cérémonie acte 2 - histoire érotique

Hum! hum! han ! han ! han !... Quel bonheur, d'être prise par un amant comme Alex. Il sait y faire et il y va vraiment à fond. Ses mains me guident, me serrent, me griffent, me caressent ... me rendent complètement folle.
Je suis la cadence que m'imposent ses reins en vibrant, ruant et me cabrant sous son sexe impérieux qui m'emplit totalement.

Alex ! oh oui! oui Alex!
Son nom, Je l'ai murmuré, scandé, crié, le suppliant d'arrêter , l'implorant de continuer...
Je suis maintenant en face d'Alex, accrochée tant bien que mal au montant de la bibliothèque et à son cou.
Je me porte à la rencontre d'Alex qui a passé une main sous une de mes jambes.
Les coups de butoirs s' alternent entre les coups lents qui me font prendre conscience de toute la longueur de son sexe et les coups rapides qui m'en font apprécier la grosseur. Je me sens partir à nouveau.
"Tu aimes ce que je te fais " me demande t-il
Je fais non de la tête
"Menteuse" dit- il en accélérant le rythme , je jouis à nouveau, il plaque son autre main sur ma bouche tentant d'étouffer mes cris.
Je glisse le long d'Alex et m'agenouille afin d'engloutir son pénis brûlant, dans un long râle Alex se vide presque aussitôt à gros jets dans ma gorge.

"Putain mais on va se faire prendre avec vos conneries" dit le témoin d'Alex en entrant dans la pièce.
Alex et moi échangeons un long baiser salé.
" Tu seras toujours pour moi ..." je le coupe en disant " pour moi aussi, en souriant".
"Tu dois être Lilith, j'ai beaucoup entendu parler de toi" me dit le témoin d' Alex.
Je lui répond que tout est vrai et lui dit à plus tard en les laisant partir les premiers.
"J'y compte bien me répond t-il en m'observant.

J'ai l'impréssion en retournant à ma place qu'il est écrit sur mon front que je viens de me taper le marié. En vérifiant mon aspect dans la salle de bain, je n' ai remarqué que mes yeux plus brillants et ma bouche gonflée sous ses baisers.
Je sens le sexe, toutes celles qui sont accompagnées se serrent un peu plus contre leurs cavaliers, à mon passage.

On m'invite à danser.Les célibataires se succèdent. Je danse un zouk avec un adolescent qui se colle outrageusement à moi.
Le témoin d'Alex (je ne connaissais toujours pas son nom ) s'approche de nous.
"C'est mon tour gamin" dit-il au petit en me prenant dans ses bras.
Nous ne disons rien , laissant nos corps se presser l'un contre l'autre, laissant le désir monter doucement.
"je te veux, maintenant" me souffla t-il à l'oreille.
"Et alors, Si je devais me faire prendre par tous ceux qui me désirent...."
"Tu ne mettrais plus de culotte " me coupa t-il en passant une main sur mes fesses qu'il savait nues"
"Allez viens, mon oncle possède un petit bois aux alentours , Alex m'a dit que tu aimais jouer en extérieur"
"Ton oncle , mais alors la mariée ..."
"Que tu viens de faire cocufier est ma cousine . Je me dois de laver son honneur, laisse moi le choix des armes, j'en ai justement une sur moi qui ne demande qu'à servir.
Il achève de me convaincre en me mordillant le cou et l'épaule( que j'ai de très sensibles ) et m'entraîne à sa suite.

Dehors nous croisons d'autres couples enlacés dans la pénombre propice du bois.
Il me fait passer devant lui , m'attrape par les cheveux en exigeant un long baiser impérieux , me colle tout contre un tronc d'arbre en me troussant et cherchant le contact de ma peau nue.
Il me malaxe les seins et les fesses, glisse une main entre mains cuisses. Sans se poser de question il enfonce deux doigts au creux de mon intimité.

Je vacille, il en profite pour m'allonger à même le sol et m'écarte les cuisses.
Sa bouche prend vite la place de ses doigts, ma respiration s'accélère, je gémis, le supplie de me prendre .
Il ne m'écoute pas , bloque mon bassin agité de violents soubresauts et s'acharne sur mon minou en poussant des Hum gourmands . Je ne résiste pas longtemps à sa langue râpeuse .
Je me sens à nouveau partir , je tente en vain de repouser sa tête et Ah han je jouis.
Il se relève, défait sa ceinture et libère la bête.

"Tu as eu du pianissimo avec Alex, maintenant tu vas goûter au fortissimo" gronde t-il en me guidant son pénis vers ma bouche.
Il me maintient avec autorité la nuque, j'adore. S'il est vrai que j'aime dominer, je sais aussi parfois me soumettre.
Je suis pressée de lui en mettre plein la vue ou plutôt plein la queue !

Je le pompe avec application en prenant mon temps, suçotant, léchant, dardant une langue assassine. Je l'engloutis avec peine jusqu'à la base, le relâche complètement le reprends, tourne autour, fais mine de le mordre, le secoue, le happe d'un coté puis de l'autre, le fais rouler sur mes lèvres, tête ses bourses , le fais tapoter contre ma langue, Hum j'en bave. Sa queue palpite dans ma main.
En le regardant par en dessous je me demande si je dois ou non continuer ?

"Arrête je ne veux pas jouir, pas encore dit il . Allonges-toi et écartes bien les cuisses, mieux que ça , voila, c'est comme ça que j'aime regarder les femmes, les cuisses bien écartées". dit -il, la voix rauque et le regard fiévreux.
Il s'approche, la pique à la main puis s'arrête.
"Qu'est ce que t'attends ,prends moi maintenant, n'attends plus"
"Mieux que ça" me demande t- il .
"Putain, Baise-moi avec ta grosse bite. Fais moi hurler, Défonce- moi comme je le serai jamais AAAHHHHHHHHHH... plus.

Il s' était enfin décidé et m'avait prise d'un seul coup .
Il me possédait d'une manière indescriptible,cherchant à entrer le plus loin possible. Il me culbutait avec force à un rythme effréné qu'il ne pourrait tenir longtemps.
Son sexe me réduisait à l'état de femelle, j'haletais, je geignais, je criais, en essayant de m'agripper à lui. Ma tête s'agitait dans tous les sens, la chatte en feu , j'essayais de suivre cette cadence infernale.
Mes cris semblaient le galvaniser, il poussait des "Han "vindicatifs.
"Quand tu ...l'auras... dans le cul ...tu crieras... encore.... plus fort... tu aimes ...ça Hein ... Petite... Salope.
Comme si je pouvais lui répondre, je me concentrais sur la boule qui prenait naissance dans mon ventre. ça venait et je sentais que j'allais littéralement exploser.
Mais je ne me suis pas mise à hurler comme je m'y attendais , je me suis tendue comme un ressort en l'éjectant presque, mon cri s'est éteint et puis le trou noir, je me suis évanouie.

En reprenant mes esprits, je constate que je suis sur le ventre et que mon amant se sert de ma mouille pour m'enduire généreusement l'anus .
"Coucou Lilith , tu te réveilles ma belle, il est temps de passer aux choses sérieuses .
Je vais t'élargir le petit trou"....