Chapitre 2 : Déjeuner en paix (suite de Jenifer la coquine)

- Par l'auteur HDS Un ptit coup dbite -
Auteur homme.
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Récit libertin : Chapitre 2 : Déjeuner en paix (suite de Jenifer la coquine) Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-12-2007 dans la catégorie A dormir debout
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Chapitre 2 : Déjeuner en paix (suite de Jenifer la coquine)
Comme vous l’avez constaté dans le premier chapitre des chroniques de mon éducation sexuelle par ma belle, fraiche et excitante cousine, Jenifer adore faire monter la température dans les milieux (en fait, c’est légèrement plus bas, entre les jambes, que ca s’affole…) masculins.
Jenifer ne s’en privait pas et le petit déjeuner pris une allure torride quand elle se leva de la table, prétextant la recherche d’un paquet de céréales dans un placard surélevé. Elle se tourna et me présenta son petit cul bombé qu’elle cambra plus que de raison durant sa recherche céréalière. J’étais donc témoin, au saut du lit, c'est-à-dire la queue à moitié dressée, d’une apparition particulièrement appétissante, ce qui a achevé de durcir mon sexe comme de la pierre.

Je l’imaginais se retourner en implorant mon aide, avec sa moue de petite fille déçue de ne pas avoir son du. Je monte sur une chaise, dévoilant devant son visage la protubérance formée dans mon caleçon par un mandrin raide et suintant de pré sperme. Elle passe alors la main dessus à travers le tissu, comme envoutée, puis sort l’objet de ses convoitises de son écrin avant de le humer puis l’engloutir telle une forcenée. Ses respirations deviennent aussi rauques et saccadées que les miennes, entrecoupées de petits gémissements de chatte en chaleur.
Elle va et viens sur ma bite avec ses lèvres pulpeuses et me lèche le gland dans le même temps, mmmh c’est bon, c’est doux, c’est chaud, si chaud que je ne tarde pas à lui envoyer de longs jets de foutre brulant dans la bouche, liqueur qu’elle avale goulument en me regardant jouir. Je descends alors de la chaise et l’embrasse langoureusement en la pressant contre moi. Je goute ma liqueur sur ses lèvres tout en lui caressant les fesses.
–t’es une sacrée garce, toi, tu mériterais une correction, lui murmurais-je à l’oreille.
Je l’allonge sur la table, son cul offert à tous mes désirs. Elle se déhanche, cuisses écartées, afin de frotter sa minette dégoulinante sur la table, en gémissant :
- oh ouiiiiii, fais ce que tu veux, je suis ta chienne soumise, enfile moi comme une catin !
A ces mots, je ne me contrôle plus. Ma bite est encore plus dure et dilatée qu’avant, et attention ma chérie, t’as eu tort de me provoquer comme ca !
–Alors comme ca t’es une trainée, une chiennasse? Allez, à quatre pattes salope, et à poil, vite !
–Tout de suite, mon beau !
–Ta gueule, catin ! Une chienne en chaleur, ca parle pas, ca couine, t’as compris ? Satisfait d’entendre un gémissement en retour, je me dirige vers la niche du chien, j’attrape la laisse, et de bon cœur je commence à lui fouetter le cul :
-Ahhh, c’est comme ca que t’aimes te faire défoncer, petite pute, bien soumise et offerte à tous les sévices ?
–Oh ouiiii, prends moi, encule moi, déchire moi par tous les trous !!!
–Je t’avais dis de la boucler, t’es rien qu’un vide-couilles, un sac à foutre ! Beuglais-je en redoublant d’efforts sur son petit cul meurtri et sa chatte qui coulait abondamment.
Puis j’arrête, et je contemple ces fesses bronzées et à présent zébrées de rouges prêtes à recevoir un mandrin déjà tout mouillé de tout à l’heure. Je lui passe ensuite la laisse autour du cou puis tire dessus pour lui faire comprendre qu’elle va me sucer de nouveau. Elle s’exécute sur le champ et m’aspire la bite comme une furie.
–Ouuuaaahhhhh, putain t’es un aspirateur à bites toi, viens à quatre pattes, chiennasse, on va dehors. On sort du mobile home, moi debout, avec Jen’ en laisse, et la je présente mon gland à l’entrée de son petit trou sous le soleil, dans le jardinet dépendant de la location. Des voisins vicieux nous matent de leur mobile home, et un papy viens carrément s’accouder à la barrière en se polissant le braquemart.
Moi, je continue d’entrer dans la rondelle de ma cousine, centimètre par centimètre, mais sans jamais reculer, tout en tirant sur la laisse pour la cambrer au mieux. Elle est ailleurs, sa respiration est saccadée et irrégulière, de longs filaments de salive pendent sur ses lèvres, son menton, et je continue mon avancée dans ce cul étroit et tout à fait exquis en l’humiliant du mieux que je peux. Sa mouille dégouline sur ses cuisses en les faisant reluire au soleil. Je lui claque les fesses douloureuses, et son plaisir, mêlé à la souffrance, le fait jouir sans aucune retenue.
Notre petit manège a alerté du monde, et quand je commence mes aller retours dans son anus je m’aperçois que papy n’est plus tout seul a se branler, il a été rejoint par une vingtaine de touristes excités comme pas permis de voir ma cousine hurler de se faire enculer sauvagement en laisse. J’invite alors tous ceux qui veulent se faire sucer à présenter leur queue devant Jen’. C’est une véritable file d’attente qui s’organise devant elle. Elle pompera toutes les bites jusqu’à la dernière goutte. Jen’ étant expert de nature dans l’art de tailler des pipes, je vous laisse imaginer son appétit vu son état d’excitation du moment. Elle a du facilement sucer 30 queues et reçu autant de giclées de sperme sur le visage et dans la gorge. J’ai donc pris mon pied de la voir rabaissée au rang de chiennasse, enculée jusqu'à la garde par mes soins et suçant parfois jusqu'à trois bites dans le même temps. Quand je sens mon sperme arriver dans mon canal, je suis en train de la labourer. Mon pubis cogne violement contre son cul, je me crispe et décharge mon foutre dans son cul à ras bord, elle hurle avec une force démente dans l’instant puis tombe épuisée sur le gazon, un sourire aux lèvres d’avoir pris son pied comme jamais.

