CELINE AU BAL DES POMPIERS (suite)
Récit érotique écrit par Norbert [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-05-2007 dans la catégorie Plus on est
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CELINE AU BAL DES POMPIERS (suite)
Bien préparée par mes soins suite à sa désobéissance qui lui avait valu d'être châtiée avec une serviette éponge mouillée pour avoir mis un string malgré mes ordres, Céline était a présent au milieu de la piste de danse, et sa tenue, (robe légère sans rien dessous) commençait à attirer les mâles en rut comme un aimant.
J'observais à l'écart, ne voulant pas gêner cette salope en chaleur qui n'était pas venue au bal des pompiers pour danser, mais pour user des "lances" de ces hommes du feu qui étaient prêts à éteindre tout incendie, et surtout celui que Céline avait entre les jambes.
Un jeune pompier baraqué, en tenue d'alerte, prêt à partir sur une intervention, invita Céline pour danser un slow, ce qu'elle accepta avec un regard gourmand vers ce bel homme si viril dans son uniforme.
Au cours du slow, je vis que le pompier avait remarqué l'absence de dessous de Céline et il ne se gênait pas dans la pénombre pour lui caresser le cul et lui tripoter les seins, dont je voyais les pointes arrogantes dressées au travers du frêle tissus.
La danse terminée, je le vis lui parler à l'oreille et se diriger vers le hangar ou sont stationnés les camions et engins. Céline le suivit peu de temps après.
Je la vis monter dans un des camions et sachant que je l'observais elle se débrouilla pour que je vois sa chatte et son cul lorsqu'elle posa le pied sur le marchepied.
Le hangar était désert et vu l'emplacement du camion on ne pouvait voir à l'intérieur que si on avait suivi le manège des deux coquins.
Pour que je puisse profiter de l'asservissement de Céline, elle laissa la porte du camion ouvert et je pus ainsi la voir ouvrir la braguette du pompier dont elle sortie une magnifique verge sur laquelle elle plongea sa bouche voracement, lui faisant une pipe d'enfer salivant dessus pour la faire reluire. Aucune partie de cette bite majestueuse n'était épargnée elle alla même jusqu'à lui lécher les couilles les gobant tour à tour en branlant le manche.
Un peu abasourdi par l'attaque qu'il venait de subir, le pompier se ressaisi et lui aussi commença à visiter le corps de sa suceuse, commençant par lui caresser les seins puis tordant les bouts sur la demande de Céline qui peut jouir uniquement par cette manipulation de ses beaux seins en poire. Il descendit ensuite entre les jambes de cette cochonne qui écarta les cuisses pour lui livrer le passage vers son sexe et son anus. Un, deux puis trois doigts vinrent remplir le con dégoulinant de ma maîtresse qui la bouche pleine poussait de temps en temps des soupirs de bonheur.
A un moment, j'entendis du bruit qui venait derrière moi et je vis arriver un pompier d'une quarantaine d'années suivi d'une jeune collègue également en tenue.
Il avait passe la main dans son pantalon d'uniforme pour lui palper le cul, il lui pelotait outrageusement les seins après avoir ouvert sa chemise, cette dernière ne portait pas de soutif, elle n'en avait pas besoin à ce que je pouvais voir de ses superbes nichons que je calibrais en 95C.
Cela commença à se corser lorsque je les vis se diriger vers le camion ou Céline suçait avec application la bite du jeune pompier. Ce camion devait être le baisodrome de la caserne. Le "vieux" arriva juste par derrière Céline et lui et sa copine ne purent ignorer la main qui fouissait entre les cuisses d'une salope qui bouffait la bite de l'un de leurs collègues.
Sans se décontenancer, le nouveau couple demanda si il y avait encore de la place, ce à quoi Céline répondit les yeux brillants, quand il y en a pour un il y en a pour deux.
Elle invita la nouvelle venue à la remplacer dans sa tache et se jeta sur la braguette du vieux d'où elle extirpa une courte queue trapue, au gland violacé et aux veines saillantes. (Je sus plus tard que cette queue avait un goût musqué qui excita encore plus Céline).
Céline baissa le pantalon du vieux pour lui lécher les couilles et même l'anus sur lequel elle promenait sa langue avec gourmandise. De son coté il lui avait enfilé deux doigts dans le cul car je devinais qu'il envisageait de l'enculer plus tard.
Le coté bestial et hors du commun de cet accouplement devait exciter Céline au plus haut point, à un moment elle supplia le vieux de lui exploser la rondelle avec sa grosse bite noueuse, lui promettant qu'elle le sucerait après pour le nettoyer et le remercier.
Ce dernier la mit à quatre pattes sur la banquette, Céline se retrouva le nez plongé dans la chatte de la jeune qui n'avait pas lâché sa sucette à la viande. Le vieux lui se cracha sur le gland et d'un violent coup de reins encula Céline jusqu'aux couilles, celle ci poussa un cri plus de surprise plus que de douleur car cette voie que j'avais ouverte avec un plug était habituée aux intromissions musclées.
C’est ce moment que le jeune choisit pour décharger dans la bouche et sur les seins de sa pipeuse, qui gicla carrément dans la bouche de Céline en une décharge aussi copieuse qu'un homme, c'était une femme fontaine, tout le devant de la robe de Céline était trempée de cyprine. Quand à son enculeur j'entendais ses couilles claquer contre la chatte de Céline qui continuait à laper cette chatte coulante.
Le vieux fini enfin par jouir dans et sur le cul de Céline et lui donna sa bite à nettoyer, la jeune, elle avait avalé tout le foutre si généreusement dispensé par son cavalier, elle fit ensuite le tour de Céline et alla recueillir entre ses fesses le jus de couille du vieux qui s'en écoulait copieusement.
