Chandelles 1ère

- Par l'auteur HDS Kinky couple -
Auteur femme.
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Récit libertin : Chandelles 1ère Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-10-2012 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

Couleur du fond :
Chandelles 1ère
CHANDELLES 1ere fois

Mon mari m’a connu coquine, j’ai eu des expériences mais il a tout changé. Il est très patient et arrive à vous faire entrer ses idées en tête. Petit à petit vous trouvez cela normal.

Il m’a donc beaucoup parlé de sa vie sexuelle. Candauliste, Echangiste, rien ne lui manque. Jamais marié à 45 ans. Vie de débauche sexuelle qu’il m’enseigne encore aujourd’hui.

Sa proposition était étrange mais exitante : Tu fais ce que je te demande, ce que je ferais à ta place et ce que je faisais célibataire.

J’ai accepté de le suivre dans cette voie. Une voie sans retour où chaque expérience vous éloigne de la vie normale.

Son éducation a donc commencé par une soirée au Chandelles à Paris. Il m’a promis une seule chose. On ne fera rien de plus que ce que tu veux.

J’y vais donc en confiance. Je me prépare comme une belle salope, classe et sexy. Il m’attend dans la voiture, se gare un peu loin de l’appartement pour me faire marcher dans la rue. Je le soupçonne de vouloir me faire mater. Une autre qualité qu’il a développé en moi. Me faire désirer du regard.

Nous arrivons, descendons les escaliers et arrivons au bar. Je regarde autour de moi, rien de bien folichon, seules quelques femmes en tenues sexy. Je suis rassuré mais aussi décu. Il m’avait vanté ce lieu, je me retrouve dans une cave !!!

Il lit dans mes pensées, m’embrasse et me dit 2 choses qui me soulagent et m’intriguent.

Ne t’en fait pas, il est tôt et tu n’es qu’au bar. L’action se passe derrière ces 2 passages.


Je regarde autour, je bois mon verre les hommes arrivent en couple, ils regardent sans baisser les yeux ma jupe courte et mes bas noirs. Je sens que tout est possible dans ce lieu, je sens que je dois me contrôler, je dois maitriser la moiteur de ma chatte. Je sens ce doux liquide qui commence à passer entre mes lèvres. Je me contrôle je lui parle de ma journée, il me regarde, il devine mon trouble mais ne dit rien. Je le vois mater les femmes, je suis surpris de ses choix quand il s’attarde, des femmes différentes de moi. Je suis châtain, grande et mince. Un cul bombé comme une black mais des hanches fines. Peu de seins et de longs cheveux. Un cul parfait pour porter un jean avec un string qui dépasse.( il paraît que vous adorez cela messieurs).

Il regarde les femmes à gros seins, légerement vulgaires, je suis pincé dans ma jalousie, je ne dis rien je sens mon sexe qui colle à mon string, je ne sais comment mettre mes jambes pour retarder la première goutte de cyprine dans ma culotte.

Je le regarde, je m’approche et je mets la main sur son pantalon de costume, il ne bande pas, il est juste en forme, une belle queue qui pend dans son pantalon. Il ne porte rien dessous. Il n’aime pas voir ces hommes, pantalon baissé, slip aux genoux, en train de baiser. Il sort juste sa queue de son pantalon et baise comme cela. Toujours digne et classe.

Nous finissons notre première coupe et il me prend par la main pour une visite. Je fais mine de me faire tirer les bras mais je sens que mon premier pas libère l’ouverture de ma chatte et je commence à mouiller ma culotte. Je suis anxieuse, heureuse et exitée.

Il passe devant moi entre dans le couloir et va vers le fond à gauche. Je le suis juste derrière de peur de me retrouver seule. Une petite chienne qui suit son maitre.

Nous arrivons devant la salle du fond. Là je réalise l’odeur, une odeur de sexe, l’odeur de stupre. Vous savez en sentant qu’il se passe des choses, du sexe, de la transpiration. Je mets ma main devant mon visage il rie en me regardant. Lui adore les odeurs, il aime sentir l’odeur du sexe, je n’ai pas le droit de prendre une douche le soir, je dois lui préparer mon sexe dans la journée pour qu’il le lave le soir avec sa langue. Choquée au début j’ai pris l’habitude de me salir pour lui. J’ai honte parfois mais je le rend fou et il me rend tout ce plaisir dans nos ébats. Où en étais je ? il y a des hommes des femmes devant nous, il est devant et regarde je suis derrière et je tente de voir. Enfin un couple se pousse. Nous passons au premier rang. Plusieurs couples sont là, impossible de savoir qui est avec qui. Ca suce, ca baise, ca fait du bruit, je me demande si elles font un concours de gémissement. Mais c’est bon, bestial, pervers. Je suis mouillée, je ne peux plus retenir ma mouille qui tapisse ma culotte. Mon mari regarde, il ne dit rien pour ne pas déranger. Il passe sa main derrière lui, la pose sur ma jupe et remonte entre mes cuisses. Il va poser un doigt sur mon string, le retire et le porte à sa bouche. Je le vois le faire glisser sur son autre doigt pour sentir la mouille et le sucer. Un couple le regarde visiblement amateur de ce jeu.

Il me fait face et nous retournons au Bar, 2eme coupe pour moi un coca pour lui et il me demande si j’ai aimé. Je rechigne, je me plains de l’odeur. Me moque des gémissements. Il me dit simplement. Je comprends chéri mais tu es toute mouillée..

