Cécile 37 ans et Greg 18 ans suite
Récit érotique écrit par Greg59 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-05-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Cécile 37 ans et Greg 18 ans suite
Nous venons de faire l'amour Cécile et moi. Nous sommes réunis sur le canapé dans un état second, entre le rêve et le fantasme avec la ferme intention d'y rester le plus longtemps possible. Mais, nous revenons brusquement à la réalité, beaucoup plus rapidement que nous ne l'imaginions. La porte d'entrée s'ouvre et nous envoie un ascenseur immédiat vers ce monde réel que ne nous voulions plus voir. Antoine mon colocataire déboule avec force dans l'appartement.
Cécile, mère de famille que j'ai rencontré à l’hôpital quelques jours plus tôt et moi, jeune étudiant qui aspire à devenir médecin mais qui n'en est qu'au début de ses études sommes sur le canapé du salon de l'appartement que je partage avec Antoine depuis le début de l'année scolaire. Cécile est penchée sur moi et avec sa langue experte nettoie les derniers signes de nos émois. Elle s'applique et ne veut pas laisser une seule trace, un seul fragment, une odeur. Comme un voleur qui vient de commettre un forfait, elle efface méticuleusement toute trace de son passage.
Lorsque la porte s'ouvre, ma première pensée va vers ma complice qui va se trouver terriblement gênée, probablement se relever de suite et confuse se réajuster rapidement. J'imagine que toute rouge, elle va se cacher à nouveau sous sa frange et tenter de se fondre dans le décor.
Se cacher est particulièrement compliqué dans un appartement d'étudiants ou la décoration et les meubles sont approximatifs, simplissimes, les pièces sans réelle destination. On trouve pelle mêle dans les lieux un canapé sur lequel nous sommes, une table envahie par les livres, quelques chaises dépareillées et au loin une cuisine très sommaire. Le plus improbable est un buffet ancien qui trône contre le mur dans lequel est rangée la vaisselle et qui provient d'un grand parent ou d'un vieil oncle décédé récemment. Cécile, avec son charme, sa prestance , son coté bourgeoise la quarantaine dénote complètement avec ce décors et ne dois pas se sentir très à l'aise. Même la salle de bain n'a pas de porte et trouver une cache relève donc de l'exploit. On ne peut pas se fondre dans le décor qui manque de superflu.
Toutefois, contrairement à moi, Cécile possède l'avantage stratégique de ne pas s'être totalement déshabillée, elle a gardé sa jupe courte et son pull. Sa culotte en revanche est partie voler à l'autre bout de l'appartement. Pour ma part, je suis nu comme un vers et je ne vois pas comment je pourrais donner le change. Antoine n'est pas encore rentré dans la pièce que je commence déjà à rougir et je recherche autour de moi quelque chose, un habit, un coussin qui pourrait cacher ma nudité.
Antoine est un grand gaillard de 2 mètres, professionnel de basket à Lille, il est aussi baraqué que je suis frêle, bien plus grand que moi et ses muscles sont saillants. Il les mets d'ailleurs en valeur dans ses vêtements collés à la peau et très échancrés. Il porte ce jour la un jean noir et un pull bleu clair à même la peau.
Quand Antoine déboule dans la pièce, Cécile, contre toute attente, reste allongée sur moi et continue à lécher mon sexe, doucement, lentement, méticuleusement. Antoine nous voyant ainsi se bloque un moment semblant perdre ses moyens puis me lance un sourire accompagné d'un clin d’œil. Il ne sait trop quoi dire et ne s'attendait pas à cette situation. Lui qui d'ordinaire est très en verve et blagueur, se trouve pris au dépourvu. Finalement il parvient à parler.
je vous laisse 2 minutes et vous faites des bêtises.
L'arrivé à l'improviste de mon colocataire m'a quelque peu émoustillé et mon sexe commence à se raidir sous la langue de Cécile qui en profite pour l'avaler à nouveau et le faire entrer presque totalement dans sa bouche chaude et douce. Elle fait quelques va et vient et mon engin finit de se durcir dans la bouche experte de ma maîtresse.
