Caterina, la transexuelle qui m'a appris ce qu'était une défonce anale !
Récit érotique écrit par Melody Tv 54 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-04-2020 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Caterina, la transexuelle qui m'a appris ce qu'était une défonce anale !
Caterina est la plus incroyable travesti que je connaisse. J'ai du faire sa connaissance il y a au moins 15 ans déjà ! Lors de l'une de ces virées au Bois de Boulogne un soir d'été où javais comme souvent la bite en feu, et une irrésistible envie de vider les litres de spermes qui grouillaient en moi ! Cette soirée la fut particulièrement chaude ; je faisais comme à mon habitude quand j'habitais Boulgne Billancourt un jogging avec rien d'autre qu'un short en nylon blanc sans rien dessous qui laissais devienr très nettement mon gros sexe turgescent et un tee shirt très échancré qui permettais d'exhiber mes tétons. J'étais alors bien bronzé et entièrement épilé. Pour être encore plus bandant, je m'enduisais le corp d'ambre solaire qui donnais une douceur luisante à mon corps. Je dois avouer que j'adorais me sentir aussi beau et sexy à 25 ans et que je passais un long moment à me matter devant la glace avant d'aller m'éclater au Bois.
Ce soir là javais très envie de retrouver un super beau mec que j'avais surpris entièrement nu, musclé et bronzé en train de se branler au soleil dans un boscquet du bois. Nous avions baisé comme des fous tous les deux et connement je n'avais pas demandé ses coordonnées. Si jamais il se reconnais qu'il me fasse signe !
Hélas, trois fois hélas, que dale ce soir là ; la nuit commencais à tomber et je ne croisait que des filles du XVIème coincées et des gogos en goguette dans les allées. Pas très sexy. A défaut d'extra, je vais donc devoir me rabattre sur le plat du jour, la pute sud américaine !
Il commence à faire réellement nuit mais je distingue quand même le corps d'une sud américaine très dénudée au détour d'un bosquet ; « Eh querido, t'as du feu ! » Je m'arrête pour lui en proposer ; elle n'est pas très jolie mais à une très belle paire de nichons et une très belle queue semi dure qu'elle exhibe fièrement au dessus de ses cuissardes ; tout ce que j'aime. Elle se penche sur moi pour allumer sa clope, en me mettant la main au cul « Que culo ! Tu as envie que je m'occupe de tes jolies petites fesses ? » C'étais la première fois que l'on me draguait directement pour m'enculer ! Je dois avouer que j'étais très excité par cette proposition, même si je n'avais été encore que très peu souvent pénétré et que j'en gardais encore une certaine apréhension. Je me sent irrésistiblement attiré par sa queue que je me permet de caresser. Elle est très belle, pas très grosse mais deviens très vite très dure dans ma main. Elle faisais partie de ces travestis, ultra minoritaires au Bois qui ne se font que rarement baisées mais qui baisent les mecs. Sa main sur mon cul est maintenant passée sous le tissus de mon short et elle titille tout doucement avec doigté ma rosette. Je sent la véritable professionnelle et je suis sous le charme ; ma queue est tendue à craquer, sans même une stimulation pour l'aider ! « Je n'ai pas beaucoup d'argent ma belle (et c'étais vrai je me déplaçais rarement avec beaucoup de liquide sur moi pour un jogging), je n'ai que 50 Francs malheureusement » lui lachai-je en me disant qu'elle allait m'envoyer chier pour cette somme ridicule ! « Ok chéri ! Viens suit moi ! » Je n'en revenais pas qu'elle accepte. Je comprendrais plus tard qu'elle fais également partie des trav qui prennent réellement leur pied en faisant leur métier et qui se constitue une véritable clientèle d'habitués. J'ai donc été choisi par elle pour faire partie du cercle très fermé de ses amants qui ne payent qu'une somme symbolique mais a qui elle peut demander ce qu'elle veut !
Je la suis fiévreusement dans les sentiers sombres du bois. L'odeur de la fôret conjuguée à la douceur de la température étais délicieuse. Le trajet fut long, très long. Je compris également plus tard qu'elle emmenait ses « queridos » préférés le plus loin possible pour pouvoir baiser tranquillement et longtemps sans être dérangé ! Je marche devant elle et elle me donne déjà ces premiers ordres « à droite, à gauche, tout droit » Fou d'excitation, je commence à me foutre à poil ce qui a l'air de lui plaire. Juste éclairé par la pleine lune, mon cul blanc ressortais bien au contraste de ma peau bronzée. « Que culo mi amor ! » Et elle joint le geste à la parole en mettant immédiatement la main au cul. Je marche ainsi un long moment entièrement à poil (mis à part les chaussures) en pleine nuit dans un bois public, ma queue lourde et turgescente de plaisir me faisant presque mal à chaque pas, en ayant au cul une main de trav en cuissarde les nichons et la bite à l'air ! C'étais déjà sublime, il n'en fallait pas plus pour me combler !
