Central Line - Marc2

Récit érotique écrit par Mustang [→ Accès à sa fiche auteur]
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Central Line - Marc2
Lors d’un de tes derniers messages tu dis que tu me voudrais avec une tenue très provocante. Qu’est-ce que ça veut dire dire pour toi vraiment ? Est-ce que c’est ce latex dont tu parlais l’autre jour ? Est-ce que c’est de lingerie en dentelle noire dont tu parles ? On a un peu tous nos fantasmes ou nos références à ce sujet je crois. Moi, je me sens très provocante quand je mets ce débardeur blanc, court, aux bretelles fines et que je porte sans soutien-gorge. J’aime le mettre car il se colle à mon buste comme une seconde peau et laisse tout deviner, comme une seconde peau. Et le mettre est pour moi déjà si excitant que la pointe de mes seins s’y voit instantanément. Et je sais l’effet que ça fait à celui qui me regarde. A toi aussi sûrement, si tu me regardais, là, maintenant.
J’ai acheté hier en pensant à toi un haut des plus intéressants. C’est un dos nu, au tissu léger, qui se ferme par une fine lanière derrière le cou. Je voudrais le mettre sans soutien-gorge, mais ce serait probablement très indécent, parce que le tissu en est si fin qu’il laisse tout deviner.
Je me suis dit que tu l’aimerais parce que j’imagine qu’on y voit mes petites omoplates ainsi que le creux de mes reins. Je ne l’ai même pas essayé. J’ai pensé à toi et je l’ai acheté.
Et ce matin, en le voyant à nouveau, mal plié dans ma valise, je me suis vue le mettre à Londres, cette ville où tu peux tout porter sans être mal regardé.
C’est un jour de juillet où il fait très chaud. Nous allons vers l’ouest et descendons sur la Central Line. C’est la sortie des bureaux. Le métro est bondé. C’est vendredi et les gens sont joyeux. Ils parlent fort, tous ces mecs stylés en cravate et fesses délicatement dessinées par leurs pantalons sombres de traders déjà bien cockés. Il fait beau et ils se réjouissent de siroter une bière dans un de ces nouveaux rooftops de Fenchurch Street, ou un cocktail au Sky Garden.
Nous nous enfilons dans une des rames qui arrive déjà bien chargée. Je suis devant toi et me tiens à une de ces barres dont le métal est étonnamment chaud. Tu es derrière moi et bientôt je ne peux plus me retourner car les gens montent et nous poussent l’un contre l’autre. Lorsque le train démarre tu es tout contre moi.
Le tissu de ton t-shirt est ultra fin, ultra léger. Et moi j’ai ce dos-nu dont je te parlais, et ma jupe vert d’eau si légère que la moindre brise la soulève instantanément. Je t’enverrai la photo.
Il fait si chaud…
Tu transpires, je sais que tu transpires, je le sens, même ton odeur parvient jusqu’à moi, elle est bonne et je voudrais glisser ma langue sur tes aisselles, aspirer la moindre goutte, te lécher, te boire, jouer avec tes poils que j’aimerais longs et fins. Je voudrais me retourner, une idée folle me traverse, et si je te suçais, j’en ai très envie, j’imagine tout, ma langue qui lape doucement ton gland si doux et rond, qui descend et puis monte le long de ta verge veloutée, et ça me rend déjà dingue mais je suis coincée là, prisonnière de la foule et toi serré contre moi.
Oui, tu es bien plaqué contre moi, et je sens alors tes tétons durcir à travers le tissu. Ce sont deux petits boutons dressés contre ma peau, ils me provoquent et je les veux aussi, je les veux dans ma bouche et sous mes doigts. Je veux les mouiller de ma salive, je veux les pincer tendrement.
