Chantage odieux 1

- Par l'auteur HDS Blueyessss -
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Récit libertin : Chantage odieux 1 Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-09-2025 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Chantage odieux 1
chantage 1

Moi
À
Régis Caillaud
11:33

15 sept. à 11:33
Je m’appelle Olivier. Ma femme, moi et notre fils habitons depuis 5 ans dans une impasse d’un quartier résidentiel. C’est un quartier cossu, nous avons pu acheter une belle maison grâce au revenus confortables que nous dégageons de nos métiers. Ma femme, Céline, est DRH dans un groupe de presse local et moi je suis commercial grand compte dans un groupe industriel. Notre fils Louis s’est découvert une passion pour les métiers de l’hôtellerie. Depuis une semaine il a intégré une école hôtelière de prestige. Notre fils unique qui a maintenant 15 ans a en partie quitté le foyer familial, puisque la semaine il est en internat dans l’école. Nous sommes soulagés qu’il ait trouvé une voie professionnelle car il n’a jamais vraiment apprécié l’école et a eu de mauvaises relations qui l’ont souvent embarqué dans des mésaventures. Nous avons été parents tôt avec ma femme, ma femme avait 23 ans quand Louis est né et moi 25 ans. Nous n’avons peut-être pas toujours su être de bons conseils et pris par nos carrières respectives peut être pas toujours été présents aux bons moments. Aussi l’intégration de Louis dans cette nouvelle école est un soulagement pour nous et nous le devons en partie à ma femme qui a fait marcher son réseau pour faciliter l’acceptation de son dossier.

L’absence de Louis durant la semaine va je l’espère nous permettre de nous retrouver et de partager des moments de couples et des moments de sexe ! En effet sur ce point notre couple est assez triste, ma femme est fermée aux pratiques sexuelles qui sortent du classique rapport vaginal. J’ai rarement eu le droit à une fellation. Et pourtant ! Ma femme est un véritable canon. A 38 ans elle a un corps tonique (elle s’entretient pour cela dans une salle de sport). Elle mesure 1,72 m. Elle a un fessier qui retient le regard de tous les hommes dans la rue, de longues jambes, une chute de rein à couper le souffle. Elle arbore une jolie poitrine 85b, un visage élégant et une magnifique chevelure blonde. Dans son poste de DRH elle porte souvent des tenues élégantes mais un peu sévère qui lui donne une allure extrêmement sexy d’une femme inaccessible. Elle aime se sentir femme fatale que l’on ne peut pas approcher. De mon côté je mesure 1,80m ; je suis brun sportif plutôt beau gosse mais je me demande encore comment j’ai pu décrocher une femme aussi belle. D’autre se le demande aussi et m’envie avec grande jalousie d’être le mari de Céline. A commencer par le 2e commercial grand compte de l’entreprise pour laquelle je travaille : Marc. Marc est pour le coup un beau mec qui séduit les femmes et aiment qu’on le regarde. Il habite dans la même impasse que nous, une jolie villa à côté de la nôtre. Il a très souvent essayé d’obtenir l’attention de Céline qui n’est absolument pas réceptive aux compliments ou attentions que Marc a pu lui apporter à l’occasion de fêtes des voisins ou de réceptions organisées dans le cadre de mon activité professionnelle. Cela rend Marc fou de jalousie et hostile envers moi. Je suis meilleur que lui dans le monde des affaires et j’ai une femme qu’il désire à tout prix. Mais Céline est fidèle et amoureuse d’un seul homme : MOI. Aussi le comportement de Marc l’agace plus qu’autre chose. Il y a un deuxième voisin qui agace ma femme : André. André habite en face de chez nous, c’est un homme de 50 ans bedonnant que ma femme trouve répugnant. Il porte des vêtements trop courts et sales. Il fait vraiment tâche dans notre impasse plutôt très bien fréquentée. Nous n’avons quasiment aucun échange avec André. Aussi j’ai été très surpris ce matin quand il m’a interpellé dans la rue lorsque je partais au travail.