Il me reprend par la main je le suis et nous allons dans la même direction. Au bout du couloir nous tournons à gauche. Il y a une petite alcôve, plus intime. Il me colle au mur et m’embrasse, me releve la jupe aux hanches. Je regarde autour de nous et je vois des hommes et des femmes regarder, je suis exitée de montrer mon corps, je le sens bander sur ma cuisse. La tension monte et il me demande de le sucer. Je ne sais plus quoi faire. IL m’avait promis de ne rien faire. J’ai ma petite chatte qui me fait des signes. Je descends, je suis en face de sa queue je tourne la tête, on nous regarde avec bienveillance.. continue me dit il. J’ouvre la bouche et je l’avale, je suis exitée de sucer en public, je veux tout oublier. Je veux lui montrer que je suis ce qu’il veut : Une salope.

Je suce et je ferme les yeux. Il me dit de ralentir, je l’entends parler à une autre personne. Il dit merci aux compliments, je le suce et il fait la causette Je suis vexé je veux arreter mais il me repousse vers le bas. Je sens du monde tout prêt de moi. Je n’ose pas regarder. Une main est posé sur ma cuisse, je tremble, je suis pétrifié, je lui mords le sexe pour l’avertir. Il ne fait rien. La main est déjà sur mon string, je suis démasquée, mouillée. La main se faufile. Un doigt dans la chatte, un mouvement de va et vient rapide, ma chatte fait un bruit d’eau, je sais qu’il entend. Il se régale de me savoir doigté, mes cuisses me font mal, je suis dans cette position depuis trop longtemps.
Je me redresse, il m’embrasse, nos gouts se mélangent. Je regarde autour et découvre celui qui me touchait le sexe. Un homme plus agé, sans charisme. Je suis choquée, comment a t’il pu laisser ce mec me caresser. Il rie encore et me dit à l’oreille. Tu vois que n’importe qui peut te faire mouiller… sa phrase résonne et je suis encore plus exitée. Je me reprends et je fais signe à la personne de nous laisser. Docile il s’en va, Il en a eu assez avec moi.

Mon mari me retourne, il est dos au mur prêt de la barre en fer. Il me caresse et remonte ma jupe. Je sens les regards sur mon cul bombé. Il me tient près de lui. Je sens sa queue sur ma cuisse. Il me dit de ne pas bouger de rester comme cela fesses à l’air.
Une présence me fait sursauter, je veux regarder mais il me l’interdit. Il me prend la main et dirige mon bras vers l’arrière. Je sens une bite chaude toucher le dos de ma main. Il me tourne le bras et me dit de la prendre . j’ai une bite dans la main, elle porte une capote. Je la branle doucement. Bien raide avec un gros gland. Je branle un inconnu. Un fantasme de jeune fille. L’inconnu est passé entre les fesses pour descendre dans ma vulve, il me doigte de derrière, je gémis la tête appuyée sur l’épaule de mon mari, honteuse de ne rien gérer, honteuse d’être exitée. J’ai peur que le vieil homme soit celui que je branle. Je ne préfère pas voir. Mon inconnu enlève sa bite de ma main. Il est maintenant à genou derrière moi. Je serre les fesses en attendant sa bouche. Il n’en fait rien, il baisse mon string délicatement, il insiste pour le passer entre les cuisses que je dois écarter. Je vois mon string passer devant moi pour atterrir dans la main de mon mari qui le porte à sa bouche. Mon mari me tient par les épaules, son étreinte se fait plus ferme. Je suis immobilisé. Je sens mon inconnu se relever, il est juste derriere moi. Sa bite est posée sur mon cul. Son gros gland s’appuie sur mes fesses. Je suis paniquée, pas dans les fesses me dis je. Je suis folle... Pas dans les fesses, cela vaut dire que je suis prête ailleurs. Je suis prête à me faire prendre pour ma première fois aux chandelles. Je fais signe à mon mari , je lui demande s'il est sur d’aimer. Il ne répond pas. Il pousse mes hanches en arrière et fait un signe de tète. L’inconnu comprend que je suis prête , il me prend les hanches et me fait glisser en arrière, passe son pied entre mes chaussures à talon. J’ouvre timidement mes jambes. Son sexe capoté est maintenant sous ma chatte. Il est plus petit que moi. Je me vois encore plier les genoux pour lui permettre de m’enfiler. Son gros gland me surprend. Il est plus gros que mon mari. Il pousse et se plaque sur mes fesses. Je pense à mon cul qui aurait souffert mais ma chatte ne se plaint pas. L’inconnu va et vient, et miracle nous jouissons ensemble en moins de cinq minutes. Mon mari me tient toujours... Il est aux anges . L’inconnu se retire sans délicatesse. Me complimente et disparaît. Je viens de me faire baiser, abusée et j’ai eu un orgasme incroyable. Ma tête tourne, Je suis donc une vraie salope. Je jouie avec n’importe qui !

Je regarde mon mari pour voir ce qu’il a dans les yeux. Je vois le vice et le bonheur.
Il aime sa salope.. Je m’agenouille devant lui et le suce, regardez moi je suis une suceuse, je viens de jouir et là je suce. Mon mari jouit en grosse quantité. Je sais qu’il a bandé toute le soirée et que ses couilles se vident dans ma bouche. Je me redresse il me donne mon string et me dirige vers les toilettes. Je ressors des toilettes il n’est pas là. Moment de panique je cherche le bar et je le vois relax, accoudé le sourire aux lèvres.

Nous rentrons à l’appartement, il me baise en me demandant des détails de mes nouvelles sensations de cochonne.

Nous sommes dans un autre monde, celui des pervers, celui qui vous donne l’impression de dominer les autres, ceux qui n’ont pas gouté à la perversion..

A bientôt pour la suite de mon éducation.

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