Cette première fois qui vous transcende, sans qui vous ne puissiez y mettre les mots
Récit érotique écrit par Clem0812 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-12-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Cette première fois qui vous transcende, sans qui vous ne puissiez y mettre les mots
Il y a quelques mois, j’ai retrouvé un vieil ami du lycée que je n’avais pas revu depuis 11 ou 12 ans. On s’échange nos tel, très machinalement, comme pour beaucoup de monde que tu recroises et que tu n’appelles jamais finalement.
C’est lui qui m’a recontacté le week-end suivant, d’abord pour prendre de mes nouvelles, et ensuite pour me proposer de passer prendre l’apéro chez lui, puisqu’il recevait quelques amis à lui.
J’accepte sans grande conviction mais j’accepte quand même.
Je me rends donc chez lui dans la soirée. Il n’était que 2. Lui et un autre mec. Les 2 autres personnes qui devaient nous rejoindre avaient eu un empêchement de dernière minute.
On parle un peu de tout et de rien, la vie, le boulot, des débats sur pas mal de chose et entre autres, de nos vies de couple, si tenté qu’on en est. Je leur dis du coup que je suis en couple depuis 4 ans, que tout va bien et je retourne la question sans en cibler un des 2 en particulier. A ce moment précis, j’étais moi, assis dans le canapé, et eux, debout au milieu de l’appart, contre la table. A cette question, mon ami c’est approché de l’autre, lui attrapé la nuque et l’a embrassé le plus langoureusement possible, pendant des secondes qui m’ont paru être des heures.
J’ai été très surpris.
D’une part, par leur baiser tout à fait inattendu, et ne le cachons pas, sensuel au possible, et d’autre part par l’afflux sanguin que j’ai ressenti immédiatement entre mes jambes et une excitation sortie de nulle part. Je n’avais plus les mots, mon ami m’a regardé droit dans les yeux et il s’est assis en face de moi sans dire un mot, pendant que l’autre disparaissait quelque part dans mon dos dans l’appartement.
Après un silence pesant, je me suis excusé de ne plus rien dire, en précisant que ça m’avait beaucoup surpris et que je ne savais plus trop quoi rajouter du coup. Il n’a pas été gêné plus que ça, et avec des yeux très gourmand, il m’a demandé si ça m’avait plu ?
Comment répondre à cette question ? Comment avouer que ça m’avait excité ? Et pendant qu’il me dévisageait, et qu’il attendait ma réponse, je sentais mon sang bouillir, mon désir augmenter et mon discernement s’effondrer.
J’ai murmuré, la voix presque cassé : « c’était un baiser bien chaud ». Il ne me lâchait toujours pas du regard, et le mien n’arrivait plus à décrocher non plus. Je savais ce qu’il voulait faire, je savais qu’il allait le faire et je ne pouvais pas m’extraire de son emprise.
Il s’est levé, sans quitter mes yeux pour se rapprocher de moi. Machinalement, je me suis plaqué contre le fond du canapé, les jambes tremblantes. Il s’est assis face à moi, à cheval sur mes jambes, et m’a embrassé. Un baiser puissant, fougueux. Sa langue chaude caressée la mienne avec assurance et je me suis complètement laissé aller, en fermant les yeux, pendant que dans mon jean, ma queue suppliée de la laisser sortir tellement je bandais dur.
Le temps m’a paru à l’arrêt, je ne sais pas combien de temps ça a duré. Ses baisers, sa langue sur mes lèvres, dans mon cou, la texture charnue de ses lèvres, le plaisir… Rien ne se moment n’était de trop ou contre nature.
J’avais envie de plus, mais je ne savais pas comment faire, ni comment le dire. Je ne l’assumais pas tout à fait non plus, même terrassé par le désir et ravagé par ce qu’il venait de se passer.
Mais je n’ai pas eu le luxe de m’en inquiéter. Il a enlevé ma ceinture et descendu mon pantalon avec une précision et une dextérité tel que je n’ai même pas eu le temps de réagir, ou plutôt, mon corps n’a pas voulu réagir. Et le gémissement que j’ai poussé quand il a avalé ma queue gonflée d’envies nouvelles a achevé de me rendre incapable d’y réfléchir ou d’y penser. Je ne sentais plus que les vas et vient de sa bouche sur ma tige et sa main ferme et dirigeante.