Ma chatte se gonfle de désir et le train accélère soudain. Chaque soubresaut nous rapproche un peu plus, comme si c’était encore possible. Chaque soubresaut te plaque plus fortement contre moi et cette fois je sens ta queue tendue contre le haut de mes fesses. Tes jeans ont aussi un tissu très fin et je sens très bien ta queue vraiment dure maintenant, je sens que ça t’excite. Oui, je sais ça t’excite de sentir mes fesses rondes contre cette bosse qui enfle et qui durcit dans tes jeans si fins. Je sens ton souffle se précipiter dans mon cou, je sens que tu te frottes contre mes fesses, je t’entends presque gémir dans mon oreille, tu profites du vacarme que fait le train quand il file à toute allure vers Picadilly. Tu me veux, je sais que tu me veux. Tu me parles, tu parles à mon oreille, peut-être que tu cries dans ce vacarme, tu me cries des mots sales, bien dégueulasses, tu me cries petite chienne oui petite chienne je vais te mettre à genoux devant moi pour que tu me lèches à n’en plus finir !
C’est bon…
La chaleur et la tension qui prennent ma chatte en otage sont insupportables.
Je voudrais jouir, je sais que je le pourrais si tu m’aidais un peu. Je sais qu’il ne me faudrait pas grand chose. Un ou deux doigts bien placés, un ou deux doigts qui s’enroulent autour des petites lèvres, un ou deux doigts qui caressent doucement oui très doucement mon clito avec cette lenteur insupportable qui me rend folle.
Oui c’est ça que je voudrais là maintenant et alors je prends ta main, la colle à ma chatte, personne ne nous voit et de toutes façons je m’en fous ça m’excite trop même, d’être là, tendue de désir au milieu de cette foule, obsédée par ta queue presque glissée entre mes fesses. La légère pression de tes doigts me rend folle, tu sais exactement ce qu’il faut faire, tu sais comment et tu sais où et ma culotte qui se mouille t’excite comme un dingue et je serre mes cuisses plus fort l’une contre l’autre, je sais que comme ça je peux jouir aussi, surtout avec les secousses du train tout est plus cru aussi. Et soudain tu te tends plus fort, le mouvement de tes fesses, le mouvement du train et moi aussi tout est en rythme, tout s’accélère et tout à coup tout part, et je crois que tu jouis, oui tu jouis, je l’entends je le sais et ça me percute, ça m’inonde et moi aussi je jouis, je décharge et putain comme c’est bon, les petites secousses de plaisir sont maintenant dans ma chatte. Elles m’inondent. Elles pulsent. Elles m’explosent.
Je suis ailleurs.
Je ferme les yeux.
C’est Picadilly.
J’ai acheté hier en pensant à toi un haut des plus intéressants. C’est un dos nu, au tissu léger, qui se ferme par une fine lanière derrière le cou. Je voudrais le mettre sans soutien-gorge, mais ce serait probablement très indécent, parce que le tissu en est si fin qu’il laisse tout deviner.
Je me suis dit que tu l’aimerais parce que j’imagine qu’on y voit mes petites omoplates ainsi que le creux de mes reins. Je ne l’ai même pas essayé. J’ai pensé à toi et je l’ai acheté.
Et ce matin, en le voyant à nouveau, mal plié dans ma valise, je me suis vue le mettre à Londres, cette ville où tu peux tout porter sans être mal regardé.
C’est un jour de juillet où il fait très chaud. Nous allons vers l’ouest et descendons sur la Central Line. C’est la sortie des bureaux. Le métro est bondé. C’est vendredi et les gens sont joyeux. Ils parlent fort, tous ces mecs stylés en cravate et fesses délicatement dessinées par leurs pantalons sombres de traders déjà bien cockés. Il fait beau et ils se réjouissent de siroter une bière dans un de ces nouveaux rooftops de Fenchurch Street, ou un cocktail au Sky Garden.
Nous nous enfilons dans une des rames qui arrive déjà bien chargée. Je suis devant toi et me tiens à une de ces barres dont le métal est étonnamment chaud. Tu es derrière moi et bientôt je ne peux plus me retourner car les gens montent et nous poussent l’un contre l’autre. Lorsque le train démarre tu es tout contre moi.