Et pourtant ce n'étais rien face à ce qu'il m'attendais ! Nous arrivons au bout de plus de 5 minutes de marche qui me parurent des heures dans son antre. A la différence des autres trav qui se cachais entre 3 ou 4 trons d'arbres par une toile tendue, Caterine officiait toujours en plein air, sans cache, certainement pour assouvir son côté exhibitonniste.
Elle me demande mon petit cadeau et me demande de me mettre à genou sur un petit tapis et de la sucer. J'apprécie le petit détail de confort et je commence à la sucer avec avidité. Comme d'habitude, j'obtiens rapidement de petits râles de satisfaction car je pense avoir une bonne maîtrise de la technique de fellation, ce que je ne suis pas sur de maîtriser aussi bien pour le cunilingus malheureusement ! Alors que j'adorre bouffer pendant des heures une bonne chatte, j'ai toujours l'impression de donner plus de plaisir à un homme qu'à une femme avec ma bouche. Je sais qu'une femme est plus longue a avoir du plaisir ou un orgasme qu'un homme mais ce contraste m'a toujours perturbé, me sentant finalement moins bon amant hétéro qu'homo !
Pour l'heure je me régale avec cette belle queue parfaite, ni trop grosse, ni trop petite, bien dessinée, assez large, très très dure et sentant super bon malgré toutes les bouches et les culs qui avaient du passer dessus ! En fait son truc s'étais une hygiène irréprochable avec un nettoyage avec des lingettes anti bactiériennes après chaque rapport et un petit coup de parfum ! Délicieux ! Et elle semblait apprécier autant que moi ; elle maintenais fermement ma tête, guidant son rythme. Je la sucais un long très long moment, 10 minutes peut être, tout en tripotant ses très beaux nichons, son gros cul très ferme, ses cuisses si douces. Je commençais à comprendre qu'elle ne voulais pas de l'abattage mais avant tout du plaisir « Prend ton temps quérido, on a tout notre temps ! » Extra ordinaire pour seulement 50 francs ! Aujourd'hui encore, je la baise pour 10 euros (parfois même 5 quand je suis raide !) et cela dure une demi heure à une heure. Mieux, j'ai même passé plusieures fois une partie de la nuit chez elle pour ce tarif. Même une épouse demande plus !
Puis subitement elleme repouse doucement mais fermement et me demande de m'allonger nu dans la mousse. Je me retrouve ainsi entièrement nu (cette fois j'avais enlevé mes shoes !), allongé en pleine nuit sous la pleine lune sur un délicieux matelas de mousse qui sentais si bon l'humus, les cuisses relevées comme une petite pute qui allais se faire baiser. Elle prend chacune de mes jambes sur ses épaules, me tend une noistte de gel pour mon cul avant d'enfiler une capote. Je suis super bien mais malgré tout un peu fébrile à l'idée de me faire baiser ainsi par sa grosse queue loin de tous.
Je me passe le gel sur le cul et m'introduit un, puis deux puis trois doigts afin de bien dilater mon petit cul. Caterine viens alors pointer son gland à l'entrée de mon anus « N'ai pas peur querido, détends toi, je ne vais pas te faire mal » Je me laisse alors completement aller tout en confiance et j'avais raison ; sa queue rentre en douceur au plus profond de moi tout en douceur. Puis elle commence à me limer avec une incroyable dextérité ! C'est divin, je suis au Paradis, je n'ai jamais ressenti un tel plaisir anal. Je ne peux m'empecher de lacher de petits cris de pucelle en pamoison ! « Chut, laisse toi aller chéri, ne fais pas de bruit » J'essaie donc de jouir en silence ce qui semble m'exciter encore plus ! Ma queue est encore plus douloureuse qu'avant, je sent que je peux jouir sans même me branler ! Puis très rapidement, elle change de position, me met à quarte pattes puis me relime avec force et douceur, sa marque de fabrique ! Quelques trop courtes minutes dans cette position, puis elle me demande de me lever, de me baisser en prenant appui de mes avant bras sur une grosse souche d'arbre. Là encore l'extase totale.
Je suis alors totalement à elle. Elle peut faire ce qu'elle veut de moi ! Et ne s'en prive pas ! J'ai le cul super sensible, à fleur de peau, mais sans aucune douleur. Elle me prend et me reprend dans toutes les positions et j'adore cela ; elle est maintenant en train de me limer tous les deux couchés sur le côté dans la mousse. Elle branle ma grosse queue et je lui ralenti sa caresse de peur de jouir trop vite ! Puis elle me demande de m'assoir en tailleur et elle s'empale sans préparation mais tout doucement sur ma grosse queue nue ! Je n'ai pas l'habitude de faire l'amour sans protection mais là le plaisir étais trop grand. Et j'ai pu constater par la suite qu'elle ne fais pratiquement jamais cela, je dois être une exception car je pense qu'elle est secrètement amoureuse de moi mais n'osera jamais me l'avouer ! Et elle reste très prudente en me demandant instemment de ne pas jouir en elle ! Nous commençons alors à nous enlacer fortement et à nous embrasser à pleine bouche. C'est réellement délicieux et fort. Elle écrase sa grosse poitrine contre la mienne en me malaxant la tignase entre ses ongles manucurés. Je sent qu'il se passe alors quelque chose de fort entre nous, qui n'est pas près de s'arrêter !
