chantage et soumission

- Par l'auteur HDS Servitorine -
Auteur homme.
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Récit libertin : chantage et soumission Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-07-2009 dans la catégorie Dominants et dominés
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chantage et soumission
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CHANTAGE ET SOUMISSION


Bonjour je m’appelle Denis j’ai 42 ans, je suis marié habite en Touraine et depuis maintenant six mois ma vie a basculé d’une façon surprenante dans des sensations exquises que je ne soupçonnais pas. Je vous raconte mon histoire en espérant qu’elle vous procure du plaisir autant qu’elle m’a bouleversé.
Il y a six mois le 25 août 2008 exactement, je reçois un appel au travail. Une personne féminine au bout du fil me tient ce discours :
"Bonjour vous ne me connaissez pas mais j'aimerai vous rencontrer pour discuter avec vous d'une affaire vous concernant. Disons 17 heures en fin d’après-midi au bar restaurant l'Adresse J’aimerai également que vous me donniez votre numéro de portable dans le cas ou j'aurai un empêchement "
Surpris par cette voix suave et sensuelle, ma curiosité masculine me fait accepter le rendez-vous sans faire aucune remarque ! De plus n’étant pas seul dans le bureau je ne pouvais pas éveiller la curiosité de mes collègues de travail.
A 17 heures je suis en place à l'Adresse dans l'attente de cette étrange inconnue. Il est 17h05 mon portable sonne, je décroche :
"Mr Vallin….. Je suis votre interlocutrice de tout a l'heure ! Maintenant que je suis sûre que vous êtes en place au rendez-vous, vous allez m'écoutez attentivement, j'ai appris il ya quelques temps, en discutant avec votre femme, certains de vos penchants intimes comme par exemple que vous adorez qu'on joue avec votre petite rondelle anale ou encore que vous ne résistez pas longtemps a la vue de pieds a honorer.....Toutes ces choses m'ont beaucoup émue et j'aimerai que vous deveniez pendant quelques mois "Ma bonne a tout faire" !"
Pas le temps de faire une objection à cette proposition indécente, qu'elle ajoute :
" Je suis sûre que cette demande dois te faire bander comme un cerf, alors je t'appellerai au travail demain pour te demander ce que tu décides mais sache d'avance que je n'accepterai aucune frustration" et elle raccroche.
Je me sens dans un premier moment dans un irrésistible désir provoqué par l’audace incroyable de cette femme mais après réflexion refusant d’écouter mes sens en ébullition, je me dis :
« Pour qui elle se prend celle là ! »
De plus ma femme qui est infirmière est peut être été trop bavarde mais sexuellement elle me comble parfaitement. Ma libido est harmonieuse et intense alors pourquoi aller risquer de rompre ce délicieux équilibre avec une inconnue. Je passe donc la soirée dans les bras de ma femme en ayant la ferme intention de renvoyer cette inconnue à ses fantasmes de femelle en manque !
La journée du 26 août au travail est épouvantable nerveusement dans l'attente de cet éventuel coup de fil corrupteur. Alors que je commence à me faire a l’idée d’une mauvaise farce qui m’a néanmoins très excité le coup de grâce arrive vers 15h30 :
"Appel personnel pour toi Denis" me dit mon chef de service. Je m'empresse de faire rediriger l'appel vers un lieu plus calme et décroche le combiné, j’entends :
"Bonjour je viens aux nouvelles mais avant toutes choses, j'aimerai que vous alliez chercher un petit paquet vous concernant dans la Boite a lettre de l'accueil de votre travail, je vous rappelle dans 1 heure pour faire le point"
L'angoisse, entre surprise et panique, me prend mais je n'ai d'autres solutions que d'obtempérer car je ne veux pas difficultés à mon travail et surtout n’éveiller aucun soupçon. Je prends discrètement la clé de la boite à lettre et je récupère une grosse enveloppe a mon nom. Je la cache avec des archives et je me dirige vers une réserve pour découvrir mon imprévu cadeau ! L'ouverture me provoque un cri de stupeur en effet je me trouve face à une seringue souillée. Il est écrit un message façon corbeau « seringue infecté par le HIV ne pas toucher ». Totalement décontenancé par cette stupéfiante découverte je jette l'enveloppe avec son terrible contenu dans notre destructeur et remonte à l'étage en étant laminé psychologiquement.