« Bonjour, je souhaite m’entretenir avec vous et votre femme concernant le vol de ce week-end ».

En effet en début de semaine la gendarmerie est passée à la maison pour obtenir des renseignements concernant un vol qui aurait eu lieu chez ce voisin André. Nous avons indiqué à la gendarmerie que nous n’avons rien vu et rien entendu. Ce que je répète à mon voisin en m’inquiétant de ce qui a pu lui être dérobé.

« Ils n’ont rien pris de valeur, j’ai entendu du bruit et je leur ai fait peur. Mais je n’ai pas pu les attraper, il faisait noir en fin de journée »

Sans rien faire paraître je me suis plutôt dis que c’est son surpoids qui a dû l’empêcher de leur courir après !

« Même si vous n’avez rien vu, j’ai moi des choses à partager avec vous ».

Le trouvant insistant je lui propose de passer à la maison en fin de journée. Il accepte et nous nous donnons rdv à 19h, ma femme va être ravie !

A 19h quand le voisin sonne à la porte, ma femme est très contrariée que j’ai accepté de le voir et surtout chez nous !

« Avec ses vêtements de clochard il va nous apporter des punaises ! Je te préviens il ne s’assoie pas sur notre canapé ! ».

Je vais ouvrir la porte en promettant à ma femme que ça ne va pas être long et que je me charge de le recevoir dans l’entrée pour rapidement écouter ce qu’il veut nous dire.

J’ouvre la porte. André est vêtu d’un T-shirt qui devait être blanc à l’origine et d’un pantalon de jogging gris parsemé de taches. Son ventre dépasse du T-Shirt, il est vraiment repoussant. Il porte un sac plastique à la main.

Je lui demande « Rebonjour, que puis-je faire pour vous »

Il entre d’un pas décidé dans la maison en me poussant un peu.

« Votre femme est là ? ».

Son ton est direct et sec, je n’aime pas sa façon de me parler.

« Oui elle est occupée, dîtes moi ce qui vous amène ». Lui répondis-je sèchement.

« Je ne parlerai que lorsque vous et votre femme serez tous les deux présents, cela concerne votre fils ! ». Lance André d’un ton solennel.

Je suis interloqué, mon fils est à son internat, que veut-il à notre Louis. Pour rapidement en savoir plus je vais chercher ma femme qui s’est réfugiée dans la cuisine et lui indique que le voisin veut nous parler de Louis. Je retiens alors tout son attention. Louis c’est son bébé ! L’envoyer en internat a été un déchirement qui n’est pas encore digéré.

« Que veut-il à Louis » s’inquiète ma femme.

Elle me suit pour rejoindre André qui s’est avancé dans le salon. Lorsque les yeux de ma femme se pose sur André on peut y lire tout le mépris qu’elle lui porte et sa mine laisse voir le dégoût que lui apporte cet homme de 100 kg au milieu de son salon.

« Bonjour » se force-t-elle à lui adresser.

André quant à lui laisse apparaître un sourire vicieux à l’apparition de ma femme. Il passe sa langue sur ses lèvres comme s’il allait se régaler d’un bon repas. C’est outrageux et déplacé. Il faut dire que ma femme ne pensant pas avoir à se présenter à lui, n’a pas fait attention à sa tenue. En rentrant du travail elle a retiré son tailleur pour passer une tenue plus confortable … Elle porte une robe de chambre légère qui laisse apparaître ses magnifiques jambes ; surtout quand elle marche car la robe est courte et plutôt large. Ma femme aime passer une robe de chambre en soie par-dessus ses sous-vêtements quand elle rentre le soir. Et c’est précisément dans cette tenue qu’elle se présente devant notre voisin. Elle réalise aux regards de André la tenue dans laquelle elle est ! Elle tente alors de refermer au maximum les pans de sa robe de chambre qui a un fort décolleté et laisse entrevoir la naissance de ses seins. Ma femme est très mal à l’aise.