Elle finis, au bout d'au moins une demi heure de limage incessant par me mettre à quarte pattes, m'écraser les épaules par terre, me redresser bien mon petit cul qu'elle baise maintenant de plus en plus fort et je la sent jouir dans mon cul en s'agripant à ma queue et nous jouissons toutes les deux ensemble comme des folles (je me sent tellement femme à ce moment que j'emploie le féminin !).
Nous nous écroulons toutes les deux nues (elle a tout de même gardé ses cuissardes) sur la mousse et nous nous caressons amoureusement avant d'allumer une cigarette. Je lui avoue n'avoir jamais pris mon pied comme cela au par avant ni avec un homme ni avec une femme. Elle me fait promettre de revenir la voir souvent...
Je tiens encore ma promesse aujourdh'ui 15 ans après ! Pendant toutes ces années les rituels sont restés à peu près intacts ; je me fous à poil devant elle avant d'avoir atteint notre lieu de baise excentré afin qu'elle puisse mater mon cul, je la suce avant qu'elle ne m'encule dans toutes les positions, je la prend en fleur de lotus sans capote avec de longs échanges de baisers et de caresses. Un autre rituel est venu égailler nos rencontres. Très vite elle m'a demandé de venir la voir avec un caleçon blanc ! C'est son obsession et son phantasme qui doit très certainement remonter à sa jeunesse (premier amant ou premier phantasme, je n'ai jamais osé lui demander, c'est con !). Elle me demande alors de bien bander sous mon caleçon. Elle mate alors avec gourmandise le renflement énorme de mon caleçon avant de me demander de me retourner. Elle descend alors doucement mon caleçon à la naissance de ma raie des fesses puis de plus en plus bas ou enfonce bien le tissus dans mon sillon pour mater mes formes. Après elle aime bien faire ressortir ma grosse queue coincée entre mes cuisses avant de m'enculer avec le caleçon sous les fesses tout en tripotant ma queue à travers le caleçon. Très excitant tout ces petits jeux qui alimentent ses phantasmes. Preuve qu'une pute peut avoir une libido et un univers phantasmatique peut être plus développé que nous !
Certains jours, nos variations se faisaient à plusieures mains. La première fois, j'étais comme souvent (sauf en plein hiver) entièrement à poil en train de jouir comme un vraie petite salope sous ses assauts divins. Je l'entend alors parler à un autre habitué « Viens Querido, on va s'amuser à plusieurs » Je vois alors se rapprocher un mec ordinaire, prototype du beauf de banlieue, marié avec des gamins qui viens se vider les couilles. « Baise le, vas y, c'est une vraie petite salope ! » A ces mots mon excitation augemente d'un coup ; quel délice d'être ainsi offert sans mon accord à n'importe qui ! Le mec hésite un peu,visiblement plus attiré par le cul très féminin de Caterine que par le mien. Je suis alors plutôt véxé. Le mec ayant tout de même sorti sa queue, je prend l'initiative de le sucer sous le regard complice de ma maîtresse en perversité. « Tu vois comme elle suce bien ! Et son cul est encore meileur ! » Le mec est alors très vite conquis par nos arguments ! Il enfile une capote et m'enfile sans ménagement mais sans difficultés ! Et je me retrouve entièrement à poil me faisant enculer par un beauf poilu en suçant la délicieuse bite de Caterina, un vrai pied. Le mec s'enhardit à un moment à me tripoter ma grosse queue bien dure « Putain quelle queue merde ! » Lache t'il vulgairement. « C'est vachement bon d'enculer un jeune pédé comme ça ! » Merci pour le compliment je vais rougir ! Ils me baisèrent ainsi tous les deux le cul et la bouche un long moment avant de jouir qui sur mon cul qui sur ma gueule. C'étais sublime. J'étais souillée comme une pute de bas étage et j'ai du ruiner un paquet entier de kleenex pour me faire une toilette de chat (chatte ?) mais ca valait vraiment le coup ! Quel pied j'ai pris quand le mec à payé Caterina « Tu la ramenaras souvent ta petite pute ? » « Oui elle viens souvent ne t'en fait pas ! » J'étais completement exploitée mais quel pied !