Je me dis : « c’est une folle, il faut que je prévienne la police ! Mais que leur dire ? Je ne veux faire aucune vague à mon travail car se retrouver au chômage à notre époque c’est une terrible épreuve ! J’attends donc fébrilement l’appel de 16h30 et heureusement que mes collègues de bureau ont débauché ! A l’Heure dite le téléphone retentit, je décroche anéanti mentalement, mon interlocutrice me dit :
" Soit tu assumes tes tendances de soumis soit tu vis dans la crainte perpétuelle » Totalement abasourdi par les événements de ces dernières 24 heures, je réponds mécaniquement :
« Qu'est ce qu’il faut que je fasse ? » A peine terminé ma phrase qu’elle me lance :
« Pour commencer je veux un vouvoiement général et surtout toutes tes phrases tu les finis par maîtresse adorée ok ? A ce questionnement un irrésistible désir me prend les tripes et de la peur je ressens une sensation immense a me faire commander par cette inconnue, je réponds avec une érection incroyable :
"Oui maitresse adorée" Elle enchaîne avec dans sa voix une autosatisfaction a peine dissimulé :
« Alors a la sortie de ton travail tu te diriges directement vers l’hôtel Mercure sans détours attention tu es surveiller » dis-t-elle d’un air amusé « tu règles la chambre que je t'ai réservé tu montes et tu attends mes instructions " ma réponse fut a la hauteur de ces attentes : « D'accord maîtresse adorée"
En ayant du mal a contenir une éjaculation je me dirige vers l’hôtel désigné, je paie ma réservation en carte bleu et monte a la chambre 424. Je m'allonge sur le lit et attend servilement les instructions. Mon cœur bat la chamade et mon pénis commence à me faire mal tellement qu’il est gonflé de désirs ! Au bout d'une demi-heure interminable mon portable sonne, numéro inconnu je décroche et machinalement je dis
"OUI maitresse adorée" Sa réponse me satisfait pleinement
« Très bien tu apprends vite mon soumis je crois que nous allons bien nous entendre » Elle rajoute :
« Cependant j’ai besoin d’une garantie irréprochable de ta fidélité alors avant de te faire remplir le contrat nous liant tu vas aller chambre 426 une webcam t'attend et on va faire un petit film érotique qui va t'obliger à assumer tes engagements jusqu'au bout OK ?
« Oui maitresse adorée » malgré ma réponse instantanée la panique me reprend car je prends conscience du danger qui me guette si elle utilisait ce film de façon irresponsable ! Mais je n’ai pas le temps de pleurer sur mon triste sort, qu’elle m’ordonne sèchement :
« Prends la clé de la chambre 426 dans le tiroir de ta commode et dépêche toi si tu ne veux pas mal commencer notre partenariat !
Je me dirige donc chambre 426 entre et trouve comme prévu le matériel internet. Toujours sur mon portable, ma maîtresse exige :
« Tu vas te déshabiller devant la caméra, te caresser, te masturber, éjaculer dans tes mains et ensuite te lécher goulument les doigts en insistant bien sur tous les détails du léchage ! Je m’exécute dans un paroxysme de plaisir, l’éjaculation ne tarde pas et je trouve le goût de mon sperme délicieux Elle reprend :
« Très bien mon soumis, déjà si tu ne tiens pas sage je peux envoyer cela a ta femme mais je veux t’avoir encore plus docile, tu vas donc aller au sex-shop du coin de la rue, t'acheter un godemiché, un string et un collier et tu vas revenir très vite pour la deuxième séance. » C’est fou comme la soumission me procure un plaisir intense, malgré mon éjaculation mon sexe est redevenu presque aussitôt raide !
C’est avec la honte sur le visage que je pénètre dans la boutique des fantasmes. Je choisis rapidement les articles demandés, paie et retourne vite à la chambre d’hôtel. Mon interlocutrice perverse invisible me rappelle à 18h30. A l’heure pile, elle me félicite sur ma promptitude et ajoute :
« Tu vas commencer par te caresser l’anus en t’enfonçant doucement un doigt dans la rondelle et tout ceci bien devant l’objectif ! »
Je m’exécute avec de nouveau une excitation incroyable ! Je me sens plus maître de mes sens, je m’enfile un doigt puis deux, puis trois ; je prends le gode je le lèche langoureusement et commence à le presser a l’entrée de ma cavité. Son diamètre étant raisonnable je parviens à me l’introduire rapidement et je commence des va et vient encouragée par ma dresseuse. Je me sens en transe dans une délectation corporelle inimaginable, la deuxième éjaculation ne tarde pas. Ma maîtresse continue :
« Tu vas maintenant mettre ton collier et te déplacer comme un bon petit chienchien en faisant bien attention de garder le godemiché bien en place dans ton anus! » Je m’exécute dans des sensations exquises. Elle poursuit :
« J’espère que tes fesses sont bien propre car tu vas retirer doucement l’objet de plaisir et tu vas le lécher délicatement ! Ensuite comme je vois que tu as quelque peu débandé tu vas aller chercher un verre en plastique uriner, et boire ta mixture avec une expression de plaisir sur ton visage ». Le scénario respecté dans ses moindres détails, elle continue ainsi :
"Je pense que j’ai assez de matières pour t'obliger à être obéissant, nous allons conclure notre première entrevue virtuelle par la rédaction du contrat nous liant désormais.
Elle me demande d’aller acheter le plus rapidement possible un joli papier a la boutique de la gare et un stylo écriture or.