Tout le monde se rajusta et Céline vint me rejoindre en me roulant une pelle et me demandant de rentrer pour baiser et aussi parce que l'autre chienne lui avait pourri sa robe.
La nuit qui suivit cette soirée fut inoubliable.
J'observais à l'écart, ne voulant pas gêner cette salope en chaleur qui n'était pas venue au bal des pompiers pour danser, mais pour user des "lances" de ces hommes du feu qui étaient prêts à éteindre tout incendie, et surtout celui que Céline avait entre les jambes.
Un jeune pompier baraqué, en tenue d'alerte, prêt à partir sur une intervention, invita Céline pour danser un slow, ce qu'elle accepta avec un regard gourmand vers ce bel homme si viril dans son uniforme.
Au cours du slow, je vis que le pompier avait remarqué l'absence de dessous de Céline et il ne se gênait pas dans la pénombre pour lui caresser le cul et lui tripoter les seins, dont je voyais les pointes arrogantes dressées au travers du frêle tissus.
La danse terminée, je le vis lui parler à l'oreille et se diriger vers le hangar ou sont stationnés les camions et engins. Céline le suivit peu de temps après.
Je la vis monter dans un des camions et sachant que je l'observais elle se débrouilla pour que je vois sa chatte et son cul lorsqu'elle posa le pied sur le marchepied.
Le hangar était désert et vu l'emplacement du camion on ne pouvait voir à l'intérieur que si on avait suivi le manège des deux coquins.
Pour que je puisse profiter de l'asservissement de Céline, elle laissa la porte du camion ouvert et je pus ainsi la voir ouvrir la braguette du pompier dont elle sortie une magnifique verge sur laquelle elle plongea sa bouche voracement, lui faisant une pipe d'enfer salivant dessus pour la faire reluire. Aucune partie de cette bite majestueuse n'était épargnée elle alla même jusqu'à lui lécher les couilles les gobant tour à tour en branlant le manche.
Un peu abasourdi par l'attaque qu'il venait de subir, le pompier se ressaisi et lui aussi commença à visiter le corps de sa suceuse, commençant par lui caresser les seins puis tordant les bouts sur la demande de Céline qui peut jouir uniquement par cette manipulation de ses beaux seins en poire. Il descendit ensuite entre les jambes de cette cochonne qui écarta les cuisses pour lui livrer le passage vers son sexe et son anus. Un, deux puis trois doigts vinrent remplir le con dégoulinant de ma maîtresse qui la bouche pleine poussait de temps en temps des soupirs de bonheur.
A un moment, j'entendis du bruit qui venait derrière moi et je vis arriver un pompier d'une quarantaine d'années suivi d'une jeune collègue également en tenue.
Il avait passe la main dans son pantalon d'uniforme pour lui palper le cul, il lui pelotait outrageusement les seins après avoir ouvert sa chemise, cette dernière ne portait pas de soutif, elle n'en avait pas besoin à ce que je pouvais voir de ses superbes nichons que je calibrais en 95C.
Cela commença à se corser lorsque je les vis se diriger vers le camion ou Céline suçait avec application la bite du jeune pompier. Ce camion devait être le baisodrome de la caserne. Le "vieux" arriva juste par derrière Céline et lui et sa copine ne purent ignorer la main qui fouissait entre les cuisses d'une salope qui bouffait la bite de l'un de leurs collègues.
Sans se décontenancer, le nouveau couple demanda si il y avait encore de la place, ce à quoi Céline répondit les yeux brillants, quand il y en a pour un il y en a pour deux.
Elle invita la nouvelle venue à la remplacer dans sa tache et se jeta sur la braguette du vieux d'où elle extirpa une courte queue trapue, au gland violacé et aux veines saillantes. (Je sus plus tard que cette queue avait un goût musqué qui excita encore plus Céline).
Céline baissa le pantalon du vieux pour lui lécher les couilles et même l'anus sur lequel elle promenait sa langue avec gourmandise. De son coté il lui avait enfilé deux doigts dans le cul car je devinais qu'il envisageait de l'enculer plus tard.
Le coté bestial et hors du commun de cet accouplement devait exciter Céline au plus haut point, à un moment elle supplia le vieux de lui exploser la rondelle avec sa grosse bite noueuse, lui promettant qu'elle le sucerait après pour le nettoyer et le remercier.
Ce dernier la mit à quatre pattes sur la banquette, Céline se retrouva le nez plongé dans la chatte de la jeune qui n'avait pas lâché sa sucette à la viande. Le vieux lui se cracha sur le gland et d'un violent coup de reins encula Céline jusqu'aux couilles, celle ci poussa un cri plus de surprise plus que de douleur car cette voie que j'avais ouverte avec un plug était habituée aux intromissions musclées.
C’est ce moment que le jeune choisit pour décharger dans la bouche et sur les seins de sa pipeuse, qui gicla carrément dans la bouche de Céline en une décharge aussi copieuse qu'un homme, c'était une femme fontaine, tout le devant de la robe de Céline était trempée de cyprine. Quand à son enculeur j'entendais ses couilles claquer contre la chatte de Céline qui continuait à laper cette chatte coulante.
Le vieux fini enfin par jouir dans et sur le cul de Céline et lui donna sa bite à nettoyer, la jeune, elle avait avalé tout le foutre si généreusement dispensé par son cavalier, elle fit ensuite le tour de Céline et alla recueillir entre ses fesses le jus de couille du vieux qui s'en écoulait copieusement.
Tout le monde se rajusta et Céline vint me rejoindre en me roulant une pelle et me demandant de rentrer pour baiser et aussi parce que l'autre chienne lui avait pourri sa robe.
La nuit qui suivit cette soirée fut inoubliable.
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