Céder aux pulsions (2) - histoire érotique

Chapitre 2 : dressage
Il est 17h, je viens d'arriver dans une ville à 2h de train de chez moi pour passer le week-end chez une amie d'enfance. Enfin ça, c'est la version que m'a complice et moi avons donné à Martin. Lui, comme à son habitude, compte bien profiter d'avoir la maison pour lui seul pendant 2 jours.
En réalité, j'ai rencontré un père de famille aisé aux fantasmes très spéciaux qui m'ont tout de suite fait vibrer. J'ai accepté certaines choses qui me seront impossibles à partager, même à ma complice qui pense que je vais juste m'envoyer en l'air dans le dos de mon mec.

J'enchaîne avec un Uber qui me dépose devant une jolie petite maison avec un jardin bien à l'abri des regards indiscrets, si on le souhaite.
Un homme m'attend assis sur une chaise en plastique, il vient à ma rencontre pour l'ouvrir. C'est un bel homme, soigné mais imposant par sa taille, plus il avance plus je me sens petite.

- enchanté, entre.

Rien de plus. Je passe le portillon et me dirige vers le salon de jardin, il me fait signe de m'installer.

- On va faire vite. Si tu es toujours d'accord, déshabille toi et met ce collier pour chien à ton cou. Tu m'appelleras maître.

Je m'exécute assez rapidement. Il attache une laisse à mon collier et me tire dans le jardin pour que je marche à quatre patte. Je me dehanche à chaque foulée mais il ne prête pas vraiment attention à moi. Il me jette des protèges-genoux pour endurer ce qu'il va m'arriver.

-On va faire un premier tour dans le quartier quand le soleil déclinera assez mais demain ce sera en journée. J'espère que tu t'es retenue d'aller aux toilettes comme je t'ai demandé.

-oui maître, j'espère qu'on ne va pas trop tarder à aller se promener.

Il se dirige vers la chaise en me tirant par la laisse et s'assoit. Il deboutonne son pantalon pour sortir son gourdin circoncis devant mon visage.

- Tu vas me dégorger en attendant, ça te fera patienter
Je crache sur son gland et gobe rapidement sa bite. Sucer est une qualité que je pourrai presque mettre dans mon CV professionnel au vu de de l'engouement de tous ceux que j'ai pompé.

-ça c'est une bonne fille dit-il en me caressant la tête. T'as bien été dressé.

Je répond par une gorge profonde en gémissant encore timidement au vu des passants que j'entend dans la rue, ils pourraient nous voir en regardant d'où viennent les bruits sans forcément trop se rapprocher de la clôture.

- j'vais t'apprendre un premier tour ma petite, quand je dirai "au pied" tu te mettras en levrette et tu écarteras tes fesses pour bien ouvrir ton anus
-mmmmh oui maître
Je me remet à ma tâche et gobe ses couilles tout en le branlant. Mais l'envie de l'avoir à nouveau en bouche est trop forte, je me rejette sur sa bite en gémissant. Il se lève mais mes lèvres sont comme des ventouses, je le lâche pas. Il sort sa bite et etale ma salive sur mon visage et revient pour me baiser la bouche comme il en a envie.

- AU PIED !

Je me suis sentie comme le chien de Pavlov. Conditionnement pur et dur alors que moi, je ne sais pas vraiment quelle est ma récompense. Mais je me jette presque par terre et relève mes fesses en levrette pour les écarter largement. Il m'attrape par une hanche, je le sens se branler en lâchant des râles puissants. Enfin, un liquide chaude arrive par jets presque pile dans mon anus. Je sens son sperme glisser sur mon périnée et terminer sa course le long de ma vulve, il me met des petites claques sur les fesses pour me féliciter.

-ooooh ça c'est une bonne fille qui écoute bien, elle doit être bien excitée ma fifille après ça, on va la récompenser
Il commence par prendre un mouchoir pour m'essuyer le foutre qui allait sécher. Cette sensation que quelqu'un soit entrain de faire un geste si intime est la chose la plus excitante que j'ai vécue.

Il se rhabille et on se dirige vers la rue, moi toujours nue avec du sperme encore visible sur mes fesses.
Mes seins gigottent au rythme de la marche, il me fait répondre à quelques ordres comme assis, debout, au pied. Il me donne une caresse pour me féliciter et nous continuons. Nous arrivons près de conteneurs à ordures, mon propriétaire s'arrête de nouveau
- pisse, dépêche toi.

