Cécité Amoureuse
Récit érotique écrit par Philco78 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-05-2013 dans la catégorie Dominants et dominés
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Cécité Amoureuse
Par jeu ou par défi
Je t'avais prise au mot
En t'attachant au lit
Sur tes yeux un bandeau
Te cachait la lumière
Te masquant mes actions
Tu es ma prisonnière
Et jouet de ma passion.
Sans aucun artifice
Nue au creux de ces draps
Tu es la seule actrice
Qui sera dans mes bras
D'abord je te regarde
Sens-tu mes yeux posés
Sur ton corps je m'attarde
Et dépose un baiser
Au début sur ta bouche
Avec application
Par de petites touches
Pour ton excitation
De ta langue tu joues
M'invite à prolonger
Les frolements si doux
Qui m'invitent à plonger.
Mais je brise l'élan
Et te mets dans l'attente
Caressant de mes mains
Tes deux seins qui me tentent
Des fruits couleur satin
Offerts comme une offrande
Dont les sommets mutins
Sous mes lèvres se tendent.
Aspiration, succion
Sur tes fraises qui pointent
Route vers l'ascension
Où mes mains se sont jointes
Gage de fermeté
De ces monts, oh délice !
Je laisse de côté
Ces collines bien lisses.
Mon souffle se fait bise
Sur ton ventre velours
Et te voilà soumise
A mes allers-retours
Survolant ton trésor
Où parfois je me pose
Tu en voudrais encore
De ces buccales pauses.
Je ne suis pas manchot
Et use de mes mains
Pour caresser ton dos
Tes fesses, ton conin
Ce petit bout de chair
Que je vois poindre et happe
Que se lève bien fier
Tout d'un coup je l'attrape
De ma bouche j'attise
Cette région de toi
Une grotte conquise
A petits coups de doigts
Pénétrant dans l'abysse
Suintant d'humidité
Je les goutte, oh délice
Tous tes parfums cachés.
Ton plaisir se dessine
Au bout de mon index
Qui en toi se destine
A devenir un sexe
Par ses allers-retours
A te faire onduler
Plongeant à chaque tour
Dans cette ove voilée.
Au début, petit ru
Il s'écoule en rivière
Le long de ta peau nue
Direction ton derrière
Gouttes d'eau vers le ciel
Un geyser de plaisir
Au léger goût de miel
Jouis fort, je le désire
M'abreuvant de ce flux
Qui ne se tarit pas
J'ignore ton refus
D'arrêter ton trépas
Te rappelant ainsi
Qui de nous deux décide
Je te donne un sursis
Et t'abandonne au vide
Laissant le temps passer
Tu me cherches, écoutes
Tends l'oreille lassée
De l'attente, tu doutes
Pour te récompenser
Je t'offre à découvrir
Mon corps, j'ai délacé
Tes mains pour me chérir
Je me suis mis à nu
Voltige autour de toi
Sans tes yeux, l'inconnu
Augmente ton émoi
Tu caresses ma peau
De tes doigts hésitants
De mon porte-drapeau
Je te frôle souvent
Je me suis déplacé
Au plus près de ta bouche
Sur tes lèvres pincées
Qui s'ouvrent, qui me touchent
Ta langue va pointer
Au sommet du méat
Impatiente à goûter
Le fruit de ces repas
Je m'approche et te laisse
Prendre sous mon regard
Tantôt avec tendresse
Mon vit, il se fait tard
Qui prend de la vigueur
Entre tes mains, tes dents
Plonge dans la moiteur
Et ressort tout luisant
Je te retire enfin
Le jouet de mon désir
Tu restes sur ta faim
Tentes de m'attendrir
Mais j'ai d'autres desseins
Pour t'apporter plaisir
Un frôlement des seins
Pour t'entendre maudire
Encore dans l'attente
Tu m'appelles, supplies
De plonger dans ta fente
Faire trembler ce lit
Mais nous avons la nuit
Pourquoi se dépêcher
Dehors la lune luit
Sur toi, joli cliché
Les yeux toujours couverts
Je t'invite à bouger
A genoux, ton derrière
Relief à partager
Présentant ton ornière
Où je vais déposer
Mon long bâton de chair
Juste pour t'embraser
Frôlements et pressions
Sur ton bouton
Font monter la tension
Tu trembles toute entière
Enfin prenant tes fesses
Entre mes mains posées
Je pousse avec rudesse
Mon vit dans ta rosée
Communion de nos corps
Fusion de nos passions
Tu m'acceptes en ton fort
Signant ta reddition
Ensemble nous bougeons
Cherchant notre plaisir
Chacun de mes plongeons
Te fait crier, gémir.