Antoine ne sais que faire. Je crois que c'est la première fois que je le vois ainsi, perdant sa prestance naturelle et son bagou qui vous saoulerait un animateur radio ou une gardienne d'immeuble. Il ne sait que faire et décide de rester en retrait pour le moment. Je vois néanmoins une bosse énorme qui déforme son pantalon. Comme moi la situation l'excite beaucoup. Cécile, qui n'est pas dupe de la situation, se relève et vient me susurrer à l'oreille.
tu veux que ton copain me baise ?
je ne sais pas, tu as envie toi ?
Si tu as envie alors j'ai envieOui j'ai envie.
Cécile redescend alors s’emparer à nouveau de mon sexe qu'elle englouti dans sa bouche experte et d'un geste élégant relève sa jupe dévoilant à Antoine son corps superbe, ses courbes magiques, ses fesses petites et fermes, son sexe lisse ouvert et trempé. Antoine saisit l'invitation et s'approche doucement de nous. Sa main, timide pour une fois se pose sur les fesses de Cécile qu'il commence à caresser, l'une puis l'autre pour finalement faire disparaître 2 doigts à l'intérieur.
Cécile ferme les yeux et commence à respirer plus fort. Elle ne retire pas mon sexe de sa bouche et continue de le sucer avec la même attention. Toutefois, a ses mouvements saccadés je la sens perturbée par les doigts d'Antoine qui lui font perdre peu à peu ses moyens. Cette situation m'excite encore plus. Un moment après, ses mouvements deviennent complètement désordonnés et je dois lui saisir la tête pour retrouver des gestes plus justes et langoureux en imprimant moi même un rythme. J'adore sa bouche, le contact de ses lèvres sur mon sexe maintenant très dur me procure une sensation sans égal. J'accélère le mouvement et commence à lui faire l'amour, dans sa bouche.
Antoine enlève ses doigts du sexe de Cécile puis se penche sur ses fesses et commence à lui lécher la chatte puis son anus et alterne ensuite de l'un à l'autre. Ses gestes sont grossiers, saccadés, bien loin de la douceur que j'ai pu prodiguer à ma dulcinée quelques instants plus tôt. Je me dis à ce moment la qu'Antoine est en train de lécher mon sperme et me promet de lui raconter plus tard. Mon sexe va de plus en plus vite dans la bouche de Cécile et je lui tiens toujours fermement la tête. Elle semble apprécier mes élans dirigés qui l'oblige à sucer cette bite bien dure qui rempli sa bouche et l’empêche de respirer normalement. Cette bite qui la possède comme elle possédait son sexe un moment avant.
C'est l'instant qu'Antoine choisit pour enlever son pantalon et sortir un engin énorme qu'il exhibe à ma vue. Je le pensais bien monté mais pas à ce point la. Il tient son sexe dur dans ses deux mains et la tête dépasse encore. La largeur également est impressionnante. Je me dis à ce moment la que Cécile risque d'avoir mal. Dans la position ou elle est elle ne peut heureusement voir l'engin et cela l'empêche d'appréhender. Je ne peux m'empêcher de faire une grimace et je me dis que son petit cul va exploser. Mon sexe est dur comme jamais et me fait mal. Contrairement à son habitude, Antoine pour une fois n'est pas un sauvage et pénètre doucement le sexe qui s'offre à lui, ouvert et prêt à l'accueillir.
Au début tout se passe bien et Cécile ne se rend pas compte de ce qui est en train de la pénétrer. Puis au fur et à mesure que l'engin entre en elle, elle commence à comprendre ce qui la remplit petit à petit, totalement, entièrement et étire au maximum les lèvres de son intimité. Elle retire mes mains de sa tête et sort mon sexe de sa bouche, puis se retourne pour mieux visualiser la chose. Constatant que le visuel est encore pire que ce qu'elle imaginait, elle se cambre au maximum et écarte ses fesses avec ses mains pour permettre à Antoine de pénétrer plus facilement. A ma grande stupeur le sexe de mon colocataire finit par entrer pour la plus grande partie dans le ventre de ma dulcinée et commence même à bouger par de lents va et viens qui progressivement s’accélèrent. Cécile au début fait quelques grimaces puis tout doucement commence à lâcher de petits cris qui prennent vite de la vigueur et deviennent ensuite des hurlements de plaisir. Elle s'écroule sur moi et laisse ce marteau lui pilonner l'intérieur, s'abandonnant totalement au plaisir. Un moment après elle jouit avec une force que je ne lui connaissais pas et s'effondre sur le canapé. Antoine continue ses allers et venues quelques temps puis jouit également dans un long râle que l'on aurait cru d'une bête sauvage. Il reste en elle un moment puis se retire et s'affale sur le coté dans le canapé.