Une autre fois, la situation fut inversée. Ne trouvant pas Caterina près de l'avenue, je m'enfonce vers ses lieux de prédilection. Au bout de quelques minutes de recherche (elle ne se met pas toujours dans les mêmes lieux) je la trouve en train d'enculer un vieux sur une souche d'arbre coupée. Le vieux a l'air de prendre grave son pied. « Hola mi amor ! Viene ! » Je m'approche d'elle la queue à la main,me la prend de sa main douce mais musclée et se retire du cul du mec. « Vas y baise le ! » L'idée d'enculer un vieux ne m'engageais guère mais je ne sais pas lui dire non ! Après avoir enfilé une capote qu'elle m'a tendu, je m'enfonce donc en lui, sans aucun problème. Et à ma grande surprise j'adore cela ; ce petit vieux d'une soixantaine d'année qui fait visiblement du cyclisme a un superbe cul blanc, super doux, parfaitement épilé et super musclé tout comme ses jambes. Il est dans une position d'offrande totale se laissant enculer par ma grosse queue sans même se retourner, sans appréhension, sans même oser respirer ou dire un mot ! Je me surpend donc à le limer frénétiquement avec délice et jubilation, tripotant avec avidité sa peau douce et musclée qui me faisais vraiment bander. Puis viens le coup de grace absolu ! Catherine, me glisse un doigt plein de crème dans le cul avant de m'enculer d'un coup sec. Je suis alors au paradis. Je cale mon rythme sur le rythme de ma maîtresse dans l'art de la pénétation et je suit son enseignement avec rigueur, plaisir et émotion... Je pouse comme d'habitude de petits cris de jouissance que je ne peux restreindre compte tenu du niveau de stimulation physique et cérébrale que je vivais. Nous avons éjaculé toutes les deux ensemble, le vieux n'ayant joui que du cul, son sexe étant resté semi mou pendant tout l'acte, malgré mes sollicitations ! Caterina m'offrant ainsi, comme souvent sa semence précieuse (car son excitation est primordiale pour son métier) comme à chaque fois une preuve de l'amour et du désire qu'elle avait pour moi.
Et cela lui donnais également le prétexte (fallacieux) de me demander si je pouvais la raccompagner chez elle ! Chose que je faisais à chaque fois avec joie ! Rien que le voyage valais le coup ! Elle adore me branler et me sucer pendant que je conduis avant de m'enfoncer un doigt dans le cul. Au feux rouges, elle adorre sortir ses gros nichons pour exciter les routiers ou les chauffeurs de taxi qui n'en croient pas leurs yeux et qui me font un clin d'oeil complice et envieux !
Nous arrivons chez elle porte de st Ouen, un de mes quiartiers fétiches. C'est petit, mais mignon et super bien organisé. On peut même dire qu'elle est limite maniaque et qu'il ne faut pas modifier son organisation. Sur les murs des crucifix, madonnes et autres clandriers pieux sud américain donnent un côté Kitch et surréaliste à son décor. Le rituel est toujours le même, après avoir déplié de le canapé situé sous sa mezzanine, avoir changé les draps, on se met à poil tous les deux en sirotant un coca en en fumant un cigarette et nos queues entre tafs ! C'est doux, c'est cool, presque tendre et finalement très différent de l'ambiance du bois. Une fois même elle me prodigua une séance de véritable tendresse qui tranche avec son caractère décidé, bien trempé, limite dur qu'elle arbore au Bois. Mais en fait c'est une cuirasse que toutes les filles ou presque sont obligées d'endosser sous peine d'attirer les salauds.
Un soir donc elle allume une bougie, éteint les lumières, etend un grand couverture se glisse nue dessous et me demande de venir me glisser sous la couette avec elle. Nous nous retrouvons je crois pour la première fois enlacès de cette manière, son corps chaud contre le mien, sa queue dure contre la mienne en nous roulant une pelle vertigineuse à couper le souffle. Elle m'enlace fort comme pour mieux me faire comprendre ce qu'elle éprouve pour moi. C'est un instant magique que je n'ai pas l'habitude de connaître avec une créature de mon sexe (avec les femmes dieu soit loué c'est courant !). Et là, je me dis au fond de moi, toi mon gars t'es en train de devenir vraiment pédé ! Si je ressent énormément de plaisir avec Caterina, je n'en suis pas amoureux, nos milieux et nos cultures sont trop différents. Mais, j'ai conscience qu'une créature de mon propre sexe partageant plus que mes goûts sexuels pourrait très bien me faire basculer dans l'homosexualité totale. Encore faudrait il la trouver cette créature ! Je doute qu'elle existe, donc pour le moment je recherche plutôt la femme qui partagerai mon goût pour les pratiques sexuelles « déviantes » comme on dit dans les milieux bourgeois !
