outre ses accessoires habituels, une poire à lavements.

Jean lui demanda d’attendre quelques instants, il ouvrit un sac et en sortit des bottes cuissardes et des gants en cuir souple qu’il tendit à CARO et lui demanda de les mettre à l’issue de sa toilette et de revenir vers nous, nue et à quatre pattes. Ce fut dit avec une telle autorité que ni CARO ni moi n’avons pensé faire la moindre remarque ou protestation

A compter de cet instant, CARO avait cessé d’être ma femme et était redevenue l’objet sexuel consentant, livré à quatre males bien décidés à profiter à nouveau de ce corps de femelle ainsi mis gracieusement à leur disposition.

Jean profita de l’absence de CARO pour nous présenter tous les accessoires qu’il avait amenés dans son sac.
Il commença par un loup noir qui avait la particularité de ne pas être percé des deux trous pour les yeux.
Puis il nous sortit une large ceinture de cuir doublée de velours et équipée de deux pattes de fixation et de deux boucles.
Cette ceinture disposait également d’anneaux métalliques. Assorti à la ceinture, jean nous montra alors un collier de cuir lui aussi équipé d’anneaux de plus petit diamètre. Jusque-là chacun avait compris sans difficulté l’usage de ces accessoires.

Pour les suivants, Jean apporta quelques commentaires. Pour driver la pouliche depuis le siège du sulky il fallait des rênes, d’où cette longue sangle de cuir de 1 cm de large pour près de 3 mètres de long avec à chaque extrémité un petit mousqueton. Jean sortit ensuite deux pinces crocodiles en métal, nous expliquant qu’il avait réfléchi au meilleur endroit pour fixer les rênes.
il avait d’abord pensé à les fixer, comme pour une jument, à un mors placé en bouche. Mais il avait peur de gêner la respiration. Il avait alors une meilleure idée, plus originale : driver la pouliche par les seins et, pour ce faire, de fixer les rênes aux anneaux perçant les tétons mais il avait trouvé que cela risquait de déchirer les tétons en cas de trop forte traction sur les rênes, compte tenu de la faible section de ces anneaux d’or.

Merci, Jean de te préoccuper des seins de ma femme.

Sans renoncer à driver la pouliche par les seins, ce que je trouvais personnellement très excitant, il avait alors choisi l’option de poser des pinces crocodiles entre l’aréole et l’anneau qui, sans entamer la chair, pinçaient suffisamment pour assurer une prise solide et sans danger.
Il avait personnellement testé ces pinces et en avait conclu qu’à part une légère douleur à la pose, ensuite cela devenait très supportable comme anesthésié.
Jean sortit ensuite une cravache d’environ 80cm de long, terminée par une bande de cuir d’environ 5 cm de large pour 20 de long mais repliée sur un rivet pour faire en fait une longueur utile de 10 cm Il nous fit la démonstration que cette bande de cuir ainsi doublée claquait fort lorsqu’on l’appliquait sèchement sur la peau mais sans laisser d’autre trace qu’une légère rougeur (plus de bruit que de douleur)
Nous observions tous trois les accessoires que Jean avait préparés et qui nous promettaient beaucoup de plaisir et d’excitation pour ce qui allait suivre. Nous pensions alors que l’équipement était complet mais Jean nous en réservait un dernier qu’il sortit comme un trésor de son sac.

A première vue il s’agissait d’un martinet sauf que le manche était assez court et qu’il comportait beaucoup plus de lanières qu’un martinet normal. Jean nous expliqua alors le véritable rôle qu’il allait confier à cet accessoire.

Bien sûr que l’on peut s’en servir comme martinet nous dit-il mais en fait il servira de queue qui, si on veut la poser au bon endroit, apportera un peu plus de réalisme et de peps à la pouliche.
Nous comprîmes immédiatement à quel endroit cet accessoire devait être posé. Pour cet accessoire, contrairement aux précédents, il me regarda pour obtenir mon avis.

Je le pris donc en main pour l’examiner de plus près. Les lanières étaient en cuir, ce qui doit être douloureux en cas d’usage appuyé, mais ce n’était pas le but que prévoyait Jean.
Le manche d’une bonne quinzaine de cm était en matière lisse, genre bakélite, son diamètre variait de 2 à 3 cm en fonction des cannelures régulières qui le composait. L’extrémité se terminait en demi-sphère.
A l’autre bout, là où étaient fixées les lanières, le diamètre passait à environ 4cm sur une épaisseur de 5 mm, cela allait servir de buttoir sur le bord de l’anus, un petit anneau y était fixé.
Cet accessoire, très osé, sortait vraiment de l’ordinaire et je me demandais si cela ne franchirait pas les limites acceptables par CARO
Avant de donner mon avis (que j’avais favorable, après quelques instants de doute) je demandais aux deux autres ce qu’ils en pensaient. Ils trouvaient l’idée très bonne mais se demandaient eux aussi, si CARO accepterait cet engin quand même très humiliant.