Comblé et complètement déconnecté, j’avais complètement oublié que nous n’étions pas seul. Et que dans l’ombre, il attendait son heure.
J’étais très loin, les yeux fermés, la tête appuyée sur le haut du dossier, presqu’en arrière. Je l’ai entendu s’approcher, et très clairement, j’ai entendu le bruit d’un vêtement qu’on défait. J’ai ouvert les yeux, tranquillement, conscient que j’avais atteint un point d’excitation si haut, que je n’avais presque plus de limites.
Il était debout à quelques centimètres de moi, entièrement nu, la main sur sa tige, droite comme un piqué, longue et grosse et il me regardait, avec un sourire malicieux, presque pervers. Il s’est approché encore, si prêt, que si j’avais voulu, j’aurais pu engloutir sa queue.
Il a caressé mes lèvres doucement avec son pouce, pendant qu’il s’astiquait le manche très doucement. Je sentais ma queue grossir encore à mesure que l’envie de lui montait. Il a glissé son pouce entre mes lèvres, m’a entrouvert la bouche et délicatement, et venu enfoncer sa verge magnifique dans ma bouche. Il a bloqué ma nuque dans sa main et je me suis laissé faire. Tantôt doux, tantôt plus vif et plus profond, je sentais sa queue pénétrer ma gorge et l’ouvrir un peu plus à chaque passage, jusqu’à ce que j’entendes son soupir rauque résonner, et que sa semence coule sur ma langue et descende dans ma gorge, en même temps que sa queue qu’il a enfoncé de tout son long après l’orgasme. L’effet cumulé de son sperme et de sa queue étouffante m’ont immédiatement fait exploser de plaisir, à la grande satisfaction de mon ami qui n’en a pas perdu une goutte non plus.
On est resté un moment vautré sans rien dire, comblé. J’ai fini par aller prendre une douche et je suis rentré chez moi, ivre de plaisir et envahie de sensations indéfinissables.
Je n’ai jamais été attiré par un homme et ce n’est toujours pas le cas. Mais ce que j’ai vécu ce soir-là m’a fait vivre un des moments les plus intenses de ma vie sexuelle.
Je n’ai pas encore eu le courage de le recontacter, et il n’a pas cherché non plus à me joindre. Mais il est possible qu’un jour, la folie m’emporte à nouveau.
C’est lui qui m’a recontacté le week-end suivant, d’abord pour prendre de mes nouvelles, et ensuite pour me proposer de passer prendre l’apéro chez lui, puisqu’il recevait quelques amis à lui.
J’accepte sans grande conviction mais j’accepte quand même.
Je me rends donc chez lui dans la soirée. Il n’était que 2. Lui et un autre mec. Les 2 autres personnes qui devaient nous rejoindre avaient eu un empêchement de dernière minute.
On parle un peu de tout et de rien, la vie, le boulot, des débats sur pas mal de chose et entre autres, de nos vies de couple, si tenté qu’on en est. Je leur dis du coup que je suis en couple depuis 4 ans, que tout va bien et je retourne la question sans en cibler un des 2 en particulier. A ce moment précis, j’étais moi, assis dans le canapé, et eux, debout au milieu de l’appart, contre la table. A cette question, mon ami c’est approché de l’autre, lui attrapé la nuque et l’a embrassé le plus langoureusement possible, pendant des secondes qui m’ont paru être des heures.
J’ai été très surpris.
D’une part, par leur baiser tout à fait inattendu, et ne le cachons pas, sensuel au possible, et d’autre part par l’afflux sanguin que j’ai ressenti immédiatement entre mes jambes et une excitation sortie de nulle part. Je n’avais plus les mots, mon ami m’a regardé droit dans les yeux et il s’est assis en face de moi sans dire un mot, pendant que l’autre disparaissait quelque part dans mon dos dans l’appartement.
Après un silence pesant, je me suis excusé de ne plus rien dire, en précisant que ça m’avait beaucoup surpris et que je ne savais plus trop quoi rajouter du coup. Il n’a pas été gêné plus que ça, et avec des yeux très gourmand, il m’a demandé si ça m’avait plu ?
Comment répondre à cette question ? Comment avouer que ça m’avait excité ? Et pendant qu’il me dévisageait, et qu’il attendait ma réponse, je sentais mon sang bouillir, mon désir augmenter et mon discernement s’effondrer.