Il est maintenant 19h30 quand je commence à rédiger le contrat suivant :
Je soussigné Denis Vallin, de mon plein gré et mû par le désir d’exprimer mon amour et ma dévotion envers la femme que je vénère, je m’offre en esclavage a ma maîtresse adorée. Je vous appellerai Maitresse Déborah Adorée et mon nom de baptême sera féminiser pour vous servir servilement Je me nommerai « Servitorine »
Je serais votre soumise deux jeudis après midi par mois de 13 heures a 18 heures en respectant l’équilibre de ma désormais double vie. Une fois par trimestre nous trouverons un arrangement pour que je puisse passer 24 heures consécutives au service de ma maitresse adorée. Je devrais vous transmettre le planning de mes soumissions au moins un mois avant les dates considérées. Si un imprévu m’obligeait à déplacer une servitude je devrais doubler le payement de l’offrande mensuel consentie. Ce don chaque mois sera de 10 % de mon salaire mensuel que je remettrais en espèces avec une photocopie de ma feuille de paie.
Je m’engage a respecter scrupuleusement ce contrat en me soumettant a entièrement et totalement satisfaire les désirs de ma maîtresse Déborah adorée qui s’engage pour sa part a ne jamais laisser de trace sur mon corps en cas de punition nécessaire afin de préserver la tranquillité de ma vie de famille et l’accomplissement sereine de mes périodes d’esclavage.
Le présent contrat débutera le jeudi 4 septembre 2008 à 13 heures et prendra fin selon le bon vouloir de ma Maîtresse Déborah adorée. A la fin de ce contrat ma Maîtresse Déborah Adorée s’engage a détruire toutes les images qui ont été filmé pour me servir de suprême motivation pour l’accomplissement de ma mission de soumise Servitorine.
Lu et approuvé Denis Vallin alias Servitorine.
Ma maîtresse exige : « Tu vas t’habiller rapidement retourner au café l’Adresse et y rester jusqu’ à 20h30 a la vue de mon espion, pendant ce temps je vais déménager de l’hôtel. Demain soir a 17 heures tu déposeras dans une cabine téléphonique que je te t’indiquerai au dernier moment le contrat en triple exemplaire, ta première offrande avec la photocopie de ton dernier bulletin de salaire, et toutes tes mensurations corporelles »
Je me dirige vers l’Adresse avec déjà dans ma tête tout le plan qu’il faut que je mette en place pour ne pas éveiller les soupçons de ma femme ! Déjà je vais reprendre une activité associative pour l’alibi du jeudi après midi en RTT. En ce qui concerne les découchages une fois par trimestre, je vais faire revivre un ancien camarade de classe qui habite à l’autre bout du pays et qui souhaite qu’on reprenne contact régulièrement. J’espère que ma maitresse va accepter de m’aider dans cette tâche ? A 20h30 précise ma maîtresse m’appelle et me permet de rentrer chez moi en me donnant rendez vous le lendemain pour la dépose des documents. Par chance ma femme avait une réunion de travail tard ce soir là et je n’ai pas eu à m’expliquer de mon retard. Je n’ai pas fermé l’œil de la nuit tant mon excitation est importante je pu éjaculer plusieurs fois consécutive tant le désir me prend au corps. J’ai du mal à réaliser ce qui m’arrive !. Le lendemain c’est totalement métamorphosé en impétrant soumis que j’entends sonner mon portable, Je décroche et dit :
« Maitresse Déborah Adorée j’attends vos instructions » Elle me répond triomphale : « Servitorine je crois que nous allons réaliser de belles choses ensemble, par contre j’espère qu’il ne manque rien dans tout ce que je t’ai demandé, j’ai horreur que mon esclave me fasse perdre mon temps ? » Je réponds :
« Non Maîtresse Déborah Adorée ou dois-je aller ? »
Elle me dit :
« Tu te diriges vers la cathédrale et en face de l’entrée principale il ya une cabine téléphonique derrière il ya un petit bosquet dans lequel tu déposeras l’enveloppe demandée et ensuite tu iras te recueillir pendant un quart d’heure dans la cathédrale et tu reviendras vers le bosquet »
Je m’exécute rapidement et c’est la première fois que je rentre dans une église avec une érection intenable. Le calme de la méditation redonne un peu de repos à mes sens et je ressorts au bout du quart d’heure. Mon portable sonne comme convenu, ma maîtresse me dit : « Servitorine je suis extrêmement déçu ! Tu ne m’a même pas fait un cadeau supplémentaire pour me remercier de m’occuper de ton éducation, même pas un bouquet de fleur tu te comporte comme un goujat ! Je vais te punir ! » Cette menace m’inquiète aussitôt, elle continue :
« Je désire une lettre d’excuse et un acte de ta part qui prouve ton remords. » Je restais sans voix en attendant la terrible sentence. Elle poursuit :
« Je veux Servitorine que tu ailles sucer un travelo et que tu me racontes la scène, de plus je veux qu’il te prenne en photo avec ton portable au moment de ta déchéance ! » Je reste totalement sans voix à l’annonce de cette demande. Je tente de protester mais la réponse est encore plus cinglante :
« Servitorine, je te laisse 48 heures pas une minute de plus si tu ne me fournis pas la preuve de ce que je t’ai demandé j’adresse par mail a tous tes collègues ton petit film intime ! Bonsoir je te rappelle dans deux jours » et elle raccroche.