Je reviens à ma chère Caterina, qui au bout de 10 minutes de tendresse a repris ses esprits et m'encule la tête sur l'oreiller de plus belle ! Elle me prend et me retrourne dans toutes les positions. C'est hallucinant de vivre ce que je fais subir à mes victimes féminines, et finalement je les envie ! Que c'est bon de n'être qu'un trou à bite, un corps abandonné uniquement concu pour donner du plaisir à un autre.
Ce soir là javais très envie de retrouver un super beau mec que j'avais surpris entièrement nu, musclé et bronzé en train de se branler au soleil dans un boscquet du bois. Nous avions baisé comme des fous tous les deux et connement je n'avais pas demandé ses coordonnées. Si jamais il se reconnais qu'il me fasse signe !
Hélas, trois fois hélas, que dale ce soir là ; la nuit commencais à tomber et je ne croisait que des filles du XVIème coincées et des gogos en goguette dans les allées. Pas très sexy. A défaut d'extra, je vais donc devoir me rabattre sur le plat du jour, la pute sud américaine !
Il commence à faire réellement nuit mais je distingue quand même le corps d'une sud américaine très dénudée au détour d'un bosquet ; « Eh querido, t'as du feu ! » Je m'arrête pour lui en proposer ; elle n'est pas très jolie mais à une très belle paire de nichons et une très belle queue semi dure qu'elle exhibe fièrement au dessus de ses cuissardes ; tout ce que j'aime. Elle se penche sur moi pour allumer sa clope, en me mettant la main au cul « Que culo ! Tu as envie que je m'occupe de tes jolies petites fesses ? » C'étais la première fois que l'on me draguait directement pour m'enculer ! Je dois avouer que j'étais très excité par cette proposition, même si je n'avais été encore que très peu souvent pénétré et que j'en gardais encore une certaine apréhension. Je me sent irrésistiblement attiré par sa queue que je me permet de caresser. Elle est très belle, pas très grosse mais deviens très vite très dure dans ma main. Elle faisais partie de ces travestis, ultra minoritaires au Bois qui ne se font que rarement baisées mais qui baisent les mecs. Sa main sur mon cul est maintenant passée sous le tissus de mon short et elle titille tout doucement avec doigté ma rosette. Je sent la véritable professionnelle et je suis sous le charme ; ma queue est tendue à craquer, sans même une stimulation pour l'aider ! « Je n'ai pas beaucoup d'argent ma belle (et c'étais vrai je me déplaçais rarement avec beaucoup de liquide sur moi pour un jogging), je n'ai que 50 Francs malheureusement » lui lachai-je en me disant qu'elle allait m'envoyer chier pour cette somme ridicule ! « Ok chéri ! Viens suit moi ! » Je n'en revenais pas qu'elle accepte. Je comprendrais plus tard qu'elle fais également partie des trav qui prennent réellement leur pied en faisant leur métier et qui se constitue une véritable clientèle d'habitués. J'ai donc été choisi par elle pour faire partie du cercle très fermé de ses amants qui ne payent qu'une somme symbolique mais a qui elle peut demander ce qu'elle veut !
Je la suis fiévreusement dans les sentiers sombres du bois. L'odeur de la fôret conjuguée à la douceur de la température étais délicieuse. Le trajet fut long, très long. Je compris également plus tard qu'elle emmenait ses « queridos » préférés le plus loin possible pour pouvoir baiser tranquillement et longtemps sans être dérangé ! Je marche devant elle et elle me donne déjà ces premiers ordres « à droite, à gauche, tout droit » Fou d'excitation, je commence à me foutre à poil ce qui a l'air de lui plaire. Juste éclairé par la pleine lune, mon cul blanc ressortais bien au contraste de ma peau bronzée. « Que culo mi amor ! » Et elle joint le geste à la parole en mettant immédiatement la main au cul. Je marche ainsi un long moment entièrement à poil (mis à part les chaussures) en pleine nuit dans un bois public, ma queue lourde et turgescente de plaisir me faisant presque mal à chaque pas, en ayant au cul une main de trav en cuissarde les nichons et la bite à l'air ! C'étais déjà sublime, il n'en fallait pas plus pour me combler !
Et pourtant ce n'étais rien face à ce qu'il m'attendais ! Nous arrivons au bout de plus de 5 minutes de marche qui me parurent des heures dans son antre. A la différence des autres trav qui se cachais entre 3 ou 4 trons d'arbres par une toile tendue, Caterine officiait toujours en plein air, sans cache, certainement pour assouvir son côté exhibitonniste.
Elle me demande mon petit cadeau et me demande de me mettre à genou sur un petit tapis et de la sucer. J'apprécie le petit détail de confort et je commence à la sucer avec avidité. Comme d'habitude, j'obtiens rapidement de petits râles de satisfaction car je pense avoir une bonne maîtrise de la technique de fellation, ce que je ne suis pas sur de maîtriser aussi bien pour le cunilingus malheureusement ! Alors que j'adorre bouffer pendant des heures une bonne chatte, j'ai toujours l'impression de donner plus de plaisir à un homme qu'à une femme avec ma bouche. Je sais qu'une femme est plus longue a avoir du plaisir ou un orgasme qu'un homme mais ce contraste m'a toujours perturbé, me sentant finalement moins bon amant hétéro qu'homo !