« J’ai des choses à vous montrer » souffle André avec une voix mielleuse.

« J’ai installé plusieurs caméras chez moi. Donc ce week-end j’ai pu filmer les deux petits salopards qui ont essayé de me cambrioler » nous annonce-t-il d’un ton victorieux.

« Et alors en quoi cela nous concerne, vous l’avez partagé avec la gendarmerie ? » lui répondis-je.

« Non je ne l’ai pas encore montrée à la gendarmerie, cela va dépendre de vous » Souffle André …

Mon ventre se noue un peu, j’ai un mauvais pressentiment. André sort alors une tablette sur laquelle il fait apparaître un film. On y voit deux personnes qui semblent être des adolescents escalader son mur. Puis quelques minutes après il l’escalade dans l’autre sens avec précipitation. Un des deux adolescents chute du mur et part en courant pour suivre le premier qui avait franchi le mur avec plus de dextérité. Le deuxième adolescent semble avoir perdu quelque chose dans sa chute mais il ne s’en rend pas compte. « Le deuxième petit merdeux a fait tomber sa casquette et deux objets dans sa chute » commente André avec une impatience grandissante. Il sort alors la casquette et deux photos.

Mon cœur s’arrête. Ma femme a un moment de faiblesse et doit s’accrocher à mon bras pour ne pas tomber. Nous avons tous les deux reconnu la casquette de Louis ainsi que les photos qui ont été prises : sa carte de bus et le trousseau de clé de la maison que nous lui avons confié.

Le voisin semble extrêmement satisfait de son annonce et de notre réaction. Il se dirige vers le canapé et s’assoit au milieu. Ma femme a un geste pour le retenir mais trop tard. Le voisin a posé ses fesses sur son canapé, son jogging sale dans son salon !

Je m’approche alors du voisin. Les preuves sont édifiantes et en me repassant les images du film dans la tête je réalise que l’allure du garçon qui trébuche ressemble à celle de Louis et maintenant je pense reconnaitre le sweat qu’il porte. Je jette un coup d’œil à ma femme qui est immobile comme une statue. Elle a également compris que Louis est bien le garçon sur le film. Alors je m’adresse à André, d’une voix plus mielleuse que souhaitée :

« Je vous remercie de ne pas avoir partagé ces éléments avec la gendarmerie et d’être venu directement nous voir. Manifestement notre fils s’est introduit chez vous et c’est inacceptable. Je vous prie de bien vouloir nous excuser. Nous allons le punir pour cela et bien sûr vous dédommager des dégâts et pertes que vous avez subis ».

André ne me regarde pas. Il a les yeux rivés sur ma femme et semble la déshabiller du regard. Il me répond sans me jeter un coup d’œil d’un ton sec

« Je m’en fous de vos excuses et encore plus de votre pognon ! »

Je suis surpris par cette réponse. Que veut ce voisin qui continue de regarder ma femme comme si c’était une proie. Céline mal à l’aise de la situation, reprends du poil de la bête et s’adresse à André :

« Monsieur mon mari vous l’a dit nous nous excusons pour ce qui s’est passé, comment pouvons-nous vous dédommager ? ».

La réponse qui sort de la bouche d’André tombe comme un cheveu sur la soupe. Je ne la comprends pas tout de suite.

« Enlève ta robe » Lui réponds André avec un ton autoritaire et un regard de prédateur.

Je m’approche d’André en bombant le torse et m’apprête à lui expliquer qu’il a perdu la tête et qu’il va s’excuser auprès de ma femme de lui parler ainsi. Mais avant que le moindre son sorte de ma bouche, il lève son bras vers moi main tendue

« Toi je t’arrête tout de suite. Votre fils est venu me cambrioler. J’ai le film et les preuves, sa casquette que vous reconnaissez et sa carte de bus ainsi que le trousseau de clé qui sont chez moi. Demain je transmets tous ces éléments à la gendarmerie et votre Louis va gouter les joies d’un passage en prison. Si vous voulez récupérer les affaires de Louis vous faîtes ce que je vous demande ».