Je t'avais prise au mot
En t'attachant au lit
Sur tes yeux un bandeau
Te cachait la lumière
Te masquant mes actions
Tu es ma prisonnière
Et jouet de ma passion.
Sans aucun artifice
Nue au creux de ces draps
Tu es la seule actrice
Qui sera dans mes bras
D'abord je te regarde
Sens-tu mes yeux posés
Sur ton corps je m'attarde
Et dépose un baiser
Au début sur ta bouche
Avec application
Par de petites touches
Pour ton excitation
De ta langue tu joues
M'invite à prolonger
Les frolements si doux
Qui m'invitent à plonger.
Mais je brise l'élan
Et te mets dans l'attente
Caressant de mes mains
Tes deux seins qui me tentent
Des fruits couleur satin
Offerts comme une offrande
Dont les sommets mutins
Sous mes lèvres se tendent.
Aspiration, succion
Sur tes fraises qui pointent
Route vers l'ascension
Où mes mains se sont jointes
Gage de fermeté
De ces monts, oh délice !
Je laisse de côté
Ces collines bien lisses.
Mon souffle se fait bise
Sur ton ventre velours
Et te voilà soumise
A mes allers-retours
Survolant ton trésor
Où parfois je me pose
Tu en voudrais encore
De ces buccales pauses.
Je ne suis pas manchot
Et use de mes mains
Pour caresser ton dos
Tes fesses, ton conin
Ce petit bout de chair
Que je vois poindre et happe
Que se lève bien fier
Tout d'un coup je l'attrape
De ma bouche j'attise
Cette région de toi
Une grotte conquise
A petits coups de doigts
Pénétrant dans l'abysse
Suintant d'humidité
Je les goutte, oh délice
Tous tes parfums cachés.
Ton plaisir se dessine
Au bout de mon index
Qui en toi se destine
A devenir un sexe
Par ses allers-retours
A te faire onduler
Plongeant à chaque tour
Dans cette ove voilée.
Au début, petit ru
Il s'écoule en rivière
Le long de ta peau nue
Direction ton derrière
Gouttes d'eau vers le ciel
Un geyser de plaisir
Au léger goût de miel
Jouis fort, je le désire
M'abreuvant de ce flux
Qui ne se tarit pas
J'ignore ton refus
D'arrêter ton trépas
Te rappelant ainsi
Qui de nous deux décide
Je te donne un sursis
Et t'abandonne au vide
Laissant le temps passer
Tu me cherches, écoutes
Tends l'oreille lassée
De l'attente, tu doutes
Pour te récompenser
Je t'offre à découvrir
Mon corps, j'ai délacé
Tes mains pour me chérir
Je me suis mis à nu
Voltige autour de toi
Sans tes yeux, l'inconnu
Augmente ton émoi
Tu caresses ma peau
De tes doigts hésitants
De mon porte-drapeau
Je te frôle souvent
Je me suis déplacé
Au plus près de ta bouche
Sur tes lèvres pincées
Qui s'ouvrent, qui me touchent
Ta langue va pointer
Au sommet du méat
Impatiente à goûter
Le fruit de ces repas
Je m'approche et te laisse
Prendre sous mon regard
Tantôt avec tendresse
Mon vit, il se fait tard
Qui prend de la vigueur
Entre tes mains, tes dents
Plonge dans la moiteur
Et ressort tout luisant
Je te retire enfin
Le jouet de mon désir
Tu restes sur ta faim
Tentes de m'attendrir
Mais j'ai d'autres desseins
Pour t'apporter plaisir
Un frôlement des seins
Pour t'entendre maudire
Encore dans l'attente
Tu m'appelles, supplies
De plonger dans ta fente
Faire trembler ce lit
Mais nous avons la nuit
Pourquoi se dépêcher
Dehors la lune luit
Sur toi, joli cliché
Les yeux toujours couverts
Je t'invite à bouger
A genoux, ton derrière
Relief à partager
Présentant ton ornière
Où je vais déposer
Mon long bâton de chair
Juste pour t'embraser
Frôlements et pressions
Sur ton bouton
Font monter la tension
Tu trembles toute entière
Enfin prenant tes fesses
Entre mes mains posées
Je pousse avec rudesse
Mon vit dans ta rosée
Communion de nos corps
Fusion de nos passions
Tu m'acceptes en ton fort
Signant ta reddition
Ensemble nous bougeons
Cherchant notre plaisir
Chacun de mes plongeons
Te fait crier, gémir.
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