Chapitre 2 : Le cocu machiavélique
Récit érotique écrit par APWI [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-11-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Chapitre 2 : Le cocu machiavélique
Chapitre 2 ; Le Cocu machiavélique
Lundi matin, 9h30, je suis dans mon bureau et recherche une agence de détective, essaye de savoir qu’elle est la meilleure grâce un recoupement d’informations et trouve l’agence qu’il me fautet prends rendez-vous pour mercredi. Deux jour après, je vais à l’agence, explique la situationafin que le détective est toutes les cartes en mains, je règle les frais d’ouverture de dossier pour confirmerla procédure de recherche d’information. Au moment où j’ai payé, je ne me rendis pas compte que je venais d’ouvrirla boîte de Pandore...
Jeudi midi, Camille m’appelle et m’enfume à propos d’une réunion d’urgence pour un nouveau et très gros dossieret qu’elle n’aura pas fini avant 22h.
« - D’ailleurs Mamour, appelle le secrétariat et ils te confirmeront »Mouai, sachant qu’au secrétariat, il y a Élodie, son âme damnée...
À 17h, Camille me rappelle pour me prévenir qu’il y aura un dîner samedi soir avec ce nouveau et très gros client, du coup pour fêter ce partenariat, les conjoint(e)s sont invité(e)s...
Bien évidement Camille est rentré 1h00 du matin, je l’ai entendu rentrer et venir tout de suite se coucher, elle sentait la transpiration et surtout les fluides corporels. Maintenant, je n’ai aucun doute, cette pute m’a trahis.
Pendant qu’elle se met à ronfler comme une bien heureuse, je prends une lampe torche et me glisse furtivementsous la couette pour vérifier. Ce que je vois entre ses jambes n’est pas le jolie petit abricot que l’on a envie de léchergoulûment mais une espèce d’orifice poilu, gluant et puant, complètement boursouflé et cela ressemble au bout de chairqui pendouille sous le cou du dindon.
Ami(e)(s) lecteur(s), si tu trouves ma description sale et vulgaire, sache qu’elle est à la hauteur de ma stupéfactionet de ma douleur.
Samedi soir, nous arrivons dans un restaurant assez chic de Uccle, commune bruxelloise ou se trouve le plus grand nombrede millionnaires au km2 dans la capitale. Un bar de type « Pub » intégré au restaurant nous permet de prendre l’apéroavec les partenaires et les « Senior Associate » du cabinet. Parmi eux, il y a le beau Édouard, 1m89 congolais,et coureur de jupon notoire. Il nous voit et vient vers nous.
« - Bonsoir Camille, alors tu nous as amené ton chéri. Bonsoir je suis Édouard, Camille et moi travaillons sur beaucoup de dossiers ensemble, c’est vraiment une bonne collaboratrice. »
« - Bonsoir, je suis Cédric. Enchanté de faire votre connaissance. (Tu parles d’enchanté...) Je suis ravi d’apprendre qu’elle bosse bien. »
« - Arrête Édouard, je vais rougir » glousse la traîtresse
« - Alors, il parait que vous inventez des brevets, ça n’a pas l’air trop dur » me dit il avec un sourire narquois.
Le reste de l’apéro, je lui sers de cible jusqu’au repas.
À table, Camille et moi sommes séparés et elle est à côté d’Edouard. Quant à moi je suis au milieu d’un groupe de vieux avocats, des « Seniors Associate » du cabinet. Pendant le repas j’observe Camille et je remarque qu’elle se lèveet s’absente à chaque fois qu’Édouard le fait. Et quand ils reviennent, elle a le visage cramoisi par l’effort.
Maintenant je pense savoir qui est son amant... Avant la fin du dîner, sous le prétexte de « je ne me sens pas bien »,je présente mes excuses « aux vieux », me dirige vers Camille et lui annonce que je rentre.
« - je ne me sens pas bien et je préfère rentrer. Comme tu passes un bon moment avec Édouard, je te suggère de rester et de bien en profiter. Je t’observe depuis tout à l’heure et je remarque que vous vous éclipsez seulrégulièrement... »« - Avec quoi tu viens? Nous sommes juste partenaire professionnel »« - Écoute, ta copine et moi c’est juste pour le boulot, pas la peine de nous faire une crise de jalousie »« - Ha! Donc quand vous vous éclipsez tout les deux seuls et qu’elle revient toute rouge, avec une tâche blanche sur l’épaulec’est le reste de votre dossier? »
À cet instant T, Camille sursaute, vérifie, elle devient livide, Édouard me regarde satisfait et tout le reste de l’assemblée se tait et nous regarde... Je les quitte et dans mon dos, j’entends ses collègues et les « Seniors Associate » l’a traité de pute, trainée et des bruits de pas qui courent dans ma direction... Suite au prochain chapitre
Lundi matin, 9h30, je suis dans mon bureau et recherche une agence de détective, essaye de savoir qu’elle est la meilleure grâce un recoupement d’informations et trouve l’agence qu’il me fautet prends rendez-vous pour mercredi. Deux jour après, je vais à l’agence, explique la situationafin que le détective est toutes les cartes en mains, je règle les frais d’ouverture de dossier pour confirmerla procédure de recherche d’information. Au moment où j’ai payé, je ne me rendis pas compte que je venais d’ouvrirla boîte de Pandore...