Le constat ainsi exposé est clair ; mais cette situation n’est pas réelle, quelque chose ne va pas. On ne peut pas se retrouver ma femme et moi ainsi à devoir obéir à un porc assis dans notre salon. Pourtant sa directive nous revient tel un poignard en plein cœur

« Enlève ta robe » répète-t-il en regardant ma femme.

Céline est blême ! Livide ! Pour elle non plus cette situation n’est pas possible. Elle DRH, femme sexy toujours bien habillée ne peux pas se montrer en sous-vêtement à ce répugnant voisin. Et pourtant elle a compris le risque pour son fiston chéri. Avec la force intérieure que je lui connais elle répond au voisin

« Ecoutez votre demande est farfelue, nous sommes encore une fois très embarrassés et vraiment désolés de l’action de notre fils mais nous allons trouver une solution pour réparer les dommages ».

« La solution c’est que tu enlèves ta robe ! » Lui assène le voisin

« Mais toi et ton mari vous n’avez pas bien compris »

Il se lève du canapé

« Demain je transmets tout ceci à la gendarmerie, moi j’ai essayé de trouver une solution pour votre fils, il est jeune … ».

André se dirige alors vers la porte pour quitter la maison. Ma femme et moi le regardons partir sonnés par cette entrevue. Avant qu’il sorte de la maison j’entends ma femme s’adresser à lui. Les mots qui sortent de la bouche de ma femme semble venir d’un autre monde

« D’accord ! ».

André s’arrête, se retourne et fait plusieurs pas vers nous. Il est à l’entrée du salon debout face à ma femme. Trois mètres les séparent. Je suis dans le salon a 2 mètres en retrait de ma femme. Je vois la détermination et en même temps la fureur dans les yeux de ma femme. Elle ouvre les pans de sa robe de nuit et laisse tomber le tissu en soie à ses pieds. La scène est d’un érotisme dingue ! Ma femme se retrouve en sous-vêtement blanc à dentelle devant notre voisin. Elle est d’une beauté folle avec sa peau encore bronzée de cette fin d’été. Le voisin n’en revient pas. Il a la bouche ouverte devant ce spectacle et je remarque immédiatement une bosse se former dans son pantalon.

« Enlève tes sous-vêtements ! » Lance André.

C’est bien ce que viens d’adresser le voisin à ma femme. Je fais un pas en avant.

« Toi assied toi dans le siège ici ». Intervient André.

Il règne une tension extrême dans la pièce.

« Je perds mon temps » s’agace le voisin en faisant mine de repartir.

Alors je fais quelques pas pour m’assoir dans un siège d’où j’observe le duel entre le voisin et ma femme.

« Enlève tes sous-vêtements ! » répète le voisin.

Je regarde ma femme. La détermination et la fureur ont maintenant fait place à la peur et au désarroi. Les larmes commencent à couler sur les joues de ma femme. Elle passe les mains dans son dos et dégrafe son soutien-gorge qui rejoint la robe à ses pieds. Puis les mains tremblantes elle fait glisser son slip le long de ses longues jambes. Elle est maintenant nue au milieu du salon face à ce répugnant voisin. Elle croise les bras pour cacher sa poitrine. Elle si pudique et si fière est en larme exhibée au voisin. Celui-ci a un sourire vicieux, des yeux de pervers. La bosse dans son jogging est maintenant énorme ! Il s’approche de ma femme.

« Allez montre-moi tes nibards » dit-il en lui attrapant les bras pour les écarter.