Ma nuit fut cauchemardesque car je suis pris au piège et cette demande il faut que je l’accomplisse sinon ma vie va devenir un enfer. Le lendemain j’invoque à ma femme une rentrée tardive sous prétexte d’une sortie avec les collègues pour aller voir un match de foot. A vingt heures la mort dans l’âme je me dirige vers le seul bar homo de la ville voisine, je rentre péniblement et commande une bière en tentant de ne pas me faire trop dévisager. Immédiatement un homme d’une cinquantaine d’année s’approche de moi et commence à me draguer ! Je suis atterré ! Mais me reprenant je lui dis franchement que j’aimerais avoir une relation avec un travesti. Dépité, il soupire et part dans une salle attenante. Il revient accompagné par un travesti d’une trentaine d’année tout sourire celui ci me dit :
« Alors beau gosse tu cherches des seins à peloter et une queue bien dure pour te faire chavirer » je lui demande si je peux je lui parler en toute discrétion. Il accepte et m’invite à le suivre dans les toilettes qui sont très spacieuses. Après avoir fermé le verrou de la porte .Il me dit en riant sadiquement :
« Je veux bien t’écouter mais sache que tu ne sortiras pas d’ici sans que je t’ai déchiré tes belles petites fesses ! Je devins rouge de honte. Mais perdu pour perdu je lui raconte mon histoire. Il me dit je veux bien t’aider gratuitement mais ensuite tu m’offres tes fesses ? Je refuse catégoriquement mais voulant sortir des toilettes il me prévient :
«Ecoute petite salope, tu veux des sensations et dès que cela chauffe tu t’en va, si tu franchis cette porte je fais un scandale en t’accusant d’avoir voulu me violer ».
Je restais pétrifié devant cette menace et des larmes me montaient aux yeux : Il continue :
« Ca y est tu vas nous la jouer, émotive maintenant »
Il poursuit avec perversité :
« Alors écoute moi bien dans la vie il faut assumer ses actes, si tu veux que je te rende service il faut également me faire plaisir comme tu veux faire plaisir a ta maîtresse. Si tu refuses mon offre tu ne trouveras personne d’autres ici. Alors je te donne une dernière chance, tu vas aller m’attendre place du palais dans une demi heure en face du numéro dix, si tu t’y trouve tu feras exactement ce que je te demanderais de faire et je te rendrais ton service sinon va au diable et débrouille toi ! Je commence à sortir précipitamment des toilettes qu’il ajoute encore :
« Par contre maintenant cela te coutera 200 euros ! Cela t’apprendra d’être mal élevé »
Une fois dehors, je respire profondément et tente de retrouver ma lucidité mais j’ai beau tenté de trouver une échappatoire je suis bel et bien coincé ! J’allais devoir me faire sodomiser par un travesti pour contenter ma maîtresse ! A cet instant j’étais totalement abasourdi mais cette angoisse pétrifiante ouvre en moi des sensations de plaisirs insoupçonnées, ma verge est raide comme un pieu ! Luttant contre mes tendances masochistes, je me dirige la mort dans l’âme vers un distributeur bancaire et je retire la somme demandé.