J’ai murmuré, la voix presque cassé : « c’était un baiser bien chaud ». Il ne me lâchait toujours pas du regard, et le mien n’arrivait plus à décrocher non plus. Je savais ce qu’il voulait faire, je savais qu’il allait le faire et je ne pouvais pas m’extraire de son emprise.
Il s’est levé, sans quitter mes yeux pour se rapprocher de moi. Machinalement, je me suis plaqué contre le fond du canapé, les jambes tremblantes. Il s’est assis face à moi, à cheval sur mes jambes, et m’a embrassé. Un baiser puissant, fougueux. Sa langue chaude caressée la mienne avec assurance et je me suis complètement laissé aller, en fermant les yeux, pendant que dans mon jean, ma queue suppliée de la laisser sortir tellement je bandais dur.
Le temps m’a paru à l’arrêt, je ne sais pas combien de temps ça a duré. Ses baisers, sa langue sur mes lèvres, dans mon cou, la texture charnue de ses lèvres, le plaisir… Rien ne se moment n’était de trop ou contre nature.
J’avais envie de plus, mais je ne savais pas comment faire, ni comment le dire. Je ne l’assumais pas tout à fait non plus, même terrassé par le désir et ravagé par ce qu’il venait de se passer.
Mais je n’ai pas eu le luxe de m’en inquiéter. Il a enlevé ma ceinture et descendu mon pantalon avec une précision et une dextérité tel que je n’ai même pas eu le temps de réagir, ou plutôt, mon corps n’a pas voulu réagir. Et le gémissement que j’ai poussé quand il a avalé ma queue gonflée d’envies nouvelles a achevé de me rendre incapable d’y réfléchir ou d’y penser. Je ne sentais plus que les vas et vient de sa bouche sur ma tige et sa main ferme et dirigeante.
Comblé et complètement déconnecté, j’avais complètement oublié que nous n’étions pas seul. Et que dans l’ombre, il attendait son heure.
J’étais très loin, les yeux fermés, la tête appuyée sur le haut du dossier, presqu’en arrière. Je l’ai entendu s’approcher, et très clairement, j’ai entendu le bruit d’un vêtement qu’on défait. J’ai ouvert les yeux, tranquillement, conscient que j’avais atteint un point d’excitation si haut, que je n’avais presque plus de limites.
Il était debout à quelques centimètres de moi, entièrement nu, la main sur sa tige, droite comme un piqué, longue et grosse et il me regardait, avec un sourire malicieux, presque pervers. Il s’est approché encore, si prêt, que si j’avais voulu, j’aurais pu engloutir sa queue.
Il a caressé mes lèvres doucement avec son pouce, pendant qu’il s’astiquait le manche très doucement. Je sentais ma queue grossir encore à mesure que l’envie de lui montait. Il a glissé son pouce entre mes lèvres, m’a entrouvert la bouche et délicatement, et venu enfoncer sa verge magnifique dans ma bouche. Il a bloqué ma nuque dans sa main et je me suis laissé faire. Tantôt doux, tantôt plus vif et plus profond, je sentais sa queue pénétrer ma gorge et l’ouvrir un peu plus à chaque passage, jusqu’à ce que j’entendes son soupir rauque résonner, et que sa semence coule sur ma langue et descende dans ma gorge, en même temps que sa queue qu’il a enfoncé de tout son long après l’orgasme. L’effet cumulé de son sperme et de sa queue étouffante m’ont immédiatement fait exploser de plaisir, à la grande satisfaction de mon ami qui n’en a pas perdu une goutte non plus.
On est resté un moment vautré sans rien dire, comblé. J’ai fini par aller prendre une douche et je suis rentré chez moi, ivre de plaisir et envahie de sensations indéfinissables.
Je n’ai jamais été attiré par un homme et ce n’est toujours pas le cas. Mais ce que j’ai vécu ce soir-là m’a fait vivre un des moments les plus intenses de ma vie sexuelle.
Je n’ai pas encore eu le courage de le recontacter, et il n’a pas cherché non plus à me joindre. Mais il est possible qu’un jour, la folie m’emporte à nouveau.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
On attend la suite :)
Exaltant Ahahha, a quand la suite jeune padawan ?
Bravo belle histoire et tellement excitante j'attends avec impatience une suite!
Excellent, ce texte réville un vieux fantasme, rien d'autre que sucer et etre sucé.. Bravo
!
!