« Oh putain qu’est que tu es bonne ! Je te vois tous les matins partir dans ta tenue de femme d’affaire. Si j’avais su que tu serais à poils devant moi !! hooho »

Sur ces paroles il attrape ma femme et la plaque contre lui. Les deux mains d’André sont fermement agrippées aux fesses fermes de Céline. Le bas ventre de ma femme est en contact avec la bosse gigantesque qui déforme le pantalon d’André. Ma femme pousse un cri de surprise et de peur. Je me lève pour intervenir. Alors André sans me regarder m’adresse d’un ton sec et ferme

« Si tu bouges encore une fois de ton siège j’envoie tout à la gendarmerie » « Et toi ma belle embrasse-moi et laisse-toi faire sinon même chose ! »

Sur ces paroles il plaque sa bouche contre celle de ma femme et force ses lèvres pour y glisser sa langue. Il l’embrasse de façon grossière. De la bave coule des lèvres de ma femme et des bruits de sucions emplissent la pièce. Il dévore ma femme ! Après un instant qui me parut être une éternité les bouches se séparent. Ma femme est choquée de cet échange. André agrippe alors les seins de ma femme et les malaxe. Ma femme semble dégoutée de ce châtiment et les larmes sur ses joues s’intensifient. Je n’ai jamais vu ma femme ainsi humiliée. André lui ordonne alors en appuyant sur sa tête

« A genou maintenant ».

Sous la pression de cette main ma femme plie les jambes et tombe à genou devant le monstre de 100 kg. Sa tête est au niveau de la bosse du pantalon que André dévoile immédiatement en baissant son jogging. Il ne porte pas de caleçon. Une bite énorme jaillit ! J’estime avoir été plutôt bien servi par la nature avec mon sexe de 17cm en érection pour une largeur de 4 cm. Mais là je n’ai jamais rien vu de tel ! Sa bite doit bien faire 25 cm et 6 cm de largeur, c’est incroyable. Ma femme pousse un cri en voyant le chibre apparaitre. Comprenant la suite qui s’annonce, dans un sanglot elle supplie notre voisin.

« Non, s’il vous plait arrêtez, arrêtez ! »

Alors le voisin sèchement

« Tais-toi salope, tu vas me sucer sinon ton fils va en prison ! C’est compris »

Ma femme n’arrive pas à contenir ses sanglots. Je suis pétrifié par la situation et j’ai bien compris que je ne peux pas intervenir. C’est l’enfer sur terre !

« C’est compris » répète le voisin.

Ma femme essaie de se calmer par la respiration et pousse un timide

« Oui »

« Oui qui ? » lui répond André d’un ton autoritaire.

« Oui Monsieur » répond ma femme.

Sur ces mots André prends sa bite en main et la pose sur la joue droite de ma femme. Il la fait circuler partout sur son visage. L’odeur qui se dégage dans la pièce depuis que son chibre est à l’air libre est bestiale (un mélange de musc et d’urine). L’hygiène que André doit apporter à sa bite ne doit pas être très différente de celle apportée à ses vêtements. Et les grimaces de ma femme en témoignent. Le sexe d’André laisse couler une grande quantité de liquide pré séminal sur le visage maintenant reluisant de ma femme. Puis André présente son énorme gland aux lèvres fermées de ma femme. Il force le passage et les lèvres s’entrouvrent pour laisser passer l’engin. Ma femme qui me refuse la moindre fellation depuis plusieurs mois est en train de prendre en bouche la bite du voisin qu’elle déteste le plus. Et cela se passe sous mes yeux dans ma maison. Je suis sonné par la situation. André est entré chez nous il y a moins d’une heure, comment en somme nous arrivés à cette scène qui se déroule sous mes yeux. Je n’ai jamais rien vu d’aussi pornographique que cette scène. Le corps sublime de ma femme agenouillé devant un montre qui lui enfonce son énorme bitte dans la bouche. Alors malgré moi j’ai une érection terrible qui me remplit mon caleçon.

« Allez suce moi maintenant » ordonne André.