Je me met accroupie près des déchets au sol et me vide au dessus dans un petit gémissement. Je sens mon urine m'eclabousser en retour et lui ne pas en perdre une miette. Le moins que l'on puisse dire c'est que je me soulage : depuis ce matin, je me suis privée pour ce moment. À peine terminé et sans pouvoir me rafraîchir, il retire sur ma laisse pour me faire avancer.

- brave petite, on va te trouver ta récompense maintenant.

Quelques ruelles plus loin on aperçoit un homme allongé sur quelques cartons et entouré d'un bric à brac dont plusieurs bières vides. Il m'aperçoit et se relève rapidement avec un air ahuri. Il me fixe comme s'il n'était pas sur de me voir. Mon maître s'arrête.

- Alors l'ami, elle te plaît ma petite chienne ?
- ah ça pour me plaire... Si j'en avais une comme ça... Dit-il avec un clin d'œil grossier et en effleurant mon visage avec sa main sale et calleuse- tu veux te faire plaisir ? Elle est en chaleur encore, hésite pas à la monter.

Mon maître lui jette une capote encore scellée. Le mec nous dévisage encore mais il finit par faire sortir son chibre encore en demi-molle.

-ici vraiment ?
-sur votre carton ça fera l'affaire
Mon maître s'allume une cigarette pour apprécier le spectacle. Le mec commence à me tripotter avec peu de douceur, il a rapidement compris ma position dans ce jeu pervers. Il m'oblige à continuer de le branler pendant qu'il joue avec mes petits mamelon durs. Il m'allonge sur son lit de fortune et commence à se branler entre mes seins. Son gland frôle mes lèvres et il met remet le préservatif dans la main. Je lui emballe la bite et il pousse sans prévenir contre ma bouche et force l'entrée.

- va falloir humidifier un peu sinon j'te prend comme t'es
Sa main vient farfouiller entre mes cuisses. Il glisse un doigt et je me contracte sous ce geste brusque, il le ressort pour l'observer.

- oh mais il plaisantait pas trop propriétaire quand il te disait en chaleur. T'es mouillée comme il faut
Il me retourne à genoux, et commence à pousser contre ma chatte. J'écarte un peu plus les cuisses pour le laisser s'installer au chaud. Il joue avec mon clitoris et ricane à chacun de mes petits gémissement ou supplications de continuer. Il finit par s'enfoncer un peu plus profond et j'en redemande.

-mmmmh t'es une bonne fille toi, ton père t'as bien appris ou es ta place
C'est ça que je suis venue chercher ce week-end : me faire dresser et humilier en public mais assez loin de chez moi pour préserver mon identité.
Un jeune couple s' avance dans la rue mais fait vite demi-tour quand ils se sont aperçus de ce qui se passait : un homme tient en laisse une jeune femme qui se fait prendre en levrette par un sdf. J'aurai aimé qu'ils passent à côté de nous et qu'ils me jugent de leur regard. Je me sens en transe, puissante, je pourrai les regarder dans les yeux et gémir pour les défier de me juger. Je me sens provocatrice et j'espère que mon maître me réserve une belle baise sur la place du village.

-reste sage avec le monsieur je vais te chercher autre chose
Mon maître m'accroche comme un chien à la poignée d'une porte arrière d'une boutique, la ou le sdf dort, exactement la ou je me fais pilonner la chatte.

-ouais t'inquiète j'vais la terminer et tu pourras la faire tourner à un autre, ça se partage un si bon trou.

Il me retourne pour me prendre en missionnaire, je me rend compte à quel point il est sale sur lui, mais je me malaxe les seins et lui présente mes tétines qu'il tête instinctivement. Il crache un peu dessus pour mieux les tripoter.

-mmmmh j'veux jouir en te regardant dans les yeux, t'as un visage de poupée j'ai envie d'te gicler sur tes petites joues rouges
Mais il lâche rapidement la sauce dans une insulte grasse pour complimenter ma prestation.
Il se retire pour enlever sa capote. Moi je suis toujours accrochée à la porte, je vois mon maître revenir au loin avec deux hommes. Devinez qui a de la chance ?
Je commence à me dandiner pour lui montrer que je suis contente de le voir accompagné, et que j'ai encore faim. Il pose une main sur ma tête et me fixe
-alors rassasiée ?
-c'était super mais non pas encore maître, j'ai encore envie de me faire baiser-Ça tombe bien je t'ai emmené deux candidats. On va rentrer à la maison pour récupérer des capotes.