Reprenant ses esprits et observant mon sexe toujours en érection, Cécile le prend à nouveau dans sa bouche et reprend son mouvement mais rapidement cette fois. Elle n'a plus besoin de mon aide et mes mains caressent désormais ses cheveux souples et soyeux. Sa main gauche caresse mes testicules puis descend jusqu'à l'entrée de mon anus dont elle malaxe délicatement l'entrée. Lorsque son doigt agile pénètre à l'intérieur , je jouis dans sa bouche, sous l'excitation de la scène qui venait de se passer et du plaisir nouveau du doigt que je sentais en moi pour la première fois. Cécile laisse le liquide lui remplir la bouche puis l'avale délicatement, lentement, Elle finit son ouvrage en aspirant consciencieusement les dernières gouttes emprisonnées à l'intérieur de moi et je peux voir ses joues qui se creusent sous l'aspiration qu'elle imprime. Quand elle retire sa bouche, mon sexe est à nouveau propre.
Nous restons ensuite un long moment allongés sur le canapé, les corps enchevêtrés, épuisés. Je savoure ce qui vient de se passer et je me demande comment toutes ces choses ont pu arriver, en si peu de temps. Il y a quelques jours je ne connaissais pas Cécile et n'osais pas l'aborder. Elle, mère de famille, si distante et inaccessible. Je l'ai ensuite séduite d'une façon dont je n'aurais jamais pu imaginer que cela puisse m'arriver. Aujourd'hui elle réalise tous mes fantasmes et bien plus encore. Elle me comble totalement et lit mes désirs en moi comme dans un livre ouvert. Elle prend tellement de plaisir que je me demande aussi si elle vit ses propres fantasmes ou si elle fait tout cela pour moi. Je crois que c'est un peu des deux et que nous nous comprenons mutuellement. Je vois en elle la femme idéale, celle que j'ai toujours voulu connaître, chérir et aimer dans mes fantasmes les plus fous. Je suis le plus heureux des hommes et je crois que je suis tombé amoureux.
Cécile, mère de famille que j'ai rencontré à l’hôpital quelques jours plus tôt et moi, jeune étudiant qui aspire à devenir médecin mais qui n'en est qu'au début de ses études sommes sur le canapé du salon de l'appartement que je partage avec Antoine depuis le début de l'année scolaire. Cécile est penchée sur moi et avec sa langue experte nettoie les derniers signes de nos émois. Elle s'applique et ne veut pas laisser une seule trace, un seul fragment, une odeur. Comme un voleur qui vient de commettre un forfait, elle efface méticuleusement toute trace de son passage.
Lorsque la porte s'ouvre, ma première pensée va vers ma complice qui va se trouver terriblement gênée, probablement se relever de suite et confuse se réajuster rapidement. J'imagine que toute rouge, elle va se cacher à nouveau sous sa frange et tenter de se fondre dans le décor.
Se cacher est particulièrement compliqué dans un appartement d'étudiants ou la décoration et les meubles sont approximatifs, simplissimes, les pièces sans réelle destination. On trouve pelle mêle dans les lieux un canapé sur lequel nous sommes, une table envahie par les livres, quelques chaises dépareillées et au loin une cuisine très sommaire. Le plus improbable est un buffet ancien qui trône contre le mur dans lequel est rangée la vaisselle et qui provient d'un grand parent ou d'un vieil oncle décédé récemment. Cécile, avec son charme, sa prestance , son coté bourgeoise la quarantaine dénote complètement avec ce décors et ne dois pas se sentir très à l'aise. Même la salle de bain n'a pas de porte et trouver une cache relève donc de l'exploit. On ne peut pas se fondre dans le décor qui manque de superflu.