Jeudi midi, Camille m’appelle et m’enfume à propos d’une réunion d’urgence pour un nouveau et très gros dossieret qu’elle n’aura pas fini avant 22h.
« - D’ailleurs Mamour, appelle le secrétariat et ils te confirmeront »Mouai, sachant qu’au secrétariat, il y a Élodie, son âme damnée...
À 17h, Camille me rappelle pour me prévenir qu’il y aura un dîner samedi soir avec ce nouveau et très gros client, du coup pour fêter ce partenariat, les conjoint(e)s sont invité(e)s...
Bien évidement Camille est rentré 1h00 du matin, je l’ai entendu rentrer et venir tout de suite se coucher, elle sentait la transpiration et surtout les fluides corporels. Maintenant, je n’ai aucun doute, cette pute m’a trahis.
Pendant qu’elle se met à ronfler comme une bien heureuse, je prends une lampe torche et me glisse furtivementsous la couette pour vérifier. Ce que je vois entre ses jambes n’est pas le jolie petit abricot que l’on a envie de léchergoulûment mais une espèce d’orifice poilu, gluant et puant, complètement boursouflé et cela ressemble au bout de chairqui pendouille sous le cou du dindon.
Ami(e)(s) lecteur(s), si tu trouves ma description sale et vulgaire, sache qu’elle est à la hauteur de ma stupéfactionet de ma douleur.
Samedi soir, nous arrivons dans un restaurant assez chic de Uccle, commune bruxelloise ou se trouve le plus grand nombrede millionnaires au km2 dans la capitale. Un bar de type « Pub » intégré au restaurant nous permet de prendre l’apéroavec les partenaires et les « Senior Associate » du cabinet. Parmi eux, il y a le beau Édouard, 1m89 congolais,et coureur de jupon notoire. Il nous voit et vient vers nous.
« - Bonsoir Camille, alors tu nous as amené ton chéri. Bonsoir je suis Édouard, Camille et moi travaillons sur beaucoup de dossiers ensemble, c’est vraiment une bonne collaboratrice. »
« - Bonsoir, je suis Cédric. Enchanté de faire votre connaissance. (Tu parles d’enchanté...) Je suis ravi d’apprendre qu’elle bosse bien. »
« - Arrête Édouard, je vais rougir » glousse la traîtresse
« - Alors, il parait que vous inventez des brevets, ça n’a pas l’air trop dur » me dit il avec un sourire narquois.
Le reste de l’apéro, je lui sers de cible jusqu’au repas.
À table, Camille et moi sommes séparés et elle est à côté d’Edouard. Quant à moi je suis au milieu d’un groupe de vieux avocats, des « Seniors Associate » du cabinet. Pendant le repas j’observe Camille et je remarque qu’elle se lèveet s’absente à chaque fois qu’Édouard le fait. Et quand ils reviennent, elle a le visage cramoisi par l’effort.
Maintenant je pense savoir qui est son amant... Avant la fin du dîner, sous le prétexte de « je ne me sens pas bien »,je présente mes excuses « aux vieux », me dirige vers Camille et lui annonce que je rentre.
« - je ne me sens pas bien et je préfère rentrer. Comme tu passes un bon moment avec Édouard, je te suggère de rester et de bien en profiter. Je t’observe depuis tout à l’heure et je remarque que vous vous éclipsez seulrégulièrement... »« - Avec quoi tu viens? Nous sommes juste partenaire professionnel »« - Écoute, ta copine et moi c’est juste pour le boulot, pas la peine de nous faire une crise de jalousie »« - Ha! Donc quand vous vous éclipsez tout les deux seuls et qu’elle revient toute rouge, avec une tâche blanche sur l’épaulec’est le reste de votre dossier? »
À cet instant T, Camille sursaute, vérifie, elle devient livide, Édouard me regarde satisfait et tout le reste de l’assemblée se tait et nous regarde... Je les quitte et dans mon dos, j’entends ses collègues et les « Seniors Associate » l’a traité de pute, trainée et des bruits de pas qui courent dans ma direction... Suite au prochain chapitre
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