Une fois, place du palais, je me poste en face du numéro 10. L’attente est interminable, à chaque passage de piéton mon cœur s’emballe frénétiquement. Une heure dix plus tard, voici qu’arrive enfin José le travesti mon tortionnaire. Il me dit sur un ton moqueur :
« Te voici enfin raisonnable petite chienne ! Donne-moi mon petit cadeau que l’on commence à jouer. »
Je lui tends les billets en tremblant, je ne peux pas prononcer une seule parole je suis tétanisé et mes sens sont redevenu raisonnable. Il me dit en me tendant un foulard :
« Bandes toi les yeux que je t’emmène dans mon antre ». Je m’exécute et il me prend le bras pour me guider, nous marchons comme cela une dizaine de minute et enfin il met une clé dans une serrure. Il me fait rentrer et pendant que nous montons les escaliers il commence à me caresser les fesses doucement en insistant vers ma rondelle. Avant d’arriver au palier, une érection incontrôlable de mon pénis se fait ressentir, il le remarque immédiatement et dit « Toutes les mêmes ces petites chiennes, elles jouent les mijaurées et s’embrasent au moindre attouchement » Je deviens rouge pivoine. Il me fait entrer dans son appartement et m’autorise à enlever le foulard de mes yeux. Alors, il me dit sèchement :
« Tu vas te déshabiller et aller prendre une douche, pendant ce temps je prépare notre petite cérémonie ». Je suis mort de peur mais j’ai bel et bien une queue bien dure qui en dit long sur le paradoxe de mes sensations ! Je fais durer la douche le plus longtemps possible mais mon hôte finit par s’impatienter et il s’écrie :
« Si tu ne viens pas près de moi dans deux minutes, je renonce à te faire tes photos ! »
Ma réaction fut immédiate et tout penaud je m’approche de mon maître chanteur qui est en culotte soutien gorge allongé sur son lit sirotant un verre de whisky. La vue de sa verge bien tendue dans son slip serré me fait frissonner d’angoisse mais malgré cela mon érection se maintient gaiement, l’ambivalence de mes émotions continue ! Il m’ordonne :
« Donnes moi ton portable et approches toi que je te menotte les mains derrière le dos »
Une fois les mains ligotées, je me mets à trembler comme un chien battu. Il prend aussitôt une position assise sur son lit et il exige :
« Petite chienne tu vas me retirer ma culotte avec ta bouche et ensuite tu vas lécher mes boules et mon gland de plus en plus vite et quand je te le dirais tu prendras la pose les yeux bien rivés sur l’objectif » Je commence ma sale besogne mais j’avoue que plus je lèche son appareil génital plus le plaisir monte irrésistiblement en moi ! Ressentir ce gland se durcir sous les va et vient de ma langue qui s’enhardit me provoque une transe incomparable ! Je ne suis plus maître de mes sens, je deviens le jouet de mon hôte et j’aime cela ! Mon dominant prend une dizaine de photo et il me sort de mon extase de soumis en disant :
« Cela suffit maintenant, je vais te détacher et tu vas te masturber, récolter ton sperme et bien induire ton anus, allez exécution ! La situation d’excitation exceptionnelle dans lequel je me trouve fait déverser mon sperme rapidement. Cette éjaculation a une saveur inimaginable. Rapidement mes doigts poisseux de mon liquide séminal font leur travail de préparation à la sodomie. L’anus bien humidifié il m’ordonne à nouveau : « Ma petite chienne tu vas venir t’empaler sur ma bite et pendant tes va et vient tu vas lécher mes seins. Heureusement son sexe n’est pas énorme mais il a une belle longueur. Mon dépucelage peut commencer ! Je lui enfile maladroitement un préservatif et je prends la position désirée après la douleur des premiers va et vient une nouvelle sensation exquise commence à poindre en moins, j’oublie complètement la cause de mon plaisir et me laisse aller frénétiquement a cette débauche homosexuelle. Au bout d’un temps trop court, l’éjaculation de mon dominant interrompt cette incroyable jouissance. Nos esprits retrouvés il me dit : « tu es une fabuleuse chienne, tu reviens me voir quant tu veux, » il me tend mon portable et conclue :
« Allez sauves toi va retrouver ta maîtresse chanceuse ! »
Je lui dis merci et je m’enfuis….Avant de rentrer retrouver ma femme il est presque une heure du matin, je prends connaissance des résultats du foot afin de me préparer à être crédible aux éventuelles questions de mon épouse. Je commence ensuite à rédiger ma lettre d’excuse et je m’endors comme une masse épuisée par tant d’émotions !
La journée du lendemain se passe sereine au travail car j’ai les preuves demandées par ma maîtresse. J’ai juste à un peu mal aux fesses mais on ne pas faire d’omelette sans casser d’œufs ! Il est 17 heures tapant ce vendredi 29 août 2008 quand mon portable sonne avec un numéro inconnu. Je décroche en disant un jovial :
« Bonjour maitresse Déborah adorée » immédiatement elle me répond « Tu es bien joyeuse Servitorine, dois je en conclure que tu as accompli la mission demandé ? »
« OUI maîtresse Déborah adorée » elle reprend :
« Alors lis moi ta lettre d’excuse »
je m’exécute :
« Chère Maîtresse Déborah Adorée je vous demande pardon de la peine que je vous ai occasionné en ayant pas mis en valeur l’amour que je vous porte. Je vous promets à l’avenir de vous choyé et vous chérir autant que nécessaire afin de justifier la grâce royale que vous me faîte en m’autorisant à être votre esclave. Je vous demande de me punir autant de fois que nécessaire si malgré mes efforts vous vous sentez toujours blessé de cet affront qui porte préjudice a votre impériale suprématie. Je suis totalement dévoué à vos souhaits et vos envies prêt à exécuter vos délicieux ordonnancements. » Elle me dit triomphante
«Servitorine, j’aime ta théorie mais j’attends beaucoup de ta pratique alors raconte moi ta première mission de petite salope. » Je lui raconte avec le maximum de détails ma soirée de débauche homosexuelle. Elle parait ravie mais et elle me dit :
« Bon cela me plaît que tu prennes du plaisir à être ma petite pute mais que tes petites fesses soient douloureuses cela m’ennuie, je ne voudrais pas te faire mal quand je vais t’engoder ! Alors je décide que tu vas passer une nuit entière avant jeudi prochain date de notre première rencontre avec un gode bien enfoncé dans ton petit cul pour bien le rodé »
Après mon sermon initial je ne pouvais qu’accepter. Donc mardi soir 2 septembre toujours au Novotel ma dresseuse a de nouveau installer une webcam dans une chambre pour veiller a ce que j’accomplisse dans les règles de l’art le rodage de mon postérieur. Les événements se produisent comme souhaités. Mon anus bien enduit de vaseline va se rétracter toute la nuit contre un corps étranger qui le distend. Après une éjaculation en début de séance les somnifères que j’ai absorbés vont me faire passer une nuit correcte sous l’œil attentive de ma sévère maîtresse. Au petit matin, elle me réveille en me disant qu’elle est fière de moi et qu’elle se languit de me retrouver en chair et en os jeudi après-midi. Je ne sais que penser de cette affirmation ! Elle me félicite également de mon énième mensonge à mon épouse qui me croit à Blois pour une réunion de travail.