Toutefois, contrairement à moi, Cécile possède l'avantage stratégique de ne pas s'être totalement déshabillée, elle a gardé sa jupe courte et son pull. Sa culotte en revanche est partie voler à l'autre bout de l'appartement. Pour ma part, je suis nu comme un vers et je ne vois pas comment je pourrais donner le change. Antoine n'est pas encore rentré dans la pièce que je commence déjà à rougir et je recherche autour de moi quelque chose, un habit, un coussin qui pourrait cacher ma nudité.
Antoine est un grand gaillard de 2 mètres, professionnel de basket à Lille, il est aussi baraqué que je suis frêle, bien plus grand que moi et ses muscles sont saillants. Il les mets d'ailleurs en valeur dans ses vêtements collés à la peau et très échancrés. Il porte ce jour la un jean noir et un pull bleu clair à même la peau.
Quand Antoine déboule dans la pièce, Cécile, contre toute attente, reste allongée sur moi et continue à lécher mon sexe, doucement, lentement, méticuleusement. Antoine nous voyant ainsi se bloque un moment semblant perdre ses moyens puis me lance un sourire accompagné d'un clin d’œil. Il ne sait trop quoi dire et ne s'attendait pas à cette situation. Lui qui d'ordinaire est très en verve et blagueur, se trouve pris au dépourvu. Finalement il parvient à parler.
je vous laisse 2 minutes et vous faites des bêtises.
L'arrivé à l'improviste de mon colocataire m'a quelque peu émoustillé et mon sexe commence à se raidir sous la langue de Cécile qui en profite pour l'avaler à nouveau et le faire entrer presque totalement dans sa bouche chaude et douce. Elle fait quelques va et vient et mon engin finit de se durcir dans la bouche experte de ma maîtresse.
Antoine ne sais que faire. Je crois que c'est la première fois que je le vois ainsi, perdant sa prestance naturelle et son bagou qui vous saoulerait un animateur radio ou une gardienne d'immeuble. Il ne sait que faire et décide de rester en retrait pour le moment. Je vois néanmoins une bosse énorme qui déforme son pantalon. Comme moi la situation l'excite beaucoup. Cécile, qui n'est pas dupe de la situation, se relève et vient me susurrer à l'oreille.
tu veux que ton copain me baise ?
je ne sais pas, tu as envie toi ?
Si tu as envie alors j'ai envieOui j'ai envie.
Cécile redescend alors s’emparer à nouveau de mon sexe qu'elle englouti dans sa bouche experte et d'un geste élégant relève sa jupe dévoilant à Antoine son corps superbe, ses courbes magiques, ses fesses petites et fermes, son sexe lisse ouvert et trempé. Antoine saisit l'invitation et s'approche doucement de nous. Sa main, timide pour une fois se pose sur les fesses de Cécile qu'il commence à caresser, l'une puis l'autre pour finalement faire disparaître 2 doigts à l'intérieur.
Cécile ferme les yeux et commence à respirer plus fort. Elle ne retire pas mon sexe de sa bouche et continue de le sucer avec la même attention. Toutefois, a ses mouvements saccadés je la sens perturbée par les doigts d'Antoine qui lui font perdre peu à peu ses moyens. Cette situation m'excite encore plus. Un moment après, ses mouvements deviennent complètement désordonnés et je dois lui saisir la tête pour retrouver des gestes plus justes et langoureux en imprimant moi même un rythme. J'adore sa bouche, le contact de ses lèvres sur mon sexe maintenant très dur me procure une sensation sans égal. J'accélère le mouvement et commence à lui faire l'amour, dans sa bouche.
Antoine enlève ses doigts du sexe de Cécile puis se penche sur ses fesses et commence à lui lécher la chatte puis son anus et alterne ensuite de l'un à l'autre. Ses gestes sont grossiers, saccadés, bien loin de la douceur que j'ai pu prodiguer à ma dulcinée quelques instants plus tôt. Je me dis à ce moment la qu'Antoine est en train de lécher mon sperme et me promet de lui raconter plus tard. Mon sexe va de plus en plus vite dans la bouche de Cécile et je lui tiens toujours fermement la tête. Elle semble apprécier mes élans dirigés qui l'oblige à sucer cette bite bien dure qui rempli sa bouche et l’empêche de respirer normalement. Cette bite qui la possède comme elle possédait son sexe un moment avant.