Partie 2On retourne dans la location, mon maître me laisse avec les deux nouveaux dans le jardin, ils s'assoient et je m'approche d'eux, toujours à quatre pattes pour demander de l'attention. Dès que je suis à portée de main, ils commencent à parcourir mon corps de leurs mains.

-oh oui ma petite on va bien s'occuper de toi, on sait que t'as été une bonne fille aujourd'hui, t'as bien écouté ton papa donc il nous a demandé de nous occuper de toi
-mmmh je vais vous montrer que je suis obéissante mais j'aime bien quand on me pilonne bien au fond
- on sait que tu veux te faire ramoner, tu serais pas chez un mec beaucoup plus vieux que toi, en laisse, à te faire baiser par des inconnus en jouant le chienchien. On va te mettre ton compte pour le week-end
Je me remet à me dandiner en me mordant la lèvre. Cette vérité est encore plus excitante dite à voix haute.
Mon maître revient, il approvisionne mes deux bourreaux et s'approche de moi pour m'attacher au pied de la table.

-amuse toi bien
Je ne connais même pas leurs prénoms, et ils sont face à moi, entrain de s'astiquer. Un me soulève, s'assoit sur une chaise et m'installe dos à lui sur ses jambes, j'ai sa bite entre mes cuisses et je commence à le branler. Il me doigte un peu pour me préparer mais je me sens déjà prête à prendre une nouvelle bite. Et je lui fais comprendre : je m'empale sur son pieu en le regardant. L'autre attrape m'a laisse pour que je fasse face à mon repas.

-à table et c'est saucisse pour la gourmande-mmmmh donne la moi
Il decalotte son gland devant mes lèvres. Je les entrouve pour glisser ma langue et lui lecher le bout. Je le prend en bouche et fais naturellement des petits va-et-vient dessus par les sauts que me fait faire l'autre mâle.

-allez fais pas ta timide, prend une plus grosse bouchée
Je me glisse le long de son chibre jusqu'à effleurer ses poils pubiens avec mes lèvres. Je sens ses mains attraper mes mamelles pour m'encourager. Enfaîte, quatre mains me malaxent à droite à gauche, j'ai l'impression d'être à la fois précieuse et dépossédée de mon corps. J'accepte juste par mon attitude et mes actions, d'être juste un corps sur et dans lequel, on peut déverser ses pulsions les plus refoulées.

-bah alors on a entendu dire par ton maître que t'es en couplé depuis pas mal d'années et que ton mec ne sait pas que tu te donnes à des tocards ? Ça te plaît que ton mec partage tes trous avec des sdf ?
-en tout sincérité, j'aimerai me faire baiser par des sdf ou n'importe qui dans mon propre lit pendant qu'il est occupé en bas et sans qu'il s'en rend compte.
-mmmmmh ça peut s'arranger si tu nous dis d'où tu viens -commencez par me remplir et on pourra en rediscuter -oh t'en fais pas on a même droit de te donner des ordres, tu vas avoir c'que tu cherches
Il m'enfonce de nouveau son chibre dans bouche, je le pompe avec ardeur. Il se met à devenir très bruyant, il va sûrement attirer l'attention s'il continue trop longtemps.

-mec elle veut du gros pillonage, prend lui sa chatte elle va me sucer-envoie j'vais la souiller
Ils me font tourner, je suis à genoux entre les cuisses de celui qui m'a commencé, mon travail ne se fait pas attendre : je plonge sur son gland encore chaud, je me cambre et laisse l'autre brute continuer le ramonage. La position est encore meilleure, il me met des fessées et c'est moi qui devient bruyante. Et qui attire l'attention.

-Bah alors besoin d'aide ? Lance une voix masculine en ricanant-venez admirer le spectacle et croquer un bout si vous voulez.

Le portillon grince, trois jeune entrent.

-on va juste regarder et se toucher si ça dérange pas -pas de soucis, venez lui juter sur le cul si vous voulez, on va vous montrer comment faire
Je les regarde et gémissant : voilà mon moment sur la "place du village". Les trois garçons commencent déjà à se masturber, je vais avoir droit à une fontaine de sperme.