Ma femme n’est vraiment pas une experte de la fellation, le manque de pratique n’aide pas. Alors maladroitement elle prend le sexe d’André avec sa main trop petite pour en faire le tour complet et tente de le faire entrer et sortit de sa bouche. Mais le résultat n’est pas celui attendu et après quelques allers-retours désorganisés

« Putain mais tu ne sais pas sucer ! Tu vas aller faire un stage avec les putes qui me sucent d’habitude ! » s’agace André alors que sa bite est à peine entrée d’un tier dans la bouche de ma femme.

Il enlève alors la main de ma femme de sa bite. Attrape la tête de ma femme à deux mains et entame un va et viens dans sa bouche. Il baise littéralement la bouche de ma femme. La bouche de Céline est déformée par cette verge énorme ! La bite d’André entre de plus en plus profond entraînant des hauts de cœur à ma femme. André retire de temps en temps sa bite de la bouche de ma femme pour la laisser reprendre sa respiration. Puis il recommence ses allers retour dans la bouche et maintenant dans la gorge de ma femme. Céline est devenue une poupée de chiffon entre ses mains. Après plusieurs minutes de se traitement la bouche de ma femme s’est élargie, André arrive maintenant à entrer les ¾ de sa bite dans ma femme à un rythme effréné. Des bruits de succion intense résonnent dans la pièce car ma femme a trouvé un rythme pour encaisser le traitement que lui afflige le voisin. J’ai terriblement mal à mon sexe et je meurs d’envie de me masturber mais par respect pour la souffrance que subit Céline je reste simple spectateur. Puis André se cambre, il fixe sa bite au plus profond de la gorge de ma femme. Je comprends alors qu’il se vide en elle qui n’a d’autre choix que d’avaler le foutre que lui déverse le voisin. La quantité est impressionnante car malgré 3 déglutissements de ma femme une quantité de sperme s’échappe de sa bouche pour couler sur sa joue et tomber au sol. Je suis en état de choc : lors des rares fellations que ma femme m’a prodiguées je n’ai jamais joui dans sa bouche ! Et là elle vient d’avaler une quantité incroyable de sperme du voisin ! Mais la scène ne s’arrête pas là. André qui semble avoir tout donné retire sa bite de la bouche ma femme, l’essuie sur son visage

« Tu as de ma semence sur ta joue, ramasse et avale ! »

Ma femme qui est également dans un état de choc réagi sans réfléchir, elle passe son doigt sur sa joue pour tout ramasser et porte le sperme à sa bouche pour l’avaler.

« C’est bien petite chienne, il y en a aussi sur ton parquet lèche, il ne faut pas gâcher ».

Alors ma femme baisse la tête, sors sa langue et ramasse tout le sperme qui avait coulé au sol. André est satisfait, il jubile !

« Tu es une bonne petite chienne » lui dit-il en lui plotant grossièrement le cul.

« Tu m’as vidé les couilles plus vite que je ne le pensais, je n’ai plus de cartouche pour profiter de ton corps petit chienne de bourgeoise »

Sur ces paroles il balance à ma femme la casquette de notre fils.

« Mais il me reste encore deux preuves ». Il remonte son pantalon et sort de notre maison.

Je reste seul avec ma femme. Elle nue assise par terre, en état de choc. Moi assis sur le siège avec une érection terrible que je tente de cacher. Je vais alors relever ma femme, je la prends dans mes bras. Elle est inerte. Je la conduis à la salle de bain, l’aide à se laver avant de la coucher. Traumatisée par la soirée elle s’endort immédiatement. Moi je dois me masturber dans les toilettes pour me soulager de mon érection avant de me coucher. Cette nuit-là je ne dors pas. Hanté par l’humiliation que le voisin nous a fait subir, par les scènes de sexe qui se sont déroulées sous mes yeux, par tout ce sperme dans le gosier de ma femme. Et il reste deux preuves en possession du voisin …

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Histoire ubuesque, pleine de fautes, totalement inimaginable.
A oublier.



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