Nous voici au jeudi 4 septembre 2008 avec cette après midi de RTT redouté et en même temps espéré car il est vrai que je prends un plaisir insensé a me faire dominé mais les sauts d’humeur de ma maîtresse m’inquiète quelque peu !
Il est 11 heures le téléphone sonne au bureau. On me dit :
« Denis un appel pour toi »
. Je fais rediriger l’appel dans un lieu calme et décroche en disant :
"Bonjour Maîtresse Déborah Adorée » Elle répond :
« Bonjour Servitorine, a la fin de ton travail tu ne traines pas, tu prends le 1 er train pour Paris et tu descends en gare d’Amboise. Je te rappelle à 12h30. »
Excité comme une jeune pucelle qui va affrontée son premier bal, je sors du travail et me précipite chez un fleuriste achète un magnifique bouquet. Ensuite, je me dirige vers la gare avec dans mon sac un string noir et un collier de la même couleur. Ouf le train est à l'heure et après un court voyage ou mes palpitations cardiaques s’active douloureusement je me trouve à 12h 15 dans la gare d’Amboise. Dix minutes plus tard mon portable sonne. Elle m’ordonne : "tu vas sortir de la gare et sur le parking tu vas trouver un Kango bleu tu vas discrètement monter a l'arrière et attendre les instructions. Je te déconseille fortement de tenter de lire la plaque d’immatriculation !»
Je respecte l’ordre a la lettre et monte dans la camionnette ou se trouve un siège confortable pour m’accueillir. Quelques instants plus tard nous démarrons et roulons une vingtaine de minutes. Quand mon téléphone sonne de nouveau, j’ai une érection phénoménale, je décroche et entends :
« Esclave Servitorine te voici arrivé dans mon palais, tu vas te mettre en string avec ton collier et tu vas prendre la laisse qui se trouve sous ton siège. Tu vas l’attacher au collier et l’autre bout tu vas me la faire passer par l’ouverture de la porte quand je te ferai signe! » Quelques secondes interminables se passe et voici la porte qui s’entrouvre, je glisse le bout de la laisse et immédiatement, j’entends la voix de ma Maîtresse Déborah adorée me dire :
«Servitorine, je vais commencer ton dressage de petite chienne, tu vas te mettre a genoux dans le Kango le dos face a la porte »
Je m’exécute en prenant soin de prendre le bouquet de fleurs avec les dents. Elle me dit ensuite en ouvrant complètement la porte :
« Servitorine, je suis heureuse de t’accueillir à mon service, tu vas descendre du véhicule et prendre la position d’une petite chienne bien docile. En apercevant le bouquet elle s’exclame :
« Bravo, tu as bien retenu la leçon, ton bouquet est magnifique ! Je te conseille a chaque fois que tu auras l’honneur de me rencontrer de faire de même en variant les cadeaux »
Elle m’autorise à déposer le bouquet a Terre puis elle m’inspecte avec une petite cravache et me dis : « Ta femme avait raison, tu es une belle petite salope qui aime se faire dominer ! Je crois que nous allons bien nous entendre ! Elle enchaine par : « Tu vas faire très lentement a quatre pattes quelques tours du garage, je te préviens n’essaie pas de mater mon visage car gare aux représailles, de toute façon j’ai et j’aurais toujours un masque en ta présence ». Je lui obéi immédiatement et commence à faire le bon chienchien. Pendant mes tours d’éducation, je peux tout de même remarquer ces belles bottes noires, ses collants de la même couleur en laine savoureuse, son mini short gris et un beau chemisier blanc. Au bout d’une dizaine de minutes elle me précise encore :
« Si tu essaie d’être agressif de quelque manière que se soit, je déclenche de mon portable l’envoi de tes deux films intimes à tes collègues et à ta femme ok »
Je lui réponds :
« Maîtresse Déborah Adorée, je vais essayer d’être digne de votre reconnaissance ».