Pour l'heure je me régale avec cette belle queue parfaite, ni trop grosse, ni trop petite, bien dessinée, assez large, très très dure et sentant super bon malgré toutes les bouches et les culs qui avaient du passer dessus ! En fait son truc s'étais une hygiène irréprochable avec un nettoyage avec des lingettes anti bactiériennes après chaque rapport et un petit coup de parfum ! Délicieux ! Et elle semblait apprécier autant que moi ; elle maintenais fermement ma tête, guidant son rythme. Je la sucais un long très long moment, 10 minutes peut être, tout en tripotant ses très beaux nichons, son gros cul très ferme, ses cuisses si douces. Je commençais à comprendre qu'elle ne voulais pas de l'abattage mais avant tout du plaisir « Prend ton temps quérido, on a tout notre temps ! » Extra ordinaire pour seulement 50 francs ! Aujourd'hui encore, je la baise pour 10 euros (parfois même 5 quand je suis raide !) et cela dure une demi heure à une heure. Mieux, j'ai même passé plusieures fois une partie de la nuit chez elle pour ce tarif. Même une épouse demande plus !
Puis subitement elleme repouse doucement mais fermement et me demande de m'allonger nu dans la mousse. Je me retrouve ainsi entièrement nu (cette fois j'avais enlevé mes shoes !), allongé en pleine nuit sous la pleine lune sur un délicieux matelas de mousse qui sentais si bon l'humus, les cuisses relevées comme une petite pute qui allais se faire baiser. Elle prend chacune de mes jambes sur ses épaules, me tend une noistte de gel pour mon cul avant d'enfiler une capote. Je suis super bien mais malgré tout un peu fébrile à l'idée de me faire baiser ainsi par sa grosse queue loin de tous.
Je me passe le gel sur le cul et m'introduit un, puis deux puis trois doigts afin de bien dilater mon petit cul. Caterine viens alors pointer son gland à l'entrée de mon anus « N'ai pas peur querido, détends toi, je ne vais pas te faire mal » Je me laisse alors completement aller tout en confiance et j'avais raison ; sa queue rentre en douceur au plus profond de moi tout en douceur. Puis elle commence à me limer avec une incroyable dextérité ! C'est divin, je suis au Paradis, je n'ai jamais ressenti un tel plaisir anal. Je ne peux m'empecher de lacher de petits cris de pucelle en pamoison ! « Chut, laisse toi aller chéri, ne fais pas de bruit » J'essaie donc de jouir en silence ce qui semble m'exciter encore plus ! Ma queue est encore plus douloureuse qu'avant, je sent que je peux jouir sans même me branler ! Puis très rapidement, elle change de position, me met à quarte pattes puis me relime avec force et douceur, sa marque de fabrique ! Quelques trop courtes minutes dans cette position, puis elle me demande de me lever, de me baisser en prenant appui de mes avant bras sur une grosse souche d'arbre. Là encore l'extase totale.
Je suis alors totalement à elle. Elle peut faire ce qu'elle veut de moi ! Et ne s'en prive pas ! J'ai le cul super sensible, à fleur de peau, mais sans aucune douleur. Elle me prend et me reprend dans toutes les positions et j'adore cela ; elle est maintenant en train de me limer tous les deux couchés sur le côté dans la mousse. Elle branle ma grosse queue et je lui ralenti sa caresse de peur de jouir trop vite ! Puis elle me demande de m'assoir en tailleur et elle s'empale sans préparation mais tout doucement sur ma grosse queue nue ! Je n'ai pas l'habitude de faire l'amour sans protection mais là le plaisir étais trop grand. Et j'ai pu constater par la suite qu'elle ne fais pratiquement jamais cela, je dois être une exception car je pense qu'elle est secrètement amoureuse de moi mais n'osera jamais me l'avouer ! Et elle reste très prudente en me demandant instemment de ne pas jouir en elle ! Nous commençons alors à nous enlacer fortement et à nous embrasser à pleine bouche. C'est réellement délicieux et fort. Elle écrase sa grosse poitrine contre la mienne en me malaxant la tignase entre ses ongles manucurés. Je sent qu'il se passe alors quelque chose de fort entre nous, qui n'est pas près de s'arrêter !
Elle finis, au bout d'au moins une demi heure de limage incessant par me mettre à quarte pattes, m'écraser les épaules par terre, me redresser bien mon petit cul qu'elle baise maintenant de plus en plus fort et je la sent jouir dans mon cul en s'agripant à ma queue et nous jouissons toutes les deux ensemble comme des folles (je me sent tellement femme à ce moment que j'emploie le féminin !).