C'est l'instant qu'Antoine choisit pour enlever son pantalon et sortir un engin énorme qu'il exhibe à ma vue. Je le pensais bien monté mais pas à ce point la. Il tient son sexe dur dans ses deux mains et la tête dépasse encore. La largeur également est impressionnante. Je me dis à ce moment la que Cécile risque d'avoir mal. Dans la position ou elle est elle ne peut heureusement voir l'engin et cela l'empêche d'appréhender. Je ne peux m'empêcher de faire une grimace et je me dis que son petit cul va exploser. Mon sexe est dur comme jamais et me fait mal. Contrairement à son habitude, Antoine pour une fois n'est pas un sauvage et pénètre doucement le sexe qui s'offre à lui, ouvert et prêt à l'accueillir.
Au début tout se passe bien et Cécile ne se rend pas compte de ce qui est en train de la pénétrer. Puis au fur et à mesure que l'engin entre en elle, elle commence à comprendre ce qui la remplit petit à petit, totalement, entièrement et étire au maximum les lèvres de son intimité. Elle retire mes mains de sa tête et sort mon sexe de sa bouche, puis se retourne pour mieux visualiser la chose. Constatant que le visuel est encore pire que ce qu'elle imaginait, elle se cambre au maximum et écarte ses fesses avec ses mains pour permettre à Antoine de pénétrer plus facilement. A ma grande stupeur le sexe de mon colocataire finit par entrer pour la plus grande partie dans le ventre de ma dulcinée et commence même à bouger par de lents va et viens qui progressivement s’accélèrent. Cécile au début fait quelques grimaces puis tout doucement commence à lâcher de petits cris qui prennent vite de la vigueur et deviennent ensuite des hurlements de plaisir. Elle s'écroule sur moi et laisse ce marteau lui pilonner l'intérieur, s'abandonnant totalement au plaisir. Un moment après elle jouit avec une force que je ne lui connaissais pas et s'effondre sur le canapé. Antoine continue ses allers et venues quelques temps puis jouit également dans un long râle que l'on aurait cru d'une bête sauvage. Il reste en elle un moment puis se retire et s'affale sur le coté dans le canapé.
Reprenant ses esprits et observant mon sexe toujours en érection, Cécile le prend à nouveau dans sa bouche et reprend son mouvement mais rapidement cette fois. Elle n'a plus besoin de mon aide et mes mains caressent désormais ses cheveux souples et soyeux. Sa main gauche caresse mes testicules puis descend jusqu'à l'entrée de mon anus dont elle malaxe délicatement l'entrée. Lorsque son doigt agile pénètre à l'intérieur , je jouis dans sa bouche, sous l'excitation de la scène qui venait de se passer et du plaisir nouveau du doigt que je sentais en moi pour la première fois. Cécile laisse le liquide lui remplir la bouche puis l'avale délicatement, lentement, Elle finit son ouvrage en aspirant consciencieusement les dernières gouttes emprisonnées à l'intérieur de moi et je peux voir ses joues qui se creusent sous l'aspiration qu'elle imprime. Quand elle retire sa bouche, mon sexe est à nouveau propre.
Nous restons ensuite un long moment allongés sur le canapé, les corps enchevêtrés, épuisés. Je savoure ce qui vient de se passer et je me demande comment toutes ces choses ont pu arriver, en si peu de temps. Il y a quelques jours je ne connaissais pas Cécile et n'osais pas l'aborder. Elle, mère de famille, si distante et inaccessible. Je l'ai ensuite séduite d'une façon dont je n'aurais jamais pu imaginer que cela puisse m'arriver. Aujourd'hui elle réalise tous mes fantasmes et bien plus encore. Elle me comble totalement et lit mes désirs en moi comme dans un livre ouvert. Elle prend tellement de plaisir que je me demande aussi si elle vit ses propres fantasmes ou si elle fait tout cela pour moi. Je crois que c'est un peu des deux et que nous nous comprenons mutuellement. Je vois en elle la femme idéale, celle que j'ai toujours voulu connaître, chérir et aimer dans mes fantasmes les plus fous. Je suis le plus heureux des hommes et je crois que je suis tombé amoureux.
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