Alors elle attache la laisse a un mousqueton scellé dans le béton, elle s’éloigne quelques instants et revient avec une écuelle plastique elle me dit amusé : « Quant tu auras le rôle de ma petite chienne tu t’alimenteras la dedans » Ensuite je l’entends s’accroupir et uriner dans ma mangeoire. Elle me mortifie en disant :
« A chaque fois que nous nous rencontrerons tu commenceras par laper mon urine d’or » Elle m’apporte l’écuelle sous le nez, au passage, je sens son exaltant parfum corporelle ce qui me donne une nouvelle érection et je me mets goulument a boire la douche dorée de ma maîtresse. Je crois que lorsque je suis ce niveau d’excitation je pourrais faire n’importe quelle folie ! Elle apprécie ma soif vorace et me dis : « Très bien maintenant, tu vas enfiler ta tenue de soubrette et tu vas me faire manger, allez redresse toi et montons a l’étage ! Elle me détache la laisse et me fais monter a l’étage, nous entrons dans un grand salon a l’américaine avec au bout un petit coin cuisine. Elle me tend une mini jupe, un chemisier bleu marine, et une paire de chaussure à talon en s’exclamant :
« Enfile moi cela car je veux que tu sois élégante pour me faire manger, j’espère que tes mensurations sont justes ? »
Pas de problème, je me mets en tenue demandé et commence a essayer de marcher avec mes escarpins. Ma démarche chancelante l’a fait éclater de rire. Elle me dit :
« Tu n’es pas encore prête pour être une bonne petite pute mais chaque chose en son temps. »
Et elle rajoute : « Tu t’entraineras un peu chaque jour et bientôt tu auras un superbe déhanché de salope mais pour l’heure passons a table »
Elle m’entraine dans le coin cuisine et s’assied a une table élégamment dressé :
« Je me suis commandé un bon petit repas pour fêter notre première rencontre, viens approche toi »
Elle sort du tiroir de la table une paire de menottes et m’attache les mains dans le dos. Elle me montre la salade de crevettes a l’avocat et m’impose : « Tu vas me faire manger avec ta bouche en t’arrangeant que les bouchées soient adaptées mais ne tâche ni ton chemisier ni le mien car je serais obligé de te punir »
Elle me fait asseoir tout près d’elle et m’ordonne de commencer le travail. Le saladier est assez profond ce qui m’oblige à me salir le visage pour prendre des bouchées, heureusement les crevettes ne sont pas très grosses. Ensuite je m’approche de son visage masqué qui laisse apparaître ses belles lèvres pulpeuses et immédiatement je ressens une forte douleur au niveau de ma verge qui était en érection maximal. Elle me rappelle sévèrement :
« Je t’ai dis de ne pas regarder mon visage tu dois fermer les yeux à chaque fois que nos bouches doivent se rencontrer ! » J’acquiesce de la tête, ferme les paupières et avance ma bouche délicatement vers la sienne qui s’ouvre pour accueillir la précieuse bouchée. Je continue comme cela jusqu'à ce que le saladier soit vide en lui laissant le temps de boire quelques gorgées de vin blanc liquoreux. Je me rends tout de même compte du charme farouche de ma maîtresse ce qui m’excite encore plus ! Nous continuons le repas avec un filet de saumon aux amandes. Tout se passe sans encombre avec de délicieuses sensations qui me parcourt tout le corps, j’aime me sentir dominé comme cela c’est envoutant ! Quand elle commence a me caresser mon sexe bien raide. Elle me dit avec un brin offensant:
« Ma pauvre soubrette tu dois avoir faim ?, Servitorine, mon urine d’or n’a fait qu’étancher ta soif ! Alors je vais remédier à ce préjudice ! Tu vas aller chercher ton écuelle et revenir finir mes restes royaux »
Je m’exécute et reviens avec l’écuelle dans la bouche. Elle me dit sadiquement
« Bon je vais prendre mon dessert et on s’occupera de ton repas après »
Je lui fais de la même manière que précédemment manger une délicieuse mousse au chocolat. Repus elle me dit avec un air moqueur :
« A ton tour de te restaurer esclave »
Elle se lève et mélange la salade, le reste de poisson et de la mousse au chocolat et me sert dans l’écuelle en me disant perversement :
« Prends des forces Servitorine car cette après midi tu vas me faire faire le ménage partout dans la maison »
Je commence à laper l’odieux mélange qu’elle me parle a nouveau, toujours cyniquement :
« Cette queue toujours en érection dois te gêner alors je veux que tu te vides les bourses dans ton écuelle cela te fera un excellent accompagnement !».
Ainsi, elle m’ordonne de m’accroupir, la verge le plus près de l’écuelle et elle commence a me tordre les mamelons.