Nous nous écroulons toutes les deux nues (elle a tout de même gardé ses cuissardes) sur la mousse et nous nous caressons amoureusement avant d'allumer une cigarette. Je lui avoue n'avoir jamais pris mon pied comme cela au par avant ni avec un homme ni avec une femme. Elle me fait promettre de revenir la voir souvent...
Je tiens encore ma promesse aujourdh'ui 15 ans après ! Pendant toutes ces années les rituels sont restés à peu près intacts ; je me fous à poil devant elle avant d'avoir atteint notre lieu de baise excentré afin qu'elle puisse mater mon cul, je la suce avant qu'elle ne m'encule dans toutes les positions, je la prend en fleur de lotus sans capote avec de longs échanges de baisers et de caresses. Un autre rituel est venu égailler nos rencontres. Très vite elle m'a demandé de venir la voir avec un caleçon blanc ! C'est son obsession et son phantasme qui doit très certainement remonter à sa jeunesse (premier amant ou premier phantasme, je n'ai jamais osé lui demander, c'est con !). Elle me demande alors de bien bander sous mon caleçon. Elle mate alors avec gourmandise le renflement énorme de mon caleçon avant de me demander de me retourner. Elle descend alors doucement mon caleçon à la naissance de ma raie des fesses puis de plus en plus bas ou enfonce bien le tissus dans mon sillon pour mater mes formes. Après elle aime bien faire ressortir ma grosse queue coincée entre mes cuisses avant de m'enculer avec le caleçon sous les fesses tout en tripotant ma queue à travers le caleçon. Très excitant tout ces petits jeux qui alimentent ses phantasmes. Preuve qu'une pute peut avoir une libido et un univers phantasmatique peut être plus développé que nous !
Certains jours, nos variations se faisaient à plusieures mains. La première fois, j'étais comme souvent (sauf en plein hiver) entièrement à poil en train de jouir comme un vraie petite salope sous ses assauts divins. Je l'entend alors parler à un autre habitué « Viens Querido, on va s'amuser à plusieurs » Je vois alors se rapprocher un mec ordinaire, prototype du beauf de banlieue, marié avec des gamins qui viens se vider les couilles. « Baise le, vas y, c'est une vraie petite salope ! » A ces mots mon excitation augemente d'un coup ; quel délice d'être ainsi offert sans mon accord à n'importe qui ! Le mec hésite un peu,visiblement plus attiré par le cul très féminin de Caterine que par le mien. Je suis alors plutôt véxé. Le mec ayant tout de même sorti sa queue, je prend l'initiative de le sucer sous le regard complice de ma maîtresse en perversité. « Tu vois comme elle suce bien ! Et son cul est encore meileur ! » Le mec est alors très vite conquis par nos arguments ! Il enfile une capote et m'enfile sans ménagement mais sans difficultés ! Et je me retrouve entièrement à poil me faisant enculer par un beauf poilu en suçant la délicieuse bite de Caterina, un vrai pied. Le mec s'enhardit à un moment à me tripoter ma grosse queue bien dure « Putain quelle queue merde ! » Lache t'il vulgairement. « C'est vachement bon d'enculer un jeune pédé comme ça ! » Merci pour le compliment je vais rougir ! Ils me baisèrent ainsi tous les deux le cul et la bouche un long moment avant de jouir qui sur mon cul qui sur ma gueule. C'étais sublime. J'étais souillée comme une pute de bas étage et j'ai du ruiner un paquet entier de kleenex pour me faire une toilette de chat (chatte ?) mais ca valait vraiment le coup ! Quel pied j'ai pris quand le mec à payé Caterina « Tu la ramenaras souvent ta petite pute ? » « Oui elle viens souvent ne t'en fait pas ! » J'étais completement exploitée mais quel pied !