Nous nous mîmes d’accord pour ne pas la prévenir spécifiquement de ce « détail », mais nous lui demanderons de nous signaler son désaccord, à quelque moment que ce soit de la soirée, dès que l’on atteindrait ses limites, en criant STOP trois fois.

Il fallut plus de 20 mn pour voir réapparaitre CARO, telle que Jean le lui avait ordonné, prouvant sa totale soumission. A quatre pattes, les mains protégées par les gants et surtout les jambes, des pieds à mi-cuisses, recouvertes des cuissardes noires isolant les genoux du sol carrelé.
A part ces accessoires, complètement nue, les seins pendant sous le torse, CARO se déplaçait lentement en ondulant de la croupe, suffisamment cambrée pour bien exposer sa chatte encadrée de ses poils noirs qui remontaient jusque l’anus et qui surprirent Pierre et Marc qui n’étaient pas au courant de la demande de Jean, se souvenant, eux, d’une vulve rasée de près, hormis le triangle pubien, révélée lors de notre précédente soirée.

Je trouvais cet accoutrement déjà ultra excitant, alors même qu’aucun accessoire n’était encore posé. Jean demanda à CARO de s’arrêter, ce qu’elle fit sans délai en rapprochant les genoux. Il lui posa immédiatement le loup sur le visage et le collier autour du cou.

J’intervenais alors pour demander à CARO si elle acceptait de continuer le jeu, puis tout le long du jeu, si elle décidait d’abandonner, il lui suffisait de répéter trois fois STOP. Elle me répondit un seul mot « d’accord ». Ce fut sa dernière parole de toute la séance qui allait suivre
D’autre part, je lui annonçais, et cela devait lui plaire, que les trois compères m’avaient apporté un certificat de test négatif au virus HIV ce qui permettait toute liberté dans les relations sexuelles à venir

A partir de ce moment je considérais que ma femme cessait d’être ma femme pour redevenir un objet de plaisir à se partager. Elle était maintenant seule à juger jusque ou elle pouvait aller

Jean reprit la main en accrochant une extrémité des rênes à un anneau du collier, comme une longe puis tira légèrement vers l’avant.
Devant le manque de réactivité de celle que nous appellerons dorénavant «la pouliche », il frappa légèrement l’autre extrémité de la longe sur la croupe. Le message passa et elle se mit en marche en silence Jean était devenu temporairement le maitre et le dresseur de ma femme
Il se mis alors au centre d’un cercle d’environ 5 m de diamètre qu’il fit parcourir plusieurs fois à la pouliche l’encourageant régulièrement d’un petit coup de laisse sur les fesses. Il me semblait que CARO ralentissait de temps en temps, en espérant un petit coup d’encouragement.
J’étais convaincu qu’elle en prenait un réel plaisir

Cela m’interpellait quand même d’assister ainsi, en y prenant moi-même un plaisir certain, à ce spectacle d’un homme tirant au bout d’une laisse une femme réduite à l’état d’une chienne plus que d’une pouliche d’ailleurs, compte tenu de la taille, comme exposée à un concours de beauté anima- lier devant un jury de connaisseurs qui ne perdaient pas une miette du spectacle offert. Moi-même j’avais l’impression de découvrir ce corps dans tous ses détails,

Jean tira alors légèrement la laisse vers l’arrière et la pouliche comprit qu’il fallait s’arrêter.
Il était temps de poser les autres accessoires. Jean posa d’abord la ceinture. Elle s’inséra parfaite- ment entre le bas des côtes et le haut des hanches, les deux boucles bien serrées au niveau de la colonne vertébrale ne laissant aucun jeu. On avait l’impression que cet accessoire avait été fait sur mesure

Vint ensuite la pose des pinces et là j’étais très curieux de voir la réaction de CARO. Accroupi près de la pouliche, il tira sur le téton du sein gauche en passant un doigt dans l’anneau, étira l ’aréole sur laquelle il accrocha la pince. Seul un aïe discret accompagna la fermeture de la pince qui aplatit l’aréole entre ses dents et le téton, ressemblant maintenant à une framboise, orné de son anneau. Jean refit la même opération sur l’autre sein, avec le même résultat, cette fois sans aucune réaction de la pouliche.

Il passa ensuite chaque extrémité des rênes, dans les anneaux latéraux de la ceinture, accrocha chaque mousqueton à la pince de chaque sein. Il passa ensuite derrière la croupe de la pouliche et saisissant les rênes de chaque main testa le montage en tirant successivement de la main gauche, puis de la main droite puis des deux. Les rênes coulissaient parfaitement dans les anneaux, allant vers l’arrière de la croupe en caressant, de chaque côté, le haut de la cuisse.
Elles avaient l’effet escompté, à savoir tirer alternativement chaque sein vers l’arrière puis les deux à la fois permettra de piloter la pouliche qui subissait sans broncher tous ces préparatifs.
Il nous expliqua en même temps la manière de driver la pouliche : Tirer sur le rêne gauche pour tourner à gauche, à droite pour tourner à droite, tirer longuement sur les deux pour stopper et tirer simultanément par coups brefs pour ralentir et reculer après l’arrêt

Quant à l’accélérateur : la cravache.