Elle me dit en riant : « Allez déverse ta mayonnaise dans ton écuelle »
L’effet ne se fait pas attendre moins d’une minute plus tard, mon sperme se répand dans l’écuelle et je pousse des râles de jouissances salvatrices. Satisfaite ma Maîtresse me dit : «Dépêche toi de finir de manger tu as du boulot qui t’attend »
Je finis d’engloutir mon peu ragoutant plat à l’anglaise et elle me lance :
« Je te sors l’aspirateur, le sceau et la serpillère, Tu passes l’aspirateur dans toutes les pièces, tu lessives tous les carrelages et tu dépoussières au maximum. Avant bien entendu tu fais la vaisselle et tu nettoie la table. Je ne te conseille pas d’essayer de sortir ! J’ai deux bergers allemands dans le jardin ! Egalement ne tente pas d’ouvrir les volets électriques ! Je reviens à 17 heures. »
Elle m’enlève les menottes et s’en va. Je me retrouve seul dans la tanière de ma dominatrice ! Et je suis sous le charme de cette femme qui joue avec ma fibre sensible comme on joue du violon. C’est une virtuose de mes pulsions de soumis ! Je commence par me débarbouiller le visage et attaque le ménage avec la ferme résolution de contenter celle qui m’humilie pour mieux me faire jouir ! Je quitte mes escarpins pour être plus efficace et me met a la tache. La maison n’est pas très grande mais très coquette, il y a deux chambres à l’étage et une grande salle de bain. Au rez-de-chaussée, la grande pièce qui fait salon et cuisine, un bureau et un WC. Je ne suis pas autorisé à descendre seul au garage. Au bout de deux heures de travail acharné, et malgré les difficultés lié au fait de ne pas avoir trop de lumière naturelle, je trouve honnêtement que l’endroit est propre et bien rangé. Je ne me suis pas trop attardé dans la chambre de ma maîtresse de peur que ma curiosité soit trop forte et que je fasse un impair !
Il est 16h30 quand j’entends une porte s’ouvrir, j’ai juste le temps de remettre mes escarpins. Ma maîtresse revient avec un paquet entre les mains. En m’apercevant, elle me dit furieuse :
« Servitorine qui t’as autorisé à te nettoyer le visage ».
Voyant sa colère je me précipite à ses pieds en lui demandant pardon. Ma promptitude l’adoucit quelque peu. Elle dit :
« Bon je vais inspecter ton travail, s’il est satisfaisant, je te demanderai uniquement de me lécher avec délectation mes pieds sales qui ont transpiré toutes l’après midi dans mes bottes, en attendant reste prosterné»
Au bout de quelques minutes elle revient s’allonge sur le canapé du salon et me fait signe de ramper jusqu'à elle :
Elle me dit :
« Tu es une boniche correct, je vais prolonger ton contrat cependant je veux que tu reste plus concentré sur mes demandes ! Tu vas ouvrir le paquet et tu vas m’apporter ton présent »
Je m’exécute et ramène un gode-ceinture d’une taille imposante. Elle ajoute :
« Maintenant que ton petit cul commence à prendre le bon plis, je veux commencer a l’habituer a ce diamètre car c’est celui que je préfères pour sodomiser les petites salopes de ton espèce ». Elle continue :
« Pendant que je vérifie ton hygiène anal tu vas me nettoyer les pieds allongé sur moi tes fesses offertes et ta langue sur mes orteils ! Dès que ses doigts ont commencé à me fouiller la rondelle, mon pénis s’est raidit incroyablement me faisant oublier le goût amer de ses pieds sales. Elle interrompt brutalement mes premiers râles de plaisirs et me dis :
« Petite Salope, viens maintenant me lécher les doigts et saliver le gode ! » Je m’exécute dans une telle excitation qu’aucune saveur me semblait répugnante. Elle se lève, se ceinture le gode autour de la taille avec une partie qui pénètre dans son vagin elle me dit jovialement :
« Allez soubrette en levrette »
Elle prend position au bord du canapé et commence doucement a forcer le gode dans mon anus et petit a petit je me sens totalement écartelé. A ce moment je ressens une forte claque sur les fesses et ces mots : « Je veux t’entendre gémir espèce de garce »
. Immédiatement, j’oublie ma douleur en me concentrant sur les sons de ma voix qui plaise a ma maîtresse. Bientôt encouragé par les gémissements de ma maîtresse, je me sens chaviré dans une pulsion incontrôlable et j’éjacule de nouveau.
Ma maitresse se retire aussitôt et me fait lécher le gode ceinture puis elle dit :
«La prochaine fois tu reviendras avec un test de séropositivité négatif car j’ai envie que tu ressentes le bonheur d’un jet de sperme en réel dans tes entrailles ». A cet instant, j’étais heureux car j’avais l’impression que j’avais participé activement au plaisir de ma muse dominante. Et c’est ainsi que s’achève ma première journée chez ma maîtresse Déborah adorée. Elle me ramène au train toujours enfermé à l’arrière du Kango. Elle conclue notre rencontre par ces mots d’une salivante espérance :
« La prochaine fois je t’autoriserai à faire ma toilette intime avec ta langue » ces paroles me provoque une énième érection ! Une fois de plus j’ai la preuve que j’adore me faire dominer par une jolie « maitresse chanteuse » A suivre ...



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