Une autre fois, la situation fut inversée. Ne trouvant pas Caterina près de l'avenue, je m'enfonce vers ses lieux de prédilection. Au bout de quelques minutes de recherche (elle ne se met pas toujours dans les mêmes lieux) je la trouve en train d'enculer un vieux sur une souche d'arbre coupée. Le vieux a l'air de prendre grave son pied. « Hola mi amor ! Viene ! » Je m'approche d'elle la queue à la main,me la prend de sa main douce mais musclée et se retire du cul du mec. « Vas y baise le ! » L'idée d'enculer un vieux ne m'engageais guère mais je ne sais pas lui dire non ! Après avoir enfilé une capote qu'elle m'a tendu, je m'enfonce donc en lui, sans aucun problème. Et à ma grande surprise j'adore cela ; ce petit vieux d'une soixantaine d'année qui fait visiblement du cyclisme a un superbe cul blanc, super doux, parfaitement épilé et super musclé tout comme ses jambes. Il est dans une position d'offrande totale se laissant enculer par ma grosse queue sans même se retourner, sans appréhension, sans même oser respirer ou dire un mot ! Je me surpend donc à le limer frénétiquement avec délice et jubilation, tripotant avec avidité sa peau douce et musclée qui me faisais vraiment bander. Puis viens le coup de grace absolu ! Catherine, me glisse un doigt plein de crème dans le cul avant de m'enculer d'un coup sec. Je suis alors au paradis. Je cale mon rythme sur le rythme de ma maîtresse dans l'art de la pénétation et je suit son enseignement avec rigueur, plaisir et émotion... Je pouse comme d'habitude de petits cris de jouissance que je ne peux restreindre compte tenu du niveau de stimulation physique et cérébrale que je vivais. Nous avons éjaculé toutes les deux ensemble, le vieux n'ayant joui que du cul, son sexe étant resté semi mou pendant tout l'acte, malgré mes sollicitations ! Caterina m'offrant ainsi, comme souvent sa semence précieuse (car son excitation est primordiale pour son métier) comme à chaque fois une preuve de l'amour et du désire qu'elle avait pour moi.
Et cela lui donnais également le prétexte (fallacieux) de me demander si je pouvais la raccompagner chez elle ! Chose que je faisais à chaque fois avec joie ! Rien que le voyage valais le coup ! Elle adore me branler et me sucer pendant que je conduis avant de m'enfoncer un doigt dans le cul. Au feux rouges, elle adorre sortir ses gros nichons pour exciter les routiers ou les chauffeurs de taxi qui n'en croient pas leurs yeux et qui me font un clin d'oeil complice et envieux !
Nous arrivons chez elle porte de st Ouen, un de mes quiartiers fétiches. C'est petit, mais mignon et super bien organisé. On peut même dire qu'elle est limite maniaque et qu'il ne faut pas modifier son organisation. Sur les murs des crucifix, madonnes et autres clandriers pieux sud américain donnent un côté Kitch et surréaliste à son décor. Le rituel est toujours le même, après avoir déplié de le canapé situé sous sa mezzanine, avoir changé les draps, on se met à poil tous les deux en sirotant un coca en en fumant un cigarette et nos queues entre tafs ! C'est doux, c'est cool, presque tendre et finalement très différent de l'ambiance du bois. Une fois même elle me prodigua une séance de véritable tendresse qui tranche avec son caractère décidé, bien trempé, limite dur qu'elle arbore au Bois. Mais en fait c'est une cuirasse que toutes les filles ou presque sont obligées d'endosser sous peine d'attirer les salauds.
Un soir donc elle allume une bougie, éteint les lumières, etend un grand couverture se glisse nue dessous et me demande de venir me glisser sous la couette avec elle. Nous nous retrouvons je crois pour la première fois enlacès de cette manière, son corps chaud contre le mien, sa queue dure contre la mienne en nous roulant une pelle vertigineuse à couper le souffle. Elle m'enlace fort comme pour mieux me faire comprendre ce qu'elle éprouve pour moi. C'est un instant magique que je n'ai pas l'habitude de connaître avec une créature de mon sexe (avec les femmes dieu soit loué c'est courant !). Et là, je me dis au fond de moi, toi mon gars t'es en train de devenir vraiment pédé ! Si je ressent énormément de plaisir avec Caterina, je n'en suis pas amoureux, nos milieux et nos cultures sont trop différents. Mais, j'ai conscience qu'une créature de mon propre sexe partageant plus que mes goûts sexuels pourrait très bien me faire basculer dans l'homosexualité totale. Encore faudrait il la trouver cette créature ! Je doute qu'elle existe, donc pour le moment je recherche plutôt la femme qui partagerai mon goût pour les pratiques sexuelles « déviantes » comme on dit dans les milieux bourgeois !
Je reviens à ma chère Caterina, qui au bout de 10 minutes de tendresse a repris ses esprits et m'encule la tête sur l'oreiller de plus belle ! Elle me prend et me retrourne dans toutes les positions. C'est hallucinant de vivre ce que je fais subir à mes victimes féminines, et finalement je les envie ! Que c'est bon de n'être qu'un trou à bite, un corps abandonné uniquement concu pour donner du plaisir à un autre.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
j'ai habité a boulogne, traversé le bois des centaines de fois, me suis arrêté pour des fellations j'ai cherché a me faire sodomiser, jamais trouvé une trans vraiment actif, j'aurais vraiment aimé partagé ton amie, quelle chance tu as eue, je suis loin maintenant et dans un coin pas trop fréquenté par les trans, 82, je cherche, alors si vous voyez mon message!!!!
Erratum : Hommage à Vanessa Campos. Ton histoire est très excitante mais la réalité bien sordide, hélas.
Hommage aux travailleuses du sexe du Bois de Boulogne. RIP Maria Campos belle Péruvienne assassinée il y a QQ années.