Ces instructions étaient également destinées à la pouliche qui avait tout accepté et savait alors comment se diriger avec la seule action des rênes sur ses seins et la cravache sur les fesses

Vint ensuite le dernier accessoire : Jean annonça « maintenant la pose de la « queue » suffisamment haut pour que la pouliche l’entende. Nous attendîmes tous la protestation de CARO mais elle resta silencieuse ayant parfaitement compris, pourtant, à quel endroit il allait la fixer.
Je pensais que l'on avait atteint la limite de l'acceptable pour CARO eh bien non

Nous primes tous ce manque de réaction pour une acceptation et Jean demanda alors quelqu’un pour l’aider.
Le plus rapide fut, à mon grand étonnement Marc. Décidément il avait pris beaucoup d’assurance depuis la fois précédente et comprit que ce corps féminin était entièrement à sa disposition le temps de la soirée.
Je pense que Marc devait être en admiration pour ma femme et que là c’était l’occasion rêvée de la posséder en accédant sans retenue à son corps. Ayant un peu raté cette occasion au cours de la séance précédente par excès de timidité, il voulait surement se rattraper cette fois.
Jean sortit la queue et en enduit l’extrémité du manche d’une bonne couche de lubrifiant.
Il demanda à Marc de se mettre à califourchon sur le dos de la pouliche, tourné vers la croupe, et d’appuyer sur les omoplates, elle comprit le message et s’écrasa les seins sur le carrelage pour présenter une croupe complètement épanouie dans cette position totalement indécente.

Ma femme avait décidément perdu toute notion de pudeur. L’anus se présentait orné de sa couronne de poils noirs et soyeux qui descendaient ensuite sur et autour des grandes lèvres de la vulve.

Afin de faciliter la pénétration du manche, Jean demanda à Marc d’écarter le plus possible les fesses, ce que Marc se fit un plaisir de réaliser laissant cette fois l’anus largement ouvert allant jusqu’à écarter également largement les lèvres luisantes du sexe, lui montrant en pleine lumière le détail anatomique de la vulve, à 20cm de son visage.

Ce spectacle surréaliste n’entrainant aucune protestation de la propriétaire des lieux, Jean présenta alors le manche de la queue à l’entrée de l’anus qui eut d’abord le réflexe de se resserrer mais une bonne claque sur une fesse qui ne provoqua pas le moindre cri le rendit à la raison et le bout rond du manche s’introduisit sans difficulté dans le petit trou devenu beaucoup plus docile et accueillant.

Puis, tout doucement, Jean accentua la pression et le manche avança progressivement dans l’anus qui s’écartait puis se resserrait en suivant les cannelures, avec, accompagnant la progression, un léger soupir de la part de l’intéressée. Ceci prouvait que depuis la soirée précédente, beaucoup de progrès avait été accompli en matière de pénétration anale.

Le manche finit en butée contre l’anus, avalé complètement par le rectum. Pour éviter qu’il ne ressorte accidentellement, Jean attacha une cordelette dans l’anneau de la collerette qui seule ressortait de l’anus et attacha l’autre extrémité à un anneau de la ceinture, axé sur la colonne vertébrale.
Cette cordelette bien tendue empêcherait assurément au manche de s’échapper.

Jean nous offrit alors une présentation de la pouliche ainsi harnachée. Il reprit les rennes, passa à l’arrière de la croupe ainsi garnie de sa queue et refit faire un tour du même cercle que précédemment mais cette fois en drivant la pouliche comme il se devait, en fonction des consignes qu’il nous avait données.

Encouragée à démarrer par un coup de cravache claquant, bien que peu appuyé, puis conduite à tourner régulièrement par de petites tractions sur le sein gauche et enfin commandée à s’arrêter par une traction continue des rênes sur les deux seins à la fois.

Durant cette démonstration nous voyions l’effet du manche dans le rectum par le balancement régulier, de gauche à droite, et retour des lanières constituant la queue. Pouvez-vous imaginer ce spectacle inouï que je n’avais encore jamais vu dans aucun film porno.

Un seul inconvénient : les lanières descendaient trop près de manche ce qui nous cachait pratiquement complètement la foufoune ce qui était frustrant surtout que jean l’avait voulue poilue. C’était dommage de la cacher.
Je proposais alors d’enrouler la base des lanières par une bande de scotch large et de tirer par une autre cordelette jusque la ceinture pour remonter l’ensemble des lanières et ainsi libérer la vue sur la chatte, ce qui fut fait.

Tout était alors prêt à atteler la pouliche au sulky et de profiter, chacun de cet attelage improbable et excitant.

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