Cécilia, une esclave soumise

- Par l'auteur HDS Bricouss -
Récit érotique écrit par Bricouss [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Cécilia, une esclave soumise Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-03-2007 dans la catégorie Dominants et dominés
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Cécilia, une esclave soumise
Je m'appelle Cécilia je suis une jeune fille rousse avec des petits seins fermes plutôt BCBG bien fringuée, bien coiffée, bref qui n'y connaissait rien au sexe. Mais c'était avant de rencontrer Karine.
J'avais 18 ans et, pour gagner un peu d'argent de poche durant l'été je travaillais comme vendeuse dans un magasin de vêtements. Tout ce passait bien et bien sur j'ignorais mes penchants lesbiens. Puis un jour, Karine fit son apparition dans la boutique. Elle exerça tout de suite sur moi une attirance quasi irréelle. Tellement, que j’étais toute humide. Tendis que je rougissait de honte d’avoir de telles pensées, elle s'approcha de moi pour me demander un conseil.
-Excusez moi mademoiselle puis je avoir un renseignement?
Oui c'était elle. Elle était belle, habillée de bottes et d’une jupe ultracourte. Elle portait de longs cheveux blonds et entièrement vêtus de noir. Elle paraissait assez vulgaire, rebelle et perverse et c'était cela qui m'excitait!!
-"Mademoiselle ?"Je sorti tant bien que mal de ma rêverie et je m'apprêtait a lui répondre quand ses yeux croisèrent les miens. Elle pu y lire combien je la désirais, combien elle était fascinante à mes yeux. Et je ne puis que lui répondre rouge de honte:-"ou... oui que ... que puis je faire pou… pour vous ?"-"Je voudrais savoir ou sont les cabine d'essayages ma chérie."Cette fois s'en était trop j'avais la culotte toute mouillée et mes sens s'affolaient. Je réussit néanmoins a me contrôler.
- bien sur ! Je vais vous conduire. Voila nous y sommes. Se seras tout?
-Non.
Et soudain elle m'attira dans la cabine me força a m'agenouiller et plaqua son bas ventre contre ma bouche. Je découvrit qu elle ne portait aucun sous vêtement.
-Aller suce ma petite chienne je sais que tu en meurs d'envie!
Et c'était vrai ! J’en mourrais d'envie. J’introduisis donc ma langue entre les douces fentes de son sexe épilé. Je commençait a faire maladroitement des vas et viens le long de son minou quand, tout a coup, elle plaqua sa main sur ma tête et la comprima sur sa chatte en lançant :-ah! Sa se voit que tu est une débutante, appliques toi ma chérie!!!
Ma tête comprimée sur son sexe, je léchai comme je pus, mon excitation était à son comble et finalement elle me prit par les chevaux et me lança: -"C'est fou ce que tu lèche mal!!! Je vais t’apprendre petite chiennasse. Aller assied toi et écarte les jambes.
Je m'assis tant bien que mal sur la chaise et écarta un peu les jambes, honteuse de m'être offerte ainsi à une inconnue.
-« aller écarte les jambes petite chienne, plus que sa !! »Et en apercevant ma culotte elle s’écria :-Tu es toute existée ma chérie ! Je te fais autant d’effet que cela ?
-Oui répondis-je en gémissant de plaisir sous ses caresses expertes.
Et soudain sans prévenir, elle me gifla.
-Dorénavant tu m’appellera maîtresse c’est d’accord ?
_Oui maîtresse.
-Bien, voyons voir un peu ta chatte.
Elle retira rapidement ma culotte j’aperçut que mon sexe était béant, mon clitoris gonflé. Je tandis mon bassin vers elle impatiente, je sentis ses doigts s’insinuer en moi violant mon intimité la plus profonde. Je mouillais comme une folle et était agitée de tremblements incontrôlables. Tout mon corps était en feu sous ses caresses. Mon désir s’accentua peu à peu tandis que ses doigts stimulaient tour a tour mon clitoris et mes lèvres vaginales. Je ne pus m’empêcher de crier mon désir mais elle m’intima de me taire avec une nouvelle gifle. Les larmes aux yeux je dus me résoudre a me mordre les lèvres jusqu’au sang pour atténuer mes cris.
-Je penserai a amener un bâillon la prochaine foi, petite chienne !dit elle en riant.
Puis elle se releva et me demanda d’enlever mon haut et mon soutient gorge.
Je ne porte pas de soutient gorge sous mon haut maîtresse lui dis-je en regardant par terre.
Oh ! La petite salope ne porte pas de soutient gorge ! Décidément tu m’étonnes beaucoup. Mais enlève ton haut tout de même.
-Mais…-Obéis a ta maîtresse !
J’enlevais rapidement mon vêtement, elle s’approcha et poussa un sifflement admiratif :-Quels jolis petits seins as-tu ma chérie !
Je rougis encore plus, heureuse du compliment. Déjà elle était sur moi, me léchait les mamelons, les pressait et les mordillaient. Je gémissais de plaisir et de douleurs quand les « mordillements » se transformaient en véritables morsures.
-Tu as les seins sensibles ma petite salope, j’adores ça ! Mets toi a quatre pattes maintenant.
Elle repris ses caresses d’abord sur mes fesses en les léchant et les massant. Puis elle les cingla à l’aide de sa ceinture. Je gémissais de douleur mais aussi (et a mon grand étonnement), de plaisir. Elle ne s’arrêta que quand mes fesses furent devenues entièrement rouges.
-Tu aimes sa, petite cochonne !
Je n’avais pas besoin de répondre, l’état général de mon corps le prouvait, mes cuisses étaient mouillées ma chatte et mon anus dilatés. Mes tremblements étaient devenus de plus en plus violents. Elle écarta un peu plus ma chatte pour y introduire sa langue. Une fois de plus elle me fouilla adroitement, tantôt vite, tantôt lentement, à la recherche endroits qui produisaient chez moi le plus de plaisir. Ne pouvant plus me retenir, je jouis comme jamais je n’avais jouis, atteignant le paroxysme du plaisir. Un puisant flot de liqueur jaillit de ma chatte qu’elle but avidement. Nos ébats terminés elle commença à se rhabiller et j’en fis autant. Peu à peu, je me rendis compte de mon acte et je cherchais à m’enfuir, échapper à mon destin, a celui qu’aspirait à devenir tout mon être : être une esclave, au service de sa maîtresse. Tandis que je sortais de la cabine elle me retint par le bras.
-Pas si vite petite vicieuse ! Ton numéro de téléphone tout de suite !
A ce moment précis je compris que je lui appartenais entièrement, totalement, que j’étais sa chose, son jouet.
Elle fit un pas vers moi et lut l’étiquette de vendeuse sur lequel mon nom était inscrit.
- Cécilia je ne le répéterais pas…Je lui donnais aussitôt mon numéro de téléphone qu’elle inscrit sur sa main. Puis me donnant un chaste baiser sur la joue, sortit de la boutique en me disant : a bientôt petite chienne !
Et déjà j’attendais avec impatience l’appel le l’inconnue dont j’ignorais tout jusqu’au nom…
A suivre…

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