C’est fou comme un fantasme peut embarquer l’imagination d’un homme aussi loin, pensais-je donc devant mon bol de café, à deux doigts d’éjaculer dans mon caleçon, quand la voix de Jen’ me tira de mes pensées lubriques :
-tu voudrais pas me l’attraper, s’te plait ? J’y arrive pas, dit-elle avec un petit sourire en apparence désolé, mais en fait morte de rire de savoir qu’il va falloir que je me lève, et par la même que je lui découvre une bite bandée à mort dont il était impossible de cacher l’existence, bien que je n’ai pas précisément les mensurations d’un Rocco Sifriedi. Et merde, c’est pas vrai, elle a un problème avec les mecs, elle est nymphomane ou quoi ? Pensais-je en me levant courbé afin de dissimuler au maximum ma queue.
Je la sens me scruter d’un regard narquois et goguenard. La, aurez vous envie de me dire, je suis qu’un jeune petit puceau con et frustré de pas lui mettre le grappin (ou autre chose) dessus (ou dedans). C’est vrai, mais ca faisait longtemps que j’avais pas vu la cousine et je n’arrivais pas encore a très bien la cerner, car elle alternait, avec un brio tout à fait remarquable, soit dit en passant, les périodes de minaudage, puis de distance plus prononcée dès que je rentrais un peu trop dans son jeu.
Ce qui fait que, en m’étirant un peu trop pour lui attraper ses céréales à la con, le bouton de mon caleçon craqua, laissant dépasser une bite bouffie de sang, et carrément cramoisie au niveau du gland. Elle pouffa et me conseilla d’aller me soulager dès que je lui eu tendu les céréales. Je lui répondis que vu qu’elle savait pertinemment qu’elle était la cause de cet état, c’était à elle d’y remédier. Elle joua l’offusquée pour la forme en me traitant de frustré, de puceau pervers et voyeur. Je lui rétorquai qu’un voyeur qui mate une exhibitionniste n’a que peu de mérite, et vlan, je me prends le paquet de céréales dans la gueule, en pyjama, la bite à l’air et excitée à fond par une cousine allumeuse. Je sais pas si vous imaginez le tableau… C’est ca, foutez vous de ma gueule, en plus !
A ma décharge, Jenifer n’a pas seulement hérité des attributs physiques de ses racines italiennes, mais également du caractère méditerranéen qui va avec. Et c’est aussi ce qui attise un désir si profond chez les males. Non seulement son cul et ses seins feraient bander n’importe qui, mais ses yeux verts renfermant une flamme et une fougue si singulière vous caressant telle une main habile vous feraient jouir dans l’instant. Une seule chose m’apparaissait comme évidente : je devais sauter Jen’ avant la fin des vacances, et le plus souvent possible ne serait pas pour me déplaire. J’avais envie de l’entendre hurler, de sentir ses cheveux, de lécher la transpiration dans son cou, bref il n’y avait pas une fois ou je pense a elle sans avoir envie de me masturber, car a l’heure actuelle, j’étais encore puceau.
Mais ceci allait changer significativement à partir du soir même, ou nous avons tous été dans une crêperie pour passer une soirée avec mes parents et ceux de ma cousine, et c’est la que tout commença pour moi. Vous saurez comment j’ai été entrainé dans une spirale de lubricité et de jouissance dans les prochains chapitres. Bisous coquins et a plus.

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