Le tissu de ton t-shirt est ultra fin, ultra léger. Et moi j’ai ce dos-nu dont je te parlais, et ma jupe vert d’eau si légère que la moindre brise la soulève instantanément. Je t’enverrai la photo.
Il fait si chaud…
Tu transpires, je sais que tu transpires, je le sens, même ton odeur parvient jusqu’à moi, elle est bonne et je voudrais glisser ma langue sur tes aisselles, aspirer la moindre goutte, te lécher, te boire, jouer avec tes poils que j’aimerais longs et fins. Je voudrais me retourner, une idée folle me traverse, et si je te suçais, j’en ai très envie, j’imagine tout, ma langue qui lape doucement ton gland si doux et rond, qui descend et puis monte le long de ta verge veloutée, et ça me rend déjà dingue mais je suis coincée là, prisonnière de la foule et toi serré contre moi.
Oui, tu es bien plaqué contre moi, et je sens alors tes tétons durcir à travers le tissu. Ce sont deux petits boutons dressés contre ma peau, ils me provoquent et je les veux aussi, je les veux dans ma bouche et sous mes doigts. Je veux les mouiller de ma salive, je veux les pincer tendrement.
Ma chatte se gonfle de désir et le train accélère soudain. Chaque soubresaut nous rapproche un peu plus, comme si c’était encore possible. Chaque soubresaut te plaque plus fortement contre moi et cette fois je sens ta queue tendue contre le haut de mes fesses. Tes jeans ont aussi un tissu très fin et je sens très bien ta queue vraiment dure maintenant, je sens que ça t’excite. Oui, je sais ça t’excite de sentir mes fesses rondes contre cette bosse qui enfle et qui durcit dans tes jeans si fins. Je sens ton souffle se précipiter dans mon cou, je sens que tu te frottes contre mes fesses, je t’entends presque gémir dans mon oreille, tu profites du vacarme que fait le train quand il file à toute allure vers Picadilly. Tu me veux, je sais que tu me veux. Tu me parles, tu parles à mon oreille, peut-être que tu cries dans ce vacarme, tu me cries des mots sales, bien dégueulasses, tu me cries petite chienne oui petite chienne je vais te mettre à genoux devant moi pour que tu me lèches à n’en plus finir !
C’est bon…
La chaleur et la tension qui prennent ma chatte en otage sont insupportables.
Je voudrais jouir, je sais que je le pourrais si tu m’aidais un peu. Je sais qu’il ne me faudrait pas grand chose. Un ou deux doigts bien placés, un ou deux doigts qui s’enroulent autour des petites lèvres, un ou deux doigts qui caressent doucement oui très doucement mon clito avec cette lenteur insupportable qui me rend folle.
Oui c’est ça que je voudrais là maintenant et alors je prends ta main, la colle à ma chatte, personne ne nous voit et de toutes façons je m’en fous ça m’excite trop même, d’être là, tendue de désir au milieu de cette foule, obsédée par ta queue presque glissée entre mes fesses. La légère pression de tes doigts me rend folle, tu sais exactement ce qu’il faut faire, tu sais comment et tu sais où et ma culotte qui se mouille t’excite comme un dingue et je serre mes cuisses plus fort l’une contre l’autre, je sais que comme ça je peux jouir aussi, surtout avec les secousses du train tout est plus cru aussi. Et soudain tu te tends plus fort, le mouvement de tes fesses, le mouvement du train et moi aussi tout est en rythme, tout s’accélère et tout à coup tout part, et je crois que tu jouis, oui tu jouis, je l’entends je le sais et ça me percute, ça m’inonde et moi aussi je jouis, je décharge et putain comme c’est bon, les petites secousses de plaisir sont maintenant dans ma chatte. Elles m’inondent. Elles pulsent. Elles m’explosent.
Je suis ailleurs.
Je ferme les yeux.
C’est Picadilly.
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