De longues minutes passent mais ce sont des secondes pour moi, je m'offre à 5 hommes tous prêts à se déverser sur moi.

-mmmmh oh oui plus fort comme ça, haaan vas y continue j'y suis presque dis-je en couinant
Quelques coups de reins de plus et me voilà entrain de presque crier mon orgasme.

-oui c'est ça allez dis le que t'aimes ça petite chienne !!
-j'suis prêt mec, laisse moi son cul
Il se retire et continue de se branler
-au pied !! Dit le mec que je sucais en pointant le sol du doigt
Je me retourne et écarte mes fesses devant le regard des trois nouveaux. Comme mon maître, apres quelques coups de poignets, il gicle entre mon anus et ma chatte. Je sens le sperme perler sur mes poils pubiens. Il frotte son gland dans son sperme et l'étale dans mon sillon et sur mes fesses. Le liquide est encore un peu chaude j'aime ça....

-mmmmh reste au pied j'arrive pour toi aussi
L'autre saisit ma hanche, biffle un peu mes fesses et colle son gland contre mon anus, je sens que ça gicle dans tous les sens. Du sperme rentre un peu mais comme mon cul appel à se faire défoncer, il reste ouvert et le liquide gluant coule à l'extérieur. Je le sens dévaler pour rejoindre la semence de son ami et m'engluer encore plus la vulve. Je sais que je prend des risques, mais j'aime me faire prendre sans capote, c'est comme ça. Mais la je reste sage.

-alors personne pour prendre son petit cul ? Il est encore tout frais.

Le plus enrobé des trois prend une capote dans la boîte, s'en équipe et s'approche. Je me tourne pour le sucer un peu, mais il me retourne. Il glisse sa bite qui n'est pas très imposante dans ma chatte, mmmh c'est pas mal. Il se retire et commence à presser sur mon anus.
Malgré le sperme, sur les fesses, il se gêne pas pour se ruer dans mon cul, il est pas très doué mais c'est cette maladresse qui me plait. Il est a peine plus jeune que moi et il doit pas toucher beaucoup de fille. C'est une occasion pour lui de se faire la main je pense, et j'aime cette idée.
Les deux autres s'approchent et me présentent à droite et à gauche une bite. Je continue à sucer mécaniquement en alternant. Je vois au loin mon maître ressortir.

-bon boulot les gars, elle va déborder ce soir -merci pour la saillie, elle était bien bonne votre femelle -quand vous avez finis ramenez là à la porte
Il s'en va et ils reprennent de plus belle. La gros a le souffle court, il gémit comme une fille, il est pas loin. C'est bon en tout cas, court mais bon. Ses coups de reins sont de plus en plus raides et il se retire avant de se terminer dans mes tripes.

-al.. Allez au pied salope !!

J'écarte mes fesses tout en continuant de m'occuper des deux autres. L'un d'eux va rejoindre son ami à l'arrière et mes deux fesses sont saisies. Je les sens se presser de chaque côté de mon anus en se branlant. Et là je sens ma récompense : ils giclent presque l'un après l'autre en remplissant mon cul qui dégouline comme une cascade sur ma fente brûlante.
C'est chaud encore, ça coule sur mes cuisses. Ils ont ajouté leur pierre à l'édifice. Avec tout le foutre qui a coulé sur ma chatte on pourrait l'utiliser comme lubrifiant pour un autre round.

-brave fille dit le gros en me mettant une tape sur la cuisse.

Et enfin voilà le 6eme, mais lui me met au sol et après s'être un peu branlé, il finit directement sur mon pubis. Il me regarde avec cet air de dominant qui marque son territoire sur sa proie. Son jus glissent directement sur mon clitoris et je me tripotte un peu avec sa semence en le regardant.

-la prochaine fois que ton mec va te lecher la chatte il va un peu goûter à nous tous.

On me ramène à quatre patte et en laisse à la porte, mon maître sort une Bassine d'eau chaude, un gant de toilette et le lave à même le jardin. Il me laisse entrer pour aller me doucher et me changer avec un harnais. Pendant ce temps, il me cuisine un bon repas, parceque après tout, il est là pour me faire plaisir, non ? D'ailleurs, il a accepté que 2 des mecs qui m'ont baisé restent cette nuit. Pour la première fois je vais dormir entre deux hommes.
Allez savoir ce qu'il va se passer ?